L’islam mène à tout : l’Afghane Yasmeena Ali renonce à l’islam et devient star du porno

Karma-Sütra !

 

C’est ainsi qu’elle dit non aux foules pudibondes…

En jouant de son corps, elle les rend furibondes !

Et les immams et les mollahs,

vitupèrent au nom d’allah !

Son sexe leur répond avec belle faconde…

 

PACO. Hôôô les envieux !

13/08/2018.

 

https://fr.sputniknews.com/international/201808131037632484-taliban-islam-porno-star/

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23 Commentaires

  1. Moi j’ai été victime d’agressions, vols et racket… A chaque fois par des musulmans. Pourtant c’est un milieu dans lequel j’ai grandi, mais dès que je m’en suis éloigné et que je suis retourné à mes bases (christianisme) et bien je suis devenu la cible de musulmans.

    J’ai toujours défendu la liberté de religion et j’ai défendu l’islam durant de très nombreuses années, mais je suis forcé de me rendre à l’évidence, beaucoup de musulmans sont voleurs, agresseurs, menteurs.

  2. Selon l’expression consacrée, l’islam mène à tout, à condition d’en sortir.

  3. ca se passe aux usa RIEN DE FAKE LA ,,,d ailleurs chez nous au Quebec une Algerienne mariee a un Francais s etait recyclee dans le porno avc lui et pendant qq semaines on a parle que de couple ,,,et ct ya au moins trente ans , Reveillez vous

  4. Ce qui est sûr au moins c’est qu’en terme de connexions à des sites pornos les pays musulmans équipés en Internet ,et donc notamment ceux du Golfe, doivent battre des records tellement leurs frustrations sont immenses.
    De grand Tartuffes!

    • Mais c’est bien le cas! Ils sont en effet les recordmen du monde.

  5. En même temps, passer de l’islam du « Pays des purs » au porno, est-ce bien raisonnable ? Il y a un juste milieu, je ne sais pas moi, commencer par quelques tranches de saucisson et un verre de rosé…

  6. Totalement fake :
    il est écrit qu’à 19 ans, elle épouse un Juif !
    En Afghanistan, et sous les talibans, il est absolument impensable qu’un Juif puisse épouser une musulmane. Tout à fait impossible.
    Soit l’information est tronquée (elle n’est plus en Afghanistan et autres détails omis), soit elle est bidon.

    • Bonjour pikachu. « Totalement fake » reste à démontrer. J’ai trouvé cette information, cette fois ci, relayée, par plusieurs médias, dont un Algérien… Cette personne existe. Et dans le porno itou. Son histoire est plausible et enquêter sur un sujet pareil n’est pas plus justifié… qu’un peu. Mais si vous trouvez des éléments qui corroborent votre assertion actuelle, ils seront bienvenus. Et sans la moindre secousse, ce sujet ira au pilon. En attendant…

      • Paco,

        il est absolument impossible qu’en Afghanistan, et sous les Talibans, une femme musulmane épouse un Juif. De plus, il reste très très peu de Juifs en Afghanistan. Ce morceau de sa biographie est donc forcément bidon.

        Un peu comme si vous me disiez que sous l’Allemagne nazie, une adhérente au parti nazi épouse un Juif à la mairie. C’est impossible.
        Ce point est forcément bidon ou un élément manque (elle a quitté l’Afghanistan dans sa jeunesse).

        Pour les sites algériens, ça ne m’étonne pas : un Juif qui prostitue une musulmane pour lui faire tourner des films pornos, je pense que ce genre de rumeurs ne peut que prospérer en Algérie. Cela ne peut pas constituer une preuve en soi !!!
        Si demain, vous trouvez un site qui vous dise que le Sida est un virus inventé par un médecin juif, soyez sûr que les médias algériens diffuseront l’info jusqu’à plus soif.

        Bref, si ce n’est pas un fake, l’info est tronquée.

        • Rien dans votre argumentaire, ne prouve, catégoriquement que ce sujet soit un fake, ou tronquée ou bidon. Laissons les quelques visiteurs se régaler de cette nouvelle anecdotique.

          • Voici la traduction Glouglou, donc assez bonne du texte dont vous parlez. Il y a un oubli en effet. Elle était à l’age de neuf ans en Angleterre. Sinon, pour le reste et avec plus de détails, c’est en accord avec l’article péché sur le Web. Donc « fake », n’est plus de mise. Elle est bien mariée à un juif, même si en Angleterre. Actrice Porno. Tronqué demeure donc un terme convenable. Régalez vous quand même !
            Je suis née en Afghanistan pendant le régime taliban et je suis arrivée au Royaume-Uni à l’âge de 9 ans. Aujourd’hui, je voyage et travaille comme actrice porno.

            Certains à droite seront mal à l’aise avec mon histoire à cause de la célébration sans fard du sexe crépus. Et cela sera encore plus inconfortable pour de nombreux libéraux en raison de leur compréhension tordue de la tolérance et de leur dévotion culturellement suicidaire à la prétendue diversité.

            Par exemple, peu importe combien et combien de personnes, de gauche à droite, se battent pour les droits des femmes, j’ai remarqué qu’elles fermaient généralement les yeux sur les restrictions sévères imposées par l’Islam aux femmes, comme les codes vestimentaires ou les punitions corporelles. Valeurs islamiques, les mariages forcés et les mutilations génitales féminines.

            Prends-le moi: je connais trop l’Islam et son côté obscur. Et j’ai vu de première main comment l’Islam, au pire, opère, ici, en Occident, sous notre nez.

            L’islam m’a été imposé par mes parents biologiques, d’abord en Afghanistan en tant qu’enfant, puis en Grande-Bretagne en tant qu’adolescent. Mes parents m’ont dit que l’islam était plus important que tout, plus important que l’amour entre les parents et leurs enfants. Sur la base des règles islamiques, mes parents m’ont demandé comment s’habiller, quoi faire, quoi penser et qui être.

            J’ai grandi avec la peur d’aller en enfer, craignant de me connaître et craignant tout ce qui va à l’encontre des enseignements islamiques. Mes parents ont essayé de me faire détester tout ce qui est moderne, civilisé et laïque. Et cette partie de mon histoire n’est pas unique: c’est la réalité triste et désespérée de nombreux musulmans du monde entier.

            Au lycée de East London (une école de filles, parce que mes parents ne voulaient pas que j’intègre), on nous a enseigné l’égalité. Mais à la maison, il n’y avait que l’inégalité et la peur. J’ai été obligé de faire la cuisine, le ménage et le repassage pendant que mes frères s’asseyaient et commandaient mes sœurs et moi, car c’était un travail de femme conforme aux enseignements de l’islam. Ces enseignements encouragent les hommes à mépriser et à discriminer les femmes et mes frères nous citent des versets du Coran et des Hadiths qui justifient leur comportement. Pour le dire franchement: l’Islam, pratiqué de cette manière, n’est rien d’autre que des rêves mouillés de vieillards «déifiés» afin d’immuniser leur idiotie contre la critique.

            Au fur et à mesure de mon adolescence, je me suis vite rendu compte qu’un moment viendrait où l’on dit aux femmes musulmanes de chérir même si cela ne représente que la violence contre l’esprit et la volonté. Si je restais chez moi, je serais marié et mes parents me donneraient la « propriété » à un homme de leur choix qui pourrait faire avec moi comme il le souhaite, car le consentement n’existe pas dans une telle mentalité. L’horloge tournait.

            Par chance, à 19 ans, j’ai rencontré un homme (qui devint plus tard mon mari, par mon choix!), Un juif athée et nous sommes tombés amoureux. J’en avais assez d’être giflé, battu, privé de mes droits et d’être informé de ce qui était bon pour moi. Et j’ai donc décidé d’abandonner tout ce que je savais en échange de la liberté et de l’amour.

            Il y a cinq ans, j’ai quitté la maison de mes parents à l’aube. J’ai pris l’Eurostar à Paris de St Pancras pour rencontrer mon partenaire. Et je n’ai jamais regardé en arrière. Pour les « déshonorer », mes parents m’ont renié. Je suis parfaitement satisfait de ce qu’ils ressentent de cette manière car eux et tant d’autres comme eux ont abusé des femmes et des enfants au nom de l’islam; la logique interne de la religion exige maintenant leur honte. Bien sûr, mes parents ont fait de bonnes choses pour moi aussi, notamment en m’amenant à Londres depuis Kaboul. Mais si mon autonomie les fait souffrir parce que cela entre en conflit avec leurs opinions religieuses, alors … ça va. Je ne ressens aucune culpabilité.

            Le premier grand changement pour moi était de rejeter l’islam lui-même. J’ai quitté ce culte sombre où il appartenait – dans les grottes – et j’ai commencé à respirer et à vivre (encore) sans crainte et sans soumission. Je me suis engagé à vivre selon les fruits de mon esprit et en accord avec mes propres désirs et mon propre jugement.

            C’étaient les premiers pas de ma liberté; la prochaine étape était la sexualité. Je n’ai jamais eu d’expériences sexuelles avant de quitter l’Islam parce qu’on m’avait dit de me couvrir les cheveux et de m’habiller modestement (ce qui à Londres vous fait sentir stupide à cause de la façon dont les gens vous regardent en public et en été chaleur). On m’a dit que si je brisais ces règles, je serais puni – même avec ma vie. À cause de cette répression, mon exploration sexuelle ultérieure a été l’étape la plus difficile à la liberté que j’ai prise.

            Ensuite, j’ai commencé avec la photographie parce que cela m’a fait sentir en paix et j’ai découvert que j’aimais créer des images visuelles en utilisant mon corps et l’objectif de la caméra. J’ai demandé à mon mari (photographe érotique et professionnel) de prendre des photos de moi. J’ai aimé les résultats. J’ai vu « Story of O » et j’étais curieux d’essayer le BDSM et j’ai découvert que j’en avais beaucoup de plaisir.

            Plus j’explorais ma sexualité, plus je devenais libre et heureuse. J’ai découvert que je suis exhibitionniste et j’adore le sexe. ainsi, j’ai postulé à plusieurs compagnies pornographiques, travail

          • Encore merci, car votre suspicion a permis de rendre plus claire cette information . Laquelle est reprise à droite à gauche. En venant chez nous, ils pourront, s’ils le désirent faire les rectifications qui conviennent.

        • Oui,mais Paco, vous démontrez, avec votre traduction, l’inverse du sens de votre article: l’Islam ne mène nulle part…
          Elle ne s’en est pas échapée : chassez le naturel, il revient au galop.


          « j’étais curieux d’essayer le BDSM et j’ai découvert que j’en avais beaucoup de plaisir. »

          SM pour sado-maso, bref, c’est les rapports de domination/soumission qui lui font plaisir. L’Islam est bel et bien imprimé en elle, elle a cru le fuir, elle n’a pas bougé d’un iota. La soumission, l’Islam, c’est là où elle retourne quand elle croit s’en libérer.

          • Les rapports de domination n’ont rien à voir avec l’islam. Ce particularisme est plutôt à associer avec la sexualité, non ? Nous n’irons pas plus loin ensemble.

          • Paco :
            la traduction d’Islam en français c’est « soumission ». Je n’y peux rien !

          • En réalité la traduction la plus correcte c’est « esclavage ». La soumission dont il est question, c’est celle de l’esclave envers son maître.

            Dans la conception musulmane du monde, l’homme est l’esclave d’Allah, la femme l’esclave de l’homme, et le monde l’esclave des musulmans – les « mécréants, « infidèles » et autres « kouffars » en particulier. Et ce n’est pas qu’en théorie: le moins qu’on puisse dire est qu’ils ont pratiqué intensément.

            Ainsi, le musulman qui apostasie, subit le sort réservé à l’esclave qui se révolte contre son maître: crucifixion et mise à mort.

            Vous voyez, une fois qu’on a compris la logique profonde, le postulat de départ central de l’islam, tout s’éclaire et tout devient logique

          • Bonjour,

            Avec en prime, le « shirk », c’est-à-dire le fait d’être chrétien, pire que d’être un meurtrier.

            On lit ça très souvent ça sur Oumma.com par exemple.

            Donc nous accueillons des gens, les musulmans, qui nous considèrent comme pire que des meurtriers …

          • @Adalbert,

            non et oui, (mon propos se fonde syr la langue que je connais, l’hébreu et j’extrapole à l’arabe pour les mots de même racine).

            La traduction d’Islam n’est pas esclavage, mais effectivement, le mot esclavage n’est pas différent de celui de « serviteur d’Allah ».
            ‘AbdAllah veut dire serviteur d’Allah, mais aussi esclave d’Allah.

            Le mot travailler, servir ou esclave est de la même racine ‘abd.

            Par contre, la racine M-S-L veut bien dire « dominer », on la voit par exemple dans le récit de la Genèse, après qu’Adam et Eve consomment le fruit défendu, la punition d’Eve est « ton désir ira vers ton mari, et il te dominera ».
            Le mot employé est de cette même racine « M-Sh-L », le « traducteur officiel » de la bible vers l’araméen, il y a plus de 2000 ans, le traduit par un mot que vous connaissez : il utilise la racine S-L-T, « gouverner ». Je dis que c’est un mot que vous connaissez par sur cette racine, se forme le substantif « sultan », à savoir le chef, le gouverneur.

            Bref, Islam est bien domination, mais vous avez vrai pour le rapport à l’esclavage. Je me demande si d’ailleurs, en français, nous n’avons pas la même ambivalence avec le mot servir :
            un serviteur, la servitude, asservissement, et surtout serf.
            on sert son dieu, dont on est aussi bien son serviteur que son serf. On lui est asservi.

          • ajout tardif : je parlais de la racine M-S-L pour dominer, parce qu’elle correspond au mot MuSuLman. Je pense qu’il s’agit de la même racine qui donne dominant ou dominateur, et ça nous renvoie à la traduction de la biographie de cette dame, qui aime les rapports dominants/dominés. Pas sortie de l’auberge la pauvre.

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