Si des policiers qui suivent un casseur ne l’empêchent pas de casser, c’est forcément que ça arrange Macron

Ce n’est tout simplement pas possible… tu dis ça à un cheval de bois, il te donne un coup de pied.

Le gars sort son marteau, attaque la vitrine… les policiers sont là, à côté… ils le regardent faire. Ils ne s’opposent pas aux dégradations, ils n’appellent pas à l’aide…

Il continue son petit bonhomme de chemin, il va même incendier un véhicule Sentinelle…

Ils vont le suivre pendant 4 heures, le regardant faire des millions d’euros de dégâts, sans rien faire.

Mais ils ont des excuses : il y aurait eu autour de nombreux manifestants hostiles… Mais pas de CRS dans le coin ? Pas de robocops chers à Castaner, vraiment ?  Mieux encore, les policiers auraient laissé faire, de peur de déclencher une émeute. Imaginons que des militants de Génération identitaire aient été présents, et qu’ils aient voulu arrêter le casseur en question. Eux  auraient été interceptés, arrêtés, plainte contre eux déposée, et les policiers n’auraient pas eu peur des réactions de leurs amis, ils les auraient embarqués sans état d’âme, trop heureux de laisser le gauchiste casseur continuer.

Deux poids-deux mesures. Il est clair que le pouvoir macronien ne veut surtout pas arrêter (dans les deux sens du terme) les gauchistes, les casseurs. Ils espèrent qu’il y en aura toujours plus, afin de discréditer le mouvement des GJ auxquels ils assimilent les petites frappes anti-France.

Comme le dit fort bien le jeune GJ Thibault, comment se fait-il que les black blocs et autres antifas arrivent avec des marteaux, du matériel de fou et ne soient pas contrôlés, eux ?

Il n’y a pas d’autre explication que le fait que Castaner laisse exprès passer les casseurs avec leurs sacs, leurs lunettes et masques pour mettre sur le dos des honnêtes GJ leurs exactions et faire d’une pierre deux coups. Stigmatiser les GJ, leur faire peur, et permettre à l’extrême-gauche de récupérer le mouvement, pour le plus grand bien de Macron.

Suivi par la police pendant des heures, un casseur armé et connu de la justice dégrade à foison

Un homme de 25 ans est soupçonné d’avoir incendié un véhicule militaire à Paris, lors de l’acte 13 des Gilets jaunes. Ayant repéré l’individu en début de manifestation, la police aurait pourtant donné l’ordre de différer son interpellation.

Dans un article publié ce 10 février, Le Parisien explique avoir pris connaissance d’un rapport de police qui confirme que Thomas P., l’homme soupçonné d’avoir brûlé un fourgon militaire de l’opération Sentinelle aux abords de la Tour Eiffel en fin d’après-midi lors de l’acte 13 des Gilets jaunes, était suivi par la police depuis le début de la manifestation.

«Vers 14 heures, il se trouve au boulevard Saint-Michel. Gilet jaune enfilé sur une tenue entièrement noire, le suspect porte un masque et des lunettes de protections à élastiques rouges qui lui cachent le visage» rapporte ainsi le quotidien de la capitale, confirmant par ailleurs que l’individu est armé : «Il sort un marteau de son sac à dos et s’attaque aux vitres d’une banque Bred.»

Usage de marteau et de pied de biche, saccages, incendies…

Dégradation d’une devanture en marbre «pour constituer des projectiles qu’il lance ensuite sur les forces de l’ordre», destruction de caméras de surveillance, attaque d’une voiture de police avec du matériel urbain, vol d’ordinateur dans une agence Allianz, usage de marteau et de pied de biche, jets de trottinettes électriques, saccage d’une agence BNP et d’une concession Renault, incendie de la Porsche du chef cuisinier Christian Etchebest… Selon Le Parisien, le coût des dégradations commises par Thomas P. en ce doux après-midi de février, se chiffrerait ainsià des dizaines de milliers d’euros «en quatre heures».

Il enlève régulièrement son gilet jaune lorsqu’il commet des dégradations afin de se fondre dans la masse.

En outre, au vu de certains extraits du rapport, on apprend que les forces de l’ordre ont décidé de «différer» à plusieurs reprises l’interpellation de l’homme de 25 ans, évoquant «la présence hostile de très nombreux manifestants» autour de lui. «Disons qu’il enlève régulièrement son gilet jaune lorsqu’il commet des dégradations afin de se fondre dans la masse» précise un autre extrait. «Préférant ne pas prendre le risque de déclencher une émeute, les policiers renoncent à intervenir à plusieurs reprises et filment ses agissements» confirme le quotidien de la capitale.

Interpellé à 17h55 (après l’incendie du fourgon militaire, donc) par des policiers en civil, dans le 8e arrondissement de Paris, l’homme aurait d’abord d’abord donné une fausse identité. Toutefois, connu de la Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) pour son appartenance à la mouvance anarcho-autonome, et connu de la justice pour dégradations, Thomas P. a été placé en garde à vue au commissariat du 13e arrondissement.
A l’image du parcours de Thomas P., le treizième acte de mobilisation des Gilets jaunes a, entre autres, été marqué par l’importante présence et la visibilité des black blocs, ces derniers ayant réussi à commettre une série de dégradations, notamment sur le parcours de la manifestation parisienne.

Des incidents qui, outre la réprobation de nombre de Gilets jaunes, ont été dénoncés par les membres de l’exécutif.

https://francais.rt.com/france/59008-acte-13-gilets-jaunes-suivi-par-police-pendant-heures-casseur-arme-connu-justice-degrade-foison

 

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13 Commentaires

  1. en tant qu’ancien de la grande maison il faut savoir que ce ne sont pas les policiers qui sont responsables;ce sont ceux qui les commandent,et je peux vous dire que la chaine de commandement est longue;et personne ne veut se mouiller a prendre une décision;je pense aussi que tous ces individus sont les petits fils de ceux que j’ai connus en 68

  2. Cet un délit de suivre un individu qui commet des actes délictueux .sans interpeler pour arrêter ces délits cela est : complicités de délits en bandes organisées ,D’ailleurs des commerçants et le propriétaire d’un véhicule brûler ont déposé plainte non seulement contre auteur mais aussi contre ceux qui ont permis ces actes sans intervenir’

  3. Plutôt que de se faire tirer comme des lapins chaque samedi ou de se faire traiter d’incendiaires, etc, etc, ne vaut-il pas mieux s’en prendre aux permanences ou domiciles de parlementaires LREM, gentiment mais ostensiblement (on dirait que certains ont déjà commencé dans cette voie) et puis il y a la grève générale, le retrait de ses économies des banques, le refus de consommer dans les grandes surfaces… À vous de continuer la liste!
    ”Gilets jaunes contre képis bleus de gendarme”, déclare l’infâme Castaner en comparant les blessés des deux camps. Non il ne s’agit pas de képis ou d’hirondelles en patrouille, des gendarmes qui sillonnaient les rues de Paris sur des vélos de fonction il y a maintenant longtemps! Voir les vieux films en noir et blanc qui en étaient peuplés. C’était un temps où il faisait bon vivre en France! Les gendarmes de Castener ne ressemblent aucunement à ces bons bougres, ce sont de vrais mercenaires munis de déguisements complets Stormtrooper Star Wars, non pas en carton-pâte mais en vrai, bien rembourrés, avec des armes véritables pour mutiler, sans oublier de bonnes coquilles protège testicules (vous savez, la protection indispensable du joueur de hockey sur glace).
    PS. On m’a objecté que la gendarmerie est plus sympa et tire moins sur les gilets jaunes! Peut-être, je n’en sais rien. Avec képi de gendarme, mentionné par Castaner, je pense plutôt directement à l’expression la peur du gendarme ou encore au gendarme de Saint-Tropez en la personne de Cruchot, ou encore un pour la route, à Peter Sellers (Clouseau) dans « La Panthère rose », tous des personnages bien accommodants et peu méchants. On est loin des mercenaires qui mutilent nos compatriotes. Même ces gendarmes qui, s’ils sont un peu ballots, restaient humains. Brassens leur rend du reste hommage dans sa chanson ”L’Épave”. Le héro de la chanson est jeté hors d’un cabaret, tout nu, sur le bord du trottoir quand passe qui vous savez: ”Le r’présentant d’ la loi vint, d’un pas débonnaire. Sitôt qu’il m’aperçut il s’écria : « Tonnerre ! On est en plein hiver, et si vous vous geliez ! » Et, de peur que j’ n’attrape une fluxion d’ poitrine, Le bougre, il me couvrit avec sa pèlerine”.

  4. Ce ministre est le ferment personnifié de la guerre civile par son attitude impardonnable .
    j’espère que si par bonheur MLP arrivait au pouvoir elle demande des comptes à ce type.
    Comme vous le dites un ministre n’a jamais été aussi bien informé du déroulement des manifs qu’aujourd’hui . Paris est truffé de caméras, les renseignements généraux sont avertis de tout déplacements , avant même que les gens soient rendus sur place y compris dans le métro.
    En général les manifs s’organisent conjointement entre RG et les service d’ordre des organisateurs pour éviter justement les débordements.
    Si il y a de la casse c’est qu’en amont personne n’a essayé de se concerter pour éviter cela .
    C’est là que le bât blesse!
    Les bonnes questions seraient de savoir qui fait en sorte que les choses ne se passe pas bien? Qui a intérêt à ce qu’elles ne se passent pas bien?
    On peut effectivement mettre dans la balance et pardonner un certain amateurisme de la part des GJ qui n’étaient pas habitués à organiser des défilés mais pas de la part des RG qui sont des professionnels aguerris et en général dans la police, les ordres sont appliqués à la lettre. Pour déterminer les responsabilités il faut remonter la hiérarchie!!

  5. et le THOMAS P. c’est surement un faux nom

    et si ce jeune était le fils d’un homme connu ?? artiste, politique , media ou autre, ça expliquerait le laxisme, pendant que des vieux , des femmes et des enfants se font gazer sans ménagement,
    je pense que la police avait peur, car ce type doit être un violent,
    il est tellement plus facile d’attaquer à cinq, un homme sans défense, de jeter une femme au sol, que d’arrêter un jeune armé et déterminé,

    saura-t-on un jour son nom ??

  6. Oui, c’est dégueulasse… Mais cela montre aussi deux choses.

    La première est que nous avons en face de nous un gouvernement dictatorial avec lequel on ne peut ni discuter, ni négocier, et pas davantage « débattre »…

    La deuxième est que défiler gentiment ne servira donc à rien. D’ailleurs, ceux qui l’ont fait se sont fait taper sur la gueule, gazer, éborgner et démembrer ; rappelons que parmi les victimes, il n’y a eu que des GJ et aucun black bloc.

    Si les Gilets Jaunes veulent voir leur mouvement aboutir, ils va falloir qu’ils trouvent autre chose.

  7. Dire que maintenant ce sont les rues de Moscou qui sont parmi les plus calmes du monde.
    Faut-il avoir la nostalgie des régimes autoritaires de droite comme de gauche des Franco ou des Honecker?
    Au train où vont les choses on va finir par en avoir envie.
    Ce laxisme voulu est inadmissible, ceux qui commettent ces actes sont parfaitement connus, fichés sont » logés » par les services de renseignements et rien n’est fait pour les neutraliser parce qu’ils servent, ils sont devenus une manière de » gouverner ».

  8. 4 heures sans intervention, ce n’est plus de l’observation c’est de la complicité.

  9. incroyable tout de même, on va finir par regretter de ne pas être dans un pays autoritaire, bien que le notre s’améliore en ce sens pour certains , seulement certains, comme les identitaires qui sont plutôt proprets par rapport à cette engeance !! démentiel !! on va où comme ça !

    • mais ça ne fait rien : aujourd’hui on a trouvé les coupables des actes antisémites : les gilets jaunes, a dit je ne sais qui sur RTL ce matin ! c’est vrai qu’ils sont présents depuis novembre et que ces actes odieux sont révélés depuis cette date !! si javais le temps et l’argent, je mettrais bien cet homme qui s’est exprimé, au tribunal , il s’occuperait alors autrement , plutôt que de colporter des fausses nouvelles, afin de faire peur ! PLUS C EST GROS PLUS çA PASSE !

  10. je viens d’apprendre aux infos qu’il était ficher S, a la place d’un marteau et d’un pied de biche, il aurait bien pu avoir une arme à feu ou une arme blanche et faire un massacre, se type n’a pas été fouiller ni même arrêté, maintenant que nos ennemis savent qu’ils peuvent s’infiltrer dans une manifestation sans être fouiller ni arrêté tout est à craindre, c’est peut-être le souhait de macron et castaner pour mettre notre pays en état d’urgence et interdire les manifestations des gilets jaunes.

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