Une ex-miss Belgique piétine le Coran sur la couverture d'un livre à sortir

Et bien entendu les inévitables musulmans  sont de sortie :

Les fondateurs du parti BeOne, Dyab Abou Jahjah et Meryem Kaçar, ont annoncé le dépôt d’une plainte au parquet à la suite de la publication d’un livre d’Anke Van dermeersch (Vlaams Belang). Selon eux, le livre de la sénatrice d’extrême-droite offense toute la communauté musulmane et enfreint plusieurs articles des loi anti-racisme et anti-discrimination.

 

L’ouvrage intitulé «A.N.K.E. #PolitiekIncorrect» sera présenté le 4 mai. La couverture est explicite: elle représente les jambes et les pieds de l’ex-miss Belgique foulant de ses hauts-talons le Coran.
«Le Coran est un livre sacré, que l’on ne met pas sous une chaussure. Pour cette raison, je porte plainte avec constitution de partie civile, en tant que musulman non-croyant, en compagnie de Meryem Kaçar en tant que musulmane croyante», a annoncé M. Abou Jahjah.
Selon eux, la couverture est une «offense gratuite» et une provocation.
«Le livre peut aussi attirer l’attention des extrémistes à l’étranger, avec le danger que des jeunes d’ici soient radicalisés et recrutés», a averti M. Abou Jahjah.
 

 
http://www.sudinfo.be/id50837/article/2018-04-25/une-senatrice-du-vlaams-belang-pietine-le-coran-sur-la-couverture-de-son-nouveau

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49 Commentaires

  1. C’est normal de s’essuyer les pieds sur un torchon. Ce vieux bouquin moyen-àgeux ne mérite pas mieux.

  2. Le « musulman non croyant »,nouvelle espèce de musulman (non croyant donc en contravention avec son « beau modèle » et passible de la peine capitale selon ses propres critères!) Et qui porte plainte, on aura tout vu!
    La coupe est vraiment pleine, la seule réponse , si elle peut encore être politique c’est un ras de marée patriotique et identitaire en Belgique et dans toute l’Europe.

  3. QUEL est le probleme? CELA EST LA VOLONTE D ALLAH que l on pietine son livre OU ALLAH NE DECIDE DE RIEN SUR LA TERRE

  4. Ces pauvres musulmans à force de toujours crier au scandale perdent tout crédit.
    Il est fort de constater que la profanation des églises comme des cimetières chrétiens ne les gènent absolument pas.
    Ils feraient bien de mettre de l’ordre dans leurs con-patriotes. Le retour de bâton n’est pas si loin!

  5. Le Coran, c’est pire que Mein Kampf !! Donc, il devrait être interdit depuis longtemps. Elle peut le mettre dans les chiotes comme c’est un étron.

  6. les musulmans envahisseur qui viennent nous conquérir …par les ordres du Coran se victimisent toujours , ils viennent en Europe pour détruire notre civilisation et la remplacer par la leur , le coran leur ordonne de nous conquérir et d islamiser nos contrées , moi je ne piétine pas ce livre , je suis plus extrémiste ( je m en sers comme papier WC) , ce livre est la peste de l humanité , des millions de morts depuis 1400ans pour ce livre Satanique , chaque jours les muzz font des nouvelles victimes pour ce maudit livre , chaque page de ce livre maléfique est plein du sang de ces victimes …moi je m en sers comme papier WC

  7. Il reste à savoir si leur plainte a des chances d’aboutir.

  8. Quel pastis mes frères !!..
    Voilà t’y pas que l’imam abou jha jah s’en mèle …
    Il a changé de patronyme pour nous être plus sympathique ???
    Ah que non ! Encore la taqiya debas étage !!….

  9. Bravo madame……..une belle paire de : jambes mais surtout de couilles
    Car. Être une femme avoir le courage de dire la vérité pour un connard de muzz même «  non croyant « ça peut pousser au meutre un debile profond de la communauté des pedophiles,meurtriers qui nous pourrissent la France .
    Pour moi la partie est perdu mais je me marre car il n’auron Plus mon fric
    Je me barre .

  10. « Pour cette raison, je porte plainte avec constitution de partie civile, en tant que musulman non-croyant, »
    Nouvelle espèce de taré: le mus non croyant.
    MdR

  11. le coran est un torche cul qui devrait être interdit sur toute la planète, n’oublions pas que c’est cette merde de coran qui a inspiré fortement son torchon au pere adolphe, les deux sont même véhicules de haine de débilités et de connerie insondable….
    le coran même pas digne a faire du PQ….

    • Bonjour,
      Non, on ne peut pasdire que le Coran ait inspiré Hitler: Hitler c’est plutôt un retour de flammes du vieux paganisme germain.
      Cependant, il est vrai, qu’il y a une proximité avec le Coran.
      Sans doute les Nazis auraient souhaité faire de l’islam la nouvelle religion de leur Europe : Himmler allait dans ce sens.

      • C’est surtout l’âme guerrière des musulmans qu’ils adoraient et qu’ils voyaient comme une possible armée en faveur du régime nazi et du IIIème Reich ; non ?! ou j’ai faux ?

        • Bonjour,
          Il y avait une vraie admiration pour l’islam, chez les Nazis les plus fanatiques.
          Pas seulement une admiration utilitaire (embaucher des combattants musulmans) , mais une convergence idéologique avec l’islam.
          Le Judaïsme et le Christianisme vus comme « féminins ».
          L’aspect guerrier, en effet, de l’islam.
          Les dieux germains, comme Allah, radicalement étrangers aux hommes.
          Je pense en fait que l’islam est très proche du paganisme dont il dérive, historiquement, immédiatement.

          • Je n’ai rien contre l’islam, parce que cette religion se charge elle-même d’instruire les hommes, en leur promettant le ciel s’ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref, c’est une religion très pratique et séduisante pour un soldat.
            (1943, Heinrich Himmler)

          • Bonjour,
            Merci de cette citation.
            Il y en a aussi de la même eau dans le journal de Rosenberg, édité il y a quelques années.
            Rosenberg le théoricien du Nazisme explique comment les Nazis sont en train de détruire le Judaïsme, comment ils détruiront le Christianisme et pourquoi l’islam est la religion qu’il faut au Nazisme …

  12. SITE : SaphirNews.com | Quotidien d’actualité sur le fait musulman en France
    by Fernando Arlettaz
    THÈME : La liberté de religion en droit international : une protection limitée et variable
    ARTICLE : Liberté de religion et de conviction en Méditerranée : les nouveaux défis
    URL : https://www.saphirnews.com/La-liberte-de-religion-en-droit-international-une-protection-limitee-et-variable_a25119.html
    AUTEUR : Fernando Arlettaz
    DATE : Vendredi 27 Avril 2018
    IMG : Carrefour – POLITIQUE| RELIGION
    ::: https://www.saphirnews.com/photo/art/default/21755213-24684318.jpg?v=1524760553
    Le droit international des droits de l’homme protège la liberté de religion. Or, les instruments internationaux affichent des conceptions différentes de cette liberté, selon les compromis politiques et philosophiques sous-jacents à leur adoption. En outre, les différents degrés d’institutionnalisation des procédures de contrôle mènent à une grande hétérogénéité au niveau de leur efficacité réelle.
    :::: Le droit international des droits de l’homme et ses niveaux de contrôle ::::
    Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la communauté internationale s’intéresse fortement à la problématique des droits et libertés des individus et des groupes, auparavant relevant des seuls États. Elle a fabriqué un droit, le droit international des droits de l’homme, constitué par un corpus hétérogène de traités, déclarations, recommandations, etc., dont l’interprétation, comme le rappellent très souvent les débats entre les juristes spécialistes du domaine, reste controversée.
    Ce corpus s’est développé progressivement sous l’impulsion de plusieurs organisations internationales. Ainsi on peut distinguer : 1. les instruments d’origine onusienne, comme la Déclaration universelle des droits de l’homme (1948) et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (1966), parmi beaucoup d’autres. Ils constituent ce qu’on appelle le système universel des droits de l’homme ; et 2. les instruments développés par des institutions à portée géographique plus limitée, les systèmes régionaux (européen, américain, africain, islamique).
    Les instruments internationaux se différencient non seulement en raison de leurs textes, qui traduisent des approches philosophiques et politiques diverses, mais aussi en raison du degré d’institutionnalisation des organismes qui contrôlent leur application.
    La Cour européenne (qui veille à l’application de la Convention européenne des droits de l’homme) peut recevoir des plaintes de particuliers et rend des arrêts contraignants pour les États. C’est actuellement la plus efficace des instances internationales de contrôle.
    La Cour interaméricaine et la Cour africaine, chargées respectivement de l’application de la Convention américaine des droits de l’homme (1948) et de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples (1981) émettent aussi des arrêts. Elles ne peuvent cependant être saisies que par un organisme intergouvernemental, appelé Commission dans les deux cas (sauf quelques cas particuliers prévus dans le système africain).
    Pour ce qui est du système universel, le contrôle est encore plus flou. En effet, le Comité des droits de l’homme des Nations unies, quoiqu’il puisse être saisi par des particuliers, ne produit que de simples recommandations.
    :::: Les instruments internationaux des droits de l’homme et la liberté de religion ::::
    Tous les instruments que l’on vient de mentionner engagent les États dans la protection de la liberté de religion. Or, ils affichent des conceptions différentes sur le contenu et les limites de cette liberté. Les instruments du système universel, ainsi que les Conventions américaine et européenne, adoptent une perspective typiquement libérale et individualiste. La liberté de religion y est conçue comme un droit des individus. Les groupes religieux ne peuvent exercer sur ces individus qu’un pouvoir limité, qui dépend de leur consentement préalable. D’autre part, la liberté des non-croyants (c’est-à-dire, la liberté de conscience de ceux qui adoptent des perspectives humanistes, séculières ou athées) est protégée avec la même force que celle des croyants.
    Ils s’accordent aussi à défendre simultanément l’aspect interne de la liberté de religion, c’est-à-dire le droit d’avoir et de changer de croyances religieuses, et les manifestations extérieures de ces croyances. Parmi ces manifestations extérieures protégées on compte, entre autres, l’accomplissement des rites religieux, l’enseignement de la religion et le prosélytisme religieux. La liberté de religion est reconnue aux individus appartenant à toutes les traditions religieuses, qu’elles soient majoritaires ou minoritaires, car le principe de non-discrimination est un pilier structurel de ces régimes de protection.
    La Charte africaine des droits de l’homme, qui protège aussi la liberté de conscience et la liberté de religion et interdit la discrimination, insiste par ailleurs sur les aspects collectifs, absents des instruments précédents. La Charte n’indique pas le titulaire (individuel ou collectif) des libertés garanties, mais d’autres dispositions donnent une idée de sa couleur communautaire. Ainsi, selon la Charte, l’État a l’obligation d’« assister la famille dans sa mission de gardienne de la morale et des valeurs traditionnelles reconnues par la communauté » et chaque individu doit veiller à « la préservation et au renforcement des valeurs culturelles africaines positives ».
    :::: La Déclaration du Caire sur les droits de l’homme en islam et la liberté de religion ::::
    Une approche différente est celle de la Déclaration du Caire sur les droits de l’homme en islam (1990), adoptée par l’Organisation de la coopération islamique (OCI). Il s’agit d’une déclaration, c’est-à-dire d’un document qui a en droit international une force contraignante plus limitée que celle d’un traité. Une Commission sur les droits de l’homme, qui remplit des fonctions consultatives, a été créée auprès de l’OCI.
    S’il est vrai que la Déclaration du Caire reconnaît qu’« aucune forme de contrainte ne doit être exercée sur l’homme pour l’obliger à renoncer à sa religion pour une autre ou pour l’athéisme », elle affirme aussi que « l’islam est la religion naturelle de l’homme ». Le fondement confessionnel de la Déclaration émerge alors dans plusieurs dispositions qui placent l’État en garant de la foi islamique et interdisent aux individus tout acte qui « sape la croyance ». On est donc face à une conception restreinte de la liberté de religion, dans la mesure où elle est subordonnée à une foi particulière.
    :::: Les limites à la liberté de religion ::::
    La liberté de religion n’est pas illimitée. Les instruments internationaux prévoient la possibilité de sa restriction pour des motifs tels que l’ordre et la sécurité publics ou la protection des droits des tiers. Il s’agit d’un équilibre délicat à trouver, les frontières entre la liberté protégée et sa limitation légitime étant toujours sujettes à controverses.
    Alors que pour la Cour européenne des droits de l’Homme l’interdiction du voile dans les écoles publiques est une restriction légitime de la liberté de religion, pour le Comité des droits de l’homme de l’ONU c’est la liberté et non sa restriction qui devrait l’emporter dans ce cas. En plus, dans les instruments à inspiration confessionnelle, la foi adoptée peut se constituer non seulement en limite de la liberté religieuse des autres groupes, mais aussi en limite des autres libertés individuelles.
    *****
    En partenariat avec le Collège des Bernardins.
    – Fernando Arlettaz est chercheur au CONICET (Conseil national de la recherche scientifique argentin), rattaché à l’Université de Buenos Aires. Il participe à plusieurs réseaux internationaux de recherche sur la problématique religieuse saisie du point de vue juridique. Il est intervenu au séminaire Liberté de religion et de conviction en Méditerranée : les nouveaux défis du Collège des Bernardins, sur le sujet « Les instruments internationaux de défense de la liberté de religion et de conviction ». Son ouvrage Les groupes religieux, objet du droit international paraîtra cette année dans la collection « Droit et religions » des Presses universitaires d’Aix-Marseille, dirigée par Blandine Chélini-Pont.

  13. Valence-d’Albigeois (81) : un cimetière profané, 200 croix retournées
    ::: https://www.ladepeche.fr/article/2018/04/26/2787560-cimetiere-profane-dans-le-tarn-200-croix-retournees.html
    27/04/2018
    IMG : 200 croix ont été retournées dans le cimetière de Valence-d’Albigeois
    ::: https://static.ladepeche.fr/content/media/image/large/2018/04/26/20180426213254526-0.jpg
    SATANISME ? JEUX D’ENFANTS ? ACTE de FOLIE ? IMBÉCILITÉ ? [Tiens ! il manque un possible coupable ; serait-ce que « par soucis d’amalgame » on l’ait classé parmi les deux dernières catégories ? On assiste à un nouveau camufflage.]
    QUEL MOTIF A-T-IL PU POUSSER UNE OU PLUSIEURS PERSONNES À ACCOMPLIR DE TELS FAITS qui ont ému les habitants de ce village du Ségala tarnais. La plupart des croix des tombes du cimetière ont été retournées au cours de la nuit de mercredi à jeudi : 200 sur les 350 sépultures que compte le cimetière, selon les enquêteurs.
    « On ne sait pas trop ce qui s’est passé, expliquait hier soir Christine Deymié, maire du village. Ce matin, une habitante est allée faire une visite au cimetière, elle a trouvé étrange qu’autour de la tombe familiale, plusieurs croix de sépultures voisines étaient retournées. Elle est venue nous raconter tout ça à la mairie. Avec un adjoint, nous sommes allés voir et on a bien constaté que la plupart des croix étaient effectivement retournées. Elles n’étaient pas détériorées, sauf quelques-unes très légèrement et il n’y avait aucune inscription. C’est étrange ».
    Pas de signature donc. Aussitôt alertés, les gendarmes de la localité se sont rendus au cimetière pour constater la réalité des faits. Leurs collègues de la brigade de recherches d’Albi ont à leur tour été mobilisés ainsi que les techniciens de l’identification criminelle. Avant la remise en état du cimetière, ces derniers ont longuement inspecté les lieux hier après-midi, pour relever la moindre trace, le moindre débris, et effectuer de nombreux prélèvements.
    Bref, il s’agissait d’engranger de multiples indices qui serviront aux gendarmes de Valence, chargés de l’enquête.

  14. « ………… Dyab Abou Jahjah…………….. »
    putain! mais ils le font exprés de s’ affubler de tels patronymes 😆
    et pourquoi pas, aprés le Jaja, Abou Pochtron, Abou Picole, Abou chrabe……..
    et pourquoi ne portent-ils pas plainte contre le fabricant de PG qui distribue ces rouleaux imprimés de sourates du Coran ?
    il est vrai que piétiner ou brûler un Coran, c’est tellement plus grave qu ‘ assassiner des humains innocents au nom de ce même torche-cul !!

  15. Tout à fait: c’est une contradiction. Dans un pays musulman, il serait condamné pour apostasie.

  16. Je note que sur la photo, sa chaussure est sur son livre et le coran en-dessous.
    Pas très observateurs et futés les muzzs belges.

  17. Si cela est offensant pour l’islam, les musulmans que de traiter avec mépris ou simplement désinvolture leur torchon sacré, et si cela est condamnable, alors il faut logiquement appliquer la réciprocité: les musulmans n’ont aucun respect pour la Bible, et donc devraient être condamnés également chaque fois qu’ils en disent du mal, ou dénient son caractère sacré, en disant que c’est un faux.

  18. Les égorgements, les actes de provocation au quotidien, les violences au quotidien, les propos haineux sur la France et son Histoire, sur l’Occident, leurs exigences arrogantes, permanentes, les profanations de lieux chrétiens ou historiques c’est quoi ? Comment ils les définissent ?…
    Leurs silences sont assourdissants malgré quelques timides apparitions post-attentats (sur commande) pour donner le change.
    Quand, arrêteront-ils leurs simagrées hypocrites ?
    Quand arrêteront-ils de nous imposer leurs sempiternelles jérémiades avec encombrement des tribunaux qui ont (ou devraient avoir) d’autres choses à foutre que de se consacrer presque exclusivement à eux, leurs associations, leurs plaintes ?
    Cela ne fait qu’aggraver les problèmes et ils le savent. Ils nous testent en continu et, sournoisement, ils avancent.
    Ça devient lourd et usant ! Je sais, c’est fait pour. Alors révisons toutes ces lois qui alimentent leurs gamelles et, au niveau européen, unissons-nous pour dire ça suffit.
    Notre soumission, jamais !
    Il y aura des élections européennes en 2019, commençons par là, légalement, même si de plus en plus il devient difficile d’y croire… Ne laissons pas le champ libre à des élus qui ont déjà trahi !

  19. Le droit au critique des religions fait partie de nos droits fondamentaux.
    Ce droit est en train de disparaitre sous les coups de boutoir de l’OCI et des musulmans de France ( ex-UOIF )

    • Le droit surtout de ne pas leur laisser intervenir ans la politique et de nous dicter ce que nous devons croire ou pas et faire ou pas.

  20. Le coran est un livre sacré pour les uns mais surtout sacré…ment con, stupide et dangereux pour les autres.

  21. Archives de sciences sociales des religions
    2017/2 (n° 178)
    Le prophète de l’islam
    ::: https://www.cairn.info/revue-archives-de-sciences-sociales-des-religions-2017-2.htm
    Pages : 300
    Éditeur : Éditions de l’EHESS : https://www.cairn.info/editeur.php?ID_EDITEUR=EHESS
    Revue adhérente à Revues.org : http://www.revues.org/
    Numéros antérieurs disponibles sur OPEN EDITION : https://journals.openedition.org/assr/
    Numéros les plus anciens sur PERSEE : https://www.persee.fr/collection/assr
    ISSN : 0335-5985
    Site internet : http://journals.openedition.org/assr/
    :::: PRESENTATION ::::
    Comment les musulmans, depuis les origines, perçoivent-ils leur prophète ? Quelle relation entretiennent-ils avec lui, dans l’intimité de leur foi et collectivement, comme communauté une ou selon leurs appartenances particulières ? Les études réunies ici répondent à une double inscription, dans le temps et dans l’espace, de la dévotion au Prophète. Elles intéressent aussi bien le Proche et le Moyen-Orient que le Maghreb, les mondes turc et persan et le sous-continent indien et couvrent trois périodes qui correspondent aux trois parties du volume : l’islam primitif ou encore la période « fondatrice » ; la période formative de l’islam ou de constitution des savoirs et des appartenances (IXe-XIe siècles) ; et enfin la période allant du XVe au XXe siècle qui voit l’affirmation croissante de la vénération du Prophète et de son rôle dans la réalisation spirituelle et dans les attentes messianiques. Les articles en varia qui suivent abordent de multiples sujets. Les missionnaires jésuites confrontés à la consommation de boissons alcoolisées dans le Nouveau Monde (XVIe-XVIIIe siècles). Les représentations du pape Pie IX dans l’Amérique latine du premier dix-neuvième siècle. La formation des enfants de chœur dans la France rurale. La transformation des thérapies chamaniques dans l’Amazonie péruvienne. Enfin, la place du religieux dans les destins comparés de la France et de la Grande-Bretagne.
    :::: SOMMAIRE ::::
    1°).- Nelly Amri, Rachida Chih, Denis Gril
    —–> Page 11 à 22 Introduction : la dévotion au Prophète de l’islam, une histoire qui reste à faire
    2°).- Entre humanité ordinaire et sacralité : la construction d’un modèle
    Denis Gril
    —-> Page 25 à 42 « Comme s’il y avait des oiseaux sur leur tête »
    Entre vénération et amour, l’attitude des Compagnons envers le Prophète
    3°).- Samuela Pagani
    —-> Page 43 à 68 « Roi ou serviteur » ? La tentation du Prophète, ou le choix d’un modèle
    4°).- Le prophète dans les premières vocations mystiques
    Jean-Jacques Thibon
    —-> Page 71 à 88 Transmission du hadith et modèle prophétique chez les premiers soufis
    5°).- Pierre Lory
    —-> Page 89 à 100 Le modèle prophétique chez Hallâj
    :::: Normalisation de la présence et de la vénération du Prophète ::::
    1°).- Nelly Amri
    —-> Page 103 à 128 Figures du Prophète et modalités de sa présencedans les récits visionnaires du Maghreb :la Ru’yâ de ‘Abd al-Salâm al-Asmar al-Faytûrî (m. 981/1573)
    2°).- Stefan Reichmuth
    —-> Page 129 à 150 Aspects of Prophetic Piety in the Early Modern Period
    3°).- Hiba Abid
    —-> Page 151 à 176 La vénération du Prophète en Occident musulman à travers l’étude codicologique de livres de piété (xi e/xvii e-xiii e/xix e siècles)
    4°).- Rachida Chih
    —-> Page 177 à 194 La célébration de la naissance du Prophète (al-Mawlid al-nabawî) : aperçus d’une fête musulmane non canonique
    :::: VARIA ::::
    1°).- Danièle Hervieu-Léger
    —-> Page 197 à 220 Grammaires politiques de la mémoire religieuse, grammaires religieuses de la mémoire politique : les cas britannique et français en perspective comparative
    En hommage à Grace Davie
    2°).- Vincent Petit
    —-> Page 221 à 236 Éduquer à la liturgie, éduquer par la liturgie
    La formation des enfants de chœur dans la France rurale (années 1840-années 1930)
    3°).- Elisa Cárdenas Ayala
    —-> Page 237 à 256 Pie IX sous le regard des catholiques hispano-américains
    4°).- Claudio Ferlan
    —-> Page 257 à 278 Ivresse et gourmandise dans la culture missionnaire jésuite
    Entre bière et maté (xvie-xviiie siècles)
    5°).- David Dupuis
    —-> Page 279 à 296 De la liane à la croix en Amazonie péruvienne
    Les transformations du rituel d’ayahuasca dans un centre chamanique

  22. bof la liberté de critique des religion existe en Belgique .si ces musulmans ne sont pas contents ils peuvent toujours repartir….

  23.  » je porte plainte avec constitution de partie civile, en tant que musulman non-croyant  » , et connard si tu es non croyant qu’est ce que ça peut te foute qu’elle marche sur ton coran de merde , Tu pratiques la taqîya comme tout bon allogène . ,si tu n’es pas content dégage , retourne zoner dans ton bled d’arriéré

    • cette merde de bouquin me sert de paillasson , un autre exemplaire de cette merde de bouquin se trouve dans mon chiotte au fond du jardin et me prive pas de pisser dessus en tournant chaque jour une page . Quand il sera bien pourri , j’irai le perdre sur un marché de ma région où pullulent les rats ! peut-être que des bactéries à l’oeuvre en feront crever quelques-uns .

  24. C’est quoi un musulman non croyant ? je pensais que être musulman c’était être croyant… C’est une nouvelle espèce de mauvaise bête ?

    • un musulman, c’est un « soumis »
      Donc il n’a pas le droit de penser par soi-même, pas le droit de disposer de son libre-arbitre, etc…

      • Un musulman est soumis à son dieu, certes, mais ce dieu lui commande aussi impérativement de soumettre à son tour … les non-soumis à l’islam, qu’ils soient athées, chrétiens, communistes, bouddhistes, mauvais musulmans, etc … par tous les moyens prosélytes que lui confèrent les ressources de la douceur, de l’intimidation et/ou de la terreur. Et ma foi … il faut bien le constater, ils obtiennent grâce à leurs constants efforts de « soumettants-soumis », des résultats certains. Pauvres de nous … qui ne savons même plus, en vérité, qu’elle est ce « Nous » qui nous fonde et qui nous transcendait.

  25. Imbécile, mais les gens (surtout les hommes) ne regarderont que les jambes de la demoiselle !!!!!

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