Je me demande si ce n’est pas ce genre d’engagement, d’intrusion excessive du discours politique gauchiste dans l’Université, qui explique la réticence des employeurs à embaucher des diplômés de l’Université.
Il n’y a aucune raison pour que, par exemple, les diplômés d’écoles de commerce s’en sortent infiniment mieux.
Ce n’est pas un mythe : la réussite professionnelle ne récompense pas forcément ceux qui ont été les plus travailleurs.
Très souvent, les employeurs privilégient les écoles de commerce, dont la scolarité est très chère souvent, et dont pourtant les étudiants sont réputés pour être des grands fêtards et souvent des grands buveurs aussi…
Mais l’Université a une telle image de gauchisme généralisé que la valeur des diplômes finit par en pâtir au point qu’un employeur préfère embaucher un ivrogne qu’un gauchiste.
Aujourd’hui le bac+5 a moins de valeur que le bac+2 d’il y a quinze ans, ce qui explique d’ailleurs, même si on ne le présente pas ainsi officiellement, que le DEUG a disparu de la hiérarchie des diplômes car, lui, n’a pas plus de valeur que le baccalauréat dans les faits.
La licence a la valeur d’un bac+1 d’antan, c’est-à-dire d’études inachevées et le master 1 vaut dans le meilleur des cas un BTS.
Telle est la réalité des diplômes universitaires dans les filières de sciences humaines et assimilées au regard des exigences du monde du travail dans le secteur privé.
Les sciences dures sont peut-être moins exposées à ces changement, avec des enseignants a priori moins sensibles au gauchissement des idées car leur objet d’étude n’est pas aussi sensibles aux variations idéologiques, encore que…
Beaucoup de choses sont à revoir dans l’Université : ce spectacle fait plier de rire les employeurs sérieux.
Un exemple parmi d’autres : combien d’actes de colloque publiés avec des interventions d’universitaires étrangers qui ne sont même pas traduites ? C’est très fréquent.
Il est beau le mélange des cultures, la coopération européenne entre universités de l’UE…
La réalité est que très souvent, personne ne fait l’effort de traduire son intervention, ce qui fait que le lecteur qui ne maîtrise pas couramment l’italien, par exemple, achète un exemplaire des actes du colloque hors de prix (en général 10 centimes d’euro la page pour les publications scientifiques donc 25 euros pour 250 pages par exemple…) dont il ne peut lire la moitié.
On se demande à quoi ça sert d’avoir autant d’étudiants et de diplômés en langue étrangère ainsi que des échanges internationaux d’étudiants et de personnel (dont des administratifs) si finalement, les universités n’ont pas la décence de traduire en plusieurs langues des articles de colloques internationaux lorsqu’elles les publient.
Cela fait un mauvais effet et décrédibilise l’institution chargée de répandre le savoir y compris auprès des agents économiques privés.
Mais ce n’est rien par rapport aux prises de position politique d’enseignants qui décrédibilisent l’institution universitaire auprès de la population et qui participent à l’islamisation en confondant les sphères personnelle et professionnelle, ce que font ceux qui portent des signes islamiques ostensibles sur leur lieu de travail. Qui se ressemble s’assemble.
Certes, les gauchistes internationalistes sont les alliés objectifs du patronat dans la mesure où ils entretiennent un niveau quantitatif élevé de « main-d’oeuvre désoeuvrée », d’actifs sans emploi prêts à faire des concessions toujours plus importantes au point qu’elles finissent par devenir la norme sur le marché du travail. Mais quand il s’agit de les embaucher, eux, les employeurs ne sont pas fous, ils n’en veulent pas car cette mentalité est incompatible avec une culture d’entreprise. Ces gauchistes ont donc pour avenir prédestiné d’essayer de se caser en politique, en association subventionnée pour faire aux autres ce qu’ils n’aimeraient pas qu’on leur fasse…
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« Ces gauchistes ont donc pour avenir prédestiné d’essayer de se caser en politique, en association subventionnée »…ou à l’EN. La taupe de la photo en est l’exemple type.
Bonne à rien mais fait croire à ses élèves que ce sont eux qui ne comprennent pas. Ça doit être dans son carnet de notes, ça.
Le problème c’est qu’il y a nombre de bac + 5 et + avec les prétentions salariales en rapport avec leur « savoir »… mais qui savent tout juste écrire en français …
Il fallait voir à Censier le nombre de CPF avec fiches et/ou livres sur les genoux pendant les examens et personne n’osant signaler de peur de représailles …
Cela remonte à 30 ans, alors j’imagine le phénomène aujourd’hui …
Pauvre France !
Il est certain que pour un dirigeant de petite, moyenne ou grande entreprise, employer un jeune ou moins jeune qui s’agenouille devant un macrocon, un hollande ou un mélencon c’est prendre d’énormes risques sur la survie de sa société.
Il semblerait que la politique de tous ces ramassis ga…..sses ressorte et fasse réfléchir.