Macron a menti pour faire croire que Johnny ne serait pas français mais un produit multiculturel

Pour Johnny, ce matin, moi qui ne regarde plus la télé depuis plusieurs années, j’ai fait une exception : j’ai  suivi chez ma mère  la cérémonie de ses obsèques.
 
Je n’ai jamais pu assister à un de ses concerts, même si j’ai pu offrir quelques DVD à des amis fans, et en ai acheté aussi pour moi, version concert live, comme si j’y étais.
 
La cérémonie de ce jour me touchait, jusqu’au discours de notre cher président, qui mit un arrêt brutal à mon émotion partagée.
 
Si vous regardez la vidéo du discours de ce dernier (youtube Macron hommage à Johnny), à la 21ème minute de l’extrait du reportage, on peut l’écouter dire :
 
« Johnny c’était la vie.
La vie de ce qu’elle a de souverain, d’éblouissant, de généreux.
C’était une part de nous même, c’était une part de la France.
Que ce jeune Belge, décidant de prendre un nom de scène anglo-saxon, soit allé chercher très loin le blues de l’âme noire américaine, le rock’n’roll de Nashville, pour le faire aimer aux quatre coins du pays, était hautement improbable. Et pourtant, c’est un destin français. »
Johnny Halliday est né le 15 juin 1943 à la Cité Malesherbes, Paris 9ème, Ile de France.
Sa mère est Française, et son père Belge. Ce dernier abandonnera sa femme et son fils alors âgé de 8 mois.
Alors pourquoi dire que Johnny est Belge ?
Il ne l’a jamais été, et Macron, comme celui qui a écrit son discours sont bien placés pour le vérifier.
Emmanuel Macron, revenant sur la vie de Johnny, l’a qualifié de « jeune Belge » au début de sa carrière. Et pourtant, si son pere était bien Belge, Johnny n’a jamais eu la double nationalité. En 2007, lorsque Johnny a introduit une demande de naturalisation, notre ambassadeur à Paris était d’ailleurs formel. «  Johnny croyait avoir la double nationalité mais nos services ont étudié le dossier et cela s’est infirmé  », nous détaillait-il alors, sur base d’une analyse juridique fouillée. «  Quand son père, belge, l’a reconnu, il n’était pas encore divorcé de précédente épouse française. Or, à l’époque, nos lois n’autorisaient pas la reconnaissance d’enfants adultérins, au contraire des textes français.  »
D’accord il a cherché l’inspiration du côté de l’Amérique, il admirait Elvis.
Mais Elvis, quelles que soient ses sources d’inspiration, n’était pas noir…  Et, aux sources de ses premières chansons, il y a à la fois la country bien américaine, bien populaire, bien « blanche » et  du gospel, du blues, du « rhythm and blues. » ; mélange qui donnera le rock and roll.
 
Pourquoi nous avoir enlevé le fait qu’il était Français ?
Parce que la France n’a pas de culture ?
Et le reste du discours, suis-je parano ou  peut-on y trouver un autre message ?
Note de Christine Tasin
Il est clair qu’il n’y a pas de lapsus, qu’il n’y a pas d’erreur. Tout est calculé, voulu, tout est manipulation avec Macron.
Devant l’engouement et la ferveur populaires, il a essayé de faire croire au peuple de France rassemblé sur les Champs que celui qu’ils applaudissaient était un étranger. Afin de faire croire implicitement qu’un étranger peut faire son trou, peut devenir une idole, peut devenir plus français que les Français. Sauf que Johnny est bien français et n’a jamais été belge. Sauf que Johnny, même s’il avait été belge, n’a rien à voir avec les rappeurs haineux issus de l’immigration que Macron voudrait nous voir encenser. Sauf que Johnny n’a rien à voir avec ceux qui nous envahissent et qui, au nom de l’islam, veulent détruire la France.
Quant à faire de Johnny celui qui serait allé directement à Nashville chercher l’âme noire américaine c’est là aussi sacrément culotté. Ce n’est pas le seul Johnny, aussi talentueux et populaire qu’il fût, qui a créé ni amené en France le rock and roll. Né aux Etats-Unis dès les années 50, ce dernier a circulé partout dans le monde notamment  grâce à Bill Haley ( qui était blanc ) qui a influencé Presley et a fait connaître le rock and roll blanc. Qui a bien et beaucoup évolué avec les différents artistes, celui de Johnny par exemple ayant peu à voir avec celui de Tom Waits, Neil Young, les Beatles…  Mais il faut bien chercher pour trouver dans la musique de Johnny les traces du blues et du gospel.

Le rock ‘n’ roll s’inspire d’abord du rhythm and blues, le rythme ternaire de celui-ci étant remplacé par un rythme binaire et un tempo plus soutenu. Il faut distinguer rhythm and blues et rock ‘n’ roll, même si la tâche paraît délicate de la fin des années 1940 à 1954.

Ce style est né de la fusion entre des dérivés du blues13 (parallèle au gospel14), et de la country14.

En 1951, le disc jockey Alan Freed anime une émission de radio appelée Moondog’s Rock And Roll Party. Il s’agit de la première diffusion du rock ‘n’ roll à une large audience. C’est lui qui donne son nom au rock ‘n’ roll en reprenant une expression que l’on retrouve depuis la fin des années 1920 dans certaines chansons de rhythm and blues ou de jazz et qui signifie littéralement en argot « danser », ou « faire l’amour »17. Traduction plus large, symbolique : rester debout et aller de l’avant – se maintenir solidement dans son intégrité (« rock »), et avancer, sans à-coups (« roll »), inaliénables et en mouvement18, N 1…)

Source wikipedia.

Pour terminer, voici ce que dit Wikipedia du rock and roll et de Bill Haley :

En 1946, Haley rejoint son premier groupe professionnel, les Down Homers. Il sort quelques titres de country dans les années 1940 pour des labels, comme Cowboy Records. En 19481949 il travaille aussi comme musicien itinérant et DJ. En 1951, avec son groupe The Saddlemen, il change de style et enregistre des reprises remarquées de rock afro-américain comme Rocket 88 (Jackie Brenston & His Delta Cats) et Rock this Joint (Jimmy Preston), qui lui donnent la clé du succès. Les membres du groupe convainquent Haley qu’il pourrait peut-être avoir d’autres succès dans le rock ‘n’ roll. En 1952, The Saddlemen deviennent Bill Haley and His Comets. En 1953, l’enregistrement de sa chanson Crazy Man, Crazy devient le premier titre de rock ‘n’ roll blanc à atteindre les « charts » américains. Le fait qu’il soit originaire de Pennsylvanie, un état du nord, contribue à ce qu’il enregistre des compositions d’artistes noirs. Un artiste du sud les dédaignerait plutôt, ou craindrait le qu’en-dira-t-on. Il faudra attendre 1954 pour que dans le Tennessee (état du sud), Elvis Presley reprenne ce principe dont Haley fut un pionnier, et fasse logiquement scandale en reprenant le répertoire et les attitudes suggestives des afro-américains – avec le succès que l’on sait.

En novembre 1952, une chanson intitulée Rock Around the Clock a été écrite pour Bill Haley mais il n’a pas été possible pour lui de l’enregistrer avant le 12 avril 19542 parce que Jimmy DeKnight, l’un des auteurs du titre, n’en voulait pas. À l’origine (mai/juin 1954), « RATC » entre dans le Top 40 et atteint la 23e place. Il accède à la 17éme place au Royaume-Uni en décembre. Haley fait un succès international de sa reprise de Shake, Rattle and Roll qui s’écoule à 1 million d’exemplaires. Haley et son groupe ont joué un rôle majeur dans le lancement du rock ‘n’ roll auprès d’un plus large auditoire, notamment les blancs après des années pendant lesquelles ce style était encore marginal.

Bill Haley et les Comets durant un show TV en 1955.

Quand Rock Around the Clock apparaît en 1955 sur la bande originale du film Graine de violence ((The) Blackboard Jungle), c’est une véritable révolution musicale qui ouvre la porte à Elvis Presley et bien d’autres. Pendant les années 1950, Haley est une star mondiale du rock’n’roll. Il continue à produire de grands succès comme See You Later, Alligator, Saints Rock’n’Roll, Rockin’ Thru The Rye, Rip It Up, ou Skinny Minnie. Il apparaît également dans les premières comédies musicales rock. De plus, il est l’un des premiers rockeurs à se produire en France sur la scène de l’Olympia en octobre 1958. Sa notoriété a cependant vite été dépassée par le séduisant Elvis Presley, mais Haley est resté une star incontestée en Amérique Latine : en 1961-1966, les Mexicains le surnommaient le « roi du twist » (Florida Twist a été n° 1 au Mexique ainsi que le LP Twist. En Europe, et plus particulièrement en France, en Belgique et aux Pays-Bas, il est considéré comme l’indiscutable roi du rock’n’roll.

Bref Macron n’en manque pas une pour diluer l’esprit français et nous faire croire qu’il n’existerait que par l’apport d’éléments étrangers.

Il s’est bien gardé de dire la même chose hier pour D’Ormesson, mais c’est que l’impact de d’Ormesson est mineur par rapport à celui de Johnny. Et que les amoureux de d’Ormesson sont déjà convaincus des bienfaits de l’immigration et du multiculturalisme.

Tandis que les millions, les dizaines de millions de fans de Johnny… il y a et il y aura du boulot pour les convaincre. Et il a osé,  saisissant une occasion « en or », le jour de ses obsèques.
Le salaud !

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32 Commentaires

  1. Les escrocs imposteurs veulent nous faire croire que notre civilisation Occidental est le produit de mélange des cultures, traditions et des races différentes, alors qu’ils en est rien.
    Tout cela ne sont que des excuses pour détruire toutes les cultures, traditions et toutes les races de la planètes, dites mêmes par le Vice Président de la commissions européenne Frans Timmermans au parlement européens, commandités par l’empire.
    Je l’ai déjà écrit, que si Johnny Hallyday et tous les autres artistes du passé et de ceux d’aujourd’hui, c’est que grâce uniquement à un publique bien francophone de culture et de traditions bien français autochtones, avec un publique Belge francophone.
    Les autres cultures européennes, l’impacte de de nos artistes diminues et encore plus pour les extra européens, et c’est normal, car les autres communautés ont leurs propres artistes.
    Jamais nos artistes auraient pu exister sans un publique bien français et belge autochtones.
    C’est pas seulement Johnny qui s’en va, mais la France avec.

  2. Johnny, de mère française, et né à Paris, ayant vécu son adolescence à Paname, service militaire français, et de nationalité française depuis sa naissance,
    Comment a-t-il pu être présenté comme belge ? son père, belge l’a abandonné quand il avait huit mois,
    je n’avais pas remarqué ce passage, merci de le signaler

  3. Macron a profité de la mort de Johnny pour se mettre en valeur et son discours était destiné à lui ramener des voix en vue de sa prochaine réélection ! Je lui ai coupé le sifflet pendant qu’il débitait son hypocrite bla bla bla ! Ah ! Et puis, l’arrivée de Laetitia que macron et la 1e cougar de France ont serrée dans leurs bras accueillants pour la consoler…hem…hem…j’ai préféré et de loin, le visage dévasté de Eddy Mitchell !

  4. Macron déteste la France et les Français. Qu’on se souvienne de tout ce qu’il a dit lors de sa campagne électorale et après son élection (pas d’art français, pas de culture française, les chtis alcooliques, les ouvrières illettrées, les gens dans les gares qui ne sont rien, les fainéants, etc.).
    Prenant n’importe quel prétexte pour cracher sur la France et imposer sa doxa mondialiste immigrationniste, il a publié un tweet , dès qu’il a appris le décès de Johnny, rédigé ainsi: « Il fait entrer une part d’Amérique dans notre panthéon national », propos qui m’ont énormément choquée et que personne n’a relevés dans les médias aux ordres.
    C’est vraiment le comble de la perversion que de se faire élire pour gouverner un peuple et un pays que l’on déteste et que l’on méprise!

  5. Je n’avais pas relevé ,mais les journalistes et certaines autres personnes qui disent qu’il était un héros faut qu’ils arretent ,ensuite les journalistes qui veulent nous faire pleurer en disant que sont père l’a abandonné à l’age de six mois ,moi ils m’ont fait bondir car Johnny est né en 1943 et à cette époque ils y avaient des enfants orphelins d’un père ou des parents tués au combat ,déportés, torturés et il y en aura d’autres jusqu’à la libération .Messieurs les journalistes arretés de parler plus vite que vous réfléchissez!

    •  »Messieurs les journalistes arretés de parler plus vite que vous réfléchissez! »
      ça c’est impossible car ils ne sont pas payés pour réfléchir mais pour diffuser la bonne parole.

  6. A l’enterrement , dans la cathédrale il a fallu se farcir Hollande le mou , Sarko , macron !
    passer à la télé ils aiment ca !
    la diversité des cons étaient là !

  7. Macron à réduire hommage à un membre de sa secte
    Secte satanique dont johnny et Macron
    Sont membre des illuminatis
    Perso je ne le pleur pas

    • Illuminati Johnny ? Non mais, c’est n’importe quoi ! Que ne va-t-on pas chercher pour souiller la mémoire de quelqu’un que l’on n’aime pas ! Vous n’aimez pas Johnny ? Vous ne le pleurez pas ? Okay ! mais ne dites pas de bêtises dégueulasses et respectez-le !

  8. J’ai zappé toute la journée sur toutes les chaines tv.
    Il faut dire que seule la 2 gouvernementale a glissé discrètement que la foule qui accompagnait le chanteur était « venue avec toutes ses différences culturelles ».
    Le seul connard qui a osé dire ça,le petit brun de france 2;
    Sinon,rien.Tous scotchés par cette foule de français sans aucune différence culturelle ni différence du tout.
    La France comme une évidence.
    Mais Marine Le pen refusée aux obsèques,c’est certainement venu de Macron.

  9. J’ai toujours cru que johnny était né en Belgique…. Mais je me souviens qu’il a épousé Sylvie Vartan après son service militaire. Et puis, quelle importance tout ça ? À quoi bon polémiquer ? L’important à mon avis, c’était la rue…. 1 million de personnes ! Eux ne s’y sont pas trompés ! Nous avons cherché les « colorés »….. En vain. La France était dans la rue, notre France, la France « moisie » pour certains, le « vieux sang pourri des Français » pour d’autres…. Et c’est une star (je n’aime pas ce mot, disons plutôt une étoile) française qu’ils ont honorée en assistant à ses obsèques.

  10. Antenne 2 avait déjà récité sa leçon dans le reportage-hommage diffusé le 7…
    Dans la séquence évoquant le mariage de Sylvie et Johnny, le commentateur n’a pas manqué l’occasion de nous assener : « …Johnny et Sylvie, tous deux issus de l’immigration ». Qu’apportait de plus, au reportage, cette réflexion stupide (fausse concernant Johnny) ?
    Qu’on ne me dise pas que c’était involontaire… tout comme, lors d’un show TV, Drucker définissant « son ami Johnny » comme étant un chanteur belge…
    La France les emmerde vraiment tous ces guignols de la TV payés pour nous rayer de la carte. Lamentable et grossier !

    • Johnny et Sylvie tous deux issus de l’immigration. Pourquoi cela serait il faux en ce qui concerne Johnny ? Un père belge et une mère française, cela fait de lui un enfant issu de l’immigration…. Non ? Moi aussi je suis issue de l’immigration puisque j’ai une aïeule italienne. Tout dépend de quelle immigration nous parlons…. L’immigration européenne étant une immigration chrétienne, nous pouvons être fiers d’en être…. Ce qui fait de nous de vrais français….

      • sauf qu’iil n’était pas belge et qu’un Macron ne finasse pas, voulant faire passer TOUTE immigration comme positive

        • Christine, j’ai dit que son père était belge… Mais johnny était français. Bien sûr que pour Macron toute immigration est identique ! Moi aussi je suis née française mais fière de mon petit coin italien, que je ne renierai jamais !
          Rien à voir avec « l’autre immigration »…..

  11. La culture de Macron est déplorable, chaque fois qu’il tente de la montrer, il devient ridicule, et c’est encore le cas. Mais les médias menteurs aux ordres le trouve génial … génial ? oui comme manipulateur arrogant, méprisant, insultant à l’égo démesuré, un type sans envergure.

    • Il fait fi de l’Histoire et de la géographie, connaissances qui ne présentent aucun intérêt pour un mondialiste et qui font par contre la différence d’avec un polulo-francouillard …
      C’est mon avis et …je le partage…

  12. Sous prétexte d’hommage, toute la caste dominante s’est approprié la dépouille de Johnny pour récupérer l’événement et surtout…continuer la politique de « l’entre-soi ». Mon hommage personnel fut sans l’aide de la TV que j’ai vite éteinte en voyant la tête de ces faux-culs. Le véritable hommage c’était cette immense foule anonyme.

  13. de toute facon, le macron n etait pas a sa place. ainsi que tous les autres. des que macron s est mis a parler, j ai eteins la tele. je ne vois personne dans la Madeleine qui puisse faire un eloge au Grand Jo. si si, mais dehors chacun de ses fans aurait ete 1000 000 de fois plus sincere que ces margoulins autour du cercueil. desole, mais Jo va manquer a tous ses Fans. rien qu a eux.

  14. Un président qui dit connaître Johnny et qui ne sais pas que celui ci a fait son service militaire dans l’Armee Française, c’est dur à encaisser

    • parce que Johnny a fait son service militaire, LUI ! Et dans l’armée française en plus ! Car, corrigez-moi si je me trompe, il y a 20 ans (li micron avait 20 ans il y a 20 ans !) le service militaire n’était pas supprimé, non ?

  15. Emmanuel Macron est un pervers narcissique ( aussi psychopathe ) ; ça entraîne un don de manipulateur .
    Des pervers narcissiques ( aussi psychopathes ) célèbres : Adolf Hitler , Joseph Staline .
    Attention , je ne dis pas que le Président français va faire assassiner autrui comme l’ont fait les 2 personnages cités .

  16. Nashville est la capitale blanche de la country
    La capitale du rock’n’roll est Memphis avec Elvis
    Ce Macron est non seulement ignare mais comme vous le dite aussi un manipulateur

    • Johnny Halliday ( Jean-Philippe Smet ) ne s’inspirait pas que du bon vieux blues noir , il y avait aussi le folksong , ou le pur rock and roll « blanc ».
      Mais il oubliait , et les medias aussi , déjà aussi ignorants qu’aujourd’hui , de citer ses sources musicales. Il changeait seulement les paroles, parfois complètement.
      En 1963 nous étions un trio de copains irréductibles fans d’Elvis ( « the King » ), Eddie Cochrane , Buddy Holly , hank Williams et Woody Guthrie.
      C’est vrai que j’avais la chance d’avoir un oncle américain qui avait leurs disques.
      on rigolait quand on voyait Johnny et Eddie Mitchell reprendre systématiquement des grands succès comme :
      « Something else » années 50 , par Eddie Cochrane ( rebaptisé  » elle est terrible « ).
       » the house of the rising sun » ( « le pénitentier « ) par The Animals en 1964 , immense succès mais qui était tout aussi génial en … 1941 par Woody Guthrie !
      Je peux vous assurer que c’était SOMETHING ELSE TOO ! ( bien autre chose aussi ).
      Si vous ne connaissez pas, tapez simplement sur Google et vous aurez des dizaines de videos en .. noir et blanc of course.
      Un Résistant Rocker du poitou-Charentes , en charentaises encore à l’heure qu’il est, vu le temps ( pas un temps à mettre son cocker dehors ).( ni un rocker d’ailleurs ).

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