Lettre à mes enfants, Eve et Adam… Je suis parti parce que votre maman préfère Allah à papa (7)

Nous avons commencé il y a quelques jours la publication d’un petit récit sous forme de feuilleton.

Il s’agit d’une histoire vraie, les noms des protagonistes ont été changés. L’auteur, le père,  raconte une histoire poignante, une lente descente aux Enfers due à l’islam. Il libère la parole…  :  Pour que la société dans laquelle vous allez grandir et vivre plus tard ne connaisse pas le même sort que notre famille et que l’air que vous allez respirer ne soit pas chargé de tous ces non-dits d’aujourd’hui qui rendront l’atmosphère de demain viciée, je vais libérer ma parole et raconter ce que mon inconscient me disait lorsque je vivais avec votre mère mais que je ne voulais pas entendre.

Ce que j’ai vécu, si nous n’y prenons pas garde la société va le vivre un jour au l’autre avec plus d’inertie et de lenteur que notre famille mais le résultat sera la même : l’explosion.

Voici la septième partie.
Christine Tasin

 

Ma mère est décédée le vendredi 16 juin à 16 heures 25 dans le service de réanimation où elle était entrée le 1er juin. Le matin du 16 juin, le chef de ce service de réanimation nous a expliqué que maman allait partir très bientôt, que le risque était qu’elle s’étouffe et que si nous avions leur accord, ils l’aideraient à partir paisiblement. Même si je me doutais que dans les 8 poches de produits qu’on lui injectait dans le corps depuis quinze jours il y avait de la morphine, comment voulez vous prendre une telle décision.

On parle d’euthanasie dans les médias et cela divise la société mais il faut passer par ce moment ou l’on doit prendre une décision inhumaine pour savoir de quoi l’on parle.
Les soignants sont des personnes extraordinaires et cela vous fait relativiser les peurs de certains de manger du porc, de boire de l’alcool, de montrer ses cheveux lorsque l’on est confronté au quotidien de ces gens qui côtoient la mort qui sont sous payés et qui restent pourtant si compétents et dévoués.
Nous leur avons dit que nous ne voulions pas prendre cette décision mais que nous savions qu’ils allaient faire au moins pire pour que maman parte en paix dans son sommeil.
Ce n’est pas la décision d’une seule personne mais d’un staff qui, dossier médical en main, vous explique très précisément la situation car comme ils m’ont dit « à l’impossible nul n’est tenu hélas »
Mon père, mon frère et moi, nous étions là tous les trois quand maman est partie.
Les personnes qui comptaient le plus pour elle allaient l’accompagner mais ce moment vous semble être un cauchemar que l’on fait et que l’on va vite se réveiller. Mais non, hélas vous êtes dans la réalité. Et vous passez par tous les sentiments, la douleur, la peur, l’interrogation de savoir ce qu’il y a après,… Votre vie défile et les moments délicieux que nous avons passés avec maman vous permettent de rester debout et de faire face à l’inacceptable.
Comme maman était branchée de partout, nous avons vu son cœur s’éteindre doucement sur le moniteur : 70 pulsations, 50,30,20,10,5,0 bip bip bip.
C’était vraiment émouvant. Mon père était dévasté, Philippe aussi. Je me suis chargé des pompes funèbres car vivre un décès un vendredi à l’Hôpital oblige à ne pas sombrer et à aller prendre des dispositions afin que le corps puisse sortir avant le week end car passé 48 heures c’est la morgue de l’hôpital qui conserve la personne décédée jusqu’à l’inhumation et nous ne voulions pas de cela pour maman.
Quand je suis rentré à Ivry détruit physiquement, mentalement, je n’ai rien voulu dire à Nazma : je n’étais pas en état d’entendre un mot méchant sur ma mère comme ce que j’avais entendu quelques jours plus tôt après la mort du poisson rouge des enfants lorsqu’elle avait chanté « le poisson rouge est mort, c’est le premier mort tralala » Depuis cet air me hante souvent.
Pendant ces semaines où j’ai fait des allers retours quotidiens pour être au chevet de maman à l’hôpital Nazma a tout tenté pour me faire souffrir et avancer dans son djihad, son dessein d’islamiser la France qui tourne en boucle dans sa tête
Sans faire un liste à la Prévert, elle à comparé ma mère à son poisson rouge, elle m’ a mis un steak cru devant les yeux un jour de biopsie.
Un samedi matin tôt alors que je me préparais pour prendre la route de l’hôpital à Amiens, je vis l’eau envahir la salle de bain car la veille avant de se coucher elle avait déboîté le siphon du lavabo. J’ avais bien compris que c’était elle qui avait fait ce geste puéril et comme toujours je n’avais rien dit et j’avais épongé toute cette eau.
Elle devait ronger son frein ce matin là car elle se leva en furie alors que je partais. Elle est venue vers moi en criant que la prochaine fois que je ferais un dégât des eaux, je la prévienne car son sèche cheveux était dans le tiroir sous le lavabo. Comment peut-on être bête au point de penser que j’allais perdre mon temps en bagarre stérile alors que ma mère était en phase terminale de sa maladie. Un autre jour elle cacha mes lunettes derrière un placard,.. Le pire fut quand elle me dit que nous étions une famille de fourbes et de menteurs et que j’étais un fils de… (je vous laisse imaginer la suite) après que son neveu qui curieusement m’évitait depuis l’hospitalisation de ma mère lui ai dit que nous l’avions mal traité lors de son dernier séjour à Fouilloy lorsqu’il avait aboyé le nom de ma fille en arabe sur ma mère.
Je lui dis d’arrêter de me parler du « petit à sa tata » Hajal qui était venu pleurer dans ses jupes. Je dois avouer que ce jour là j’ai failli devenir violent mais par respect pour ma mère qui avait toujours atténué mes colères lorsque je lui parlais de la religion de Nazma je pris encore une fois sur moi. L’image des yeux d’amour que ma mère me portait même sur son lit de mort me permit ce jour là de ne pas faire plaisir à cette famille si particulière et déphasée dans notre France contemporaine.
Nous étions en plein ramadan durant ce mois de juin, je devais subir la radio à fond, les prières, les chansons arabes alors qu’elle savait ma douleur.
L’enterrement était le 21 juin,un mercredi et un jour de canicule.
La veille, j’ai dit à Nazma :
Demain, je ne serai pas là, j’ai quelque chose de très important à faire.
C’est la seule fois depuis que maman était entrée à l’hôpital que je lui demandais un service. Sans savoir que maman était décédée, elle aurait pu penser que j’avais un rendez-vous avec le médecin par exemple et sa réponse me confirma que j’avais eu raison après avoir longuement hésité à ne pas lui avoir annoncé le décès de ma mère.
Non, tu ne peux pas : n’oublie pas que les enfants sont invités à l’anniversaire d’un copain de classe à Gulli parc, et moi je travaille, je ne peux pas les déposer, alors tu les emmènes et moi je les récupère à 16 heures inchalla
Je n’ai rien dit, encore une fois j’ai pris sur moi, je me suis organisé avec une cousine. Je suis allé chercher un cadeau d’anniversaire, j’ai confié les enfants à la cousine. J’ai laissé un papier sur la table de la cuisine : « Ma mère est décédée. Je l’enterre aujourd’hui. Elle va te maudire en enfer car c’est ce que tu mérites. »
Je savais que la seule obsession de Nazma, c’était d’aller au paradis après la mort puisque souvent depuis quelques mois elle me hurlait « moi j’irai au paradis »
Quand je suis rentré le soir, elle est venue dans ma chambre pour me dire :
Je sais que ce n’est pas le jour, mais j’ai besoin de ta signature sur la carte grise, demain je dois faire les papiers.
Les gens qui se radicalisent n’ont pas besoin de mener des actes extrêmes, ils n’ont pas besoin de poser des bombes pour blesser ou tuer. Je ne sais pas comment Nazma pouvait encore espérer aller au paradis après tout ce qu’elle m’a fait. Pourtant, tout ce qu’on avait vécu avant, l’amour, les enfants, on l’avait vécu ensemble. Elle avait voulu aussi ce bonheur partagé.
La séparation
Après le décès de ma mère, j’ai pris un avocat pour répondre à l’assignation au tribunal de Nazma.
Sur les conseils de l’avocat, j’ai fait un référé : le neveu avait acheté une voiture de neuf places pour aller en Algérie en juillet avec sa famille, mais aussi avec Nazma, Ève et Adam. Je ne voulais pas que mes enfants aillent en Algérie avec leur passeport algérien, j’avais trop peur qu’ils ne reviennent pas. C’est ainsi que Nazma n’a pas pu aller en Algérie cet été-là. Elle a organisé des vacances ailleurs en France en catastrophe, avec des amis qu’elle ne fréquentait plus, certainement pour montrer que c’était une « bonne Française ».
Quand je demandais au téléphone à mes enfants où ils étaient en vacances, ils me répondaient ce que leur disait leur mère comme « tu es bien curieux papa » ou « papa ici la ville n’a pas de nom »
J’appris par la suite qu’elle avait renoué avec une lointaine amie qu’elle avait rencontrée sur une des brocantes qu’elle faisait plus jeune. A l’époque où je m’étonnais que Nazma ait plusieurs bouteilles d’un très bon champagne, du Krugg, dans sa cave, elle m’avait expliqué que cette amie travaillait dans une association de soutien aux enfants dans le besoin créée par la femme d’un ancien Président de la République. Chaque année ils organisaient une grande fête avec les puissants du monde pour collecter des fonds. Son amie en profitait pour se mettre de côté quelques bonnes bouteilles mais pire encore, elle détournait des palettes de jouets neufs qu’elle revendait le dimanche sur des vides-greniers.
Aujourd’hui mes enfants pouvaient se baigner dans la piscine de la maison qu’elle avait achetée dans le sud mais même si on dit que l’argent n’a pas d’odeur, savoir mes enfants en vacances chez ces personnes ne me faisait pas plaisir.
Je suis retourné voir la conseillère conjugale. Elle m’a dit :
Maintenant, vous devez partir de l’appartement. Vous ne devez pas rester.
Nazma s’est déclarée en dépression en septembre 2017 c’est mieux vis à vis du juge aux affaires familiales. Je suis parti mi-septembre, je lui ai dit que je prendrais les enfants un week-end sur deux en attendant le jugement pour ne pas casser leur rythme surtout vis-à-vis de l’école où Adam faisait sa rentrée au cours préparatoire.
Elle devait se débrouiller à présent pour emmener les enfants à l’école. Elle a alors fait venir une jeune femme d’origine algérienne, une routarde rencontrée l’été au Cap d’Agde, qui dort depuis à la maison. C’est cette jeune femme qui emmène les enfants à l’école le matin et c’est Nazma qui les récupère.
Son djihad lui fait avoir plus confiance en une SDF musulmane qu’elle a rencontrée en vacances pour s’occuper de nos enfants qu’en moi papa aimant qui ai comme seul gros défaut ne ne pas être musulman. Je me disais que le juge aurait ainsi une raison de plus de comprendre la situation familiale qui était devenue la nôtre.
Quand les enfants m’ont demandé :  Pourquoi tu es parti, Papa ?
J’ai répondu :
Je ne suis pas parti, j’ai pris du recul, parce que votre maman préfère Allah à Papa. Mais ne vous inquiétez pas, je serai toujours là pour vous et s’il le fallait j’irais  vous chercher même en marchant sur les genoux au bout du monde.
Une enquête sociale a été lancée : le juge a t-il compris que le cas de Nazma n’était pas clair, que l’association où elle emmenait les enfants pouvait être dangereuse ?
Nazma a réussi à obtenir de la directrice de l’école Saint-Joseph une attestation dans laquelle elle précise ne pas avoir constaté de phénomène de radicalisation chez Eve et Adam.
J’en veux à cette directrice : elle ne m’en a même pas parlé, et elle a bien dû constater que mes enfants ne mangeaient plus que du poisson pané tous les jours à la cantine, à la place de la viande à la demande de leur mère. Et que dire de la fois où ils ne sont pas allés à l’école à cause de l’Aïd ? Cette dame savait me téléphoner quand ma fille ou mon fils étaient fébriles au cours de la journée d’école pour que je vienne les chercher rapidement mais là curieusement elle n’a pas jugé nécessaire de me demander ce qui se passait surtout vis à vis de mes enfants.
A t-elle compris que nos enfants avaient été construits par un papa et une maman et qu’ils se sentaient bien dans cette école en grande partie grâce à mon suivi ?
Sait elle que la situation s’est dégradée dans ma famille car ma fille a eu 7 ans et qu’à cet âge, les petites filles doivent commencer les prières ?
Nazma a appliqué à la lettre les règles de la takiya devant le juge aux affaires familiales allant jusqu’à faire dire pas son avocate, une jeune femme issue de l’immigration qui est venue au tribunal avec un dossier qu’elle n’avait à l’évidence pas lu alors qu’on parlait de l’avenir de deux enfants que je n’avais jamais participé à l’éducation de mes enfants.
Et pourquoi pas quand on n’a plus de limites que le neveu de Nazma, Hajal voulait porter plainte contre moi pour diffamation puisque, pour lui, agresser verbalement ma mère ou encore faire un mariage arrangé pour avoir des papiers n’étaient pas des choses prouvées.
Le juge n’avait qu’à consulter l’état civil pour voir la date de mariage, d’obtention d’une carte de séjour, de divorce et de remariage pour comprendre que quand tout s’enchaîne bien, les papiers sont au bout du chemin ! Et comment pouvait-elle penser que je pouvais inventer de tels faits deux mois après la décès de ma mère.
Nazma alla jusqu’à dire au juge que son neveu, sa seule vraie famille sur qui elle pouvait compter était toujours là pour elle et qu’il l’aidait beaucoup dans son quotidien.
C’est vrai que depuis mai 2017, elle a déposé chez lui les passeports des enfants, tous les documents administratifs de la maison afin que je n’aie plus accès à ces choses ordinaires de la vie courante que doivent partager tous les parents responsables qui n’ont pas un Djihad à mener. Elle m’a même pris mon ordinateur où se trouvaient tous mes souvenirs comme toutes les photos que j’avais de maman avec nos enfants.
Dans son idée, il fallait que le neveu qui connaît un informaticien dans l’école où il fait le ménage analyse mon intimité numérique au cas où il pourrait trouver je ne sais quoi dedans. Les séries policières américaines ont dû leur tourner la tête et j’ai eu l’impression de me retrouver dans les experts Babel oued !
Mon avocat me conseilla d’aller porter plainte au commissariat ce que je fis, mais après 2 heures d’attente on ne dit que l’on ne se vole pas les choses entres conjoints et on me ramena à l’accueil. J’en profitai malgré tout pour demander à ce policier s’il connaissait l’association où mes enfants allaient le dimanche se faire incendier la tête et il m’indiquait que cela lui disait vaguement quelque chose mais que des associations comme celle là il y en avait beaucoup qui s’étaient crées ces dernières années et qu’ils ne pouvaient pas être partout.
Depuis la naissance des enfants nous avions convenu avec Nazma de les rattacher à mes impôts sur le revenu puisque je gagnais mieux ma vie qu’elle et que nous ne pouvions pas nous marier puisque que sa religion lui interdisait maintenant d’épouser un mécréant. Elle avait pris un congé parental d’ éducation de 3 ans, je faisais face à la perte de revenu de notre famille et le peu d’allocations familiales que nous recevions seraient versés sur son compte pour nos enfants.
J’étais heureux qu’elle puisse rester à la maison, puisque c’était son choix, pour s’occuper de nos enfants jusqu’à leur entrée en maternelle.
En mai 2017, je reçois une notification des impôts pour un redressement de 10.000 euros. Nazma avait rattaché les enfants à ses impôts comme toujours sans me le dire et comme la CAF versait les allocations familiales sur son compte bancaire, je n’avais aucun recours.
Je m’en suis entretenu à cette époque avec la conseillère familiale qui m’a recommandé de faire une demande de réexamen de ma situation auprès des impôts, Elle me dit que je fasse attention en racontant mon histoire à la personne qui serait en face de moi car m’expliqua t-elle, elle avait constaté depuis plusieurs années que des dossiers gérés dans les administrations par des personnes issues de l’immigration avaient des retours qui variaient beaucoup selon l’origine du citoyen qui envoyait la demande. Cela m’a étonné et j’ai eu du mal à y croire mais comme c’était son quotidien qu’elle me décrivait j’ai dû me résoudre à admettre que la religion et les origines faussaient l’égalité des citoyens mais pas dans le sens que beaucoup croient.
Avant de passer au tribunal, J’ai dû répondre pendant 3 heures à un enquêteur social,  moi qui jusqu’alors n’avast jamais eu à côtoyer la justice,
Je lui racontai mon histoire, notre histoire et elle me fit comprendre que ce n’était après tout que de la religion et que si mes enfants allaient bien ils pouvaient rester avec leur mère.
Je ne crois pas qu’ell’ait compris que j’étais depuis plusieurs mois le pompier qui ne cesse d’éteindre les incendies que mettent ces pyromanes dans la tête de mes enfants.
Nazma lui donna de son côté le change en la recevant maquillée et habillée comme au bon vieux temps où nous construisions notre histoire et c’est vrai que la takiya est une méthode efficace pour se protéger des mécréants puisque le jugement rendu fut :
1 week end sur deux avec Papa et la moitié des vacances avec obligation d’arriver au maximum 1 heure après l ‘heure convenue moi qui fais maintenant 3 heures de route de Fouilloy à Ivry pour les chercher faute que quoi je pouvais repartir sans les enfants,
300 euros de pension alimentaire qui serviront sûrement en partie à financer l’islamisation de notre pays, Nazma versant régulièrement 200 euros de dons bien entendu en espèces à l’association abhaches,
Je devrais aussi payer l’enquête sociale diligentée par le juge puisque tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes et 1500 euros de rétroactivité de pension pour compenser mon obligation de prendre du recul devant l’agressivité de Nazma qui cherchait depuis des mois à me faire sortir des mes gonds.

ON Un logeur de terroristes sera relaxé et obtiendra même des indemnités pour préjudice moral et moi cette même justice laisse mes enfants à une femme qui s’en sert pour son djihad d’islamisation de la France !
Je n’avais jamais fréquenté un tribunal avant ces rendez-vous avec un juge aux affaires familiales et je me suis rendu compte que ce métier était compliqué car on juge des personnes qui n’ont plus de limites verbales ou physiques et plus peur de l’autorité et pour certains même de la mort gage pour eux d’aller au Paradis avec des tas de vierges disponibles s’ils meurent en martyrs.

Je me demande si des décisions ne justice ne sont pas prises en pesant les risques que ces magistrats pourraient prendre à leur sortie du tribunal dans leur vie privée.
On parle de fermer des tribunaux de Province, pourquoi ne pas délocaliser certains procès sensibles (radicalisation, trafics de drogues, …) en utilisant les moyens modernes de communication avec des juges qui jugeraient physiquement loin des prévenus lors de procès en vidéoconférence !ON

Ce que je veux, c’est le bonheur de mes enfants. Je veux qu’ils se construisent sereinement, qu’ils aient des bases pour faire leurs propres choix de vie. Quand un de mes enfants me demande : « Est-ce que Allah existe ? », je lui réponds : « je ne peux pas te dire s’il existe. Tu te feras ta propre opinion quand tu seras grand, tu pourras y croire ou non. »

La suite et fin demain, à 18 heures.

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12 Commentaires

  1. Patrice : je ne parlais pas à un adulte mais à une ado de 15 ans qui vit entre sa maison et son lycée. Vous connaissez des ados ?
    Les paroles des vieux, ils n’écoutent pas. Et les vieux c’est à partir de 40 balais. Autant faire fonctionner leur réflexion personnelle.
    Pour bien comprendre un problème il faut en connaître les bases, une fois les bases connues, ici le coran, le reste s’enchaîne.
    C’est très curieux ce côté agressif chez nombre de commentateurs.

  2. Cher Christian, vous n’avez pas encore répondu à ma question ;
    avez-vous, oui ou non, reconnu vos enfants ?

    • Toujours aucune réponse@Christian ?
      Que cachez-vous ?

  3. parce qu’ il faut lire le coran pour savoir comment il ce comporte, À OUI, vous vivez où, sur Mars, et vous venez de débarquer sur terre , je ne sais pas, mais ont vie dans une drôle d’époque, où les gens ne savent plus regarder, écouter, analyser et comprendre, ils faut leurs expliquer de A à z, avec des photos et vidéos, et encore, c’est pas sûr qu’ils vous comprennent, pour qu’ils comprennent ils leurs faut subir, je ne souhaite pas la guerre, mais pourtant elle était utiles cela permettait de les mettre en phase avec la réalité, maintenant c’est quand même désœuvrant que les gens ne savent plus analyser et asseyez d’apprendre et de comprendre par eux même, et cela est dans tous les domaines, je ne compatis pas avec Christian, il est né en 66, moi je suis né en 60, nous sommes de la même génération, de la génération après guerre, mais moi a 10. 11 ans j’écoutais mes anciens lors des réunions de familles, j’écoutais les débats politiques, j’écoutais la radio surtout ménie grégoire, là où j’ai entendu le même type d’histoire, je lisais le journal, et j’analysai, je n’était pas encore très mûr pour comprendre tout et parfaitement, mais cela a été un bon apprentissage pour débuter dans la vie et comprendre certaines choses.

  4. Christian, je sais que vous allez perdre face aux juges. Un Français de souche ne vaut rien contre une musulmane. Déjà si votre ex ne vous accuse pas d’attouchements sur vos enfants, vous avez évité le pire.
    A ceux qui critiquent votre faiblesse : à une personne en train de se noyer, lui dit-on qu’elle aurait dû apprendre à nager ? Non on l’aide, et si elle se maintient dans son refus on agit. Mais ce n’est pas votre cas puisque vous avez réagi, un peu tard c’est vrai. La critique est tellement facile.
    Je vais imprimer votre “histoire” pour la faire lire à l’occasion à mes petits enfants ados. Grâce à l’enseignement dans les collèges et lycées, le terrain est préparé pour de futurs adultes dans la dhimmitude complète “vous n’aurez pas ma haine”. De plus, il suffit d’un copine ou d’une copain musulman sympa au collège ou au lycée pour confirmer les dires des profs et des livres d’histoire.
    Cet été, nous parlions d’un fait divers un peu sordide dans lequel un musulman était mis en cause. Je dis “pour cet homme, il n’a rien fait d’anormal, c’est écrit dans le coran”.
    Ma petite fille me répond “jamais de la vie, où as-tu cherché ça ?”. Moi : “As-tu lu le Coran”. Elle “non, pourquoi je le lirais ?”. Moi : “on ne discute pas sur ce que l’on ne connaît pas. Tu ne t’aventurerais pas dans une discussion sur l’atome, alors lis le coran, après tu pourras dire ce qui est vrai ou faux”.

  5. Cher Christian,
    Mes Condoléances pour votre mère et également navré de ce qui vous êtes arrivé, pour ne rien vous cacher, j’aurais pu avoir une histoire semblable à la votre il y a 5 ans de cela, heureusement mon instinct m’a fait comprendre beaucoup de choses grâce au fait que j’ai pu m’informer sur l’islam de ce qu’il est réellement et de ce qu’il est capable de faire. En ce qui concerne la mère de vos enfants, vous savez sans doute qu’elle est irrécupérable, mais en ce qui concerne votre fils et votre fille, j’espère que ce n’est pas encore le cas et que vous puissiez faire tout votre possible pour les sortir de cet enfer, malheureusement c’est pas gagner d’avance surtout dans ce pays où on privilégie certaines personnes, enfin bref vous m’avez compris j’en suis sûr.
    Sûr-ce, bon courage et bonne chance pour la suite des événements, vous en aurez bien besoin.
    Amitiés Patriotiques
    Jean Moulin

  6. C’est vraiment deux communautés qui s’affrontent, provoqués par les crapules aux pouvoirs criminels.

  7. Mes sympathies pour le décès de votre mère. Le comportement de votre femme a été absolument odieux à cette occasion.
    C’est effrayant quand on lit que son but c’est l’íslamisation de la France, tout est dit! Il me semble que les personnes de cette religion ne reflètent pas la joie de vivre, tout le contraire! Leurs croyances apparaissent comme irrationnelles, totalement dépourvues du plus élementaire savoir vivre.

  8. est-ce que Allah existe, moi je leurs aurais répondu Non, pas plus qu’un autre dieux, je leurs aurais expliqué qu’après la mort il n’y a plus rien, et c’est pour cela que la vie est sacré, la croyances c’était bon pour l’hommes des cavernes, depuis ont à évoluer, ont à découvert la science,avec des molécules des atomes et des électrons, nous sommes constitué de molécules de toutes sortes qui une fois mort ce dissocie, on appelle cela la décomposition, dieux n’a jamais exister, moi j’aurais essayé de leurs faire comprendre cela, petit par petit, lentement et en douceur, il ne fallait pas laisser la religion rentré dans votre foyer, quand à votre femme, personnellement je lui aurais exploser la gueule, avec tout ce qu’il l’entoure maintenant j’aimerais connaître la suite de votre histoire, c’est à dire le début, qu’est ce qu’il vous a pris d’aimer une femme musulmanes, c’est la que je ne comprends pas, dite moi pas que vous n’avez jamais lu ou entendu la façon dont ils vivent, même ci quelqu’un comme moi vous aurez expliqué leurs façon de vivrent, leurs meurs et leurs traditions, vous m’aurait sûrement traité de raciste, pourquoi venez vous pleurer aujourd’hui, votre histoire ont la connaît, nous savons depuis longtemps comment cette racailles fonctionne, dites nous ce qui vous a pris d’aimer une musulmane, elle avez quoi de plus qu’une vraie française, un beau cul, une bonne paire de pelotes, et une gueule d’enfer à rendre dingue un bonhomme, dite moi pourquoi, je veux savoir ce que des gens comme vous pense et trouve de mieux dans une femme maghrébine plutôt qu’une femme française de souche.

    • Cher Patrice,
      On peut reprocher à Christian d’avoir fait une grosse connerie, mais le plus important, c’est qu’il s’en soit rendu compte de sa connerie justement.
      Quand aux “vrais françaises”ou françaises de souche si vous préférez, il y’en a pas mal de ma génération (je suis né en 1991) et des générations suivantes qui préfère “se maquer” avec un muz (surtout si il est noir ou basané), qu’avec des types comme vous et moi. Quoi qu’il en soit, il y’a deux personnes à sauver dans cette histoire, Ève et Adam, parce que si il ne trouve pas une solution efficace pour les sortir de cet enfer sur terre qu’est l’islam, j’ai peur qu’ils ne deviennent aussi irrécupérables que leur mère. Alors le mieux que l’on puisse faire pour Christian, c’est de l’encourager et de le soutenir dans son combat et non le blâmer et le juger, parce que des erreurs et des conneries, tout le monde en a fait, moi le premier d’ailleurs je le reconnais. Amitiés Patriotiques. Jean Moulin

    • Patrice, merci pour votre retour. En préambule je n’ai pas écrit mon histoire pour pleurnicher sur mon sort mais pour témoigner et pour garder une trace de cette période de ma vie que je ferai lire à mes enfants lorsqu’ils seront plus grands. Vous avez surement raison, Dieu c’est un concept qui permet de canaliser les humains mais si la religion reste dans l’intime, chacun peut bien croire à ce qu’il veut. Un mercredi j’ai emmené mes enfants au mussé histoire naturelle à Paris voir Lucie la 1ere femme dont on a trouvé la trace en leur expliquant ainsi comment l’homme avait évolué et que si Dieu,peut importe son nom existait il serait sur Facebook ou twitter. La religion musulmane ce n’est pas de la spiritualité mais de la technique car de ce que j’ai vu la mére de mes enfants est montée trop fin intellectuellement pour avoir du recul et des doutes. C’est un perroquet qui récite ses priéres, fait ce qu’on lui dit de faire depuis son enfance et qu’elle a occulté à un moment de sa vie (Ramadan, etc etc,…).
      Je comprends l’incompréhension de certains qui se disent bien fait pour lui ou quel imbécile, quel lâche ce Christian mais il faut savoir que ce récit raconte 12 ans de vie, que le mal s’installe de façon insidieuse et que le poison islamique est distillé doucement au jour le jour.
      Quand j’ai rencontré la mère de mes enfants, elle vivait seule en région parisienne et sa seule famille en France était sa sœur qui habitait en Bourgogne loin de Paris. Elle vivait à l’occidentale bref comme vous et moi et en la croisant dans la rue, il était impossible de deviner ses origines (Imaginez Claudia Cardinale à 30 ans pour situer)
      C’est après la naissance de mes enfants (quand mon fils a eu 1 an) que la religion est devenue très présente et oppressante.
      Si vous rencontrez une alascienne un jour, vous n’allez pas apprendre à faire la choucroute ou penser qu’elle veut l’indépendance de l’alasce et la lorraine. Pour moi Nazma était une femme avec qui je m’entendais bien et la religion était bien loin de sa vie à ce moment. Aujourd’hui j’entends souvent pour bien te marier marie toi dans ta rue et je pense que c’est une vérité. Je suis né en 1966 donc ma génération n’a pas connu dans sa jeunesse les crispations d’aujourd’hui. Je sais que le mal s’est installé en 1981 quand Mitterrand à créee via le tocard Harlem Désir “touche pas à mon pote” pour faire monter l’extreme droite et tuer les communistes mais avant avions nous des probléms religieux ou communautaires en France??? moi je suis de cette génération qui s’est fait blouzée plus tard car le ver était déja dans le fruit mais on ne le savait pas. Alors si mon histoire peut ouvrir les yeux se serait ce qu’à quelques personnes cela n’aura pas été vain et aprés le dernier chapitre mis en ligne par Madame Tasin, comme le but c’est aussi d’avancer et de trouver des solutions je vous dirai mes idées pour endiquer un peu cette islamisation galopante des pensées et de notre pays au travers de mes 12 ans en Islamie de France. Et je profite de ce message pour remercier les personnes qui me présentent leurs condoléances sachant que je crois que ma mére est à mes côtés et de donne la force de mener ce combat pour mes enfants (qui vont pas trop mal pour le moment car je suis là pour eux) enfin combatif comme nous devrions tous l’être, moi pour mes enfants, vous pour les votres et nous tous pour la France)

      • Content de vous entendre , face au poison islamique, les solutions existent . Soyez rassuré vous n’êtes pas les seul à s’être fait avoir. Moi le premier, 45 ans de BTP ( jamais je n’aurai imaginé ces attentats et ce climat qui ne dit pas son nom ) Charlie un réveil pour moi, beaucoup de questionnement , une lente prise de conscience et le choc de ma vie le BATACLAN. Nice , je devais assister au feu d’artifice. J n’y suis pas allé. S’en ait suivi les autres attentats jusqu’à ce COLONEL COURAGEUX. Depuis , c’est terminé, plus JAMAIS……… L’islam de France est un poison mortel.

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