Pour garder leurs futurs étudiants intellectuellement stimulés, les grandes universités américaines ont pour habitude de leur fournir des listes de lecture estivales.
Lorsque l’on intègre Duke, Berkeley ou Stanford, on se doit de passer un été studieux. Les néo-étudiants les plus brillants l’ont appris lorsqu’ils ont reçu leur liste de lecture préparée par leur futur établissement. Le site d’informations américain Quartz a compilé les livres recommandés par certaines des meilleures universités américaines et du monde, comme les trois mentionnées précédemment. De quoi vous donner des idées si vous êtes encore à la recherche d’aventures littéraires estivales.
À la prestigieuse université de Duke, membre de l’Ivy league, les conseils de lecture sont principalement tournés vers la littérature contemporaine. Leur principale recommandation est «Le prince de Los Cocuys: une enfance à Miami», un roman autobiographique du poète américain Richard Blanco, qui raconte son enfance de descendant d’exilés cubains à Miami. Dans le reste de leur liste, on trouve également «Moi contre les États-Unis d’Amérique», de l’auteur afro-américain Paul Beatty (2015), ou encore «Le Problème à trois corps», un roman de science-fiction de l’écrivain chinois Liu Cixin (2006).
À la Georgetown University, à Washington, un seul livre est recommandé: «L’illégal», de l’auteur canadien Lawrence Hill, paru en 2015. L’action se déroule en 2018. Deux pays imaginaires représentent l’un la pauvreté, le Zantroland, et l’autre la richesse, le Pays de la liberté. Le héros du livre, un coureur de marathon noir, migre du premier vers le deuxième…
L’université Northwestern, située en banlieue nord de Chicago, est l’une des deux grandes universités de la ville et l’une des plus prestigieuses des États-Unis, notamment grace à son département de sciences sociales. Les étudiants qui y entreront en septembre devront avoir lu l’essai «Notre Déclaration: une lecture de la déclaration d’indépendance en défense de l’égalité» de la chercheuse en sciences politiques Danielle Allen. L’auteur américaine de 46 ans, diplômée de Princeton, Cambridge et Harvard, fait un commentaire scrupuleux du texte fondateur des États-Unis d’Amérique (4 juillet 1776) et mène une réflexion sur les notions de liberté et d’égalité.
À Stanford, la littérature américaine contemporaine à l’honneur
À Stanford, la très prestigieuse université californienne, trois livres sont à l’honneur cet été. «No Home», de Yaa Gyasi (2016), est un livre qui retrace l’histoire d’une lignée familiale ghanéenne sur sept générations. La jeune auteur née en 1989, dont c’est le premier roman, a été distinguée par la National Book Foundation en 2016. Les futurs élèves de Stanford devront également se plonger dans «La 6e Extinction. Comment l’homme détruit la vie», de la journaliste américaine Elisabeth Kolbert. Publié en 2014, cet essai qui retrace dans le temps l’histoire de la théorie de l’extinction des espèces et celle de l’évolution a été sélectionné parmi les 10 meilleurs livres de cet année par le New York Times.
Enfin, Stanford a assigné à ses futurs élèves la lecture du roman «Salvage the bones» (Bois sauvage, ndlr) de Jesmyn Ward, auteur américaine née en 1977. Il raconte l’histoire d’une adolescente américaine, dont la mère est morte et le père alcoolique, qui multiplie les relations sexuelles pour s’échapper de son présent morose. Elle tombe enceinte, coincée dans sa petite ville de Bois Sauvage, une bourgade isolée du Mississipi, qui se trouve être sur la route de l’ouragan Katrina qui s’approche irrémédiablement.
Note d’Antiislam
Ces listes confirment que les grands auteurs de la tradition européenne n’existent plus, n’existent pas pour ces professeurs américains du « politiquement correct ».
Je suppose que dans les facultés de sciences américaine, on ne triche pas : on étudie toujours Galilée, Pascal, Newton, Gauss, Maxwell, Einstein.
Sinon la Etats-Unis s’effondreraient en 20 ans.
C’est là la grande tartuferie de ces professeurs « politiquement correct » des lettres et sciences humaines : on veut bien garder la science (sans i-phone qui suis-je ?) mais on liquide le cadre des humanités qui a permis ces découvertes. Un Blaise Pascal illustrant dans sa seule personne cette fusion occidentale humanités/ sciences.
A plus long terme, d’ailleurs sans le terreau des humanités européennes, la science américaine s’étiolera et s’effondrera par effondrement de la société entière …
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«Salvage the bones» (Bois sauvage, ndlr)
=> J’aurais traduit ça par « Récupérer les os », non ?
Léonard de VINCI illustre aussi cette union productive entre l’esprit scientifique et la création imaginative,
Beaucoup de grands scientifiques furent également des philosophes, la découverte scientifique se nourrissant de la pensée créatrice, et des « sciences humaines »
On devrait accorder un droit de vote proportionnel au QI de l’individu, ce serait une mesure « égalitaire » :
compenser le déficit intellectuel, par un coefficient multiplicateur réservé aux individus ayant le plus de chance d’apporter du positif sur la base de raisonnement logique
frejusien : Très bonne idée mais on vous répondra qu’au contraire cette mesure serait discriminatoire pour les QI en dessous de la moyenne .
Et ironiquement ça serait probablement des gens au QI tout à fait normal qui protesteraient au nom des autres pour les défendre …
Mouarf ! Tu as vu nos énarques ?
Ils ont voté macron, mais la merluche avait bien précisé les raisons de sa consigne de vote : faire élire macron, pour lui tirer dans les pattes une fois qu’il serait élu,
Ce sale type se fout pas mal de la gestion de la France, il s’amuse à faire et vouloir défaire « les rois », il n’a aucune conscience politique, et des milliers d’abrutis lui emboitent le pas et répètent comme des perroquets, en s’en glorifiant,
on peut se poser la question sur leur degré de maturité et l’étendue de leurs possibilités de réflexion
Avec le sourire, et avec des remerciements,
merci bonpapa de prendre soin de nous !
Voici un autre fait divers qui montre bien que la culture du dialogue tombe de plus en plus bas. Suite a une campagne de dénigrement qui e été orchestrée par l’antifa de Berlin, une librairie juive devait plier boutique. Deux jeunes libraires israéliens voulaient retracer la genese du fascisme et explorer en profondeur ses racines. Pour faire cela ils avaient prévu d’organiser, dans leur librairie, un débat d’idées sur les écrits du philosophe italien Julius Evola qui est, bien sûr, une personne assez controversée. Mais c’est justement parce qu’il est si contestable qu’il puisse y avoir un vrai débat ( et c’est la raison pour laquelle les deux Israéliens l’ont choisi.) Or, les couillons de l’antifa de Neukölln ( c’est un arrondissement berlinois ou l’antifa est tres influente) ne l’endendaient pas de cette oreille. Pour eux. la chose était claire. Julius Evola est un nazi et les deux libraires juifs le sont aussi. Doron Hamburger qui est le proprietaire de la librairie a dit: » Un jour je me suis réveillé pour voir sur Facebook qu’on nous avait qualifiés de librairie fasciste, située au coeur de Berlin. Les soirées que nous avions organisées, étaient les bijoux de notre librairie, nous en étions fiers, mais étant donné les circonstances défavorables, nous n’avons plus l’énergie d’en organiser d’autres. » Peu a peu, les clients manquaient d’arriver et les deux Israéliens ont été amenés a fermer la librairie.
Je trouve cette anecdote assez proche du scénario de Fahrenheit 451 ( de Ray Bradbury ) .
Dans une scène du roman l’un des pompiers du gouvernement , qui est chargé de brûler tous les livres , explique comment les choses en sont arrivées là :
Pour commencer le gouvernement s’est contenté d’interdire certains ouvrages qui étaient considérés comme sujets à polémique et/ou racistes ( par exemple la case de l’oncle tom ou encore little black sambo . )
La population pensait que c’était une bonne cause et il n’y a pas eu de réaction .
Puis , furent interdits les ouvrages qui divisaient les gens ( les livres qui parlent de politique ou de philosophie et de sujets qui donnent lieu à des débats en général . )
La population pensait que c’était pour préserver la paix civile et il n’y a pas eu de réaction .
Ensuite les livres de science furent jugés trop compliqués pour le grand public et donc inutiles ( Du moment que les gens profitent de l’électricité et de leur chauffage , à quoi bon vouloir savoir comment cela peut fonctionner ? )
La population disait que c’était pour lui faire gagner du temps et lui simplifier la vie et il n’y a pas eu de réaction .
Restaient les ouvrages littéraires ( romans et poésies . ) qui étaient réédités dans des versions chaque fois plus courtes et plus simples pour être accessibles sans efforts .
Le jour ou ils devinrent interdits par la loi la population ne lisait déjà plus , et la minorité restante n’eut aucun moyen de réagir .
( Et puis la majorité des citoyens préféraient se détendre devant la télévision de toute manière . )
Pour finir le gouvernement se mit à traquer et tuer le peu de gens qui possédaient encore des livres et refusaient de les remettre aux autorités .
Et voilà comment sans violence et sans arme , un peuple peut accepter graduellement l’obscurantisme et la censure la plus absolue avec le sourire .
Beau rappel !
J’ai bien peur qu’aucune force ne puisse contrecarrer cette évolution : la presse et tous les media sont aux ordres de clubs de milliardaires et exerce une pression irrésistible, surtout chez les jeunes…
Ils ont aussi rendu le cerveau des hommes perméable à leur propagande et/ou campagne publicitaire grâce à la méthode globale d’apprentissage à la lecture, laquelle, au bout de + de 50 ans, a amené la majorité des gens a mal comprendre ce qu’elle lit ou entend … Ce qui facilite l’influence néfaste des me.dias !…
La réaction viendra quand ils auront compris, après s’être retrouvés quelques fois les pieds dans la merde et dans le sang…mais là, il sera trop tard …
Le jour ou le mot « intello » est devenu une insulte dans les cours d’école , on aurait dû commencer à s’inquiéter .
Le fait d’aimer lire et apprendre a pris une teinte péjorative lentement mais surement …
Les marcons, ca ose tout…
« Moi j’ai voté macron, mais à 20h05 je suis dans l’opposition »!
Voyez cette ribambelle de connards grâce à qui marcon est à l’Elysée. Plus qu’un coup de karcher, c’est les 12.7 qu’il faut sortir. Et vite!
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mdr! le jeune qui dit on va pas le laisser tranquille. Contre le gros mou, ils ont rien fait, alors contre le jeune dynamique…! ha ha !
Dans un monde à l’envers, il est fou d’être à l’endroit. (L Obertone « Guerilla »)
Des chercheurs ont découvert une certaine intelligence chez des plantes.
Ainsi l’acacia menacé par un herbivore dégage un gaz qui prévient les autres acacias du danger, ceux-là produiraient alors une forme de poison dans leur feuilles.
Les chercheurs ne disent pas si le GENRE d’une plante est aussi une construction sociale !!!!!!
Nous les humains si. On danse sur la tête mais tout va bien.