La grande arnaque des éoliennes

La transition énergétique, la grande escroquerie du siècle…

Les éoliennes ?

Problèmes de santé pour les riverains,  dénaturation du  paysage, coût énorme en argent et en pollution pour l’Etat, elles reviennent très cher au contribuable ( au Danemark l’électricité coûte deux fois plus cher qu’en France à cause du parc d’éoliennes et en France on annonce 13% d’augmentation du coût de l’électricité),  rachat par l’Etat de l’électricité produite à un prix supérieur au prix de vente, ce sont donc les gilets jaunes qui payent, plusieurs fois. Et les gilets payent pour enrichir les Chinois et les Américains, principaux constructeurs d’éoliennes, ça ne donne même pas d’emploi chez nous. Au contraire, chaque emploi dans le secteur nous coûte 2 millions…

5000 éoliennes qui ne fournissent même pas 3% de la production nationale…

Mais si vous avez un champ et que vous le mettez à la disposition d’un agriculteur il vous rapportera 900 euros mensuels…

La grande arnaque des éoliennes

Super profits pour quelques-uns, super factures pour tous : la multiplication des éoliennes ruine les contribuables et enrichit des groupes industriels, pour la plupart étrangers.

Elles sont moches, bruyantes, ruineuses et commencent à avoir mauvaise presse, y compris dans les pays où le parc est dense : le ministre danois de l’Environnement a reconnu en 2012 qu’entre 4 et 11 % des riverains de parcs éoliens sont incommodés par les pulsations caractéristiques de ces gigantesques machines.

En France, chaque année 500 éoliennes sont implantées sur le territoire. Le parc compte déjà 5 000 unités. Il devrait atteindre 20 à 25 000 machines d’ici à quelques années, plus 1 000 à 1 500 éoliennes marines. Selon la Fondation Environnement Durable, 100 milliards d’euros d’investissements seront nécessaires pour atteindre cet objectif. Installées le long du littoral, les éoliennes off-shore fourniront 6000 MW à condition de tourner 24h/24 et 12 mois/12, ce qui ne sera évidemment pas le cas. En juillet 2011, le gouvernement a lancé un appel d’offres international pour leur construction. Coût prévu : 20 milliards d’euros pour 1 200 éoliennes à horizon 2020. L’installation des 600 premières est prévue d’ici 2015 au large des côtes de la Manche et de l’Atlantique.

Cette énergie bien plus onéreuse que celle produite de manière conventionnelle entraînera une hausse de 13 % du tarif de l’électricité alors que 3 millions de ménages ne peuvent déjà plus payer leur facture. D’accord, ou pas, ce sont les contribuables, embringués malgré eux dans le mythe écolo de la transition énergétique qui régleront la facture. Le rachat de l’énergie éolienne par EDF à un tarif fixé par l’Etat constitue une aide publique que les contribuables financent à travers leurs impôts et la CSPE ( contribution au service public de l’électricité), cette taxe que les usagers acquittent en payant leurs factures d’électricité. Selon certains experts, le besoin de financement de la CSPE pourrait dépasser 8 milliards d’euros à horizon 2020, ce qui représentera un malus annuel de 500 euros à la charge de chaque ménage français.

Les dizaines de milliards engloutis jusqu’à présent l’ont été pour pas grand-chose puisque les 5000 éoliennes terrestres implantées sur le territoire fournissent à peine 3 % de la production nationale. Faute de vent, ces machines dont les derniers modèles atteignent 200 mètres de haut, ne tournent en moyenne que durant 24 % du temps.

Leur installation ne ruine pas seulement les contribuables. Elle déséquilibre aussi la balance commerciale française. Dans le top 6 des fabricants mondiaux, on trouve deux constructeurs chinois, Sinovel et Goldwing. Les autres grands fabricants sont américains ( General Electric) ou danois ( Vestas). Les groupes industriels français ( Areva, EDF, GDF Suez) se sont associés à ces géants mondiaux éoliens. Sans les perfusions de l’Etat, les 11 000 salariés du secteur éolien tricolore seraient déjà au chômage. D’après la Fédération Environnement Durable, aux 10 000 nouveaux emplois qui devraient accompagner l’expansion de la filière correspondra une prime de 2 millions par job créé !

Outre les industriels, l’installation d’éolienne est une aubaine pour les agriculteurs qui mettent leurs champs à disposition et à qui elles peuvent rapporter plusieurs dizaines de milliers d’euros par an. Elles font aussi les choux gras de municipalités qui touchent 25 % de la taxe que rapportent les éoliennes. Certains édiles jouent sur les deux tableaux. Les opposants à l’énergie éolienne font la chasse aux maires qui ont accepté l’installation de parcs sur leur commune tout en étant propriétaires des parcelles sur lesquelles elles sont installées.

Il y a quelques mois, le parquet d’Arras a été saisi pour poursuivre le maire d’une petite bourgade du Pas-de-Calais propriétaire de terrains sur lesquels cinq éoliennes sont implantées depuis 2007. Avec une rentabilité de 900 euros mensuels par éolienne, l’élu visé par la requête au procureur gagnerait 54 000 euros par an. Certains cas ont déjà été sanctionnés. En juillet 2013, rapporte Le Figaro, la maire d’Ally ( Haute-Loire), et deux conseillers municipaux ont notamment été condamnés à une peine de 4 mois d’emprisonnement avec sursis et à une amende de 8 000 euros.

Article extrait de L’écologie, oui! Les écolos, non! – Les enquêtes du contribuables

https://www.contribuables.org/2014/07/la-grande-arnaque-des-eoliennes/

 

L’escroquerie éolienne

 L’écologie, oui ! Les écolos, non ! ». Les Enquêtes du contribuable n°6, août/ septembre 2014 – 3,50 euros. En kiosque le mardi 15 juillet. A commander en ligne sur www.contribuables.org/boutique.

26 AVRIL 2018 | POLÉMIA
Par Claude Brasseur, mathématicien et chercheur en énergies renouvelables ♦

C’est l’une des lubies de ceux qui nous gouvernent. L’éolien est imposé à de nombreux Français au travers du pays. Parfois, certains riverains arrivent à s’opposer à ces projets bancals. C’était le cas d’Ethel Lesade, conseillère municipale que nous avions reçu lors du Forum de la Dissidence 2017 (vidéo de son intervention). Pour Claude Brasseur, qui publie une tribune sur Boulevard Voltaire, le CO2 gaz à effet de serre est une pure escroquerie et est pourtant la seule justification de la multiplication des éoliennes.

Par Claude Brasseur, mathématicien et chercheur en énergies renouvelables ♦ C’est l’une des lubies de ceux qui nous gouvernent. L’éolien est imposé à de nombreux Français au travers du pays. Parfois, certains riverains arrivent à s’opposer à ces projets bancals. C’était le cas d’Ethel Lesade, conseillère municipale que nous avions reçu lors du Forum de la Dissidence 2017 (vidéo de son intervention). Pour Claude Brasseur, qui publie une tribune sur Boulevard Voltaire, le CO2 gaz à effet de serre est une pure escroquerie et est pourtant la seule justification de la multiplication des éoliennes.


Beaucoup d’associations anti-éoliennes partent encore de l’idée que, si les éoliennes peuvent être « bonnes pour le climat », elles ne devraient pas être installées à l’endroit concerné : elles enlaidissent la nature, un site touristique ou ancien, elles tuent oiseaux et chauves-souris, sont placées trop près des habitations… On ose rarement mettre en cause les affirmations du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Le GIEC veut sauver le climat ! Le gaz carbonique (CO2) réchauffe l’atmosphère, l’homme en produit trop, il est temps de mettre fin à cette production si on ne veut pas « cuire » dans peu de temps, il est temps d’installer des éoliennes partout et d’accepter qu’elles tuent insidieusement comme la nicotine ou l’amiante (Eric Y. Zou) !

Depuis le XIXe siècle – où la théorie des effets climatiques du CO2 a été développée, par exemple, par Svante August Arrhenius, et éliminée par James Clerk Maxwell, notamment -, aucun physicien n’a jamais attribué de rôle climatique au CO2.

Le GIEC a été créé en 1988 pour responsabiliser l’Occident en matière climatique et lui extraire un maximum d’argent en transposant la terreur exploitée par la guerre froide.

Dès 2009, André Legendre [1], acceptant le modèle adopté par le GIEC, prouve – par des éléments fournis par le GIEC ! – que le CO2 n’a, par lui-même, que ridiculement peu d’effet sur le climat et que le GIEC invente des mécanismes amplificateurs liés à la vapeur d’eau et aux nuages pour que l’effet du CO2 nous impressionne. L’auteur montre que cet effet amplificateur peut aussi bien diminuer la température que l’augmenter… L’effet est imprévisible mais on nous abreuve de « calculs » démontrant que nous allons bientôt avoir beaucoup trop chaud.

Thomas Allmendinger, en 2015, fait le tour complet des théories, refait toutes les expériences nécessaires avec les moyens actuellement à disposition, confirme que le CO2 n’a rien à voir avec le climat, ou si peu… Ainsi, Mars a une atmosphère très légère mais avec quinze fois plus de CO2 que la Terre : aucun effet de serre observé, aucun réchauffement…

Enfin, en décembre 2017, Robert Ian Holmes recalcule par la loi des gaz parfaits la température moyenne de chaque corps céleste à atmosphère dense du système solaire (Vénus, Terre, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune, Titan) et trouve le résultat exact observé actuellement grâce à nos moyens modernes. Le CO2 ne joue aucun rôle, même sur Vénus, où il y en a 100.000 fois plus que sur la Terre.

Ainsi donc, le CO2 gaz à effet de serre est une pure escroquerie et est pourtant la seule justification de la multiplication des éoliennes. Alors que les éoliennes ne sont pas une source directe d’électricité – leur production est erratique –, on nous serine que leur kWh est économique (!). En Belgique, les revenus des promoteurs d’éoliennes sont assurés à 80 % par les aides publiques (taxes, impôts, avantages divers, primes, etc.). Actuellement, on « réfléchit à un nouveau mécanisme de soutien aux énergies renouvelables »

Imaginons que les 3.000 milliards d’euros jetés dans l’éolien aient été en partie consacrés à trier, filtrer les gaz et résidus des centrales thermiques… Évidemment, cet argent n’aurait enrichi personne, « seulement » préservé notre santé !
La conclusion du raisonnement sur base GIEC et développé par André Legendre – conclusion évidente – n’est jamais présentée par le GIEC. Et pour cause : il n’y a aucun argument réel à lui opposer. Devons-nous continuer à nous laisser escroquer ? Accepter à remplir toujours plus de poches grandes ouvertes ?

Claude Brasseur
26/04/2018

[1] L’Homme est-il responsable du réchauffement climatique ? EDP Sciences, 2009

Source : Boulevard Voltaire

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28 Commentaires

  1. Je suis 100% d’accord avec cet article. Je suis totalement opposé aux éoliennes (et très en colère). Il faut arreter l’éolien, et construire du nucléaire si nécessaire. Il faut lire « Eolien, une catastrophe silencieuse » de Jean-Louis Butré, et « Eoliennes un scandale d’Etat » de Alban d’Arguin. Et pour le fumeux réchauffement il faut lire « L’urgence climatique est un leurre » de Francois Gervais, et « Réchauffement climatique : le pavé dans la mare » de Jean-Marc Bonnamy. Je suis également 100% d’accord avec Ernesto Araujo (futur ministre au Brésil) quand il dit que la gauche a kidnappé la cause environnementale et l’a pervertie jusqu’au paroxysme, et que le marxisme culturel a influencé le dogme scientifique du changement climatique. On peut lire cette analyse chez Chantal Delsol dans son livre « La haine du monde », page 219, quand elle dénonce le caractère démiurgique de toute une partie de l’écologie, ceux du giec, du réchauffement, qui sont dans la démesure. Ces écolos marxistes vont finir par dégouter tout le monde de l’écologie.

  2. Bonjour,
    Vous pouvez lire aussi des articles en tapant : eolienne et animaux
    il y a entre autres un eleveur qui à observé que ses vaches ne mangeaient pas lorsque les éoliennes tournaient…
    un éleveur du Danemark, dont les animaux ont des malformations( nés sans peaux)
    Je serait curieux de savoir si les enfants nés sans mains habitent loin d’ éoliennes.

    • intéressantes questions en effet, qui peut chercher si dans le fameux périmètre de naissance d’enfants malformés il y a des éoliennes ?

  3. Bonjour,
    Je n’ai pas lu tous les commentaire, mais quand on sait en plus que chacun de nous rembourse à ceux qui se font mettre des éoliennes et des panneaux photo-voltaïques… car la promesse de l’Etat de leur donner un remboursement est payé en fait par nous tous citoyens dans notre facture…!
    Bien à vous

  4. Merci pour ce dossier complet sur les éoliennes,

    au départ, j’y étais favorable, elles étaient présentées comme le miracle de l’énergie propre du futur,
    très rapidement, en m’y intéressant un peu, j’ai senti que le dossier puait l’arnaque,
    Puis, après les avoir vues en action, j’ai été convaincu de l’énorme supercherie !!

    Régulièrement aux infos, on nous présente ces maires qui font installer des éoliennes et on nous vante les gros sous que ça rapporte à la commune, le bourrage de crâne avec la carotte à la clé,

    Une belle utopie de la gauche-caviar, celle des métropoles qui ne subit pas les nuisances,
    ça ne m’étonne pas que le GIEC ait été créé sous les socialistes,il a encore de beaux jours devant lui, son représentant, celui qui a un œil qui dit merde à l’autre , est régulièrement invité par les chaines, pour instiller la peur d’une fin du monde horrible

    Ils feraient mieux de s’intéresser au glyphosate et au scandale des bébés nés sans bras

  5. Les arnaque à la Madoff sont légions et les trusts sont actifs auprès des gouvernants particulièrement friands de ce genre d’arnaque propagées par les médias aux ordres!
    Mais les français qui aiment la France se sont réveillés et peuvent dresser un constat accablant.
    Il faut virer d’urgence tous ces bateleurs qui nous font les poches depuis 40 ans avec les muzzs, le vivre ensemble, la peste écologique, le climat, les véhicules accidentogènes et notre santé sous dépendance organisée par les labos manipulateurs d’opinion !

    j’arrête j’ai la nausée!

    C’est grave docteur?

  6. j’ ai une lampe a huile romaine exhumée par mes soins aux environs de Carthage, y a au moins 65 ans….époque ou avec une binette tu pouvais fouiller ou tu voulais….
    représentant vaguement une femme, (naïade ?)
    il m’ arrive de m’ en servir , je la remplis d’ huile d’ olive et au bec, je plonge une mèche, genre de lampe a pétrole
    etonnant et rassurant la douce lumière qui innonde le coin que j’ ai choisi pour lire…et aussi ,chaque fois, je pense a ces maitresses de maisons qui a l’ heur d’ obscurité mettaient en route ces petites lampes…
    j’ ai aussi une de ces lampes « Pigeon » elégantes dans leur robe en laiton et leur couronne de verre..fonctionnant a l’ essence de « détachant » mais la luminosité est bien moindre
    me suis toujours demandé comment ces mater familias allumaient la mèche…Briquet en acier frappant silex ? essayez donc et on en reparlera….silex contre marcassite ? essayez aussi, et on en reparlera….peut etre une petite flamme conservée en cagette comme dans la « guerre du feu » ??
    quand au chauffage, j’ ai longtemps connu le poele a charbon, fonctionnant au boulets de charbon, sac acheté le soir en rentrant chez le bougnat dans les années 60

      • Bonjour « Antiislam »,
        Pour la lampe à huile romaine, vous pouvez vous faire plaisir sur de nombreux sites d’enchères à partir de 30€/50€ (lampes authentiques).
        Un voyage dans le temps, bien agréable.
        Amitiés.

    • J ai aussi une lampe a huile romaine mais d Algérie.
      Trouve par mon papa.
      Ça ne pollue pas, mais sera taxe un jour.
      Ha les poêles au charbon, les Gaudins je crois.
      Ça marchait bien.
      Ils nous chauffaient bien avant le monde des taxes.

  7. Notre tyran national de tambouriner pour justifier le raket sur le peuple Français et sa politique totalitairez de mafieux avait it qu’en France 48 000 personnes décèdent victimes de la pollution

    MENTEUUUR – ARNAQUEUUUUR !!!!
    __________________________________________
    Pollution de l’air : 38 000 morts par an dans le monde dont 48 000 en France
    :::: https://www.europeanscientist.com/fr/opinion/pollution-de-lair-38-000-morts-par-an/

    Avis au lecteur pressé : non il n’y a pas d’erreur dans le titre, si vous n’avez le temps de lire en détail, rendez-vous au dernier paragraphe

    – la rédaction

    La présentation récente du plan anti-pollution du gouvernement français a été l’occasion pour beaucoup de medias de rappeler un chiffre impressionnant : la pollution de l’air par les particules fines causerait 48 000 morts par an en France. Malgré son caractère surprenant (cela signifie que 9% environ des décès seraient provoqués par la pollution), ce chiffrage a fait l’objet de peu de réserves dans la presse, et encore moins dans les milieux politiques (Anne Hidalgo avait déjà employé cet argument en 2017 pour le plan anti-pollution de la Ville de Paris). Il est vrai qu’il provient d’une source peu soupçonnable, puisqu’il s’agit d’un rapport de l’Agence Santé Publique France (SPF)[i], qui a évalué le nombre de décès prématurés attribuables en France aux particules PM 2,5 (particules de rayon inférieur ou égal à 2,5 mm), en utilisant un nouveau modèle mathématique, qui repose sur une carte de la pollution de l’air spatialisée sur l’ensemble du territoire français, à l’échelle des communes. Mais ce chiffre de 48 000 morts peut-il être pris comme base de réflexion sans précaution ? Et que mesure-t-il exactement ? Une lecture attentive du rapport SPF révèle bien des surprises…

    Une fourchette d’incertitude entre 11 et 48 000 morts !

    La première précaution à prendre (la seule mentionnée dans le communiqué de presse de SPF, et donc la seule reprise parfois par quelques medias plus vigilants que les autres) est de noter que 48 000 n’est que le haut d’une fourchette d’incertitude particulièrement béante. En effet, le nombre de décès prématurés calculés par le modèle de SPF varie très fortement en fonction du niveau de base de pollution considéré comme « normal » : de 48 000 décès annuels si on prend comme référence les parties du territoire français les moins polluées… à 11 décès si on prend comme référence le seuil de particules fines recommandé par l’OMS ! Il est toutefois évident que SPF privilégie très clairement l’interprétation maximaliste de 48 000 décès, et c’est d’ailleurs le seul chiffre qu’ont cité la plupart des journaux qui ont rendu compte de cette publication. Même si SPF ne l’exprime pas très explicitement, cela revient donc à critiquer sévèrement les normes actuelles sur la pollution de l’air. L’INVS (organisme désormais intégré dans SPF) avait d’ailleurs déjà remis en cause ces normes dans une étude précédente, qui portait sur les mortalités à court terme causées par les pics de pollution[ii]… en oubliant au passage ses propres travaux sur les effets de la canicule (les effets à court terme de la pollution ont une fâcheuse tendance à ne se manifester que pendant les pics de pollutions estivaux, et non en hiver[iii]).

    Un résultat purement théorique, présenté comme une vérité établie

    Sur un sujet aussi grave, il paraît donc nécessaire d’examiner avec la plus grande attention les arguments et la méthode employée par SPF. De ce point de vue, le rapport présente des lacunes pour le moins surprenantes :

    Il ne contient AUCUN résultat de validation du modèle utilisé, c’est-à-dire aucune comparaison entre les mortalités calculées par leur modèle dans chaque commune, et les mortalités réellement enregistrées. Quand les auteurs nous affirment que leur modèle correspond bien à la réalité, nous sommes donc obligés de les croire sur parole.
    Ce calcul repose sur l’application d’un risque relatif (RR), qui définit la relation entre la mortalité et la concentration en particules fines de l’air. Dans les publications habituelles sur ce sujet, ce RR est calculé statistiquement, par le croisement entre un jeu de données sur la mortalité, et des données sur la pollution couvrant la même zone géographique. Ce n’est pas la méthode suivie par SPF, qui dans ce rapport a calculé les mortalités directement à partir de sa carte spatialisée de la pollution, avec un RR choisi par les auteurs. Ce choix méthodologique est d’autant plus audacieux que la valeur retenue est très élevée par rapport aux références bibliographiques existantes : RR=1,15 pour une augmentation de 10 μg/m3, soit plus du double des valeurs retenues par les méta-analyses précédentes que les auteurs citent dans leur bibliographie (0,6 et 0,7). La seule justification à ce choix surprenant est que cette valeur a déjà été observée en France (par les mêmes auteurs de SPF, on n’est jamais mieux servi que par soi-même…). Pourquoi pas, mais on aimerait quand même bien connaître la valeur du RR qui aurait été obtenue directement à partir des données de mortalité réelle à l’échelle de la commune. Là encore, un élément essentiel de validation du modèle de SPF manque dans le rapport.
    Pour faire bonne figure sur le plan scientifique, les auteurs montrent des résultats d’une analyse de sensibilité, ce qui permet théoriquement d’évaluer la robustesse des prévisions du modèle, en fonction de l’incertitude sur ses données d’entrée. Malheureusement, cette analyse ne porte que sur des paramètres relativement secondaires, et esquive la question essentielle, liée au point précédent : quelle est l’effet de l’incertitude sur le Risque Relatif, dans l’estimation du nombre de mort prématurées ? On aimerait par exemple bien savoir ce que seraient devenus les résultats, si SPF avait retenu un RR plus classique de 0,6 ou 0,7.

    Pollution de l’air contre huile d’olive

    De ce fait, la discussion des résultats occulte complètement les véritables questions scientifiques posées par la méthode employée. Le modèle statistique utilisé, tout comme les études précédentes sur lesquelles il s’appuie, calcule des corrélations géographiques entre la mortalité (toutes causes non accidentelles confondues) et le niveau de pollution de l’air. Or ce type de corrélations est susceptible d’être affecté par des facteurs de confusion évidents, mais difficiles à corriger :

    L’espérance de vie est fortement corrélée à la catégorie socioprofessionnelle. Or dans les grandes villes, les personnes les plus aisées habitent rarement les quartiers les plus pollués. Il y a donc là un biais potentiel évident, en particulier quand on travaille à l’échelle de la commune sur de grandes agglomérations.
    A l’échelle d’un pays, les zones les moins polluées sont bien sûr des zones rurales, avec des démographies, et des modes de vie et d’alimentation, nettement distincts de ceux de populations urbaines. Il est donc hasardeux de comparer leur niveau de mortalité à celui des villes polluées. De plus, dans le cas de la France, ce type de comparaison à grande échelle géographique est compliqué par des inégalités régionales d’espérance de vie, constatées depuis longtemps par les démographes[iv]. On note en particulier un gradient Nord-Sud d’espérance de vie, qui est généralement expliqué par les bienfaits du régime alimentaire méditerranéen. Or ce gradient Nord-Sud s’observe aussi pour la concentration de PM 2,5. Par conséquent, l’effet de l’alimentation, s’il existe bien, pourrait être un facteur de confusion avec l’effet de la pollution, mais cette question n’est absolument pas abordée par SPF. Ce serait pourtant nécessaire : l’effet sur l’espérance de vie qu’ils attribuent à la pollution (3 à 4,5 ans d’écart entre les zones les plus et les moins polluées) expliquerait à lui seul la différence entre les départements où l’espérance de vie est la plus basse et ceux où elle est la plus haute. Comme l’effet supposé de l’alimentation irait globalement dans le même sens, et devrait donc s’ajouter à celui des PM 2,5, il y a forcément un des deux effets qui est imaginaire… ou bien les deux existent mais sont tous deux surestimés !

    CARTES et suite de l’article à lire sur le site
    :::: https://www.europeanscientist.com/fr/opinion/pollution-de-lair-38-000-morts-par-an/

  8. Je ne sais si l’info suivante est exacte !
    Pour une éolienne de 200 mètres de haut, il faudrait une assise béton de 1500 tonnes !
    Ces éoliennes sont mises en place par des sociétés de fonds de pension étrangers.
    Il serait proposé jusqu’à 30 000€ par an et par éolienne aux agriculteurs qui loueraient leurs champs…
    A l’issu de l’exploitation, en fin de vie de l’éolienne, il revient alors au propriétaire du champ de s’en débarrasser, ce qui risque lui coûter tout son bénef si ce n’est plus !
    http://vent-de-trizac.fr/index.php/pourquoi-les-promoteurs-eoliens-louent-la-terre-au-lieu-de-lacheter/
    Et pas que, pas aussi écolo que cela :
    https://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ180303531.html

  9. L’éolien l’arnaque je partage le sens de l’article de duranduran et j’ajouterais:
    Surtout effet d’aubaine pour les gens qui on compris qu’il y avait de l’argent a pomper a partir de cette fausse réponse écologique . Les éoliennes je n’y ai jamais cru car les tenants de ça comparent les choses qui les arrangent a partir d’échelles différente , c’est un peu affirmer qu’avec ma dynamo de vélo je vais pouvoir faire fonctionner mon micro-ondes . Toute l’écologie politique est une escroquerie intellectuelle et n’a que des réponses mirages et malhonnêtes et pour causes ils ne vivent qu’a condition d’éviter les vrais sujets de dysfonctionnement de notre société actuelle , a savoir la démographie planétaire et le consumérisme pilleur des ressources . Si un jour nous avons le courage de faire baisser ces deux postes là nous pourrons constater une véritable et réelle baisse du carbone de l’atmosphère , mais aussi les dollars et euros dans le portefeuilles des gens qui pilotent notre enfumage sur le réchauffement . En ce moment on ose vendre a monsieur Dupont et monsieur Jules payez des taxes et l’air autour de vous sera meilleur et l’eau des rivières serra plus claire ? si le monde tient le coup les archéologues dans mille ans en retrouvant des coupures de journaux ils vont bien se marrer .

  10. Je préfère voir une jolie éolienne qu’une centrale nucléaire. Et on aurait tort de se priver de ce type d’énergie que peut fournir le vent.
    Pour ma part, une éolienne ne dénature pas plus le paysage que les câbles électriques, des bâtiments insalubres ou des affreuses maisons.
    Dans certaines contrées personne ne se plaint des moulins à vent…

    • C’est d’un moche…mais les goûts n’est ce peuvent varier. en revanche quand y’a pas de vent vous faites quoi pour les faire tourner, vous pétez dessus ou bien ce sont les vaches, folles et polluantes qui s’en chargent?

      • On met des vélos et des câbles et on fait pédaler les sans dents au chômeur solution bob piste garantie

        • Il est évident qu’ ils ne feront pas des centrales de pédalage pour clandestins, ils préfèrent payer leurs futurs électeurs à rien glander.

    • con trairement à votre commentaire, déjà primo les centrales nucléaires dégagent de la vapeur d’eau dans leurs grandes cheminées (contrairement à ce que les journalistes vous font croire) les éoliennes ne fonctionnent pas sans vent et en cas de vents violents sont arrêtées, pas de soleil pas d’électricité,

    • Comme toujours, pour « défendre » l’indéfendable, ça dérape vers le n’importe quoi. Merci pour cet exemple.
      Maisons insalubres (en ville), lignes électriques (très localisées et souvent enterrées) et… moulins à vent (le charme d’un temps à jamais disparu) ? Il fallait oser et c’est bien connu, les écolos ça ose tout et c’est à ça qu’on les reconnait…

      • J’habite au bord d’une rivière, infestée de moustiques « tigre », mais les verts chiasse ont décrété qu’il ne faut pas les éliminer vu que les grenouilles adorent… Ils ont tout simplement oublié que depuis que le cours d’eau a été détourné, pour avoir de l’eau en permanence (soit-disant pour éliminer les larves), il n’y a plus une seule grenouille, et vous ne pouvez plus mettre un pied dehors sous peine de bourgeonner.
        VIVE les VERDATRES.

    • Saviez vous qu’il faut 300 tonnes de béton ferraillé pour servir de semelle?
      Lorsque j’ai vu une rangée de ces ventilateurs dont seules les deux extrêmes tournaient sans un seul souffle de vent, je me suis posé la question: c’est là qu’un ingénieur d’EDF m’a expliqué que pour faire croire quelles fournissent, ils envoient du courant dans certaines pour les faire tourner.

      • 300 t de béton ferraillé oui
        mais ces monstres sont aux milieu des champs donc il faut créer une route pour que les grues énormes puissent les monter
        encore combien d ‘infrastructures à réaliser ?

    • Il ne s’agit pas de se plaindre ou non des moulins à vent mais du PRIX à payer pour n’avoir quasi pas d’énergie, une pollution augmentée… la ruine du pays!!

    • Bonjour le troll.
      Les éoliennes ne valent rien.
      Nuisent a la sante des gens, massacrent les oiseaux,
      pollution garantie pour la fabrication des batteries en amont,
      etc … Que de la merde écolo gauchiste.
      Ce n est pas un progrès. C est de la mort lente.
      Tu es un moulin a vent.
      Le gauchisme détruit tout.

  11. L’éolienne c’est comme les panneaux solaires un remède pire que le mal et en plus soumis au caprice de la meteo pas de vent et pas de soleil et Nada pas le moindre kilowatt fourni ;il faut déja savoir que 40 euros de consommation, vous donne 80 euros a payer grace aux taxes rajoutées alors si vous voulez vraiement faire des économies passez vous d’Edf et de ces Sociétés ,coupez votre abonnement achetez des panneaux solaires des batteries et un convertisseur 220 volt le tout complété par un groupe de secours et voila !La vous ferez des économies!!!!!!!!!!!!!!!!!

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