Avant de se rendre, de nouveau, en Algérie, Macron s’est exprimé sur la colonisation.
» ni déni ni repentance » a-t-il dit .
» chiche ! » lui répond Benoît Rayski :
Le Président de la République a été digne lors de son séjour en Afrique Noire. Il a tenu un discours qu’on avait envie d’entendre depuis longtemps
Emmanuel Macron a trouvé enfin les mots justes. Il a dit vouloir en finir avec la « guerre mémorielle ». Il a plaidé pour la « réconciliation des mémoires ». Et a dit que pour la France, la route à suivre ne comportait « ni déni, ni repentance ».
Ça nous change et c’est bien. Depuis des dizaines d’années, avec en point d’orgue la loi Taubira, nous expions et nous demandons pardon. Jour après jour, nous faisons pénitence, mais ce n’est jamais suffisant pour les fanatiques de la repentance. Ils ne seront rassasiés que si nous nous mettons à genoux ou mieux, si nous nous prosternons.
Nous avons maintes fois récité un mea culpa pour l’esclavage. Les villes de Nantes et de Bordeaux ont baissé la tête car elles s’étaient enrichies avec la traite négrière. Nous nous sommes nous-mêmes cloués au pilori pour la colonisation en Afrique Noire. Et notre mauvaise conscience nous empêche de trouver un sommeil réparateur quand nous pensons à la torture que nous avons pratiquée en Algérie.
Il y a une très jolie chanson interprétée par Jeanne Moreau : « J’ai la mémoire qui flanche, j’me souviens plus très bien… » Quand – ça nous arrive – notre mémoire flanche, les apôtres de la victimisation veillent au grain et nous rappellent à l’ordre. Ils sont nombreux dans les radios, sur les plateaux télés, dans les journaux et dans les universités.
Pour reprendre les mots de Macron, le temps est donc venu de « réconcilier les mémoires ». Mais il ne peut y avoir de réconciliation si une mémoire est niée. La nôtre aussi doit être prise en compte. Ainsi nous attendons des excuses pour ce que les Barbaresques, ancêtres de ceux qui nous demandent réparation ont fait pendant des siècles sur nos côtes. Des dizaines de milliers de femmes enlevées pour être livrées aux émirs ou aux pachas. La traite des Blanches serait-elle moins condamnable que la traite des Noirs ?
Nous souhaitons entendre des paroles de contrition pour l’abominable massacre d’Orléansville en 1957. Pour les attentats sanglants visant des jeunes gens et des jeunes filles au seul motif qu’ils étaient français. Nous voulons aussi que le monde arabe, de la Mauritanie au Yémen, se repente d’une abomination rarement évoquée : des millions de Noirs soumis aux fouets de leurs seigneurs et maîtres. Des millions de Noires considérées comme un butin pour des harems. Oui, c’est à la France d’en parler : les pays d’Afrique noire sont trop faibles, trop dépendants, trop pauvres pour l’exiger.
Dans les années 80, il y eut à la tête de l’Ouganda un tyran monstrueux et grotesque. Idi Amin Dada. Dans sa folie néronesque, il entendait venger l’homme noir de l’humiliation subie pendant la colonisation. Il convoqua des caméras pour se faire immortaliser dans un palanquin porté par quatre Blancs. Depuis, de différentes façons certes, cette scène est rejouée et rejouée. Nous supportons le nouveau fardeau de l’homme blanc. On peut comprendre que nous soyons las de porter le palanquin…
Benoît Rayski
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Le grand avocat, Gilles William Goldnadel, a engagé une action judiciaire à l’encontre de notre trader golden boy à l’instigation du Cercle Algérianiste .
J’ose espérer que cette action aboutisse à l’annulation de son élection obtenue grâce à la captation d’un certain électorat à la suite de propos mensongers et diffamatoires.
Un populo-franouillard !
Copiez les phrases utiles que Macron dit et qui seraient “racistes” si quelqu’un d’autre les disait et ensuite recollez-les le plus possible avec la précaution « Comme le dit le Président Macron … etc… »
Voilà ce qu’écrivait Rudyard Kipling, citoyen britannique , né Bombay, à la fin du 19ème, début 20ème siècle :
« Le fardeau de l’homme blanc »
« ô Blanc, reprends ton lourd fardeau ;
Envoie au loin ta plus forte RACE,
Jette tes fils dans l’exil
Pour servir les besoins de tes captifs ;
Pour -lourdement équipé- veiller
Sur les races sauvages et agitées,
Sur vos peuples récemment conquis,
Mi-diables, mi-enfants.
Les MARCHEURS COUREURS pro Macron de tous bords, nous souhaite bien du plaisir pour 2018 :
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Réforme du Smic: le retour d’une vieille obsession
:: https://www.mediapart.fr/journal/economie/061217/reforme-du-smic-le-retour-d-une-vieille-obsession
DATE : 6/12/2017
AUTEUR : Romaric Godin
Le groupe d’experts sur le Smic propose de réduire la revalorisation du salaire minimum. Une vieille idée de son président, Gilbert Cette, nommé cet été par le gouvernement.
L’opération semble parfaitement huilée. Le gouvernement avait nommé en août dernier les nouveaux membres du groupe d’experts « indépendants » sur le Smic (créé en 2008 par Nicolas Sarkozy), composé d’économistes très défavorables à son système actuel de revalorisation. Il recueille donc logiquement en décembre un rapport qui propose de réformer profondément ce système. Le sujet du salaire minimum ne figurait certes pas au programme de campagne d’Emmanuel Macron, mais il fait désormais une entrée tonitruante – et sans aucun doute calculée – dans le débat. Rien d’étonnant à cela : la remise en cause du fonctionnement du salaire minimum est depuis le milieu des années 1990 une des vieilles marottes de la pensée technocratique « ni gauche, ni droite » française. C’est aussi, dans l’idée des concepteurs, un complément « naturel » des récentes réformes du marché du travail, qui visent à fluidifier l’emploi et à abaisser le coût du travail.
Il veut en finir avec la « guerre mémorielle » ? Ben qu’il commence donc par abroger la loi taubira ou y rétablir la vérité. Ne pas oublier que les blancs, à quelques exceptions près, étaient « clients » et non « commerçants » qui eux étaient noirs et arabes.
De toutes façons, avec macron c’est fini, non ? Puisque que l’on est passé de la repentance imposée à criminels contre l’humanité.
efficace IDI AMIN DADA ne voulant plus des hindous dans son pays ceux ci sont partis dans le delai COURT IMPARTI pas envie de finir dans la marmite des cannibales coutume toujours en cours REMIGRATION EXPRESS
Voilà ce que j’ai écrit pour le 50ème anniversaire du départ des Français de l’Algérie :
Quel est ce territoire longtemps sans nom, sans état, sans police, sans route, sans institutions propres ? Quelle est cette bande de terre, prise en étau entre Méditerranée et un vaste désert dont il est facile de comprendre que sa quasi vacuité territoriale et institutionnelle le fit appartenir aux plus … [suite à l’adresse ci-dessous].
https://histoiresdefrance.wordpress.com/2014/08/19/algerie-jecris-ton-nom