La tradition abrahamique dans les textes saints
Nous savons qu’Abraham (Ibrahim) est un personnage central des trois monothéismes. Nous savons aussi que l’islam, en particulier, s’en réclame (Mahomet serait un descendant d’Ismaël) et pour s’en convaincre, il suffit de rappeler la fête de l’Aïd-el-Kebir qui commémore la foi absolue dont fit preuve Abraham en acceptant de sacrifier son fils sur ordre de Dieu.
Je vous invite donc à mieux connaître Abraham et à apprécier la pérennité de son message. Pour ce faire, je me propose de vous faire faire connaissance avec deux textes sacrés. Ils permettront :
a)d’examiner le personnage d’Abraham.
b) d’apprécier comment sa conduite a été source d’inspiration pour ses disciples.
Commençons par la Bible (Genèse, chap. 19) qui présente une « confrontation » entre Abraham et Dieu, au cours de laquelle Abraham s’oppose à Dieu par un étrange marchandage :
… Les hommes se levèrent et fixèrent leurs regards dans la direction de Sodome; Abraham les accompagna pour les reconduire.
Or, l’Éternel avait dit: « Tairai-je à Abraham ce que je veux faire? Abraham ne doit-il pas devenir une nation grande et puissante et une cause de bonheur pour toutes les nations de la terre? Si je l’ai distingué, c’est pour qu’il prescrive à ses fils et à sa maison après lui d’observer la voie de l’Éternel, en pratiquant la vertu et la justice; afin que l’Éternel accomplisse sur Abraham ce qu’il a déclaré à son égard. »
L’Éternel dit: « Comme le décri de Sodome et de Gommorrhe est grand; comme leur perversité est excessive, je veux y descendre; je veux voir si, comme la plainte en est venue jusqu’à moi, ils se sont livrés aux derniers excès; si cela n’est pas, j’aviserai. »
Les hommes quittèrent ce lieu et s’acheminèrent vers Sodome; Abraham était encore en présence du Seigneur.
Abraham s’avança et dit: « Anéantirais-tu, d’un même coup, l’innocent avec le coupable? Peut-être y a-t-il cinquante justes dans cette ville: les feras-tu périr aussi et ne pardonneras-tu pas à la contrée en faveur des cinquante justes qui s’y trouvent? Loin de toi d’agir ainsi, de frapper l’innocent avec le coupable, les traitant tous deux de même façon! Loin de toi! Celui qui juge toute la terre serait-il un juge inique? »
Le Seigneur répondit: « Si je trouve à Sodome au sein de la ville, cinquante justes, je pardonnerai à toute la contrée à cause d’eux »
Abraham reprit en disant: « De grâce! j’ai entrepris de parler à mon souverain, moi poussière et cendre! Peut-être à ces cinquante justes, en manquera-t-il cinq: détruirais-tu, pour cinq, une ville entière? »
Il répondit: « Je ne sévirai point, si j’en trouve quarante-cinq »
Il insista encore, en lui disant: « Peut-être s’y en trouvera-t-il quarante? »
Il répondit: « Je m’abstiendrai à cause de ces quarante. »
Il dit: « De grâce, que mon Souverain ne s’irrite point de mes paroles! Peut-être s’en trouvera-t-il trente? »
Il répondit: « Je m’abstiendrai, si j’en trouve trente »
Il reprit: « De grâce, puisque j’ai osé parler à mon Souverain, peut-être s’en trouvera-t-il vingt? »
Il répondit: « Je renoncerai à détruire, en faveur de ces vingt. »
Il dit: « De grâce, que mon Souverain ne s’irrite pas, je ne parlerai plus que cette fois. Peut-être s’en trouvera-t-il dix? »
Il répondit: « Je renoncerai à détruire, en faveur de ces dix. »
Le Seigneur disparut, lorsqu’il eut achevé de parler à Abraham; et Abraham retourna à sa demeure.
Examinons maintenant comment le message abrahamique fut porté par son disciple Mohamed dans le Coran (sourate 9 – « le repentir ») :
… Les Juifs disent: «˒Uzayr est fils d’Allah» et les Chrétiens disent: «Le Christ est fils d’Allah». Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux.
Qu’Allah les anéantisse!
http://www.islam-fr.com/coran/francais/sourate-9-at-tawba-le-repentir.html#9_30
Amis lecteurs, à vos plumes (claviers) pour un commentaire composé de ces deux sources !
Complément de Valkyrie : Naples, la capitale de l’islam
La fête du sacrifice, que des hommes…
737 total views, 1 views today
Enfin, plus généralement, il y a une tendance chez toutes les personnes « éclairées », à « tuer » symboliquement un des pères fondateurs du judaïsme.
P. ex. Freud, qui « démontrait » dans son livre sur Moïse que ce dernier, avait été assassiné par la meute des enfants d’Israël, dans le désert (le fameux « meurtre du père » j’imagine).
Shlomo Sand, un autre juif progressiste, qui a écrit un best-seller « l’invention du peuple juif ». Là, c’est toute la nation juive qui est mise à mort symboliquement, puisque les Juifs ne sont pas ce qu’ils croient être en réalité…
David Belhassen, de son côté, nous fait une révélation formidable : en réalité, à Hebron, ce n’est pas Avraham Avinou qui est inhumé, mais Cheikh Bassem Ibn Fatima Soulika, puisqu’Avraham Avinou n’a jamais existé. Donc Isaac, par voie de conséquence n’a pas non plus existé, ni Jacob (alias Israël), il y a bien une famille entière inhumée à Hebron, mais il s’agit de Khalid Ibn Bassem, et de Mansour Ibn khalid, what else ???
Par la même occasion,on retourne à la case Shlomo Sand, les Juifs/Hébreux/enfants d’Israël sont un fantasme et David est un roi dont l’ascendance est Ouzbèque.
Bref, tous les peuples existent, sauf évidemment le peuple d’Israël, les Coptes d’Egyptes, les Assyriens, les Phéniciens, les Mèdes etc… mais sûrement pas le peuple d’Israël !
Diantre, vous êtes historien, archéologue ou rabbin ! 🙂
Mes histoires d’ouzbek, de khalid et Bassem dont une invention. Appelez çà de l’ironie…
@Machinchose
et encore et toujours au sujet d’à-peu-prisme en matière de prénoms bibliques :
Quel est le bon prénom hébraïque pour IsaÏe ? Yesha’ia ou bien Yesha’iahou ?
Et pour Jérémie ? Yirmiya ou bien Yirmiyahou.
Pourquoi Elyahou et pas Elyah alors qu’on a Zekharyah et non pas Zekharyahoou ?
Bref, cette histoire de prénom n’est jamais très rationnelle. Bien fol est qui s’y fie.
@Machinchose
et encore autre chose, on sait (mais les archéologues si rationnels ne le savent peut-être pas), qu’il était une pratique courante de changer de nom ou de le modifier pour changer son destin (cela se pratique encore aujourd’hui, dernier exemple en tête, quand le Rabbin Joseph Sitruk était malade, on lui a rajouté le prénom Hai me semble-t-il, autre exemple Jacob qui prend le prénom Israël après avoir vaincu l’ange). Cela se voit aussi avec Sarah (D. Belhassen semble l’avoir oublié) qui comme Avraham a vu son nom transformé : Saraï est devenu Sarah.
Bref, je rabache, la démonstration qu’il essaie d’établir n’est pas du tout convaincante (pour moi).
je connais!
souvenirs pénibles!
la flèche a loupé sa cible et m’ a épargné……………………
@Machinchose,
Alors vous avez fait un changement de nom ? Tant mieux.
Encore que j’en connais un qui fait des changements de nom, mais c’est pas terrible, de Sheldon à Boson par exemple.
j’ ai longtemps pensé que dans Abraham, on pouvait lire « Av rahama »
ou Ab Raham ( pareil), en sémito-araméen : le père la miséricorde ….
Pikachu, morénou, kesse tenpense ?
:-DDD
Morénou ??? C’est trop d’honneur, Moreno, plutôt vu que je suis brun !
Non, ça ne colle pas parce que le h’ heth comme dans H’amas (que très étonnament, j’avais entendu Elise Lucet, prononcer à la perfection dans les années 90, sur FR3 (je compris alors bien des choses)) n’est pas utilisé dans Avraham, mais c’est le h aspiré. L’erreur de David Belhassen, c’est de partir de son référentiel, pour arriver à son référentiel. L’intelligence qui ne l’est pas. On le voit très bien avec Samuel, quand Hanna choisit ce prénom à son fils inespéré. Elle justifie ce prénom ainsi
( https://www.mechon-mamre.org/f/ft/ft08a01.htm#28 ) :
—-
C’est pour obtenir cet enfant que j’avais prié; et l’Eternel m’a accordé ce que je lui avais demandé.
Mais à mon tour je l’avais voué au Seigneur: depuis qu’il est né, il est consacré à Dieu. »
—-
Si vous regardez le texte, tout tourne autour du mot Shaoul, « demandé », et on voit mal le rapport avec le nom Shemouel qui contient un M en trop. On est donc avec une approximation avec une lettre en trop, et cela ne pose pas de problèmes aux gens de l’époque. Le nom évoque le mot « demander », peu importe qu’il y ait une lettre en plus.
Cette façon de penser est clairement hors du référentiel de pensée de David Belhassen ou des archéologues qui ont pondu cette merveille. Ils y voient donc un « bug », et considère qu’il y a une erreur inhérente au texte, parce que dans leur référentiel, on doit avoir une correspondance exacte son sens. Ce que l’histoire du prénom Samuel démontre clairement comme assertion fausse. C’est pourquoi je dis que la pensée de David Belhassen part de son référentiel pour en arriver à son référentiel.
On peut imaginer plein d’hypothèse sur le premier nom d’Avraham. On connait en hébreu des prénoms comme « Avih’ai », mon père vit, ou « Avi’ad » mon père pour toujours. Pour une personne qui aime son père et qui l’a perdu, on comprend qu’il exprime le décès de celui-ci comme une séparation qui n’est pas, mais une attente de retrouvaille dans un monde futur.
On peut donc tout à fait imaginer (hypothèse que j’invente au pied levé) qu’à l’époque, le nom Avram existait pour exprimer le même sens que Avih’ai, ou Avi’ad : Ram veut dire élevé mais aussi « au ciel », on le retrouve dans « ‘ossé chalom bimromav », celui qui fait la paix dans ses cieux, dans ses hauteurs.
Donc Avram voudrait dire, mon père qui désormais réside au ciel. Je ne dis pas que c’est le sens originel de Avram, je dis que c’est une hypothèse qui n’est pas farfelue. Pas d’affirmation péremptoire, je peux absolument me tromper. Bref, je ne suis pas dans la démarche « je détiens la vérité absolue » par des raisonnements incertains.
Pour info, le prénom Samuel existait déjà dans le Pentateuque, je peux retrouver où si vous voulez, donc la démarche de Hanna a été de reprendre un nom existant qui ressemblait à la racine « demander ». Bref, de l’à peu près total, et cet à-peu-près qui dérange les archéologues ne semble pas avoir été une source de problème pour les gens de l’époque…
Pour Elise Lucet, je crois que je me trompe, c’était peut-être plutôt au début des années 2000.
@Machinchose
suite de ma réponse précédente : et surtout n’oublions pas non plus le prénom très très semblable, Aviram, que l’on retrouve dans le duo des personnages pas sympathiques Datan et Aviram qui firent la vie dure à Moïse. Avram, Aviram, aucune différence syntaxique. Bref, cela rejoint ce que je disais sur « l’à-peu-prisme » des prénoms d’antan. On ne peut et ne doit absolument pas forger des démonstrations « imparables » sur une telle base. La beauté euphonique doit aussi être prise en compte dans un prénom et le choix qu’il fait d’intervertir les lettres de Avraham par ex. ne va pas dans le sens de l’euphonie, (on en voit peut-être un exemple avec Issachar qui n’est jamais prononcé Issasschar, bien qu’il s’écrive ainsi : encore de l’à-peu-près ? Question d’euphonie ? Je ne sais pas).
Un vrai psychopathe, là je suis d’accord,
D’ailleurs, je ne vois aucune raison de douter de l’existence d’Abraham, sinon, on peut douter de tout,
Mais que le texte ait pu être embelli ou métaphorisé , c’est possible, 4500 ans, c’est quand même un temps vénérable, pour recevoir un texte, c’est encore plus précieux
Ce que je voulais montrer dans cet article, c’est la différence majeure d’attitude entre un homme de bien et un psychopathe. Peut-on, après avoir lu ces deux textes, encore affirmer que Mohamed est un prophète ?
Dieu décide de détruire des populations entières, sa décision est prise et pourtant Abraham va se « battre » avec lui pour annuler le décret pour sauver ces gens dont il sait pourtant qu’ils sont mauvais.
Mohamed, par contre, n’a aucunement reçu de message divin concernant Juifs et chrétiens, et pourtant, il prie Dieu pour que ceux-ci soient éliminés.
C’est à dire que dans le cas de Mohamed, Dieu n’a rien dit concernant une élimination quelconque, c’est Mohamed qui en fait la demande !
De plus, on a dans les deux cas, des « pêcheurs avérés » (selon Mohamed, ils sont coupables), mais au lieu de prendre leur défense comme le fit son supposé ancêtre, il demande leur mort !!!
Voilà donc à quoi on reconnait un faux homme de Dieu, un faux prophète, et un vrai psychopathe.
Bonjour,
Merci pour ce rappel de ce très beau texte biblique que j’aime beaucoup …
Abraham est un personnage fictif créé de toutes pièces par le monothéisme judaïque tardif. Le Coran ne dit jamais que c’est Ismaël et non Isaac que son gentil « papa » a tenté d’égorger pour montrer son obéissance à un Dieu sadique. Et enfin, en aucune manière le CoranIsmaël est un ancêtre de Muhammad. Lisez plutôt cet article. https://davidbelhassen.blogspot.com/2016/06/le-personnage-biblique-dabraham-est-il.html
Long débat. Mais être aussi affirmatif ?! Je ne m’y aventurerai pas.
A votre lien un autre lien.
http://le-livre.org/2013/11/17/le-signe-du-sacrifice-dabraham/
« Abraham est un des personnages les plus fondamentaux de l’Ancien Testament qui nous aide à comprendre l’Évangile. Il a vécu il y a 4000 ans voyageant de ce qui est l’Irak actuel pour camper dans l’Israël d’aujourd’hui. Le récit dans la Bible est si ancien qu’il existe peu de preuves externes pour réfuter ou confirmer ces évènements. Mais il en existe. Parmi les 17000 Tablettes d’Ebla découvertes en 1975-6 en Syrie du Nord, datées de 4200 ans, il est question de Sodome, Gomorrhe, Adma, Tseboïm, et Tsoar comme ‘villes de la Plaine’, les mêmes noms et phrase descriptive utilisés en Genèse 13:12 & Genèse 14:2 – les lieux où Abraham a ‘campé’. Nous avons donc des raisons de prendre le récit au sérieux et sa mise en scène est entièrement historique. » Fin de citation.
As-t-il existé ou pas, telle est la question.
Je ne dis pas qu’il a – certainement existé – mais je ne dis pas non plus le contraire. L’archéologie s’enrichit de technique jour après jour…
Ne vous cassez pas la tête sur le texte de David Belhassen, je l’ai lu, il pose des questions intéressantes, mais sa méthode a un bien. Pas vraiment le temps de discuter, mais son analyse du nom Abram par exemple, ne tient pas la route. On peut mettre en comparaison le nom de Samuel par exemple dans l’épisode de Hanna, pour comprendre qu’il applique une réflexion qui ne cadre pas. L’archéologie a certainement des choses intéressantes à dire et pose aussi des questions intéressantes, mais j’ai constaté à plusieurs reprises le manque d’humilité de certains archéologues qui affirment de manière péremptoire que leurs hypothèses sont la vérité historique.
Qu’Abraham ait existé ou non n’a aucune importance, l’essentiel est le message et non le messager.
Je retiens donc que l’obéissance aveugle nous amène à faire n’importe quoi même l’infanticide.
L’auteur de ce récit s’élève contre le sacrifice humain si répandu dans les sociétés antiques et l’enfant est remplacé par un agneau.
Cependant j’approuve le christianisme qui a en principe aboli toutes les formes de sacrifice sanglant, et le bouddhisme qui a remplacé le dogmatisme par la philosophie.
@ Lavéritétriomphera
Le Bouddhisme n’est ni une religion ni une philosophie, c’est une pratique qui se propose de nous amener au bonheur en nous libérant de nos conditionnements, par la compréhension de notre moi intérieur, notre conscience intérieure ou celle de notre esprit, selon le terme que l’on lui donne, donc vers l’Illumination.
(cf. : http://www.tibet-info.net/www/Quelques-idees-recues-sur-le.html)
Bouddha veut dire « éveillé », celui qui a conscience de son être intérieur. Tout le monde peut être le bouddha, le premier d’entre tous étant Siddhartha Gautama né au Tibet vers 563 avant JC;
Que les hommes aient fait du Bouddhisme et de la Chrétienté un dogme, un dogmatisme, une religion ou une philosophie ne change rien à l’essence originelle de la véritable source divine. Bouddha s »est isolé, sauf erreur, 49 jours et Jésus Christ s’est isolé pendant 40 jours pour les mêmes raisons : celles de trouver le véritable chemin vers la voie de la renonciation.
Et leurs messages à l’Humanité coïncident : Paix, Amour, Pardon, Tolérance et Charité.
Je considére le bouddhisme comme une philosophie bien plus qu’une religion. L’hindouisme et le Bouddhisme n’ont jamais prétendu détenir la vérité et ne sont pas des idéologies totalitaires comme l’islam par exemple.
Ces deux « religions » malgré leur philosophie sublime ont aussi leur zone d’ombre. Je me donne donc le droit de penser par moi-même, même si cela peut fortement déplaire à certains soit-disant érudits musulmans.
Et on peut lire que de ne pas croire au coran est une insulte aux adeptes de cette idéologie qui y ont cru depuis 1400 ans, et qui y croient encore, tout en prenant bien soin de ne pas répondre aux questions problématiques.
D’autant qu’il n’existe nulle part chez les Juifs de Uzayr. Pure invention coranique.
Quant à la phrase : « Le Christ est Fils de Dieu » encore faut-il comprendre ce que veut dire cette phrase qui au demeurant se rapporte étroitement à la trinité.
« Ma parole est fille de ma pensée ». Conf. Évangile selon Saint Jean, premiers versets; Mais l’islam ne comprend les choses que matériellement et sexuellement…
Sourate Tawba, N° 9 !! ma préférée!! 😆 au prodigieux verset 29 qui débute par cet ordre a TUER !!
« quoutoulou lou youmnoune billah ….etc etc … » « »TUEZ ceux qui ne croient ni en Allah ni au jugement dernier ….. » » »
cet ordre au crime a été maquillé par l’ immense majorité des traducteurs du Coran, dont celui de Mohamed Hamidullah,contemporain, en traduisant « quoutoulou, par Combattez !!!
mensonge! falsification! takiya! mais sans risques! combien de lecteurs et de l’ arabe et de la « traduction » auront perçu le mensonge ?
franchement, Pikachu ?? peut etre un sur mille!!
les autres s’ en contenteront….et hop! passez muscade….
tiens! pour ceux qui se souviennent du Rachid Nekkaz et sa gueule ensanglantée, il gueule « chouffou! chouffou, hab yoqtolni …. »
trad: regardez! regardez, il a voulu me tuer……….
et on retrouve le radical du verbe « QTL » tuer , yoqtolni : me tuer
fidèles a leur tradition de mensonges! ils osent prétendre et enseigner que les juifs ont modifié et perverti la Thora !!!
et quand on lit « … Les Juifs disent: «˒Uzayr est fils d’Allah» y a de quoi trépigner de rire!!
il m’ a fallu longtemps pour comprendre de qui il s’ agissait!! et questionner bien des Maîtres
personne ne connaissait! je dois au Pr Gérard Nahon , un de nos grands Maïtres disparu il y a un an, qui avait sa chaire en Sorbonne et sa place a Langues Zoo avant qu elle ne devienne Inalco
en réalité il s’ agit de » Ezra » celui qui rebatit le judaisme exsangue aprés le retour de Babylone – voir gogole-
et le pauvre épileptique, auquel moines assyriens et rabins communiquèrent leurs connaissances, qui s’ embrouillèrent dans ses souvenirs… »wa qalète el ihoude, Ozeir ibn allah, wa qalète el massihine Aïssa ibn Allah » …………Putain de chakchouka!
le bonhomme a cocktailé ses vagues souvenirs et ainsi lancé l’ anathème sortant de la bouche d’ un ignorant…………