Lettre à mes enfants, Eve et Adam : j'ai j'accepté que vous appreniez l'arabe… (4)

Nous avons commencé il y a quelques jours la publication d’un petit récit sous forme de feuilleton.
Il s’agit d’une histoire vraie, les noms des protagonistes ont été changés. L’auteur, le père,  raconte une histoire poignante, une lente descente aux Enfers due à l’islam. Il libère la parole…  :  Pour que la société dans laquelle vous allez grandir et vivre plus tard ne connaisse pas le même sort que notre famille et que l’air que vous allez respirer ne soit pas chargé de tous ces non-dits d’aujourd’hui qui rendront l’atmosphère de demain viciée, je vais libérer ma parole et raconter ce que mon inconscient me disait lorsque je vivais avec votre mère mais que je ne voulais pas entendre.
Ce que j’ai vécu, si nous n’y prenons pas garde la société va le vivre un jour au l’autre avec plus d’inertie et de lenteur que notre famille mais le résultat sera la même : l’explosion.
Voici la quatrième partie.
Christine Tasin

 
Cinquième changement : Hajal se remarie
Hajal est allé sur des sites de rencontres musulmans. Une fille de son pays lui a plu, il est allé se présenter au père au bled pour la demander en mariage et c’est ainsi qu’en 2014, il a épousé Hinda, une femme qui ne l’avait vu que sur Internet.
Hinda est arrivée en France six ou huit mois plus tard toujours grâce au regroupement familial. Elle avait gardé toutes les traditions de leur famille : voile, henné aux mains, bras couverts. La première fois qu’elle est arrivée chez nous, elle a pincé la joue d’Ève en lui disant :

— Tu seras une bonne musulmane !
— Non, ne dis pas ça ! ai-je répondu.
— Si si, elle sera une bonne musulmane !
Elle m’énervait mais je ne voulais pas créer d’histoires. Plus tard, au repas, la voilà qui dit aux enfants :

— Avant de manger, il faut dire « bismillah » ! Ça veut dire « au nom de Dieu ».— Mais non, enfin, ai-je rétorqué, mes enfants n’ont pas à dire ça !

Nazma a alors braqué un regard de haine sur moi. Je n’ai pas compris, c’était bizarre, on basculait vers quelque chose d’irrationnel. J’ai donc réfléchi à reconsolider notre cellule familiale. J’avais été élevé dans un foyer aimant, soudé et paisible, et c’est ce que j’avais envie de reproduire pour ma propre famille.

Mes origines

Mes grands-parents paternels étaient italiens, ils avaient migré à la fin de la seconde guerre mondiale pour fuir le régime mussolinien, le fascisme et pour gagner une vie honorable en France, où le travail ne manquait pas.
Mon grand père était plâtrier et ma grand mère élevait ses 5 enfants dans un petit deux pièces à Nogent sur Marne où beaucoup d’Italiens s’étaient installés. Pour gagner un peu d’argent elle faisait des ménages dans des immeubles de son quartier. A cette époque, avant de parler de droit, les gens évoquait les devoirs qu’ils avaient vis à vis du pays qui les accueillait. Mes grands parents sont partis à Nantes (une vraie expédition surtout sans voiture à cette époque) où se trouvait l’état-civil pour les étrangers et ils ont obtenu la nationalité française. Ils décidèrent avec fierté de franciser les prénoms de leurs enfants pour qu’ils se sentent bien dans cette société où les Ritals, les Spaghettis ou Ripalous comme on les appelait étaient regardés avec méfiance et mon père Gian-Pietro devint Jean-Pierre.

Mon père est très vite entré en apprentissage à 14 ans pour travailler dès son plus jeune âge dans le bâtiment. Il a rencontré ma mère alors qu’il avait 21 ans, déjà un bon métier et il a eu deux enfants : Philippe et moi.

Nous avions un mode de vie simple et équilibré : mon père travaillait dur pour nous faire vivre, ma mère restait à la maison pour nous élever. Nous ne vivions pas dans le luxe, mais pas dans la misère non plus. Nous partions tous les ans en vacances ensemble. J’ai de ces périodes de vacances des souvenirs heureux et inoubliables qui me réchauffent encore aujourd’hui le cœur qu’en j’y repense.

Mes parents vivront cinquante-trois ans ensemble, seule la mort les séparera. Si comme tous les couples, ils ont eu des disputes, des moments de désaccords, ils formaient un ménage harmonieux qui n’a jamais manqué d’amour pour ses enfants.

Ils n’avaient pas de folles ambitions, mais ils nous ont élevés dans des valeurs de tolérance, de bienveillance, de respect. C’est cette ouverture d’esprit qui m’a construit, ce sont ces valeurs que je voulais à mon tour transmettre à mes enfants : je voulais leur offrir la même protection, le même équilibre, de façon à leur permettre de grandir sereinement.

C’est pourquoi, quelles que soient les tensions qui commençaient à naître entre Nazma et moi, je voulais que notre couple tienne bon, j’étais sûr qu’on parviendrait à dépasser ce moment difficile pour le bonheur de nos enfants. J’ai ravalé ma rancœur, j’ai toléré sans rien dire des choses qui ne me paraissaient pas normales, parce que mes enfants étaient petits et parce que j’ai espéré que c’était la meilleure façon d’y arriver.

J’ai repensé à ces moments magiques que l’on passait les étés dans des petites pensions de familles comme il y en avait à l’époque avec mes parents et mon frère. Un peu de dépaysement, c’était probablement ce dont on avait tous besoin pour se sentir de nouveau heureux et unis.
Sixième changement : quand prière rime avec enfer

Pour que l’inconfort ne devienne pas un nouveau prétexte à conflit car Nazma avait des exigences et aimait toujours voir le verre à moitié vide quand elle était avec moi, j’avais trouvé un compromis : le camping dans un mobil home. Nos premières vacances se sont très bien passées : nous nous sommes bien détendus, j’avais l’impression que notre famille retrouvait de l’apaisement.

C’est la deuxième année que le climat s’est tendu. Hajal et sa femme sont venus nous rejoindre dans un VVF que j’avais trouvé en Bourgogne non loin de Sens où Nazma avait prévu de se rendre à la fin de notre séjour pour passer du temps avec sa grande sœur.

La première chose que Hinda nous a demandé c’est : « il se lève où, le soleil ? ». Ils arrivent en pleine nuit et elle veut savoir où le soleil se lève ! Agacé, j’avais appris à mes enfants à répondre à cette question : « le soleil se lève à l’est et se couche à l’ouest ! ».
Il faisait chaud cet été et nous apprécions la piscine sauf Hinda qui nous rejoignait habillée avec son voile et sa robe traditionnelle. –Il fait trop chaud me dit elle !

Tu devrais enlever ton gilet tu auras moins chaud !
impossible….. on pourrait voir mes bras.

-Alors ne te plains pas lui dis-je en regardant dans le même temps ébahie une Tunisienne qui se baignait dans cette piscine bleue azur avec une combinaison de plongée de chez Décathlon qui laissait juste voir ses mains et ses pieds.

Peu après son arrivée en France pour rejoindre son mari, Hinda était tombée enceinte et avait eu son premier enfant. Entre temps Hajal avait réussi à se faire embaucher avec le soutien de sa tante dans un collège en tant qu’homme d’entretien avec un statut de contractuel comme on en trouve beaucoup dans l’administration.

OFF Il avait un travail qui lui permettait de rapporter à la maison des montagnes de nourriture venant de la cantine en prenant soin de trier ce que les musulmans pouvaient manger (poisson,légumes, yaourts, fromage) et après avoir mis dans mon frigo en mon absence une partie de ces denrées, ils déposait le reste chez des « frères » car un des 5 piliers de l’islam est aussi de donner aux pauvres.

Ils habitaient un joli appartement HLM construit récemment avec les normes actuelles de confort, de domotique,… Cet appartement il l’avait obtenu car les mairies communistes de ce que l’on appelle la ceinture rouge ont toujours fait du clientélisme. Nazma le sachant très bien a demandé un rendez-vous au conseiller logement à la mairie et elle lui a dit que ses amis et voisins voteraient pour l’équipe en place. Cela tombait bien, les élections municipales approchaient et très vite il signa son bail.

300 euros de loyers APL déduit je trouvais cela raisonnable pour son salaire de 1450 euros mais lui se plaignait que cela était très cher pour un appartement certes refait à neuf mais dont la terrasse n’était pas pratique et ou le portail automatique était beaucoup trop lent et l’obligeait à perdre quelques secondes le matin.

Le parking qui allait avec cet appartement lui permettait de renouer avec son métier d’origine, la mécanique et de réparer le week end, le soir et pendant les vacances scolaires des voitures de relations au noir bien entendu.

J’ai eu l’occasion de me rendre quelques fois avec lui chez ses amis algériens qui ont des business comme ils le disent en Seine-Saint-Denis et la aussi j’ai découvert des univers loin de ma vie quotidienne.
Le premier ami que j’ai rencontré avait un centre de contrôle technique automobile et contre un petit billet il passait des voitures de frères qui auraient dû finir à la casse. Une petite combine que je vais vous livrer. Si la voiture du frère pollue trop, il faut attendre qu’une voiture propre passe la contrôle et on se sert de ses résultats pour passer la poubelle. Dire que les contrôles techniques sont renforcés et que les travailleurs pauvres comme j’en croise de plus en plus dans nos campagnes doivent parcourir des kilomètres et des kilomètres dans leur vieille voiture à 80 kilomètres heures pour aller au travail (avec un prix du carburant qui devient délirant ). Ils devront bientôt mettre leur auto indispensable à leur déplacement à la casse alors que pendant ce temps des petits arrangement continueront ailleurs.
Le deuxième amis de Hajal possède un garage automobile qui emploie sept mécaniciens dont quatre sans papiers, il a pignon sur rue. Je pense que même dans les années 50 nos garages étaient plus propres mais au bled on bosse ainsi donc pourquoi changer les habitudes.
On nous oblige dans nos campagnes à trier nos déchets ce qui est bien pour la planète et ce gars il fait des vidanges sur les trottoirs, mets de l’huile dans les caniveaux mais il est ici pour engranger un maximum d’argent et un terre de mécréant comme il le dit on peut la polluer. Hajal me dit que c’est un type bien car l’autre jour un mécano s’est cassé le bras et il lui a payé ses soins et rempli son frigo. C’est la moindre des choses me semble t-il quand on emploie quelqu’un au noir ! Ensuite Hajal m’a emmené sur la parking de la résidence ou son ami garagiste loue un appartement HLM dans lequel vit sa femme cloîtrée pour récupérer une voiture à ramener au garage.
Tu sais, cette voiture est à lui, celle ci aussi et encore celle là. Il avait 15 voitures garées sur la parking, je plains les voisins quand ils veulent stationner. Ici il a un beau 4 pièces mais il a tellement de liquide qui rentre qu’il a acheté un immeuble en SCI à Lille, une maison en Espagne et en Algérie quand il va y retourner il pourra profiter des maisons et appartements dans lesquels il a investie.

Sa deuxième affaire tourne bien aussi car il a une deuxième affaire avec des prête noms pour la gérer. C’est un négoce de pièces autos qu’il achète en Belgique à des frères et qu’il vend principalement par le site Leboncoin

Le troisième ami que je rencontre vient de Tlemcen, il est en situation irrégulière pour le moment mais comme il est amoureux d’une Fançaise il va se marier mais pas « que » pour les papiers comme me dit Hajal.
C’est une armoire à glace et il est maître chien dans la société de sécurité d’un ami lui aussi originaire du Maghreb qui a des contrats pour garder des piscines municipales, des stades, des parkings,… Cela doit payer la sécurité car son patron roule dans un gros 4×4 Audi tout neuf et sa femme en BMW OFF.

Les smartphones ont beaucoup contribué à alimenter la fracture : Nazma pouvait recevoir à tout moment une vidéo d’un prêcheur qui parlait du coran. Quand on est en train de contempler un paysage magnifique en vacances par exemple et qu’on est tout à coup interrompu par un sermon en arabe, il y a de quoi dégrader l’ambiance… De même, quand Nazma a commencé à faire ses prières cinq fois par jour, au début c’est son neveu qui la réveillait le matin ; mais très vite, elle a installé une application sur son téléphone qui l’alertait de l’heure de chaque prière.

La prière c’est cinq fois par jour et les horaires changent chaque jour.
Mi juin par exemple la première prière FEJR est vers 3 heures 30 et la dernière Icha vers 23 heures 50 et entre des deux prières il y en a 3 autres à 13 heures 50, 18 heures 10 et 22 heures. A ce moment de ma vie j’avais l’impression de vivre avec les horaires de la SNCF.

Cours de langues

Ève avait cinq ans et Adam quatre ans quand Nazma m’a dit un jour :
J’aimerais bien que mes enfants apprennent l’arabe, c’est ma langue maternelle, ce serait bien qu’ils le parlent.
Je me suis dit pourquoi pas : après tout, aujourd’hui les langues c’est l’avenir.

Être polyglotte ouvre des portes, des opportunités pour travailler dans l’international. Nazma a trouvé une petite association culturelle à Valenton qui initiait les enfants à l’arabe tous les samedis matin pendant une heure et demie. Ève et Adam y sont allés tous les deux, accompagnés de leur maman. Ils se sont fait là-bas des petits copains, ils revenaient ravis et me récitaient des petites comptines ou l’alphabet en arabe, je trouvais cela vraiment mignon.

Cette même année Hajal et sa famille sont partis pour fêter la fête de l’Aïd en Algérie. A leur retour ils ont offert pour le Noël de mes enfants des cadeaux qui semblaient naturels pour eux : 2 petits tapis de prières et pour ma fille une robe noire qui sert à prier et que l’on appelle Hijab.

En colère, je demandai à Hajal si cela lui plairait que j’offre un Bible et une croix à son fils et que je l’inscrive au catéchisme. Il me regarda avec des yeux noirs en me disant que mes enfants étaient musulmans puisque leur mère l’était.

Comme je connaissais maintenant un peu mieux les règles de sa religion je lui dis que chez les musulmans c’est la semence du père qui donne la religion de l’enfant et c’est pour cela qu’un musulman peut épouser toute femme, peu importe sa religion alors qu’une musulmane ne peut épouser qu’un musulman.

C’est d’ailleurs pour cela que Nazma qui rêvait de mariage dans un château lors de notre rencontre m’avait vertement éconduit lorsque je lui ai proposé de nous marier civilement après la naissance de Eve.

Elle n’avait répondu — Tu veux te marier avec moi ! Alors va te convertir à la mosquée, c’est simple et rapide.

Cela n’avait jamais été évoqué avant et contraire à mes convictions et je lui répondis donc que c’était hypocrite de fonder une famille avec moi en sachant qu’un jour ses origines allaient la rattraper.

La cinquième partie demain à 18 heures…

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19 Commentaires

  1. Comment peut-on être naïf à ce point ! Même un trisomique aurait compris à quelle sauce il allait être mangé. J’ai arrêté la lecture au milieu du 4ème paragraphe, tant de bêtise et de tolérance dans le raisonnement finissent par devenir insupportable au lecteur.Beaucoup trop de clichés pour que je continue à croire cette histoire.

  2. Je trouve cela triste pour ce monsieur sincèrement..Et dire que des millions de Français sont comme ça .. Je ne souhaite vraiment pas le mal aux gens .. Mais malheureusement il n’y a qu’en vivant cela que certains ou certaines ouvrent les yeux .. Masochisme idéaliste du vivre ensemble ou de l’exotisme .. Quand tu nous tient …

  3. Encore une preuve d’incompatibilité profonde …..ça peut pas marcher car tôt ou tard …….

  4. Pas besoin d’attendre l’épisode 5 pour comprendre que ce Christian est soit le roi des c..s, soit un bobo de 1ère classe. Même en faisant sodomiser, il dit je n’ai pas compris.

  5. Ce type accepte tout et il s’étonne que sa vie est devenue un enfer ?
    Et dire qu’il se vante d’avoir des origine italienne ( des pures machos)
    et les italiens sont comme les français fier de leur origine
    c’est plus que ce faire bouffer tout ca !
    Déjà beaucoup de femme non musulmane utilise se stratagème pour  » vampiriser  » certain homme .
    Mais pour ce qui est des musulmane elles cherche a épouser des infidèles afin de les manipuler à leur guise et les menacer ensuite dès quelles ont pris le pouvoir grâce aux enfants qu’elles ont eu .
    c’est facile , elles prèfèrent des européens que des barbus violent qui les enferment , mais elles ne sont pas connes , non , non,
    on veut rester musul et imposer ces lois , n’est ce pas ce qu’ils font avec nos politi cons ?
    Là aussi c’est un mariage qui ne marche pas
    Le divorce est la solution !

  6. Ce monsieur est doté d’une patience exceptionnelle !

    • c est l amour de ses enfants de perdre ses enfants de ne pas les voir grandir qui le fait s acrocher a cette famille .mais malheureusement dependre de quelqun par peur de perdre …..en general cela n arrange pas les choses bien au contaire
      je serai un peu speculateur en ecrivant que la fin de l histoire est tel que Christian n a plus de contact avec ses enfants ,ou comme la loi l exige c est a dire un week end sur deux mais je pense que le lavage de cervaux applique sur les enfants est incompatible avec la maniere de vivre du pere qu ils sont devenus religieux surement inscris dans une ecole coranique parlent l arabe bien mieux que le francais .
      c est triste mais en fait la comparaison entre une famille d europe et la famille europeene est identique .

  7. « Mais là, je crois que mon pays est en état de mort cérébrale… »
    Il est plutôt anesthésié par Bruxelles, relayé par le pouvoir en place et les hommes politiques.ainsi que par les médias aux ordres.
    Sans oublier la justice.
    Tout çà génère un déni de réalité bien dur à supporter.
    A quand une réaction appropriée? Mais tant que les foules se tiennent tranquilles…………………..
    Je plains nos enfants et petits enfants

  8. C’est vrai, c’est passionnant, mais tellement rageant. Le type se fait bouffer tout cru…
    Marié à une scandinave luthérienne, des enfants bilingues, fiers de leurs deux cultures, premiers de leur classe, je leur remémore souvent cette citation de J.F. Kennedy :
    « Ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande ce que tu peux faire pour ton pays. »
    Mais là, je crois que mon pays est en état de mort cérébrale…

    • jeanne
      Comme les Français depuis plusieurs décennies.

  9. Christian : mais c’est la descente aux enfers de la France que vous nous racontez. Elle suit le même chemin que celui de votre famille.
    J’attends la fin, ou plutôt la chute, avec appréhension. J’espère pour vous et vos enfants qu’une étoile d’espérance va enfin briller.

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