7 et 11 ans de prison pour Samuel et Esteban… tandis qu’un djihadiste notoire, proche de Larossi Abballa, est laissé en liberté par la « Justice » et soumis à une simple mesure de surveillance par Collomb.
Chronique d’une France invivable.
https://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriAdmin.do?oldAction=rechJuriAdmin&idTexte=CETATEXT000037428621&fastReqId=1062958259&fastPos=1
L’arrêt du Conseil d’État du 14 septembre 2018 est encore une de ces gouttes d’eau qui auraient dû faire déborder le vase depuis bien longtemps…
Hélas, « le vase » en France est un tonneau de Danaïdes. Il ne débordera jamais plus, semble-t-il.
Un homme demande en justice que soit ordonnée la suspension de l’exécution de l’arrêté par lequel le ministre de l’intérieur G. Collomb a prononcé à son encontre une mesure individuelle de contrôle administratif et de surveillance, c’est-à-dire une assignation à résidence.
Cette mesure implique de « 1° ne pas se déplacer à l’extérieur d’un périmètre géographique déterminé, qui ne peut être inférieur au territoire de la commune. La délimitation de ce périmètre permet à l’intéressé de poursuivre une vie familiale et professionnelle et s’étend, le cas échéant, aux territoires d’autres communes ou d’autres départements que ceux de son lieu habituel de résidence ; / 2° Se présenter périodiquement aux services de police ou aux unités de gendarmerie, dans la limite d’une fois par jour », « pour une durée maximale de trois mois ».
Collomb avait ainsi, pour trois mois, interdit à cet individu de se déplacer en dehors de Mantes-la-Jolie et lui avait imposé de se présenter une fois par jour à la gendarmerie de Limay.
Le juge des référés du tribunal administratif de Versailles a rejeté le recours et le Conseil d’Etat confirme ce jugement.
Toutefois, on peut difficilement être satisfait au vu d’un dossier très inquiétant. Une simple mesure de surveillance temporaire, avec des obligations somme toute très limitées, apparaît en effet insuffisante.
Il s’agissait en effet d’un ancien membre d’une filière d’acheminement de combattants en Afghanistan.
Il avait lui-même tenté, en 2011, de se rendre dans un camp d’entraînement au Pakistan pour participer à ces combats.
Pour ces faits, il a été condamné en 2013 à cinq années d’emprisonnement.
Son comportement en prison, qui a d’ailleurs donné lieu à plusieurs sanctions, était caractérisé par une activité soutenue de prosélytisme et un ascendant important sur d’autres détenus.
A l’issue de sa détention, alors qu’il avait été placé sous contrôle judiciaire, il avait méconnu les obligations de ce contrôle qui lui interdisaient de rentrer en relation avec certaines personnes ayant appartenu à la filière terroriste.
En mai 2016, il a été trouvé, lors d’un contrôle routier, dans le même véhicule qu’un individu qui avait appartenu à cette filière et qui, un mois plus tard, a assassiné deux fonctionnaires de police à leur domicile (attentat de Magnanville).
A la suite de cet attentat, il a été mis en examen pour participation à une association de malfaiteurs terroriste, en état de récidive légale et écroué à compter du 19 juin 2016 ; le 30 juin 2018, il a été libéré et placé sous contrôle judiciaire.
Deux ans de prison seulement… pendant lesquelles son attitude n’avait rien d’exemplaire : « pendant la durée de cette dernière incarcération, il a, au-delà des contacts entre détenus radicalisés découlant nécessairement des modalités particulières de sa détention, d’une part, cherché à établir des relations suivies avec certains de ces détenus radicalisés et, d’autre part, fait preuve à plusieurs reprises d’un comportement de prosélytisme autour de thèses radicales ».
Peut-on vraiment être rassuré, alors que de précédentes affaires déjà présentées ici ont montré des cas où les assignations à résidence n’étaient pas respectées ?
Un pointage au commissariat par jour, cela laisse du temps libre, beaucoup de temps libre… et la personne assignée à résidence étant en réalité libre de ses mouvements, sauf si un contrôle routier, par hasard, venait à la surprendre en dehors de la commune où elle est censée demeurer, on mesure à quel point la sécurité des citoyens n’est pas assurée en France.
D’autant plus que les gauchistes et autres victimaires anti-police luttent contre le contrôle au faciès.
On marche sur des œufs…
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Nos gouvernants, depuis des décennies, sont des pourris, des traîtres, des pantins, ils organisent chaque jour un peu plus notre destruction, et ils ont tous les leviers du pouvoir pour conduire cette destruction, ce travail de sape, ce suicide collectif. Que peut-on faire face à ça ? Changer de gouvernement ? On a raté le coche tant de fois … On verra où en en est aux prochaines élections européennes, mais combien de drames, et d’horreurs, on va encore devoir avaler ? Quels groupes pourraient se lever pour contrer cette dégringolade ? Je n’en vois pas … Est-qu’il y en a dans l’ombre ? Je l’espère …
Écœurants cette put1 d1justice.
Et la police elle fait quoi ?
Faut il qu’ils craignent le petit coq pour rester à passer pour des c..S…
Qui, pendant le mandat de Hollande et celui de Macron a bénéficié de grâce présidentielle puisque cette Justice semble s’exercer tellement partialement.
Je sais, quand on est innocent, la grâce semble une insulte puis que ce qui est touché par le verdict du Tribunal c’est aussi l’honneur. Néanmoins préserver sa vie sociale et sa famille entrent également en ligne de compte et rien n’interdit de continuer à lutter pour faire reconnaître définitivement son innocence.
Finalement Esteban, paix le prix fort pour s’être défendu efficacement et n’être pas mort, victime des coups que les antifas lui ont portés. Neuf ans d’enfermement ; un casier judiciaire entaché à vie, une vie brisée dès l’instant où Méric avait planifié de l’agresser ; sa famille probablement détruite, en tous cas blessée grièvement par les conséquences de cette sentence.
Nous sortirons-nous de cette galère du gouvernement inique de notre pays ?
Et les policiers ils fond quoi. Est-il prévu une manifestation, sous les fenêtres de l’Elysée. Encore une preuve de plus que ce gouvernement est vendu à l’islam et ne sont que des guignols qui n’auraient jamais dû être élus.