C’est reparti, le 29 novembre, les députés français vont vous interdire de fesser, gifler, gronder… vos enfants. Vous ne risquerez pas grand-chose pénalement si vous outrepassez les interdits, mais la culpabilisation va faire son chemin, vous allez peu à peu avoir honte de vous, vous cacher, ne plus oser, même dans le cercle familial. C’est que, en sus, vos enfants, voyant à la télé vos interdits se feront forts de vous rappeler la loi…
On savait que l’UE mène, depuis des années, un combat sans pitié contre les parents barbares qui osent lever la main sur leurs enfants. D’ailleurs, les députés français, sous Hollande, avaient déjà voté comme un seul homme, ou presque, pour interdire et la fessée et les cris parentaux. C’était en décembre 2016 :
Personne ne savait que, par coup de chance, si on peut dire, la loi avait été retoquée par la Conseil constitutionnel en janvier 2017, pour des raisons de forme, la loi faisant partie du « paquet » égalité et citoyenneté avec lequel elle n’avait pas de rapports.
Deux ans de gagnés. C’est court…
Et gageons que cette fois la loi sera à nouveau votée, avec la majorité macronienne de l’européiste de l’Elysée, et qu’il n’y aura pas matière à annulation.
A l’ouest rien de nouveau… Que du réchauffé, voici donc à nouveau ce que j’écrivais sur le sujet il y a deux ans :
Vous n’avez plus le droit de tirer les oreilles de votre garnement ni même de lui crier dessus.
Authentique. Ahurissant mais vrai.
Les salopards qui nous servent de députés ont obéi à Bruxelles et ont voté dans le pack de la loi « Egalité et citoyenneté », l’interdiction des châtiments corporels et des traitements cruels…
Ma foi, interdire d’enfermer un gosse à la cave ou dans le placard ou de le mettre sur le balcon par moins 10 cela me semble cohérent… et c’était déjà interdit par la loi et susceptible de poursuites en justice.
Mais cela ne suffisait pas, il est dorénavant interdit d’interdire, sauf à passer des heures de gentilles explications, avant ou après le forfait, le gamin vous riant au nez très vite, ayant compris, comme les délinquants à la mode Taubira-Urvoas, qu’ils ne risquent rien. Grisant sentiment d’impunité…
En clair, selon l‘Observatoire de la violence éducative ordinaire (OVEO), cela signifie que sont désormais interdits tous les actes de violence, qu’elle soit verbale et psychologique (crier, injurier, se moquer, humilier, mentir, menacer, culpabiliser, rejeter, chantage affectif…) mais aussi physique (gifler, fesser, pincer, tirer les oreilles ou les cheveux, donner des coups de pied, secouer, saisir brutalement, bousculer, pousser, contraindre l’enfant dans une position inconfortable, le priver de nourriture…).
Nous avions déjà, en juillet dernier, évoqué le ridicule de la chose dans deux articles que je vous invite à relire :
Ils sont allés jusqu’au bout, dans leur inculture crasse, ces députés et sénateurs qui ont obéi, le doigt sur la couture de pantalon, à Juncker.
Inculture ? Oui.
Déjà, les Grecs le disaient, le pire des maux, c’est l’ὕϐρις (hybris), la démesure.
Déjà Molière ridiculisait les excès, déjà Racine et Corneille, en ce siècle du classicisme, prouvaient par leurs oeuvres que le beau, le juste et ce qui rend la vie possible c’est la juste mesure…
Or sénateurs et députés, en votant cette directive stupide (une de plus) de Bruxelles, disent clairement qu’il s’agit de ré-éduquer le peuple. Ré-éduquer dans quel but ? Pour préserver nos petits ? Pas du tout, ne croyez pas ce que l’on vous dit….
Pas d’amende ni de prison (pas de peine ? alors tout est permis), il s’agit dans un premier temps de faire culpabiliser Madame Michu pour la petite fessée donnée au sale gosse qui se roule par terre au milieu du magasin. Il est évident que cela ne touchera en aucun cas le sadique qui maltraite par plaisir sa progéniture, un sadique, par essence, obéit à ses instincts et non à la loi.
Si la loi suffisait… il n’y aurait plus de viols, pourtant interdits et réprimés non ? On me répondra que le viol en pays occidental (non envahi par des hordes barbares) le viol reste rare, parce que toute la société a entériné l’interdit du viol, n’étant le fait que de détraqués, de monstres, de dégénérés, de souche ou venant de pays où la civilisation considère le viol comme permis.
Or, les châtiments excessifs, les sévices physiques ou moraux sont déjà interdits et punis par la loi. Nos enfants sont plutôt à l’abri, les enseignants n’ont pas le droit de les toucher fût-ce avec une fleur, alors qu’il y a moins d’un siècle les instituteurs utilisaient la méthode forte pour obliger les élèves à apprendre…
Il s’agit dans un seconde temps de faire disparaître nos réflexes de défense, nos capacités de répondre à la violence par la violence. Nous seulement ils veulent nous désarmer et nous interdire les pistolets, mais ils veulent nous castrer symboliquement, nous débarrasser de nos capacités naturelles de répondre à l’agresseur.
Ce qui risque d’arriver ? Des signalements à foison, des milliers d’enfants retirés à leur famille, comme c’est le cas en Suède, à la moindre entorse à la loi (comme par hasard, un grand nombre d’entre eux sont issus de l’immigration, les nouveaux venus ne connaissant pas les règles en usage, d’ailleurs…).
Le développement de ce que nous voyons déjà depuis des années, tant les mentalités ont intériorisé le fait qu’il fallait discuter avec les enfants et non les taper, des gosses qui, à la maternelle, n’ont jamais entendu « non » de la part de leurs parents et ne sont pas élevés. Il y a toujours eu des gens plus doués que d’autres pour se faire obéir, par l’autorité naturelle et la persuasion, sans toucher un cheveu du gosse, et d’autres ayant besoin de montrer qui est le maître par la fessée symbolique. Ces derniers, on va les montrer du doigt, on va les encourager à se faire manger la laine sur le dos. Et la société qui se prépare va être encore pire que celle que nous vivons… Il y aura de moins en moins de volontaires pour devenir instituteur ou professeur, je peux vous le garantir… Mais ce n’est pas le pire.
Quant aux procès pour mauvais traitement faits par des couples en cours de divorce voulant régler leurs compter par l’intermédiaire de leurs gosses, aux procès suite à pseudo-dénonciation faite par des ados rebelles… ils vont être légion. Sans pour autant que les salopards qui torturent et martyrisent leurs enfants s’arrêtent de le faire.
On voudrait nous faire croire que l’interdiction des châtiments corporels ferait drastiquement baisser le nombre d’enfants martyrisés :
Selon l’INSERM, en France, 730 enfants meurent chaque année de maltraitance. En Suède, où les châtiments corporels sont interdits depuis 1979, on dénombre 3 morts par an.
https://www.infochretienne.com/cest-vote-fessee-dorenavant-interdite-loi-francaise%E2%80%A8/
On s’inquiétera d’abord de l’indépendance de l’Inserm par rapport à Bruxelles.
http://www.inserm.fr/qu-est-ce-que-l-inserm/programmes-europeens
Et on aimerait savoir combien il y avait d’enfants mourant de maltraitance en Suède avant 1979…
Par ailleurs on constate que la Suède, avec son long héritage de respect de l’autre (immigrant, enfant…) a fini par faire disparaître sa propre culture, ses propres valeurs. La Suède a produit des gens incapables de colère, de violence, et donc prêts à se faire remplacer par des barbares élevés, eux, dans une culture de la violence.
Parce que la Suède, c’est que ce sera la France demain.
Et devant l’interdiction voulue par Bruxelles qui a mis la pression sur Hollande, c’est bien notre capacité à nous défendre, à imposer le respect de nos règles qui est mise en cause, dont on veut l’interdiction. Parce que devenue un réflexe.
Ce qui se passe en nos pays est monstrueux.
Vivement des Trump dans tous les pays d’Europe, qu’on arrête de marcher sur la tête.
En attendant, pour ceux qui pensent que le modèle suédois que nos députés et sénateurs viennent de nous imposer ou du moins prétendent nous imposer serait bon, un petit rappel :
Les Suédois, ces enfants gâtés à qui on a laissé le pouvoir
La Suède, pionnière dans l’évolution de l’éducation avec son interdiction de la fessée, se demande si elle n’est pas allée trop loin en engendrant une génération d’enfants-rois.
« D’une certaine façon les enfants en Suède sont vraiment mal élevés », indique à l’AFP David Eberhard, psychiatre et père de six enfants.
« Ils crient s’il y a des adultes qui parlent à table, ils vous interrompent sans arrêt et ils exigent la même place que les adultes », relève-t-il.
Son livre « Comment les enfants ont pris le pouvoir » explique que l’interdiction des châtiments corporels que la Suède a été la première au monde en 1979 à introduire dans son code pénal a peu à peu dérivé en interdiction de corriger les enfants de quelque manière que ce soit.
« Bien sûr il faut écouter ses enfants mais en Suède c’est allé trop loin. Ils ont tendance à tout décider dans les familles: quand se coucher, quoi manger, où partir en vacances, même la chaîne de télévision », estime-t-il, qualifiant les enfants suédois de mal préparés à la vie adulte.
« On voit beaucoup de jeunes qui sont déçus de la vie: leurs attentes sont trop élevées et la vie trop dure pour eux. Cela se manifeste par des troubles de l’anxiété et des gestes d’autodestruction, qui ont augmenté de manière spectaculaire en Suède », ajoute le psychiatre.
Ses thèses sont contestées par d’autres, comme le thérapeute familial Martin Forster, qui relève qu’à une échelle mondiale les enfants et adolescents suédois se disent parmi les plus heureux de leur sort.
« La Suède a véritablement été inspirée par l’idée que les enfants devraient être davantage placés au centre des préoccupations et écoutés », explique-t-il.
Selon lui « le fait que les enfants décident de trop de choses, c’est une question de valeurs. Des points de vue différents sur l’éducation et l’enfance génèrent des cultures différentes ».
Le débat sur le mauvais comportement des enfants revient régulièrement dans les discussions sur l’école, qui peut en paraître victime.
Début octobre, Ola Olofsson décrivait dans le journal où il travaille son effarement après s’être rendu dans la classe de sa fille. « Deux garçons s’insultaient, et je n’avais même pas idée qu’à sept ans on connaissait des mots pareils. Quand j’ai essayé d’intervenir ils m’ont insulté et dit de me mêler de mes affaires », raconte-t-il à l’AFP.
Près de 800 internautes ont commenté sa chronique. Dont un enseignant de maternelle qui a rapporté ces paroles d’élèves de quatre ou cinq ans à qui on donne une tâche: « Tu crois que j’ai envie? » Ou encore: « L’autre jour un enfant de quatre ans m’a craché dessus quand je lui ai demandé d’arrêter de grimper sur des étagères ».
Le gouvernement a tenté de réagir.
Après une étude en 2010 sur le bien-être de l’enfant, il a offert aux parents en difficulté un cours d’éducation appelé « Tous les enfants au centre ». Sa philosophie: « des liens solides entre enfants et parents sont le meilleur socle à l’éducation harmonieuse d’individus sûrs d’eux et indépendants à l’âge adulte ».
L’un de ses principaux enseignements est que la punition ne garantit pas un bon comportement à long terme, et qu’instituer des limites à ne pas dépasser sous peine de sanction n’est pas toujours la panacée.
« Les parents sont surtout formés à adopter le point de vue de l’enfant. Si on veut qu’il coopère, la meilleure manière est d’avoir avec lui une relation étroite », souligne la psychologue Kajsa Lönn-Rhodin, l’une des conceptrices du cours.
« Je pense que c’est un plus grave problème quand les enfants sont maltraités (…), quand ils reçoivent une éducation brutale », estime-t-elle.
Marie Märestad et son mari ont suivi le cours en 2012, à un moment où ils n’arrivaient plus à raisonner leurs filles de deux et trois ans à table.
« On a découvert qu’on leur faisait constamment des réflexions, qu’elles se chamaillaient beaucoup (…) On avait beaucoup de disputes le matin au moment de s’habiller », se souvient cette mère de 39 ans, entraîneur à domicile.
« Notre cadette faisait des crises et rien ne marchait (…) On a eu des moments assez difficiles alors on a pensé que ce serait une bonne idée d’avoir des tuyaux, des conseils », raconte-t-elle, interrogée dans sa maison de Stockholm.
Le cours l’a aidée à « ne pas se battre sur tous les fronts » et mieux dialoguer. Mais pour elle, les enfants dominent souvent dans les foyers suédois. « On le voit avec beaucoup de nos amis, ce sont les enfants qui commandent, on dirait« .
D’après Hugo Lagercrantz, professeur de pédiatrie à l’université Karolinska de Stockholm, la forte adhésion des Suédois à la démocratie et à l’égalitarisme en a amené beaucoup à vouloir faire ami-ami avec leurs enfants.
« Les parents essayent d’être trop démocratiques (…) Ils devraient se comporter en parents et prendre les décisions, pas essayer d’être sympa tout le temps », déclare-t-il.
Il voit pourtant certains avantages à ce style éducatif. « Les enfants suédois sont très francs et savent exprimer leur avis », affirme-t-il. « La Suède n’est pas très portée sur la hiérarchie et d’une certaine manière c’est une très bonne chose. C’est une des raisons pour lesquelles le pays va relativement bien d’un point de vue économique ».
Hier ils étaient incapables de dire non aux enfants, à présent, ils sont, en plus, incapables de dire non aux immigrés qui imposent leur modèle, leurs croyances, leur brutalité…
La Suède, capitale du viol en Occident ? Qu’on se le dise…
https://fr.gatestoneinstitute.org/7320/suede-viol
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Bien entendu, les politiciens qui veulent interdire la fessée iront eux-mêmes faire respecter cette loi dans les cités HLM « de non droit », là où la police ne rentre plus jamais, sauf en force et équipée comme pour faire la guerre ??
Non, bien entendu.
Nos politiciens se foutent de nous. Leurs lois bidons ne s’appliquent plus qu’aux honnêtes citoyens qui travaillent, payent des impôts et respectent la police.
Deux poids, deux mesures. Faible avec les forts, et fort avec les faibles. La définition même de l’injustice.
Sauf que parfois, les moutons se souviennent des paroles de la Marseillaise : » … aux armes, citoyens! ». Et ils deviennent enragés…
@ »à la » poubelle, bien vu !
Il est vrai que ce genre de violence-là, ils n’y trouvent rien à redire puisqu’elle est génératrice de beaucoup de fric ! Dans ce cas précis, on évite d’épiloguer sur les conséquences…..
Les petites claques ou petites fessées, c’est anodin. Par contre depuis 30 ans personne ne s’attaque aux sacro-saints jeux vidéos ultra violents, sanguinaires, qui abrutissent les jeunes cons qui vont faire un carnage dans une cour d’école !
Pour l’instant, ils n’ont pas réussi à juguler le problème des enfants maltraités, je veux dire maltraitance pouvant entrainer la mort,
alors , au lieu de s’attaquer au véritable problème, et d’en chercher les solutions, ces incapables vont pondre une énième loi, qui va dans un excès préjudiciable autant pour l’enfant que pour la société,
cela ne règlera pas du tout la situation des enfants en souffrance, mais cela suffira à calmer leur conscience, tout dans le paraitre, rien de concret ni de constructif
Beaucoup de courage pour critiquer les autres, mais avant faudrait-il qu’il fasse son examen de conscience !
S’il avait été correctement éduqué le petit mac cron, aurait-il autant de mépris pour les humbles, les modestes, tous ceux qui ne sont pas de sa caste ?
S’il avait été correctement éduqué le petit mac cron, se serait-il permis de lorgner sur une femme qui n’était pas la sienne ?
S’il avait été correctement éduqué le petit mac cron, aurait-il l’audace d’imposer aux autres des restrictions inacceptables et s’autoriser à lui et ceux de sa clique une vie fastueuse et des dépenses incontrôlées payées par les contribuables ?
Ce petit monsieur parle et agit sans aucune réflexion….
Le despote pointe son nez, qu’il a bien long….
Il est le type même du gamin mal élevé, qui ipso facto n’est pas sorti de l’enfance., et de l’illusion de toute-puissance que génère le manque d’éducation.
« Selon lui « le fait que les enfants décident de trop de choses, c’est une question de valeurs. Des points de vue différents sur l’éducation et l’enfance génèrent des cultures différentes ». »
C’est mettre tout simplement les enfants à la place de l’adulte alors qu’ils n’ont ni l’équipement psychologique ni l’expérience et la maturité pour.
Cela ne permet pas d’intégrer les différences et notamment générationnelles.
Après on s’étonnera du manque de considération de l’adulte, de sa place, et que dire du respect à la personne âgée (je leur souhaite du plaisir à ceux qui ont préconisé ce genre d’éducation !)….
Cela implique aussi le rapport à la vie et à la mort.
Finalement, si l’on creuse un peu, c’est un manque de respect et une violence envers l’enfant en ignorant ses propres besoins de construction.
Un enfant sans limites devient un enfant violent car il est profondément insécurisé sans compter les effets délétères selon les cas sur la personnalité (syndrôme autistiques sans être autiste, narcissisme exacerbé, etc…).
On pourrait d’ailleurs faire le lien avec l’assistanat qui produit des inadaptés sociaux (cf aussi, outre l’aspect culturel, le problème des banlieues).
Grave… Bientôt on aura des lois pour empêcher la maltraitance des parents.
Ce genre d’idéologie relève d’une sorte de recherche d’un monde idyllique où la « violence » (mot bien vaste qui ne veut pas dire grand-chose en soi) n’existerait pas, un refus de la « vie » tout court, en somme.
D’ailleurs, dans les faits, on voit bien que cela mène à la mort de la société concernée.
Beaucoup de « courage »pour tancer l’occidental moyen , mais beaucoup moins pour reprendre le devôt qui applique avec zèle la sourate 4 34 sur son épouse et la cogne parce qu’il pense que son Dieu lui a permis de le faire!
Beaucoup de courage pour protéger l’enfance mais rien à dire bien entendu monsieur Macron grand copain de Monsieur Ben Salman sur les mariages de petite gamine à de vieux pardon de plus de 50 ans pour imiter le beau modèle!
Quelle belle hypocrisue et quelle belle lâcheté.
Va-t-il interdire les bastonnades de Guignol et Gnafron et le Gendarme et les faire passer au spectacle permis pour les plus de 18 ans?
Guignol est vraiment à l’Élysée!
Si un enfant vit dans la critique,
Il apprend à condamner.
Si un enfant vit dans l’hostilité,
Il apprend à être agressif.
Si un enfant vit dans le ridicule,
Il apprend à être gêné.
Si un enfant vit dans le soupçon,
Il apprend à être coupable.
Si un enfant vit dans la tolérance,
Il apprend à être patient.
Si un enfant vit dans l’encouragement,
Il apprend à être confiant.
Si un enfant vit dans la reconnaissance, il apprend à estimer.
Si un enfant vit dans la loyauté, il apprend à être juste.
Si un enfant vit dans la sécurité, il apprend à avoir confiance.
Si un enfant vit dans l’approbation, il apprend à s’aimer lui même.
Si un enfant vit dans l’affection, il apprend à aimer
Alors d’après vous, l’enfant serait une surface plane, sans capacités propres, qui engrangerait tout ce qu’on lui dit et lui apprend et se contente d’y réagir en miroir ?
Vous avez une piètre idée de ce qu’est l’humain et ses capacités.
La vie est faite de différences qu’il faut pouvoir percevoir et éprouver pour réussir à se construire.
Amen
Magnifique catéchisme et admirable litanie!
Et l’enfant-roi, devenu adulte, se croira tout permis, ne comprendra pas qu’on se permette de le contrarier, et ira jusqu’à taper sur son propre père.
Ahurissant.
ils en sont revenus en Suède où l’on voit des parents complètement dominés par leurs enfants.
Sans admettre la violence des limites sont nécessaires à l’enfant pour se construire.
Il faut arrêter de croire que les enfants sont des petits anges et ils savent très bien profiter des situations surtout si l’on met les parents en position d’infériorité.
On les voit les enfants qui n’ont jamais eu aucune limites et cela peut même être très graves pour leur développement.
Ca promet !
Mais je suis certaine que ce genre de loi ne sera pas appliquée par les parents et je les soutiens.
Sans rentrer dans la torture ou la maltraitance, si les gamins d’aujourd’hui qui crachent sur les adultes, les insultent, n’ont aucun respect pour rien et se croient tout permis avaient pris quelques torgnoles sur le fessier, nous n’en serions pas là. On voit le résultat des générations « d’enfants rois » : des petits cons qui s’imaginent que le monde est à leurs pieds et que qu’ils ont droit a tout tout de suite simplement parce qu’ils l’exigent. Ces abrutis de politicard n’ont que ça à foutre voter des lois débiles. Comme beaucoup de ma génération j’ai pris des baffes et j’ai eu parfois les fesses rouges, je n’en suis pas mort et aujourd’hui encore je me souviens de l’éducation et des principes et règles de vie en communauté transmis par mes parents. Quelle connerie tout ça!!
Que penser des leçons d’un homme qui n’a pas été capable de construire sa propre famille et qui s’est contenté de s’approprier la famille d’un autre ?
Bien sûr qu’il ne faut pas violenter ses enfants, mais les punitions et les réprimandes sont nécessaires si les limites fixées ne sont pas respectées.
Apprendre l’ordre et la discipline à de jeunes enfants leur sera profitable tout au long de leur vie. Ce n’est pas adulte qu’on peut apprendre ces notions de comportement citoyen.
L ‘u e devrait regarder l ‘islam assassins barbares envers femmes enfants animaux, individus sans foi ni loi , avant de s’insurger de notre fessée.
Arrêter de nous les envoyer pour nous détruire, macron est un exécutant.
L’u e devrait regarder l ‘islam assassins barbares, comment ils traitent femmes enfants animaux, individus sans foi ni loi .
Arrêter de nous les envoyer pour nous détruire, c’est leur but , macron n ‘est que leur exécutant.
Toujours ce désir d’infantiliser le citoyen et de voir en lui un possible criminel : de la route (culpabilisation des automobilistes, radars, 80km/h, pollution), de sa famille (loi sur la fessée), de lui-même (préconisations pour sa santé, contre l’alcool, le tabac, le sucre etc.).
En revanche, les vrais délinquants courent toujours : hé oui, puisque la majorité d’entre eux font partie de la « diversité ».
mes trois enfants ont pris quelques fessées bien mérités et arrivés a 20 ans ne s’en portent pas plus mal, des fois même on en rigole a table, un jour mon fils m’a même avoué qu’il était chanceux de n’avoir pas eu le moitié de celles qu’il méritait.
Mes enfant aussi ont pris des déculottées et aujourd’hui ils me disent que si j’ai fait ça c’est que j’avais mes raisons et qu’ils le méritaient, il ne m’en veulent absolument pas et me remercient de leur avoir appris les valeurs fondamentales de la vie en société. ça ne fait pas de moi un tortionnaire..
Honte à ceux qui veulent justifier ou légitimer la violence faite aux enfants et pourquoi aux femmes tant qu’on y est ?
C’est une bonne chose d’interdire la violence.
Pour les parents qui utilisent la violence c’est qu’ils n’ont les mots.
L’u e devrait regarder la barbarie de l ‘islam, envers femmes enfants animaux, des individus sans foi ni loi , assassins, avant de s’insurger de nos fessées.
Et de ne plus nous les envoyer, pour nous détruire , car c’est leur but , macron est leur exécutant !
Oui mais eux, comme pour le halal, obtiennent des « dérogations »…
L ‘u e devrait regarder l ‘islam assassins barbares, comment ils traitent femmes enfants animaux, individus sans foi ni loi, avant de ‘insurger de notre fessée.
Chacun chez soit !
Christine ne fait pas l’apologie de la violence sur les enfants. Il y a quand même un monde entre les tortionnaires sadiques (la législation existe déjà) et les parents qui peuvent, parfois, s’énerver et crier.
Etre parent n’est pas inné, cela s’apprend et l’on peut faire des erreurs. Mais les générations ne sont pas les mêmes : mon père a été dressé au martinet et moi, j’ai eu juste quelques fessées. En revanche, mes enfants n’ont été élevés qu’à » la voix ». A-t-on besoin d’un énième loi infantilisante ?
Et pourquoi pas une loi interdisant les mots plus hauts que les autres, les froncements de sourcil, les haussements d’épaules. On va, vraiment, finir par devenir des robots !
+1
Une tape sur les fesses ou des mots un peu plus forts pur un enfant qui refuse d’entendre n’est pas de la violence.
On a perdu le sens des limites en France, on e voit dans plusieurs domaines ce qui fait qu’on mélange tout.
Je suis d’accord avec l’interdiction de la violence (fessée, claque, menaces) envers les enfants.
La violence comme méthode éducative est une catastrophe pour la société. Certains pensent que c’est à cause de cette méthode éducative que nous avons eu les deux guerres mondiales. Apprenez la violence aux enfants vous récolterez la violence.
il n’y a pas de mal a donné la fessé aux enfants sa fait parti de l’éducation ,mes parents mon donné la fessé ,et alors sa ma a pris a faire la différence entre la bien et le mal ,sauf que macron et les autres entre dans la vie privé des gens et là sa devient dangereux ,par éduqué ses enfants par la fessé ,ils irons choisi que se soit des voyous qu’ils soient tué par des policiers
Un peu simple, tout est question de limites et d’équilibre, les extrêmes ne sont jamais bons. Dans un sens comme dans l’autre.
Il y a une différence entre martyriser un enfant et finir par donner une tape sur les fesses d’un enfant que l’on n’arrive pas à calmer et qui exagère.
Il y a aussi des enfants qui ont eu des parents plutôt portés sur la violence et qui ne sont pas violents, il faut arrêter de donner tous les pouvoirs à l’environnement, les choix proprement humains ça existe.
On est vraiment dans du n’importe quoi.
Et c’est à cause du laxisme et du libéralisme de parents trop aimants et de la mise en avant de l’enfant »roi » qu’on récupère toutes les bipolarités, schizophrénies et patin couffin…pauvre banane bisounours! Ne pas confronter les enfants aux lois physiques ou sociales (voir l’Emile de Rousseau) c’est en faire des méduses échouées ventousées à un statut de rêve. Et pourquoi pas toucher des allocs pour handicap à cause d’un amour bête de ses ascendants prétendus stupides et non infaillibles???
Franck, je vais être gentil avec un gauchiste comme toi.
De mon temps, il y a bien longtemps dans un pays étrange
mais appartenant a la France, nous avions une éducation
qui n existe plus aujourd’hui. Moi a sept ans je savais lire et écrire.
Je savais mes tables de multiplication par cœur.
En ce temps j étais parfois potache et j avais ma maîtresse d école, une femme qui me mettait parfois des coups de règle sur les doigts. Pour mes copains pareil. Alors on a eu des bonnes situations dans la vie bien plus tard.
Mon papa me foutait une trempe si on était mauvais a l école. et je lui dit merci.