Après les hôtels, ils utilisent maintenant nos abbayes pour loger les migrants !

An 1893. A Troisvaux, dans le Pas-de-Calais, l’abbé Trannoy rachète un château du XVIIIe siècle, ainsi que les terres alentour. Là, il fonde une abbaye qui deviendra célèbre dans la région : Belval. Il installe dans le lieu une communauté de cisterciennes trappistines.

Les religieuses se font rapidement une spécialité de la production de fromage : elles recueillent le lait auprès des fermiers du coin, le pasteurisent, le caillent, le moulent. Puis leur précieux gagne-pain s’affinera dans les caves. Elles le baptiseront du nom de leur monastère : le belval, aujourd’hui vendu dans toute l’Europe.

Ce petit joyau de notre patrimoine national s’apprête à être laissé à l’infestation de clandestins érythréens et maghrébins.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/09/06/01016-20170906ARTFIG00084–troisvaux-un-centre-d-accueil-pour-migrants-ouvert-dans-un-ancien-monastere.php

Revenons quelques années en arrière. Alors que l’abbaye comptait plus de soixante moniales dans les années cinquante, elles n’étaient plus que vingt-et-une en 2008. La communauté vieillit, et le manque de vocation aura définitivement raison d’elle. L’année suivante, les sœurs partent à Igny, rejointes par d’autres communautés qui connaissent le même sort. L’abbaye restera sans locataire durant trois ans.

En 2012, une association de laïques prend ses quartiers dans les lieux. Elle relance l’activité fromagère, redonne à ce produit du terroir sa vigueur tout en élargissant son circuit de vente. L’activité reprend fièrement… Mais le noviciat, bâti en 1930 pour accueillir jusqu’à quatre-vingts religieuses, demeure inutilisé.

Voilà donc que nos chers politiques ont l’idée bienveillante de le peupler avec les migrants qu’ils viennent de balayer du camp de Calais. Ceci au sein du noviciat joliment renommé, avec la subtilité que l’on prête sans détour à ces technocrates de la novlangue, « centre d’accueil et d’examen des situations » (CAES pour les intimes).

L’article du Figaro ose prétendre sérieusement que les clandestins « ont vocation à être accueillis huit à quinze jours, le temps de les convaincre de s’enregistrer en préfecture pour étudier leur cas. » Le « journaliste » qui a commis ces lignes a-t-il une seule seconde en tête la totale illégalité de leur présence sur notre sol ? Et du décalage qu’il existe entre ses aspirations de gauchiste illuminé et l’état d’esprit de ces hors-la-loi ?

Il précise aussi qu’il est « difficile de convaincre les migrants de rejoindre le centre de Belval ». Plus encore, sans doute, ceux qui avaient ouvert un négoce de recel de pièces automobiles volées.

L’article poursuit dans le registre pathétique : « Parmi ceux qui ont accepté d’intégrer le CAES, il y a Samuel, un Érythréen de 26 ans.(…) « On m’a dit en préfecture que j’aurai une décision dans un mois pour savoir si je peux rester », explique-t-il. En attendant, il passe le plus clair de sa journée à conjurer l’ennui, les yeux sur son portable, comme la plupart des hôtes de Belval. » C’est qu’ils nous feraient pleurer.

Ibrahim, quant à lui, pratique « la course à pied, le dessin et l’apprentissage du français en autodidacte. »Mais c’est bel et bien une victime, qui malgré l’horrible traitement qu’il subit, « prend son séjour au CAES comme une chance ». Nous voilà rassurés.

Il faut dire que certains font carrément la fine bouche. « « Il n’y a pas de réseau, pas d’Internet, et la première ville est à une heure de marche », lâche Ahmed, un jeune Somalien arrivé il y a deux semaines. « C’est comme une prison ici ». » Tant qu’on y est , pourquoi ne pas demander une véritable mutation derrière les barreaux, comme cela devrait être le cas dans un pays au fonctionnement normal ? Il devrait plutôt s’enthousiasmer des différences entre sa contrée islamisée aux mains de milices armées et la France, nation millénaire bien qu’à bout de souffle.

Le gentil bobo-journaleux conclut que tout se passe évidemment très bien, même si, comme d’habitude, les méchants racistes mettent toujours leur grain de sel. « Quelques mauvaises langues ont relevé que dans le hameau, qui compte une cinquantaine d’âmes, il y a désormais plus de migrants que d’habitants. » Les vilains auraient-ils idée que l’on assiste à un petit morceau du Grand Remplacement ?

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13 Commentaires

  1. Pourquoi ne pas installer les migrants a l’Élysée, il y a largement de place , et aussi dans les propriétés secondaires de tous ces politiques. Il faut y penser sérieusement!! Ils sont si larges d’esprit et si généreux!!

  2. Vu le nombre de pièces inoccupées à l’Élysée,
    Dis Mossiou MACRON, comme tu nous aimes et que tu dis qu’il faut nous accueillir, pourquoi tu nous propose pas de venir loger chez toi ?
    et puis, il y à beaucoup de personnes pour s’occuper de nous ! !

  3. Il y en a tellement qu’ils ne savent plus où les mettre
    bientôt ils nous demanderont de prendre en charge chez nous un ou deux migrant !
    Et dire que cette folie furieuse ne s’arrêtent même plus
    on continue à les faire venir !
    ou on les accepte ce qui revient au même

  4. La terrible crainte que j’avais est en train de se réaliser…. Je suis effondrée.

  5. On l’a déjà dit et redit : y a rien à faire il faut passer par là. Il n’y a que quand tout le monde aura fait l’expérience du multikulti et en aura expérimenté les effets sur sa propre peau qu’on commencera à se dire qu’il y a peut-être quelque chose qui ne tourne pas rond. Patience, même Chantal Delsol a fini par comprendre, avec au moins 10 ans de retard, que « ils ne nous aiment pas »…

  6. Les migrants : dehors
    Les politicards et les journaleux des merdias : à GUANTANAMO
    La France aux Francais

  7. Je me suis demandé récemment si Le Figaro n’avait pas viré à gauche, ou du moins LREM.

    C’est comme La Croix, on a envie de les secouer…

  8. Franchement, c’est lamentable, quand on voit comment nous avons du mal à vivre….. Honte à ceux qui font cela.

  9. Sil ti plit MISSIOU MACRON, PENSE A TES FRANÇAIS DE SOUCHE ! ! !
    auxquels tu leurs Pompes aisément dans leurs petites retraites ! !

  10. Et nos vétérans, retraités (es) sont toujours dans les rues, après les grandes chaleurs, vont bientôt MOURIR DE FROID ! ! !
    Ah, qu’il est BÔ, qu’il est BÔ, ce nouveau GOUVERNEMENT
    Pas la peine d’aller faire * le lèche cul *, chez les GREEK,

    MISSIOU MACRON, Occupe toi plutôt des nôtres ! !

    • Oui Mr micron nous fait un petit aller retour en jet de l’état pour se faire mousser devant des gens qui espères beaucoup de la France !!!!!les pauvres .
      Pendant ce temps on compte les morts et les dégâts sur nos propres territoires.
      Les Greek et les Francis ne doivent rien attendre de ce gourous avec ça secte qui nous prépare de remplacer les européens par la race des sous hommes en espérant rester à leur tête,mais ça tête sera bientôt sur un pic à l’entrée de Versailles.

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