Il est temps d’apprendre à nos enfants à se défendre au lieu de prendre des coups

Amour, foi et tolérance : Un beau concept mais qui pourtant ne s’appliquent curieusement  pas aux musulmans, adeptes de la religion de paix et d’amour

C’est beau l’amour ! Le romantisme ! Dès son plus jeune âge, le petit Français baigne dans la culture des bisounours. Ses parents, les personnels de crèche, ceux de l’école lui disent qu’il faut aimer son prochain, être tolérant, surtout pas violent même pas pour se défendre : «Tu as le droit de dire nooooon !»

Voilà, il faut être gentil, pas faire de vague, prendre les autres comme ils sont, la tolérance, la fameuse tolérance. C’est vrai que c’est beau tout ça. Mais est-ce vraiment adapté au monde réel, au monde dans lequel on vit ?

Faire ainsi c’est livrer le petit Français pieds et poings liés à des personnes qui ont peu de scrupule. C’est lui ôter toute vigilance somme toute nécessaire pour naviguer dans les eaux troubles de la vie.

Combien de fois j’ai vu des enfants, des adolescents se faire molester, par des racailles pour la plupart musulmanes, sans qu’aucun d’eux ne réagissent à l’agression. Cela se passe invariablement dans le métro, les sorties d’écoles, les parcs. Et ce qui me rend le plus triste dans l’histoire c’est que cela fait mourir de rire ces « charmants » voyous.

Il est temps de revoir l’éducation des enfants en France car ce n’est pas leur rendre service ce bel angélisme sans discernement. A l’école notamment, on leur apprend une belle notion: C’est le vivre ensemble, une vraie machine à gaz. Les enfants n’osent plus se défendre car ils craignent la sanction et elle vient toujours pour le persécuté pas pour le persécuteur. Il est malin, lui, car jamais il ne se fait prendre. Les gamins sont préparés ainsi à être des punching-balls ambulants, des boucs émissaires pour tous les frustrés en mal de reconnaissance. Ces dernières années, les chiffres comptabilisant les cas de harcèlement à l’école sont alarmants mais on continue à leur dire, amour et paix les enfants. Il ne s’agit pas de les inciter à la haine des autres ni à faire preuve de violence mais de savoir se faire respecter et s’il le faut avec une bonne empoignade dissuasive…

Un autre cas de figure où le jeune non musulman ne peut pas rivaliser face au jeune musulman, c’est dans les relations amoureuses. Le disciple de Mahomet n’oublie jamais pour sa part, en dépit de ses sentiments amoureux, qu’il doit d’abord fidélité à sa « sainteté » le coran. Pendant ce temps, le non musulman, tout amoureux qu’il est, fait tout pour faire plaisir à l’élu de son cœur. Pourquoi cela ? D’où provient ce déséquilibre ?

Dans la société moderne occidentale, le romantisme est érigé en système absolu faisant fi de toute raison pour laisser place à la dictature de l’exaltation des sentiments. Les individus ainsi emportés peuvent être facilement à la merci de personnes peu regardantes des émotions, des principes d’autrui comme le dicte la doctrine islamique à ses adeptes. Voilà comment on finit par avoir les otages de l’amour qui ne mangent plus de porc, ne boivent plus d’alcool et finissent finalement à se retrouver convertis à une religion qu’ils n’ont pas vue venir. A ce propos, ces nouveaux adhérents de l’islam, tous empressés qu’ils sont de démontrer leur amour profond et sincère à leur cher et tendre, font du zèle et se retrouvent plus royalistes que le roi.

Qu’a fait le musulman en échange de tout cet amour donné, rien il n’a fait que réclamer, imposer insidieusement le respect de ses préceptes. Ce n’est pas ce que j’appelle le partage, l’échange, le compromis pour que chacun trouve sa place dans la relation ainsi bâtie. C’est plutôt l’un dominant l’autre. Peut-on appeler cela une relation d’amour ? Permettez-moi d’en douter.

Un fait marquant de ces couples, qui se disent mixtes où aucune hétérogénéité n’est possible, c’est la religion qui est adoptée de façon automatique par leurs enfants bien que parfois n’ayant pas encore franchi eux-mêmes le pas de la conversion. Leurs progénitures portent des prénoms musulmans (même pas des prénoms qui pourraient faire consensus dans les deux cultures !), mangent halal et bien sûr pas de porc, enfin toute la panoplie du bon petit musulman.

Quelques cas y échappent mais tellement peu que c’est comme dirait l’autre, l’exception qui confirme la règle.

Voilà ce que l’on a appris aux petits Français, une tolérance suicidaire, sans condition sous le couvert du bel amour, du romantisme forcené. Pourtant, si mixité il y avait, ce qui aurait pu être beau, cela aurait été le respect de la particularité de l’autre, cet autre que l’on a choisi précisément parce que différent de soi. Ah mince! C’est la romantique qui parle là.

Je pose une question, je n’affirme pas : Le but n’est ce pas plutôt de ramener des ouailles dans la oumma islamique plutôt que de se lier à l’autre par amour ? Je laisse la réponse en suspens, je ne peux affirmer

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28 Commentaires

  1. allez n hésitez pas dans une ville moyenne du 58 pres de la loire au dessus d un MC, club toutes boxes et self des Hommes des Femmes des Enfants, mais pas de M…..choisissez vos salles a bientôt

  2. Samia
    Vous n’etes pas islamophobe, puisque vous n’en avez pas peur.
    Je vous trouve meme très courageuse.
    Vous avez absolument le droit de critiquer un système politico-religieux qui pourrit la vie de toute la planète et qui veut imposer sa loi ( la charia ) au monde libre.
    Comme dirait ibn warraq, c’est meme un devoir de dénoncer une idéologie qui veut la perte de l’humanité.

    • Je suis d’accord avec vous, c’est un devoir de critiquer l’islam et j’ai commencé à le faire ouvertement dès mes 17 ans.

  3. Je fais une petite aparté. Il y a la défense physique qui est nécessaire, vitale mais aussi toute aussi importante la défense de son identité. Celle-ci part à vau-l’eau par les temps qui courent. Les mariages mixtes musulman-non musulman me posent un vrai cas de conscience. Pourquoi accepter de se coucher ainsi et obéir à toutes les injonctions religieuses de son conjoint ?

    • Mais, si vous me permettez, quelle est votre identité (culturelle) et celle de votre conjoint ? Êtes-vous kabyle/berbère ou arabe ? Ou complètement affranchis de ces racines-là (ce que personne ne vous demande ici, d’ailleurs…) ? Car comment faites-vous pour affronter votre famille/belle famille là-bas ?

      • J’ai comme je l’ai déjà dit des origines kabyles que je ne peux nier. Ma culture est française avant tout. Si on est logique et je pense l’être, je suis née et j’ai grandi en France donc je ne vois pas pourquoi je devrais m’attacher à un autre pays, avoir une autre culture. J’ai gardé de la culture kabyle ce qui est bien et en adéquation avec mon identité française et ce qui ne l’est pas, je l’ai banni de ma vie. Mon mari est d’origine kabyle et comme moi il est athé. C’est d’ailleurs ce qui m’a attiré vers lui. Il avait un parcours similaire au mien et donc on se sentait sur la même longueur d’onde.
        Tous les deux, nous vivons à des années lumière de l’islam qui a été importé par la force sur la terre de nos ancêtres. Nous nous sentons en priorité français avec une ascendance kabyle.
        Je ne veux pas paraître raciste mais je rejette totalement l’arabité qui n’est pas mienne, je n’ai aucun lien avec elle.
        Voilà, j’espère que j’ai répondu à vos interrogations.

      • J’ai oublié pour ma propre famille comment ça se passe. Il n’y a que ma mère qui n’approuve pas trop mon apostasie mais comme j’ai toujours été une tête de pioche elle n’a pas trop le choix. De plus chez les kabyles, le rejet de l’apostat même s’il existe est bien moindre car c’est un phénomène assez courant. Pour ma belle famille, ils sont au courant mais comme il y a beaucoup d’affection entre nous, ils m’acceptent comme je suis. Je pense qu’ils ont su passer outre pour ne retenir que mes valeurs humaines.

  4. La Suisse sera mieux armée que la France:
    Armée, civisme, imbrication des patriotismes locaux, cantonaux et national les uns dans les autres ( un pour tous et tous pour un, les romands viendront au secours des tessinois ou des bernois par principe)…des valeurs abandonnées par la France qui se communautarise et se partitionne en s’islamisant
    Tout sera à refonder.

  5. Nous combattons une idéologie fasciste, c’est Geerd Wilders qui le dit et nous devons la vaincre, l’écraser , sans devenir des fascistes nous-mêmes, redevenir des soldats pour rester libres et maîtres chez nous.

    • Je suis d’accord avec votre commentaire , nous nous ne faisons pas d’illusion , cela sera , pas de prisonniers , pas de quartiers , pas de pitié , eux ils n’en auront pas pour nous les « mécréants  » , les droits de l’homme ils s’en contrent fiche .

  6. Bravo Samia !

    L’idéal est bien sûr de ne pas agresser gratuitement autrui mais de savoir se défendre verbalement ou physiquement quand on est agressé (qu’on soit enfant ou adulte).
    Il y aura malheureusement toujours ce « jeu » du bourreau et de la victime.
    Il y a des enfants sensibles et faibles physiquement qui sont les victimes idéales et qui peuvent être dans le plus grand désarroi face aux persécutions, aux humiliations. Les adultes doivent pouvoir repérer ces situations et protéger les victimes ! Car gare aux conséquences sur une vie entière…
    C’est très facile de dire à un gamin : bats-toi …Mais quand il est frêle, faible, exclus, moqué et qu’il est tous les jours avec ses bourreaux que peut-il faire si ce n’est ressentir une immense solitude…et subir des humiliations.
    La méchanceté des enfants, des adolescents entre eux, est souvent sidérante… ( et de tous temps) dans tous les milieux…
    Les pensionnats religieux, les orphelinats, catholiques, se sont aussi illustrés par leur cruauté…Certains religieux chrétiens (adultes) se sont comportés de façon odieuse avec des enfants (à lire : « personne n’est venu » de Toni Maguire et Robbie Garner) …Hélas la cruauté est universelle…(et son terrain privilégié ce sont les institutions, les huis-clos…)

    Je me méfie beaucoup des « groupes » qui sont quasiment toujours sur le même modèle avec des : leaders, leurs « collaborateurs », soumis et lâches, et des exclus sur lesquels on crache…

    • Je suis tout à fait d’accord avec vous dans tous les milieux il y a des salauds pour persécuter plus faibles que soi. Les adultes ferment les yeux souvent parce que c’est plus simple, plus confortable de faire la politique de l’autruche, comme si cela n’existait pas.
      Le problème ici, c’est que pour les adeptes de l’islam emmerder, humilier, harceler et j’en passe et des meilleurs c’est la règle d’or et tout cela cautionné par leurs parents, leur famille. Les enfants musulmans qui échappent à cette mentalité sont ceux dont les parents malgré leur islamité ne les ont pas éduqué dans cette ambiance de violence, de non respect de l’autre. Ils existent toujours dans tout groupe les exceptions qui confirment la règle.
      Il est vrai que nous ne sommes pas tous égaux en terme de force physique mais je pense qu’il y a toujours moyen de se défendre un bon coup de pied là où je pense, une bonne morsure en traître … Ce sont les parents à mon sens qui doivent soutenir leurs enfants pour mieux faire face aux aléas de la vie réelle.
      Et oui! Je suis d’accord, il faut arrêter de victimiser les arabo-musulmans. Ils sont responsables de ce qu’ils leur arrivent. Leurs excuses bidons de racisme sont d’une mauvaise foi inouïe et leur permettent de continuer de terroriser, de commettre leurs actes délictueux. Il y a des victimes collatérales mais à elles de se battre et de prouver leur bonne foi. Ce n’est pas aux autres de leur donner des chèques en blanc.

  7. Je suis tout à fait d’accord avec votre analyse. Les musulmans ont la solidarité chevillée au corps avec leurs semblables quand les occidentaux eux sont enfermés dans leur individualisme forcené qui les empêche de voir les agressions qu’ils subissent. Quand un musulman est soit disant attaqué c’est toute sa communauté qui se lève et quand c’est un européen très peu de gens viennent à sa rescousse.

  8. C’est bien d’apprendre à se défendre, y compris d’avoir pratiqué, comme dans ma jeunesse des arts martiaux ou des sports de combat en plus d’une formation militaire, mais ça ne suffit pas s’il n’y a pas de solidarité.
    Mon pseudo est « Sarisse » , la sarisse est une longue lance macédonnienne , plus longue que le doru des grecs qui permit aux armées de Philippe puis d’Alexandre d’aller de l’Hellespont jusqu’aux rives du Gange en terrassant des armées plus nombreuxes.
    Mais ces piques formaient alors un véritable mur hérissé par des guerriers solidaires les uns des autres et frustraient les armées ennemis qui ne pouvaient rien contre cette solidarité et cette solidité( les romains d’autres européens, trouveront la solution à la bataille de Cynocéphales) que reprendront les tortue romaines.
    Mais une sarisse toute seul se transforme en une lance dérisoire(image).
    Seul, même experts en arts martiaux, charpentés comme des Hercule, vous ne pourrez rien face à des nuées de racailles, il faut d’abord retrouver ces liens qui tissent les citoyens entre eux , comme des hoplites, les uns vis-à-vis des autres pour faire reculer ces nuées d’ennemis.
    Ce que nous défendons derrière ces épées et ces boucliers, même si cela devient métaphorique, avec le bulletin de vote, aujourd’hui, c’est notre liberté et notre art de vivre européen, si nous nous dispersons et il faut bien reconnaître que dissidents et résistants n’étant pas la même chose, nos ennemis gagnerons la partie.
    En Italie, c’est une coalition de partis parfois antinomiques sur bien des sujets, mais conscients d’un danger commun qui sont parvenus à se constituer comme une phalange ou une légion de citoyens qui ont anticipé le danger de l’immigration invasive de colonnes islamisées et hostiles.
    Nous ne redeviendrons jamais fort en ordre dispersé ou seuls dans nos coins respectifs, même avec des corps d’athlètes, si nous ne nous reconstituons pas comme une force d’ensemble dissuasive et efficace.
    Que nos enfants soient résistants, forts, déterminés à ne pas se laisser faire c’est une très bonne chose, mais à condition qu’ils se rencontrent, se réunissent, se renforcent mutuellement et ne soient pas seuls.
    N’oublions pas que le diviser pour régner est plus fort que jamais.

    • J’aime beaucoup cette vision, cette analyse. Le confort apporté par les « trente glorieuses », n’ a t il pas dispersé aux quatre vents, cette capacité de s’unir, que ce commentaire souligne parfaitement ? L’individualisme a été renforcé par le monde des marchands et maintenant il est la norme, la doxa mortifère…

  9. J’ai appris à mon fils a se défendre s’il était agressé tout en lui interdisant d’agresser sans raison. Je ne compte plus les fois où j’ai été convoqué par la direction de l’école, On me faisait la leçon en me disant que mon fils était violent, bien sûr les petits muzz qui l’emmerdaient eux, bien qu’étant les agresseurs, étaient traités en victimes. Un jour dans la cour, alors que je venais chercher mon fils je le vois aux prises avec 3 muzz (ils ne s’attaquent jamais seul à quelqu’un ce sont des lâches dès le plus jeune age) Je lui avais appris, entre autres, à se servir de sa ceinture et il se débrouillait à la perfection en faisant tournoyer la boucle et en assénant quelques coups bien placés aux petites ordures qui l’agressaient. C’est alors qu’un surveillant sans aucune hésitation interpelle mon fils sans rien dire aux 3 muzz qui pourtant étaient les agresseurs. Alors j’ai interpellé ce surveillant en lui demandant pourquoi il ne s’adressait qu’à mon fils qui se défendait contre 3 gamins qui l’agressaient et pourquoi il ne disait rien aux 3 agresseurs?.. Il me répond que mon fils risquait de les blesser.. Je lui demande alors s’il est juste de réprimander un gamin qui se défend contre 3 voyous en utilisant les moyens qu’il a à sa disposition et là bien sûr il a eu du mal à me répondre…. Mais ça n’a pas empêché une convocation devant la direction de l’école où j’ai pu dire que j’avais assisté aux événements et réitérer mes questions aux donneurs de leçon de l’équipe éducative, questions qui ont suscité beaucoup de gène et le comportement habituel des dhimmis que l’on met en face d’une réalité qu’ils ne veulent pas admettre et qui tournent autour du pot en vous traitant a demi mots de « raciste » .. Bref j’ai félicité mon fils et je crois pouvoir dire qu’aujourd’hui il fait partie de ceux qui ne se laissent pas emmerder par toutes ces ordures de muzz. Malheureusement trop peu de nos gamins sont éduqués à se défendre

    • Votre fils pourrait influencer ses camarades. Il pourrait les inviter à la maison, où vous combleriez leurs lacunes. Ils ont de mauvais pères.

  10. Ce que vous dîtes est exact mais si nous adaptons nos comportements à ceux de nos adversaires – voire ennemis – se sera pour leur ressembler : nous ne serons plus chrétiens mais déjà musulmans !

    Vous mettez le doigt où ça fait mal parce que notre culture, notre identité est chrétienne : l’amour et le respect de l’autre, l’empathie pour autrui, évidemment tout le contraire de ce que l’on voit tous les jours dans les « quartiers » ou avec l’exemple de cette ordure qui a détourné une ambulance dans le Jura, alors que les pompiers portaient secours à une femme âgée. Lui, il s’en foutait, il en riait et en plus s’en flattait !

    Cela n’est pas nouveau et ce qui m’étonne le plus c’est que ces comportements n’aient pas, depuis longtemps, amené la révolte dans notre pays. Car il est vrai que même en étant chrétien, le moment vient où supporter le saccage du bien public, les voitures incendiées, relève de la lâcheté… Et que l’on accepte tout, sous prétexte de refus de racisme relève de la bêtise et de l’escroquerie…. Nos compatriotes ne le comprennent-ils pas ?

    Le dilemme de devoir passer outre ses plus profondes convictions, au risque de devenir aussi barbare que l’ennemi, c’est souvent posé à ma conscience, notamment depuis l’enfance où, justement, j’ai dû me défendre. Quand on est de nature pacifiste on peut en vouloir beaucoup à des ordures de vous mettre hors de soi, d’être dans l’obligation de se renier pour ne pas être lâche.

    • Je suis athée pour ma part et profondément pacifique. Cette valeur m’a été transmise par mon père car il n’aimait pas l’injustice ni la méchanceté envers autrui. Par ailleurs, l’empathie est ce qui m’a guidé dans le choix de mon métier, j’essaie toujours d’être juste. Je suis manager, je gère des équipes depuis très longtemps déjà et mes collaborateurs ont toujours apprécié travailler avec moi car je leur demande d’être compétent mais toujours dans le respect de leur individualité.
      On peut se défendre sans forcément avoir à devenir un barbare comme son ennemi. J’espère ne jamais avoir à en arriver là.
      Mes enfants je leur dis : Vous devez user de la force seulement pour vous défendre et surtout pas pour faire du mal aux autres de façon gratuite. Très régulièrement, j’ai des discussions avec eux sur le harcèlement d’autrui, le mal que cela peut causer.
      User de la force pour se défendre n’est pas s’adonner à une violence sans borne mais à une réponse proportionnée qui dissuade suffisamment les agresseurs éventuels.
      Quand j’étais jeune, j’en avais fait l’expérience. J’avais tendance à me « laisser faire » car je n’aimais pas la bagarre. Il y avait un garçon qui s’acharnait sur moi. Dès qu’il pouvait, il s’en prenait à moi pour un oui pour non jusqu’au jour où j’ai fait une overdose de son harcèlement à mon égard. Je me suis mise dans une colère noire, j’avais besoin de ça pour me défendre. Je n’en pouvais tellement plus de ces agressions perpétuelles, malgré qu’il était plus fort que moi, ma rage m’a aidé à le battre. De ce jour, il ne m’a plus embêté et même il est devenu « gentil » avec moi comme quoi il n’y a que le bâton qui calme.

      • Merci Samia pour votre réponse pleine de bon sens. J’ai été dans la même situation que vous mais moi c’était une fille qui me harcelait, par jalousie, en me tirant les cheveux, en me pinçant très cruellement. Je ne me défendais pas, jusqu’au jour où j’ai eu la même réaction que vous et où j’ai failli la massacrer. Et les mêmes causes produisant les mêmes effets, comme vous ma persécutrice m’a fiché la paix. Preuve que ceux qui harcèlent les autres sont des lâches et des froussards : s’ils aiment faire du mal ils ne veulent surtout pas qu’on leur en fasse !

  11. Le problème, c’est que les muzz ne se battent jamais à un contre un, et ils attaquent aussi par derrière. Si un Français se rebelle et se bat, il ne pourra compter sur aucun soutien.

  12. Il y a surtout le problème du nombre a l’école comme dans la rue.
    Après , le vrai enjeu est le manque de solidarité entre non musulman ,du a la peur , au manque de connaissance sur leur culture et celle de l’envahisseur. ..

    • Je pense que c’est surtout parce que l’instinct de défense a été brimé dès le plus jeune âge et que cela a déshabitué les enfants à oser le faire. Ils sont montrés du doigt par les instits, les personnels qui s’occupent d’eux qu’ils finissent par baisser les bras et accepter la violence envers eux pour éviter les problèmes. Si les parents en rajoutent en plus une couche à la maison, la boucle est bouclée. Beaucoup d’adultes aujourd’hui sont adeptes du no violence, tout se règle par le sacro saint dialogue, culture baba cool tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Tout est psychologisé à outrance, la vertu de la parole à tout va a fait perdre de vue que parfois il n’y a que la bonne vieille tarte qui peut aider à s’en sortir.
      Mon fils était en maternelle constamment embêté par un autre enfant. Son père et moi lui avions dit de se défendre ce qu’il a fait. Il a été puni pour ça depuis il n’osait plus le faire, il ne voulait pas passer toutes ses récréations sur un banc. Ça n’a pas été évident pour le pousser â se défendre à nouveau. Il a fallu qu’on se fâche avec lui dans un premier temps puis qu’on le rassure sur son droit à se faire respecter. Tant pis pour les punitions, se faire respecter est bien plus important.

      • Absolument d’accord avec vous Samia et tout cela rend les gens hypocrite et pleutres de surcroit.
        J’ai toujours vécu en banlieue la différence avant c’était que la société qui avait vécue l’immédiate après guerre avait encore la culture de la baston.
        Mais en face on avait les cognes et les paniers à salade qui portaient bien leur nom. Il n’y avait pas cette culture de l’excuse.
        Un voyou est un voyou si vous lui donnez un doigt il vous prend le bras!
        Quelle que soit sa race ou son origine.
        il n’y a pas de racialisme à faire et les voyous étaient aussi opportunistes qu’aujourd’hui mais la société les empêchaient d’aller trop loin .
        La société était tendue vers le respect à tous les étages.
        Les enseignants se faisaient respecter et leur hiérarchie les soutenait.
        La différence c’est que la gauche est passée par là avec la culture de l’excuse surtout quand on est Black ou beur.
        Les policiers seraient des blancs racistes et les jeunes dealers de gentils gars harcelés par les contrôles au faciès.
        Hors cela ne peut que continuer dans ce sens quand on ne fait rien pour freiner la délinquance. Ceux qui en sont à l’origine vont se sentir confortés donc aggraver le taux et donc logiquement être plus contrôler « of course ».
        La gauche est fautive d’avoir dressé une partie de la société contre l’autre, d’avoir muselé la parole et d’avoir fragilisé les jeunes qui ne savent plus se défendre puisque l’on a pas le droit de toucher à l’autre partie de la société sans être taxé de racisme.
        Une bande de noirs qui tabassent un jeune blanc c’est un fait divers l’inverse c’es un cas de racisme qui aggrave donc les peines encourues.
        Ces jeunes sont comme le reste de la société sous le joug des remplacistes qui eux sont de vrais racistes dangereux.
        Lorsque j’étais jeune dans les années soixante et que j’assistais à une bagarre on ne s’occupait pas de l’origine des protagonistes et on était pourtant pas plus ni moins raciste qu’aujourd’hui, c’était la bande de tel quartier contre tel autre les meneurs pouvaient être blancs noirs italiens d’origine ou maghrébins.
        Pour se faire respecter il fallait taper celui qui était le caïd de la bande et vous étiez tranquille . Ce que je ne me suis jamais essayé à faire, je vous avoue car limité par mon peu de force physique mais je n’aurais jamais laissé un copain se faire bastonner sans intervenir ce qui m’est souvent arrivé par contre et qui m’a permis en retour de bénéficier du soutien des autres

  13. Et qui va leur apprendre à se battre ?
    Les pères qui passent leur temps à baisser leur froc?

  14. Chaque fois que j’étais appelé à l’école parce que mon fils ou ma fille avait dérouillé un petit muzz, je donnais 10 euros à mes enfants, en leur disant que c’était bien. Mon fils avait acquis une telle réputation que personne le faisait chier; Idem pour sa soeur.

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