Cour de cassation : interdit de complimenter une jolie femme au travail
La Cour de cassation a rendu le 5 décembre dernier une décision d’une extrême sévérité contre un salarié un peu « lourd » qui faisait des compliments à ses collègues féminines, allant parfois jusqu’à leur dire quotidiennement qu’elles sont belles.
Harcèlement sexuel constitutif d’une faute grave, selon les juges, qui se fient à 4 témoignages de collègues.
Il suffit donc de 4 femmes pour faire perdre à un homme son travail dans des conditions telles qu’il sera privé de toute indemnité de fin de contrat.
4 pimbêches peuvent se mettre de mèche pour faire perdre son travail à un collègue masculin irréprochable.
Cette affaire n’est pas sans faire songer à l’arrêt rendu le même jour par la Cour de cassation interdisant de faire des vannes sur un collègue maghrébin :
Là encore, faute grave privative d’indemnités et sur la foi de quelques déclarations…
Le regain de « pudeur » à l’égard des femmes, encouragé par le mouvement me-too venu des Etats-Unis, pose la question délicate de la preuve des comportements reprochés et du seuil de tolérance en la matière.
On peut aussi se demander s’il est le fait d’ambitieuses manipulatrices, d’hystéroféministes ou un élément de l’islamisation de nos sociétés, voire tout cela à la fois, lorsqu’aucune agression sexuelle et aucune menace n’ont pu être caractérisées.
L’arrêt de la Cour de cassation du 5 décembre montre certes que les compliments n’auraient pas été seuls en cause.
Le salarié intéressé aurait laissé entendre qu’il avait envie de « coucher » avec certaines collègues.
Mais cela ne relève-t-il pas de la liberté d’expression, après tout ? Qui ne tente rien n’a rien ! Et mieux vaut tenter par des paroles que par des actes, non ?
D’autant plus qu’un certain Darmanin aurait eu lui aussi des comportements un peu cavaliers et loin de croupir en prison ou d’être limogé, fait partie des ministres les plus importants du gouvernement !
L’Etat français étant censé être un et indivisible, comment une décision juridictionnelle peut-elle sanctionner un salarié en relevant, entre autres, des compliments appuyés à l’égard de ses jolies collègues et l’exécutif promouvoir un ministre ayant reconnu des agissements sexistes ?
On ne peut pas faire comme si les deux arrêts de 5 décembre étaient radicalement étrangers l’un à l’autre. L’interdiction de faire des vannes sur un collègue maghrébin dans le premier cas, justifiant un licenciement pour faute grave à cause d’un comportement « raciste » et celle de faire la cour à une collègue participent d’une même logique.
L’obligation d’inhibition sur le lieu de travail peut paraître de ce point de vue en contradiction avec la liberté de principe de se voiler au travail, de porter une djellaba ou un qami sur son lieu de travail, d’être vêtu comme dans une mosquée proclamée par la CJUE et la Cour de cassation. Du moins, sous l’angle de la liberté d’expression.
En revanche, sous l’angle de la progression de la « pudeur » islamique entendue comme une stricte séparation des hommes et des femmes, comme en Arabie saoudite, la cohérence de ces diverses jurisprudences apparaît : que ce soit volontaire ou non de la part des juges, la charia progresse en entreprise ; du moins, l’entreprise est rendue charia-compatible par la jurisprudence sauf exceptions (à savoir sauf les cas où l’employeur satisfait à des conditions draconiennes pour interdire le voile islamique ; sauf, aussi, sans doute, le cas où le salarié qui drague une collègue se contente d’un sourire discret et ambigu…).
On croit aussi savoir qu’un Yann Moix ne sera pas privé d’antenne, quoiqu’il déclare à qui veut l’entendre avec qui il a envie de coucher ou pas…
L’arrêt du 5 décembre sur le harcèlement sexuel ressemble beaucoup à celui du même jour sur le racisme. Dans les deux cas, les cours d’appel avaient considéré que le salarié n’était pas fautif et c’est la Cour de cassation qui les désapprouve.
Les salariés avaient aussi une longue ancienneté dans les deux hypothèses.
Dans le cas présent, engagé au sein du groupe Renault à compter du 1er septembre 1996, exerçant en dernier lieu les fonctions d’animateur formateur à l’école des ventes du groupe Renault, l’intéressé a été licencié pour faute grave par lettre du 1er juin 2010.
La société produisait quatre témoignages de stagiaires à la session de formation animée par lui faisant état des faits cités dans la lettre de licenciement.
« Mme Z y indique que celui-ci lui a posé des questions sur sa vie privée lors de sa journée de coaching en janvier 2010 et a pris des photographies d’elle sans son autorisation »
« Mme A affirme que M. Y lui faisait des remarques quotidiennes sur son aspect physique (« qu’est-ce que tu es belle) et tenait parfois des propos plus crus et ambigus (« bon quand est ce qu’on couche ensemble ?), elle évoque de même certains gestes déplacés (« il m’a pris la main et l’a embrassée ») ainsi que la prise de photographies à son insu »
« Mme B relate que M. Y lui a pris le bras à plusieurs reprises en chantant des chansons salasses ».
« Il a tenu devant le groupe des propos déplacés (« Mais c’est moi ton loulou, ça y est on couche ensemble une fois et tu m’oublies ») et intrusifs (« Fais attention aux garçons, lui ne lui parle pas, c’est une mauvaise fréquentation, tu es un agneau entouré de loups ») ».
« Mme C évoque des faits de même nature et notamment des propos déplacés relatés par un autre stagiaire M. D, ce dernier l’ayant prévenu que M. Y avait dit à son propos « qu’elle ne devrait pas mettre des « wonderbras », on ne voit que ça, ça ne se fait pas, elle met trop en avant sa poitrine ».
Toutefois, la cour d’appel mettait en doute ces propos.
Qu’est-ce qui permet, en effet, d’être sûr qu’il ne s’agit pas d’affabulations ?
Sortis de leur contexte, ces propos peuvent paraître graves, mais peut-être ne l’étaient-ils pas remis dans leur contexte.
L’animateur d’une formation peut en effet être confronté à un manquement d’attention de la part des stagiaires et tourner en ironie des discussions qu’il entend dans l’assistance.
« Mais c’est moi ton loulou » suppose qu’une stagiaire ait fait part de « son loulou » dans une discussion de nature extra-professionnelle, par définition. L’ironie mordante de l’animateur n’était peut-être qu’une façon de la rappeler à l’ordre sans intention grivoise et surtout sans intention de lui sauter dessus à la première occasion !
Même remarque quant à la discussion avec des jeunes hommes suscitant le commentaire sur « l’agneau entouré de loups ».
Y a-t-il mort d’homme ?
Surtout, selon la cour d’appel, « les déclarations des quatre jeunes femmes manquent de spontanéité dans la mesure où, pour trois d’entre elles, elles ont été recueillies directement en la forme d’attestations pouvant être produites en justice, après un simple entretien avec le supérieur hiérarchique de M. Y, sans que soient rapportées les circonstances dans lesquelles cet entretien s’est déroulé et la teneur des propos qui ont pu être tenus, que la société n’apporte aucun élément probant démontrant l’effectivité de l’enquête dont elle fait état dans la lettre de licenciement et que, à réception des témoignages, elle a laissé M. Y poursuivre sa formation avec les quatre stagiaires ».
Le salarié faisait en effet valoir dans ses conclusions que les propos étaient sortis de leur contexte et qu’il entretenait de mauvaises relations avec un supérieur hiérarchique qui aurait ainsi souhaité se débarrasser de lui.
Quoiqu’il en soit, cette affaire invite les salariés à la plus grande prudence. Il leur est interdit de faire des plaisanteries un peu gauloises sur le lieu de travail sous Macron. L’ironie, les remarques un peu « moqueuses » autrefois permises par des comportements d’inattention, de légèreté qu’on pouvait se permettre de tourner en dérision sont désormais interdites.
Les compliments à la gente féminine deviennent aussi dangereux. Le message est clair : mieux vaut s’abstenir et faire comme si la salariée portait une burqa ne laissant pas entrevoir ses formes. Jusqu’au jour où elle la portera vraiment…
Le second degré n’est plus permis : la remarque sur les wonderbras ne signifiait sans doute pas, en effet, que le formateur désirait vraiment que la salariée ne mette plus en valeur sa poitrine. Adressée à un public masculin, elle avait sans doute pour but d’établir une connivence conviviale et enjouée de nature à rendre l’ambiance de travail plus légère.
On peut penser que ce genre de décision, en l’absence dans les deux contentieux (arabes et femmes) de menace de la part du salarié licencié pour faute lourde, vont rendre encore plus tendues les relations de travail, les salariés les plus expansifs devant se restreindre le plus possible et la morosité, la robotisation de l’être humain vont encore croître.
Les muscles zygomatiques devront se mettre en veille durant les longues semaines de boulot sous Macron (même pour ceux qui feront 60 heures par semaine comme le permet désormais la loi).
Gageons que le nombre de dépressions et le mal-être au travail vont encore se développer dans un tel contexte.
Si la justice ne peut imposer la castration chimique même pour les délinquants sexuels, on peut se demander si cette décision n’a pas un effet castrateur alors même qu’aucune délinquance sexuelle n’est caractérisée en l’absence de menace ou d’agression.
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Les dessous de la loi El Connerie Chiale pas EL Khomri Schiappa
qu’il faudra supprimer au plus vite et certains gilets jaunes ont perdu leurs travail à cause de cette loi aussi.
@machinchose
J’avais 15 ans , dans la rue St Pierre ,à Marseille quand un « vieux » ; ) m’a dit « tu es mignonneu » avec l’accent , quelle choc ! Et puis j’ai grandi et les compliments , sifflements ont commencé à arriver .
Mon père aussi sifflait les filles quand parfois ,il m’accompagnait à l’ecole j’etais derrière, je trouvais ça amusant.
C’etait bon enfant .
Cela faisait partie de notre vie , di on se la joua it « il m’embête » allez je peux le dire nous les filles on était bien contentes . IL m’est arrivé de sourire à l’un ou autre beau gosse .Tiens ce pouvait être , vous machinchose ??? 😊😊😊😊
salut Jeanne
mais c’était MOI !!
je te guettais a l’ angle de la Cannebière prés de Muriel 😆
eh oui lui préfère caliner les noirs en déplacements que nous payons de nos impots……..et quand je dis caliner c’est léger toutes les photos, les vidéos pourraient attester de ce que je dis ….et je ne suis pas la seule.
Dans les années 80 à 90 j’ai travaillé dans un abattoir de volaille au milieux de 80 femmes et avec ma femme et ça donner a peu près ceci.
le matin:
moi: Bonjour les filles
Les filles: Bonjour Christian, certaine Bonjour mon chéri
moi: Bon j’espère que vous avez rêvé de moi
Les filles: Bien sur; Certaine me disent que c’était un cauchemar
une fille: bon quand es ce que l’ont couche ensemble
moi: Quand tu veut
Ma femme: eh je vous gène pas
Moi: ne t’inquiète pas tu sera là, je peut pas me passer de toi
ma femme: a bon
moi: mais oui je me métrais au milieu
une fille: moi aussi je pourrais venir
moi: Bien sur,
ma femme: ah non je ne partage c’est mon chéri
une fille: je te savais pas aussi égoïste
ma femme: c’est comme ça, trouvez vous un mec
moi merde c’est dommage
ma femme: tu vas voir ce soir se que tu va prendre
toute les filles: rire général
Les filles tu vas prendre cher se soir, tu nous raconteras.
moi: ah non c’est privé;
et puis ça sonne il faut partir au taf, dans une bonne ambiance plein de plaisanterie.et personne ne songe à mal.
Si c’était maintenant, je serais au bagne et j’ajoute que je n’ais jamais tromper ma femme;
» Salut boudin. Alors, toujours aussi moche ??? – Ah ! Bonjour monsieur le Directeur…. » C’est les nouvelles relations humaines dans les entreprises. Mais trop, c’est trop. Un membre de ma famille travaille en chirurgie dans un hôpital de province et est victime toute la journée de la part des médecins et chirurgiens de propositions salaces, d’effleurements, de tentatives de tripotage, etc. Si cette personne assignait ses harceleurs au tribunal, quelles chances aurait-elle de retrouver un jour un emploi dans sa spécialité ? Aucune !
Les mêmes gonzesses qui hurleraient au sexisme si on les ignorait totalement.
Pas de compliments , en arrivant au bureau …Salut les cageots !
Faites comme moi, en cas de problème je déclare être gay et mysogine! Un coup pour rien!
A combien Macron veut-il mettre le litre d’essence ? pourquoi ?
L’argent dans la recherche ce serait mieux peut-être ; depuis le temps qu’on aurait pu le faire et les résultts qu e nous aurions pu obtenir dans notre société depuis le temps ; nous aurions pu être à la pointe de la modernité, du progrès pour une vie meilleure à tous les niveaux. Mais non ! On a préféré vendre tout, détruire l’agriculture, l’élevage et surtout l’industrie ; on a préféré devenir les esclaves des pays arabes et musulmans pour le pétrole et le plus triste dans l’histoire c’est que ce n’est même pas le prix du baril de pétrole qui nous ruine mais le prix que le gouvernement a décidé à la pompe.
Ils ont eu tout faux sur toutes les lignes dans tous les domaines.
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Les voitures électriques font du remous dans le monde de l’automobile. Ces voitures silencieuses, non polluantes et très performantes sont appelées à rendre leur homologues à moteur thermique obsolètes d’ici 2025. Cette vidéo dévoilera la technologie qui se cache derrière la Tesla Model S, devenue récemment la voiture avec la plus grande accélération au monde. Nous verrons comment les voitures électriques ont atteint un niveau de performance supérieure en analysant la technologie utilisée dans le moteur à induction, l’onduleur, les batteries lithium-ion comme source d’énergie, le freinage régénératif et, par dessus tout, le mécanisme synchronisé du véhicule, le tout de façon logique, étape par étape. Le fonctionnement de la voiture Tesla est décrit ici à l’aide d’une animation.
Comment fonctionne une voiture électrique? | Tesla Model S
:::: https://www.youtube.com/watch?v=3SAxXUIre28
Si vous saviez le nombre de professionnels (pas que les hommes) qui sont virés du jour au lendemain « sans indemnités pour faute grave » sans aucune raison, sur fond même de mensonges et de déformation de la réalité, voire de violation des règles de droit et d’éthique les plus élémentaires….
Et le pire, ça marche…. si on n’a pas les moyens de se payer un bon avocat. Et encore, il faut le trouver et le prendre surtout très loin de sa zone géographique….
Ah,si je pouvais parler….
Quel aurait été le jugement si le « délinquant sexuel » avait été un musulman?
Sans doute pas le même…. Là on aurait mis en avant sa culture, ou sa « méconnaissance des codes culturels »…
Les imbéciles, les sots, les crétins, les ramollis du bulbe et autres intellectuellement diminués ont pris le pouvoir. Tout ça est de plus en plus absurde. On nage en plein délire.
Ah la la !! Vous imaginez si la belle, destinataire de compliments fleuris, est en plus maghrébine, turque, bosniaque, somalienne, nigériane, comorienne,.muz quoi….!!! STOP ! C ‘est toute la culture française populaire et poétique qui disparaîtra. Pas celle (bien épaisse et lourdingue du porno dont les plus gros consommateurs disiquilibris sont les islamiques ) , ni des cabinets d’avocats chargés des intérêts des « mee too », des « femen » (ces dernières soutenues par Soros) mais celle de Rabelais et de Marivaux à Brassens , Nougaro ou J.Brel, de Fragonard à Manet, de Sade à Pauline Réage ou d’Angot, jusqu’au summum : Gide, Peyrefitte et Jean Genê pour les plus »gais » puis Houellebecq et Onfray pour la salubrité du jugement présent (pour ce qui est de la France seulement).Nous sommes en train de dévisser, par la faute d’un » premier de cordée » qui joue le premier du tour de garrot. Dévisser de notre civilisation, de nos lestes plaisanteries, de nos gaudrioles, bref de notre esprit. Je plains les futures générations déjà scotchées aux imbéciles séries et aux films X transgenres « pour leur éducation ». J’étouffe de rage régulièrement.
Tiens ! Comme c’est bizarre !
Hausse significative de la cote de confiance de Macron et Philippe selon un sondage
:::: https://francais.rt.com/france/57690-hausse-significative-cote-confiance-macron-philippe-selon-sondage
9 janv. 2019
Oui, j’ai vu… et j’ai ri, personne n’y croit bien sûr.
si! si! j’ y crois depuis que j’ ai découvert cette pub !
Sonde anale avec butée Axtim : remboursée par l’Assurance Maladie
https://www.perineeshop.com › … › Fuites urinaires / incontinence › Sondes périnéales
Note : 5 – 8 avis
Nous vous proposons de découvrir la sonde anale AXTIM d’EMC Thiers, remboursée par l’Assurance Maladie.
voilà en réalité les dessous de ce sondage trés ouvert et optimiste !! 😆
quelle indécence! quelle honte!! j’ ose même dire que finalement plus c’est gros plus les deux compères s’ imaginent que ça va passer
« quelle indécence! quelle honte!! j’ ose même dire que finalement plus c’est gros plus les deux compères s’ imaginent que ça va passer »
Oui… ils signent d’eux-mêmes l’incontinence de leur bêtise….
Hélas, hélas, 3 fois hélas ,il y a des abrutis qui le croient je vous assure .
Est ce que ce sont les médias,qui nous racontent des ânneries,ou Macron qui fait du bon travail.? Il me semble connaitre la réponse..!
Excellent article Maxime ! Ces connasses viennent encombrer les tribunaux jusqu’à l’appel et la cassation avec leurs petites histoires de petites calottes restées très sèches (comme elles) sous les compliments !
Pour de brillantes analyses du féminisme hystérique, voir les sites youtube Aimeles et Néo-Masculin.
Le jour où les jeunes Françaises se feront violer à tous les coins de rues,par les musulmans,et qu’il n’y aura plus personne pour les défendre;on comprendra pourquoi. Avec Macron,la France est foutue.
» Burqua mentale » pour plein de sujet .. voilà où nous en sommes ….. . Bisous à toutes et tous (sans arrières pensées si ce n’est confraternelles et patriotes )
» Mme A affirme que M. Y lui faisait des remarques quotidiennes sur son aspect physique » qu’est-ce que tu es belle » . —-. elle évoque de même certains gestes déplacés « il m’a pris la main et l’a embrassée »
On peut donc supposer et admettre que dire à une Dame :
« qu’est-ce que t’es moche »
eut été moins délictueux !
Et au lieu de lui accorder un baise-main … je n’ose imaginer la suite des poursuites.
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voilà ce qui nous attend!
aux etats unis ils sont des centaines de cabinets comme celui ci d’ un ami a moi….
ça marche trés fort et pour captiver le, la chaland(e) il proposent de ne payer qu au vu des résultats par pourcentage sur les condamnations de l’ harceleur
Jeune étudiant, notre professeur de chirurgie Orthopédique nous rapportait les effets d’une même dérive procédurière, qui condamnait les blessés en amérique, à ne plus bénéficier des avancées de l’ostéosynthèse qui restaurait des motricités normales chez nous.
pouvez-vous nous en dire plus ? je ne comprends pas bien
ceux de ma génération , qui avaient le « t’ as un beau cul, tu sais » trés facile a 22 ans, aujourd’ hui ils sont morts!!
ce qu alors ravissait souvent la destinataire du trait egrillard
bravo la dévirilisation, la feminisation , la pétoche face a une femme a qui on ne peut plus manifeste un mot admiratif….
les racailles elles pourront continuer a tourmenter, agresser, violer, on les « comprendra » et on leur donnera des musareignes a carresser
Aux USA, un homme normal ne peut plus entrer dans un ascenseur avec une femme seule……… Une hystérique peut très bien péter un plomb , se griffer, s’arracher le corsage, se décoiffer et hurler etc .
Les témoins ( faux ou vrais) l’attendent à la sortie………… le type est foutu ! et paie, perd sa femme et ses enfants, son boulot ou se suicide.
Pour la pétasse, plus la peine d’aller bosser la « paie » tombe tous les mois
C’est arrivé !
Je dirais même en France…. Attention ! Un homme seul avec une femme qu’il ne connait pas (prise en stop par exemple) peut se terminer gravement…
Eh oui, triste cette ambiance où les hommes arrivent à avoir peur d’être homme et les femmes à refuser d’être femme (surtout elles je trouve, et pourtant, je suis une femme).
Les comportements de séduction font partie de la vie : « L’homme propose, la femme dispose » dit-on….
Triste société. Mais il y a encore des femmes qui aiment bien les compliments, ne vous inquiétez pas. Et heureusement.