Pierre Rehov, dans « Le Figaro Vox »: pourquoi la justice s’acharne-t-elle sur Christine Tasin ?

FIGAROVOX/TRIBUNE – Selon Pierre Rehov, le dialogue euro-arabe est un chantage dans lequel les intérêts pétroliers l’emportent sur la raison. Prisonnières de leurs alliances avec les pays musulmans, les nations européennes se contraignent à un angélisme naïf face à l’islam, condamnant ceux qui en dénoncent les dangers.


Pierre Rehov est reporter, écrivain et réalisateur de documentaires, dont le dernier, «Unveiling Jérusalem», retrace l’histoire de la ville trois fois sainte.


Ce 27 février, L’Union Européenne, par la voix de Federica Mogherini, a tenu une fois de plus à se démarquer de la position américaine sur la question du Proche-Orient.

Lors de la conférence de presse suivant la réunion qui s’est déroulée à Bruxelles entre les 28 ministres européens et une délégation de ministres arabes, la responsable de la politique étrangère de l’Europe a annoncé que «l’Union avait été impliquée depuis suffisamment longtemps dans le conflit pour savoir ce qui marchait et ce qui ne marchait pas».

Un simple préambule pour mettre en garde contre les initiatives de Donald Trump, rejeter une nouvelle fois la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël et annoncer que l’Europe «partageait globalement la position de la Ligue Arabe sur la relance du processus de paix».

Cette posture n’est pas une nouveauté mais s’inscrit dans une logique née de pressions datant d’une époque où les besoins en pétrole influençaient la politique étrangère des pays dépendant de l’OPEP.

Rappelons quelques faits historiques.

Le 6 octobre 1973, alors que les Juifs du monde entier célébraient Yom Kippour, le jour le plus sacré du judaïsme, l’Égypte et la Syrie lancèrent une attaque surprise contre Israël, censée contrebalancer la défaite de la Guerre des Six Jours en 1967.

Pris au dépourvu, malgré de nombreux indices qui lui auraient permis de prévenir le conflit, l’État hébreu s’est trouvé en situation de péril immédiat, mais Tsahal, avec l’appui logistique des États-Unis, parvint à résister et finit par repousser l’invasion.

 À l’issue de cette nouvelle défaite, la réaction arabe fut immédiate.

Les 16 et 17 octobre, l’OPEP se réunit au Koweït et décida d’augmenter de 70 % le prix du pétrole brut, puis d’imposer une réduction mensuelle de 5 % de sa production jusqu’à l’évacuation des territoires «occupés» et la reconnaissance des droits des Arabes de Palestine, représentés par l’OLP et son leader, Yasser Arafat.

Ces mesures s’assortirent d’un embargo sur les livraisons destinées aux États-Unis et aux Pays-Bas, considérés comme trop «amis» avec Israël, et d’un chantage visant l’Europe, par la classification des pays en fonction de leurs relations avec l’État hébreu.

– Pays amis: tous les pays déclarant qu’Israël devait revenir aux frontières de 67 ou même de 48. C’est-à-dire tous les pays africains, les pays asiatiques et d’Amérique du Sud, les pays communistes ainsi que la France et l’Espagne.

– Pays ennemis: les USA, les Pays Bas, et toute nation apportant son soutien à la nation juive.

– Pays neutres: tous les pays n’appartenant pas à ces deux catégories.

Les prix imposés sur le pétrole dépendaient de cette classification.

Les conséquences pour l’allié israélien, qui souffrait déjà d’un embargo mis en place par le général De Gaulle pendant la Guerre des Six Jours et maintenu par le gouvernement Pompidou, allaient être éprouvantes, mais on peut également s’interroger sur celles affectant progressivement la dignité et l’indépendance de l’Europe.

Car, dès lors, les pays européens se sont retrouvés dans une situation intenable, à la fois contraints de diversifier leur apport énergétique et de voir leur politique étrangère partiellement dictée par les pays producteurs d’or noir.

Cela les conduisit à lancer le «Dialogue euro-arabe» à partir de novembre 1973. Inspiré par la politique arabe de la France, ce «dialogue» consistait selon les termes mêmes de Michel Jobert, ministre des affaires étrangères de Georges Pompidou, à revoir en profondeur les relations entre l’Europe et les pays arabo-musulmans, sur la base «de l’égalité et du respect des intérêts de chacun».

Mais, profitant de la situation de faiblesse de l’Union en formation, les pays arabo-musulmans ne se sont pas contenté d’imposer leur dictat concernant les relations avec Israël. À la fois affectés par des décennies de colonisation et de protectorat et stimulés par leur indépendance, ils allaient imposer un rééquilibrage des forces et des cultures qui serait accepté d’autant plus rapidement que certaines mouvances étaient déjà en voie de radicalisation et avaient entrepris d’exporter la même forme de terrorisme qui ensanglantait Israël.

Deux ans après la naissance du «Dialogue euro-arabe» le 7 et 9 juin 1975, l’Association Pour la Coopération Euro-Arabe (APCEA) dont elle était la cheville ouvrière, édictait les principes d’un virage de la politique européenne en faveur des pays arabo-musulmans en précisant que «le dialogue euro-arabe est le fruit d’une volonté politique commune qui s’est dégagée au niveau le plus élevé».

Notamment, était inscrit dans sa déclaration que l’Europe devait «reconnaître la contribution historique de la culture arabe au développement européen» et «qu’elle regrettait le caractère d’exception de l’enseignement de la culture et de la langue arabes et qu’elle souhaitait leur développement»

Selon l’historienne et essayiste Bat Ye’or, auteur d’Eurabia et de Dhimmitude, toute critique de l’islam devait désormais être bannie et sanctionnée par les pays occidentaux participant à l’APCEA.

Il est important de rappeler que l’islam n’est pas une «race» mais une religion et donc «un système d’idées» en même temps qu’une organisation sociale et politique.

C’est pourtant en s’appuyant sur des textes interdisant toute forme de racisme et tout discours haineux à l’égard d’une nationalité ou d’une ethnie que certains pays européens ont récemment promulgué des lois «anti-blasphème», officiellement afin de protéger leurs minorités et la diversité culturelle.

En tête de ce mouvement, la Suède s’est fait remarquer à plus d’une reprise en cataloguant comme forme «d’incitation à la haine» l’utilisation du terme «terrorisme islamique».

Accuser l’islam d’être une forme de fascisme tombe sous le coup de lois pénales suédoises, qui ne concernent pourtant que la race, la couleur de la peau, la nationalité ou l’origine ethnique.

Selon la même logique, la Suède a longtemps évité tout débat public sur le terrorisme, allant jusqu’à rejeter le terme de «djihadisme» considéré comme stigmatisant pour sa minorité musulmane.

Il est à noter que la Suède est un des rares pays d’Europe à autoriser le burkini dans les piscines municipales, malgré les problèmes hygiéniques associés au maillot de bain islamiste.

En Angleterre, les autorités auraient tendance à minimiser la réalité des viols en tournante, dès lors qu’ils sont commis par des gangs issus de l’immigration, de peur d’être accusées de racisme ou d’islamophobie.

La mutilation génitale des fillettes y est réprimandée par la loi, mais sur les 135 000 cas répertoriés de cette atrocité, seulement un infime pourcentage a fait l’objet d’une procédure et d’une condamnation.

La raison invoquée par Ivan Balchatchet, responsable d’investigations de la Metropolitan Police: «Ces crimes ont plusieurs nuances».

Il se serait excusé depuis. Entre 2015 et 2017, la police anglaise a répertorié 759 crimes d’honneur et 265 mariages forcés, mais seulement 138 personnes ont été condamnées.

Tout autant qu’en Suède, il est mal vu d’employer l’expression «terrorisme islamique», et l’Evening Stantard, le principal observateur des législations antiterroristes en Grande Bretagne, recommanderait de la remplacer par «terrorisme inspiré par Daech».

En Allemagne, où les assauts sexuels sont monnaie courante, la crainte d’être taxé d’islamophobie est si forte que, récemment, le ministre des affaires familiales a déclaré que pour résoudre le problème des viols liés à l’immigration, celui-ci résultant de la frustration des mâles célibataires, il serait avisé d’importer un plus grand nombre d’immigrés. De sexe féminin, cette fois. Certains maires recommandent aux femmes allemandes de ne pas sortir seules le soir et de se vêtir modestement.

Le journaliste allemand Michael Stürzenberger a, de son côté, été condamné à six mois de prison et 100 heures de travaux d’intérêt public par le tribunal de Munich, pour avoir publié sur sa page Facebook une photo du Grand Mufti Hadj Amin al-Husseini, premier nationaliste palestinien et nazi notoire, en compagnie d’Hitler.

Le juge a déclaré Stürzenberger coupable «d’incitation à la haine envers l’islam» et d’avoir «dénigré l’islam en publiant la photo, car un observateur non informé ne pouvait savoir que cette photographie en noir et blanc était un document historique»

La liste des concessions faites au nom de ce «dialogue», maintenu ouvert pendant plus de quarante ans, est longue et inclut des anecdotes, comme le retrait d’une croix d’un tribunal pendant le jugement d’un meurtrier afghan, l’annulation d’une collection H&M car sa disposition ressemblait à une prière arabe inversée ou encore l’instauration d’une «journée mondiale du hijab» par un immigrant du Bangladesh et suivie par plusieurs députés du parti travailliste anglais.

Pendant ce temps, en Iran, plus de trente femmes ont été incarcérées et torturées pour avoir rejeté leur hijab, que l’ancien ministre des égalités anglais Dawn Butler promotionne chaque année, au nom de la tolérance et de la liberté de culte.

En Hollande, c’est en vain que Ayaan Hirsi Ali, réfugiée somalienne élue membre du parlement après l’assassinat de Theo Van Gogh, s’est insurgée contre la dawa, c’est-à-dire «l’invitation» à rejoindre l’islam, telle que préconisée par Youssef al-Qardaoui, leader spirituel des Frères musulmans.

L’islam étant, selon son fondateur le prophète Mahomet, la «religion de vérité qui concerne l’humanité tout entière», la dawa n’est qu’une forme de prosélytisme intellectuel, précédant le djihad.

Déçue par l’attitude soumise du gouvernement hollandais, la jeune femme qui avait été victime de mutilation génitale pendant son enfance s’est expatriée aux États-Unis où elle milite pour l’indépendance et l’égalité des femmes musulmanes, tandis que sa rivale de fait, Linda Sarsour, utilise la même plateforme féministe pour promouvoir le hijab et la haine antisémite sous couvert d’un antisionisme de bon ton.

La France n’est pas à l’abri de ces compromissions, même si l’interdiction de porter le voile dans les écoles et administrations est une mesure destinée à renforcer le caractère laïc de la République.

L’affaire Sarah Halimi, torturée et défenestrée par un voisin musulman aux cris de «Allahu Akbar» est symptomatique de la gêne éprouvée par les institutions publiques lorsqu’il s’agit de qualifier d’antisémite un meurtre attribué hâtivement à l’abus de drogue et à un déséquilibre mental. Il aura fallu l’intervention du Président Macron, puis toute la pression d’un procureur intègre pour que la juge d’instruction finisse enfin par retenir la notion d’acte aggravé par l’antisémitisme.

Terrorisés à l’idée d’importer le conflit israélo-arabe sur le sol français, les gouvernements successifs n’ont su que jouer la carte de l’apaisement au détriment de la vérité, en usant du vocabulaire le plus neutre possible lorsque l’islamisme était impliqué. C’est ainsi que le terme «déséquilibré» remplace le plus souvent celui de «terroriste islamiste», qu’il est rappelé régulièrement que l’islam est une religion d’amour et de paix, et que les casseurs de banlieues sont renommés «jeunes» en vertu de directives gouvernementales retenues par les médias.

Dans le même esprit, il faudrait peut-être se demander pourquoi les Femen ne sont quasiment jamais poursuivies pour leurs actions contre les symboles du christianisme, alors que Christine Tasin, dont le propos de cet article n’est pas de défendre le combat, a de son côté été condamnée à verser à la LICRA une amende de 1 500 euros pour les «propos islamophobes» qu’elle avait prononcés après l’assassinat d’un policier et de sa femme par un djihadiste à Magnanville, dans les Yvelines.

Serait-ce que l’islam fait davantage peur que les autres religions?

Pressions pétrolières d’un côté, menace terroriste de l’autre, il y aurait effectivement à craindre, non pas d’un islam modéré et cantonné au religieux dans le cadre de la liberté d’expression et de culte, mais de sa version combattante et prosélyte.

Mais attention! Là encore il y aurait, en Europe, des limites. Car, étymologiquement, la peur de l’Islam se dit: islamophobie.

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29 Comments

  1. De l’eau par son pot d’échappement, càd de la vapeur d’eau qui se condense en fines gouttelettes sur le bord du pot, démonstration à l’écran dans un hangar de recherche et de mise au point,
    mais ce n’est pas pour tout de suite, encore qq années de travail

  2. @A L
    J’ai suivi un reportage sur les recherches faites par les constructeurs automobiles, français , entre autres, et je peux vous assurer que c’est tout à fait sérieux, ils sont en train de mettre au point le moteur à hydrogène, appelé dans le langage courant ( pour les non-scientifiques) le moteur à eau, bien sûr c’est une abréviation qui ne tient pas compte de la difficulté technique à mettre au point ce type de moteur,
    je crois qu’il a été baptisé moteur à eau parce qu’il ne rejette que l’eau par son pot d’échappement

    • Oui, effectivement, un moteur utilisant de l’hydrogène comme combustible rejette de la vapeur d’eau (et peut-être de l’eau liquide) après la combustion (plus l’excès d’air et l’azote de l’air consommé).

      Mais le vocabulaire est incorrect si on l’appelle ‘moteur à eau’ puisqu’on n’utilise pas l’eau (liquide ou vapeur) au départ pour faire fonctionner le moteur. Malheureusement, c’est courant que le vocabulaire soit dévoyé. Par exemple, quand on dit ‘moteur atmosphérique’ au lieu de sans compression préalable (ou suralimentation): le vrai moteur atmosphérique a existé à partir de 1713 (Newcomen): la vapeur d’eau faisait le vide dans le cylindre en se condensant et la pression atmosphérique poussait le piston. La force motrice était due à l’atmosphère.

  3. @Armand Lanlignel
    en ce qui concerne le moteur à eau, celui-ci existe, il s’appelle le moteur à hydrogène, fonctionnant sur le principe de la décomposition de l’eau,

    Actuellement , certaines marques de véhicule sont en train de le mettre au point, pour l’instant cela semble couter cher, mais la technologie progresse, et nous avons pris 40 ans de retard, suite à des décisions politiques erronées

    • Pour avoir un moteur fonctionnant avec de l’eau, il faudrait mettre de l’eau dans le réservoir (et rien d’autre) et à partir de là obtenir une énergie propulsant un véhicule. C’est impossible. L’eau est décomposée auparavant en utilisant une source d’énergie extérieure (électricité, catalyseurs à haute température …) et on obtient de l’hydrogène ainsi que de l’oxygène mais on a dépensé de l’énergie que l’on récupère en faisant la synthèse de l’eau dans les cylindres d’un moteur à hydrogène.

  4. du gaz , du pétrole en Russie ..il me semble qu’un embargo européen est toujours d’actualité avec ce pays ? ( bon l’Allemagne semble ne pas l’observer car j’ai entendu un français en Russie sur RTL, dire qu’il voyait les produits laitiers en Russie !! )

  5. Excellent exposé des motifs !
    On comprend mieux le regroupement familial et l' »ouverture à l’autre » qui nous a pourtant assiégé pendant près de 14 siècles …
    Du gaz, du pétrole, de l’uranium, il y en a en Russie !
    Je suis surpris qu’aucun résistant du blog n’ait relevé la nouvelle diffusée par RTFfrance dans son JT d’hier soir, à propos du don de 12 millions d’euros à l’EI via notre Quai d’Orsay et Ciments Lafarge dès 2014 ….
    Sauf erreur, aucun démenti de la part de nos « têtes couronnées » qui nous enfument avec « islam assassin » de Christine, et la prétendue apologie des crimes de l’EI à laquelle se serait livrée Marine !!…
    L’affaire est gravissime ! Elle mériterait la destitution de fabius et sa traduction devant la Haute Cour ! Voir également le rôle tenu par le drian dans cette affaire….
    Voilà ce qu’ils font de nos impôts !
    J’espère que cette real niouze fera la Une de Présent …

  6. 6 octobre 1973: chaque année, la propagande égyptienne fait croire que l’armée a gagné la guerre. Il suffit de regarder la télévision égyptienne ce jour-là pour s’en rendre compte…

  7. J’aurai préféré, même s’il le fallait, revenir avec les chevaux à la place des voitures à moteur, que de dépendre du pétrole qui fait tant de malheurs aux peuples du monde.
    Et de sortir tous les brevets pour d’autres formes d »énergies.
    Mais je crois surtout que le pétrole est une excuse bidon de plus pour imposer le nouvel ordre mondial au monde entier, le pétrole musulman est un coup monté par les pouvoirs en place chez nous.
    Car le pétrole ne profite déjà pas beaucoup aux peuples musulmans eux mêmes, c’est la pauvreté partout dans les pays musulmans, très peu en profitent et c’est pas une réussite chez eux.
    Par contre il y a beaucoup plus de milliardaires aux USA et en Europe aux détriments des peuples européens et des pays musulmans, comme pour l’Afrique.
    Mais depuis que Trump est au pouvoir aux USA, la chute du chômage et l’augmentation du travail est plus important et la pauvreté diminue.
    Car avec tout çà, l’Europe et les USA, avant la venue de Tromp, ils pouvaient s’allier avec la Russie et la Chine pour contrer les musulmans en pétrole, rien ne les empêchaient de rester avec les Arabes musulmans.
    En Afrique et en Amérique Latine il y a aussi du pétrole, pourquoi rester avec le pétrole des Arabes musulmans?!.
    C’est pas du pétrole qui manque dans le monde, et nos dirigeants pouvaient même faire du chantage avec les Arabes musulmans, de prendre d’autre fournisseurs de pétrole, point barre!.
    Comme nos dirigeants ne sont pas obligés de faire tout ce cirque et d’accepter les caprices des musulmans et leur Islam de malheurs en Europe, pour se voir finalement ce faire prendre au piège par eux au bout du compte.
    Ce pétrole des Arabes n’a pas de sens que s’il y a une volonté de domination mondiale et le pétrole des Arabes est encore l’utilisation de la peur contre les peuples européens, comme si sans le pétrole des Arabes c’était la fin du monde, çà n’a pas de sens.
    Et même accepter le pétrole des Arabes, ne veut pas dire accepter les caprices des musulmans, et les africains en Europe alors.
    Je crois surtout que ce n’est pas les musulmans qui nous islamisent, mais bien nos dirigeants avec leurs excès de mépris et de haine envers nous les peuples européens.
    Est il nécessaire d’avoir autant de mépris contre nous les peuples européens par nos dirigeants pour du pétrole!, de nous insulter, de vider nos caisses d’états dans toute l’Europe, de laisser faire des violes, des agressions, des attentats, de laisser 123 millions de pauvre et 45 millions de chômeurs en Europe, voir bien d’autres crasses que nos débiles dirigeants aux pouvoirs nous ont laissé, pour du pétrole, non!.
    Est il nécessaire de vouloir détruire toutes nos cultures, traditions et notre race blanche pour du pétrole.
    Je ne crois pas, la haine de la part de nos dirigeants aux pouvoirs est bien réel contre nous les peuples européens autochtones et sont bien intentionnels, et rien d’autres.
    Et ils se sont bien organisés avec les pays Arabes musulmans pour nous foutre la merde en Europe, que rien ne les obligeaient à le faire.

    • Revenir avec des chevaux … facile à dire! Mais ces animaux si gentils (quand ils n’ont pas été maltraités) avaient une vie d’esclave peu enviable.
      D’autre part, le pétrole, c’est assez facile avec les techniques d’aujourd’hui, il suffit d’être au bon endroit et de pomper. L’abondance fait que cela revient à très bon marché. Il n’en est pas de même avec les autres combustibles: on a fait des moteurs fonctionnant au gaz de bois (gazogène), c’est pas pratique du tout et cela revient à plus cher (tout du moins chez nous). Faire du gaz de biomasse sera une solution plus tard, lorsque les réserves de pétrole s’épuiseront. Et aussi de l’hydrogène par électrolyse de l’eau ou d’autres méthodes.
      Tout cela a été étudié et des débuts de mise en pratique ont été faits avant 1985 où, d’un seul coup, le pétrole très cher est devenu très bon marché, les pays producteurs ayant eu peur que l’on n’ait plus besoin d’eux. Et les salopards qui nous gouvernent n’ont pas maintenu un prix élevé des carburants pour encourager les techniques en cours de mise au point. Tous les bureaux d’études aventurés dans le créneau des énergies nouvelles ont dû très rapidement se convertir à autre chose ou faire faillite. La honte soit sur ceux qui nous gouvernent ! Et ensuite, il y a eu l’Europe ouverte à tous vents et sa concurrence déloyale …

  8. Juste un petit désaccord avec MR REHOV :

    « Prisionnières de leurs alliances avec les pays musulmans, les nations européennes SE CONTRAIGNENT A UN ANGELISME, face à l’Islam, condamnant ceux qui en dénoncent les dangers. »

    – se contraignent à un angélisme « ? vraiment?

    Ne peut-on pas dire  » se complaisent dans la connivence » avec l’Islam?
    A moins que nos élites n’aient pas les mains libres et qu’on leur demande de « se complaire dans la connivence avec l’Islam?

    Nos élites ont la visibilité des horreurs commises au nom de l’ISLAM. D’autant plus qu’elles se commettent en plusieurs occasions sur notre territoire. Ignorer la barbarie du maoïsme à une époque, permettait d’ invoquer « la distance qui nous séparait de la CHINE. Et encore !
    Mais en ce qui concerne L’Islam, sa proximité en France permet à nos élites d’être ECLAIREES..

    • Bonjour,

      Votre conclusion est fort juste.

      Il y a 40 ans, les idéologues pouvaient dire des c*** sur la Chine, dont, en fait, ils ne connaissaient rien :

      https://www.dailymotion.com/video/x2b7aa3

      Mais tenir le même discours sur l’islam en 2018, en gros « du fait de Mahomet, les musulmans sont une humanité sans péchés », alors que rien qu’avec la Toile, en lisant les forums musulmans, par exemple, nous avons tout sous les yeux.

  9. Mais bien sûr que leurs propos se rejoignent et que c’est dur de lever le voile
    ( c’est le cas de le dire )

  10. retrace l’histoire de la ville trois fois sainte.

    deux fois, c’est suffisant
    le squatter pédophile n’ en fait nulle part mention dans son roman feuilleton dit Coran

  11. Il serait tellement plus simple de permettre enfin le développement des moteurs à eau (déjà brevetés) et de dire merde à l’OPEP. Ce qui prouve bien que les politiques qui continuent de nous maintenir face à ce chantage y trouvent leurs comptes.

    • OUI, mais ça ne rapporterait rien aux amoureux de l’argent et de la puissance qu’apporte l’argent.
      C’est comme ça que des découvertes « à la pelle », ont été ensevelies « à la pelle ».

    • Détrompez-vous, le moteur à eau n’existe pas. L’eau est un résidu de la combustion du pétrole, comme les cendres sont un résidu de la combustion du bois ou du charbon, il n’y a plus aucun potentiel énergétique, tout du moins à notre époque où les possibilités de fissions nucléaires ou bien de fusions nucléaires sont très limitées.

      Le seul moteur à eau valable utilise une chute d’eau, il faut une grande quantité d’eau et une dénivellation importante ou un courant assez fort (roue hydrauliques, turbines). . .

    • Bien sûr, qu’ils y trouvent leur compte !

      Si la recherche avait été libérée politiquement, il y a belle lurette que nous serions débarrassés du pétrole et des arabes par la même occasion,

      Mais il y a les intérêts de TOTAL, et combien de politiciens émargent dans cette société polluante et richissime, ?
      Pas un seul de nos faux verts n’a jamais soulevé la question,

      Il y aurait même des chercheurs impliqués dans une recherche de pointe sur le remplacement du pétrole qui auraient eu des accidents mortels inexpliqués, justement après les accords de 1973,

      Cherchez le fric et vous aurez la réponse !

      • bon nous achetons le pétrole et si nous ne l’achetions pas , en face ils seraient perdants ! c’est un échange commercial je suppose , à plus ou moins gagnant/perdant , c’est sûr ; car nous entendons que des pays du moyen orient ont une source qui se tarit !

  12. Attention, Pierre Rehov ne défend pas Christine Tasin (il précise que le « propos de cet article ne défend pas son combat ») mais cependant, on peut dire que leurs points de vue se rejoignent…

    Ça avance, ça vient, mais que c’est dur pour les médias d’enlever leurs oeillères !

    • Bonjour,

      Merci : j’avais lu trop vite.

      Je corrige le titre.

      (Le modérateur).

  13. Enfin, des journalistes courageux commencent à dénoncer tous ces lâches de l’Europe et de l’APCEA dont Roselyne BACHELOT est ou était la vice présidente, snas oublier Tilij DECLERCQ

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