L'appel du muezzin à Compiègne… Ils gagnent du terrrain !

Ils gagnent du terrain…
Le chant du muezzin s’élève dans Compiègne.
C’est encore un quartier ou s’établit le règne,
des barbus, cette pestilence,
cette infection de la conscience…
Quand va t on dégager ces malfaisantes teignes ?
PACO. Désinfectant. Prix de gros !
04/06/2018.
 

L’appel à la prière résonne dans le quartier du Clos-des-roses, à Compiègne. Mouhssine Assiz, en khamis, la longue tunique, et barbe drue, annonce ainsi le coucher du soleil et la rupture du jeûne. À 21 h 50, ce samedi 2 juin, l’Iftar, ce repas du soir pris durant le mois du Ramadan, peut débuter.

«  C’est comme un repas de quartier ; il n’y a pas d’acteurs religieux ; je suis moi-même un simple croyant, ingénieur, directeur d’une usine Saint-Gobain à Thourotte  », précise ce trentenaire. À deux pas de lui, un bidon métallique fait office de barbecue, les tablées pour plus 200 convives sont dressées sur la place du marché, par une douzaine de jeunes gens. «  Le deuxième service événementiel de Compiègne  », loue Benjamin Belaïdi, à l’origine de la première édition.

Ce dîner est soutenu par la municipalité : logo de la Ville sur les affiches, matériel communal mis à disposition, présence d’animateurs des quartiers, subventions aux associations organisatrices… Compiègne en fait-elle trop au regard de la loi de 1905, aux textes sur la laïcité et de la jurisprudence du conseil d’État ?

«  Pour Noël, c’est naturel de faire un repas. L’Iftar doit devenir aussi naturel. Pas seulement entre musulmans. L’an passé, une association catholique était présente  », revendique Abdoulaye N’diagye, secrétaire de Jeunesse Avenir Doré, association née dans le quartier. «  C’est plus culturel que cultuel  », se dit convaincu Romain Rayez, membre de l’UDI et coprésident du Conseil de développement pour Compiègne.

« Les vraies valeurs de l’islam »

Un banal banquet républicain, alors ? Pas vraiment. Aux beignets et jus de bissap, concoctés par les mères de famille africaines, s’ajoutent, par exemple, les faitouts fumants de boulgour, cuisinés par les bénévoles de l’une des mosquées de Compiègne, celle des turcophones. À table, les convives échangent ainsi sur leurs pratiques religieuses : la prière à 23 heures à la mosquée, le dernier thé avalé juste avant les premières lueurs du jour, parfois les horaires du travail aménagés pour ce mois de carême…

Et Mouhssine Assiz ne cache pas son espoir qu’un tel repas soit de nature « à montrer les vraies valeurs de l’islam  ». Désir louable pour des croyants, mais assez peu neutre. «  Je ne suis pas soumis à la neutralité. Je ne suis pas là en tant qu’agent du service public, mais comme militant associatif  », argumente Benjamin Belaïdi, salarié municipal et déjà à l’origine d’une marche pro-Gaza et d’une collecte pour Barakacity, une ONG réputée salafiste.

De son côté, le maire Philippe Marini (LR) banalise volontiers et la manifestation, et la contribution de la ville «  C’est une sorte de fête des voisins. La Ville rend service. C’est tout à fait justifié. » Et s’il n’était pas présent sur la place Baudelaire, samedi soir, c’était qu’il était à la mosquée, celle quai du Clos-des-roses. «  L’imam m’invite, il a la courtoisie de le faire, j’y réponds. C’est pour manger un couscous et il est plutôt bon, en général  », commente le maire sur le même ton patelin.

Le culte musulman n’est pas le seul à bénéficier de son attention. Il a, ainsi, toléré pendant des années que les intégristes catholiques occupent gracieusement des locaux municipaux, la chapelle située rue du Grand-Ferré. Il ne cache d’ailleurs pas aller lui-même à la messe tous les dimanches et ne rate pas celle donnée pour les fêtes Jeanne d’Arc. «  Ce dimanche, je n’y vais pas deux fois  », badine-t-il.

Une attitude contraire à la tradition république ? «  Conforme à la tradition compiégnoise !  », réplique Philippe Marini.

MARIELLE MARTINEZ

http://www.courrier-picard.fr/114269/article/2018-06-03/compiegne-rompt-elle-avec-la-laicite-video

 471 total views,  2 views today

image_pdf

12 Commentaires

  1. L’appel du muezzin en France !!
    Ca manquait au tableau. A pleurer. La totale.
    On est foutu.

  2. Qui est ce benjamin belaidi ? je ne comprends pas son prénom français, son nom à consonance nord-africaine

  3. Et oui, les musulmans défendront jamais les lois mécréantes et les mécréants d’Europe, ils les contestent déjà et veulent imposer leur merde d’islam en Europe, avec l’aide de nos dirigeants qui bradent spécialement un peu nos lois pour eux pour que les musulmans soient libres d’imposer leur charia et leur dictature islam criminogène.
    En Belgique, il y avait déjà le président du parti islam qui voulait imposer la charia en Belgique et mettre les femmes et les hommes dans des transports en communs différents.
    Nos dirigeants ont refusés bien sûr, pour le moment ils ont su résisté, formidable, nos dirigeants ont résisté à l’islam, sans islamophobie à même titre que le racisme !, formidable, c’est sûr, ils ont enfin fait quelque chose contre l’islam.
    Mais les musulmans le disent que c’est une question de temps, que nos dirigeants leur laissent le temps, bien sûr, quand les musulmans seront plus nombreux en Europe, ce sera la charia ou la guerre pour le vivre ensemble et nos formidables dirigeants auront une troisième guerre mondiale tant recherché désespérément, il faut bien un petit conflit de temps en temps.
    Les musulmans vont bien réussir un moment ou un autre, avec les musulmans il faut encore leur mettre voyez vous, aussi non, comment voulez vous qu’ils islamisent l’Europe ces braves gens, c’est à se demander si nos dirigeants la mettent pas aussi pour la baise musulmane pour faire leurs gosses, car voyez vous, les musulmans peuvent encore se tromper avec un âne, voyez vous, c’est que les européens doivent aussi se laisser faire, vous comprenez, et attention à la haine des autres et l’islamophobie à même titre que le racisme.
    Nos dirigeants vont bien trouver un héro chez les musulmans pour bien le vivre ensemble.

  4. Bonjour à toutes et à tous,
    Respect PACO.
    Comment dire ! Voici quelques extraits qui permettront de faire la liaison entre ce qui est entrain de se dérouler par devant Nous, et Algérie :la « décennie noire »
    « L’islam est la solution, La charia est notre Constitution : ces slogans que l’on pourrait aisément prêter aux cadres de Daech ont été scandés dès les années 1990 dans les places, les rues ou les stades algériens. France 10 juin 2015 à 12:59 à la barre, Mohamed Achamlane, alias cheikh Abou Hamza, l’émir de Forsane Alizza, continue de nier les accusations de terrorisme, tout en prônant « un jihad noble . Nous entendions créer une police musulmane », le meilleur arrive, jugé en correctionnelle avec 13 autres membres de son groupuscule islamiste pour association de malfaiteurs en vue de commettre des actes terroristes »
    Les carburants de la radicalisation
    Une distinction réside dans le mode de propagation des idées djihadistes. En Algérie, la radicalisation de la jeunesse s’est principalement réalisée à l’ombre des mosquées, seules véritables espaces d’expression et de contestation en dehors des radars étatiques. C’est à l’intérieur de ces espaces que se sont cristallisés et développés des discours de rupture véhiculant l’idée d’une altérité irrémédiable entre le « eux » et le « nous ». France, les mosquées toujours en pleine expansion ! Avec le reste, tout le reste…
    Les premières victimes sont principalement des militaires et des policiers. Au milieu d’une population d’abord indifférente ou attentiste puis effrayée ou terrorisée et qui ne sait à quel saint se vouer pour trouver une issue. Le scénario semble à chaque fois être le même : un groupe de terroristes investit une localité ou un village de nuit, il prend les précautions nécessaires pour ne pas être attaqué : en minant les accès principaux qui mènent vers le lieu ciblé, en plaçant des combattants armés sur les chemins qui y conduisent, en sabotant pistes et routes, etc. Ils coupent ensuite l’électricité et plongent les habitants dans le noir. Et puis, l’égorgement commence à l’arme blanche et à la hache, aux cris de allah ou akbar, en insultant Aucune distinction n’est faite entre les victimes. Les enfants, comme les bébés, les vieillards et les femmes, sont passés pareillement au fil de la lame. Insensibles aux imprécations des futurs égorgés, les assassins se livrent à des actes d’une rare cruauté, destinés à frapper les esprits…
    Voilà c’est déjà le début de la faim, la réalité sera plus dure que ces témoignages qui n’ont servis à rien.
    Amis compatriotes, fourbissez vos défenses, Vive la France, Vive Nous, Messaoud.

  5. C’est pas à Compiègne que Jeanne d’Arc s’est faite choper par les bourguignons, à l’époque traîtres au roi de France? On dirait que l’histoire se répète avec tous ces collabos, qu’ils soient maires ou curetons.

  6. “occupent gracieusement des locaux municipaux, la chapelle située rue du Grand-Ferré”
    Ah bon ? Il y a des “chapelles” municipales maintenant ?

  7. Carême…………………….
    ces pseudo journamerdes sont d’ une ignorance et inculture gigantesques!!
    oser parler de Carême devant cette débauche de goinfrerie quotidienne…elle devrait se rapprocher , par exemple d’ une Roumaine orthodoxe pour enfin apprendre ce qu impose le Carême aux fidèles
    conasse !!

  8. Payez les Français, pendant que cette secte satanique nous pisse dessus et nos élus qui nous disent que c’est pas grave si il pleut. Toute cette merde nous coûte un pognon fou, la dette explose, on a de plus en plus de mal à vivre, mais il en arrive de plus en plus au point que je me demande si un jour on pourra les virer.

  9. Quelle conne cette journaleuse en disant, dixit ;parfois les horaires du travail aménagés pour ce mois de carême . Le Carême n’existe pas dans l’islam , prétendre cela s’en manipulé les gens , c’est dans la tradition catholique que le Carême est institué pas dans l’islamerde , encore une journasalope qui est une bonne suceuse de babouche .

Les commentaires sont fermés.