Macron ne comprend pas les discours qu’il prononce… Flagrant délit

L’inculte et l’imbécile lit des discours qu’il n’a pas écrits, qu’il ne comprend pas…

Bravo la force de conviction, bravo la sincérité…

Mais il nous avait prévenus dès le début, le programme c’est fait pour les imbéciles, les élections c’est fait pour les couillons.

Mais il ne s’est pas démonté pour autant :

Moi, la relation que je veux instaurer avec vous, c’est plutôt une relation de clarté pour qu’on puisse agir efficacement.

Les cons ça ose tout, c’est à ça qu’on les reconnaît.

C’est aussi la preuve que le langage abscons, les petites phrases qui se contredisent, c’est fait exprès pour plaire à tout le monde et pour enfumer tout le monde, il y a tant d’imbéciles qui croient que  celui qui n’est pas clair est un intellectuel qui sait…

Mais il est vrai aussi que celui qui aspire à devenir Président de la République française parle en anglais, dit qu’il n’y a pas de culture ni d’art… Bientôt il va dire que la langue française est trop compliquée et qu’il faut la remplacer par l’anglais.

Quand Macron avoue ne pas comprendre son discours

« Je suis tout à fait favorable à ce qu’on construise de nouveaux modèles de gouvernance. Ces nouveaux modèles pourront être mis en place à l’initiative des acteurs eux-mêmes et assureront une plus grande souplesse », commence Emmanuel Macron.

Puis, le candidat s’interrompt : « Je vous lis ce qu’on a m’a mis », et reprendre son propos: « dans la composition des instances dirigeantes et dans les modalités d’organisation interne ».

« Initialement je n’ai pas compris cette phrase, avoue-t-il enfin. « En gros, ça veut dire… », tente-t-il sans terminer sa phrase.

Et de conclure sous les rires du public : « Moi, la relation que je veux instaurer avec vous, c’est plutôt une relation de clarté pour qu’on puisse agir efficacement ».

http://www.bienpublic.com/actualite/2017/04/16/quand-macron-avoue-ne-pas-comprendre-son-discours

A lire, en complément, un article du Figaro

Souvent moqué pour le caractère abstrait de certaines de ses tirades, le candidat s’est trouvé pris à défaut vendredi par la complexité du discours qui avait été écrit pour lui sur l’Enseignement supérieur, et l’a donc décrypté en direct.

C’est à la fois une clé de son succès et une source de critiques: Emmanuel Macron a, dans ses discours, une certaine appétence pour les grandes envolées lyriques. Un trait que le candidat féru de philosophie revendique au nom du droit à la pensée complexe. Au risque parfois de se prendre les pieds dans le tapis quand la complexité du propos se fait trop audacieuse. Exemple, ce vendredi 14 avril en Isère, à l’occasion d’un discours sur l’Enseignement supérieur et la recherche. Le candidat lit un passage du discours – qu’il n’a visiblement pas écrit – au sujet de la gouvernance des universités. «Mon équipe m’a préparé un texte dont la subtilité mériterait que je le lise comme un entomologiste pour ne froisser personne. Comme je n’arrive pas à être convaincant en ânonnant des textes lus, je suis obligé d’être sincère et de vous dire ce que je pense et donc ce que je vais faire si je suis élu», a d’abord prévenu l’ancien patron de Bercy, avant d’exposer sa vision de l’université de demain. Un discours déconcertant qui n’a pas échappé au jeune conseiller national LR Jens Villumsen, soutien de François Fillon, qui en a diffusé des extraits sur les réseaux sociaux.

«Je suis tout à fait favorable à ce qu’on construise de nouveaux modèles de gouvernance. Ces nouveaux modèles pourront être mis en place à l’initiative des acteurs eux-mêmes et assureront une plus grande souplesse», lance-t-il d’abord, sans grande conviction, avant de se livrer à un premier aveu. «Je vous lis ce qu’on a m’a mis», glisse-t-il avant d’essayer de reprendre le fil du propos: «…dans la composition des instances dirigeantes et dans les modalités d’organisation interne». «Initialement je n’ai pas compris cette phrase. Moi, la relation que je veux instaurer avec vous, c’est plutôt une relation de clarté pour qu’on puisse agir efficacement», ironise le candidat sous les rires de la salle.

Pour ne pas rester sur une incompréhension générale, le fondateur d’En Marche tente ensuite de reprendre dans ces mots le jargon technocratique. «Ça veut dire que je suis favorable à ce que localement, quand c’est porté, il puisse y avoir une organisation ad hoc qui soit retenue, du type des grands établissements. Une organisation qui permet d’être mobile, d’avoir une activité la plus réaliste possible, de s’adapter à l’écosystème, d’être pragmatique. Je ne suis pas pour un modèle unique en termes d’organisation de nos universités. Je suis pour qu’elle puisse y associer les partenaires à leur gouvernance, toutes celles et ceux qui sont pertinents pour avoir une action efficace. Donc je suis pour plus d’autonomie, je suis pour une gouvernance plus simple portée par des acteurs de terrain et qui ne soit pas imposée dans un modèle unique d’en haut», a-t-il décrypté. Une circonvolution complexe pour dire simplement son soutien à l’autonomisation des universités.

On peut constater que l’autonomie des universités n’est pas le seul sujet complexe s’être heurté à la complexité du verbe des plumes de Macron, comme a pu le relever le Lab. «On a un gros problème avec l’évaluation. Personne n’aime l’évaluation. Donc là c’est pareil, on m’a préparé un texte qui est absolument illisible sur l’évaluation», a encore admis le candidat, un peu plus tôt dans le discours.

http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/2017/04/16/35003-20170416ARTFIG00069-et-emmanuel-macron-avoua-ne-pas-tout-comprendre-de-son-propre-discours.php

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18 Commentaires

  1. Ce pedant moquait la betise de ouvrieres des abattoirs Gad de Lampaul Guimilliau illitrées au point de pas pouvoir passer leur permis de conduire afin d’etre plus … flexibles … digne fils spirituel du pedant en chef qui moquait les sans dents .. povre con !

    une de ses illetrées avait avec un grand bon sens crié sa colere devant les cameras de Fr3 Bretagne disant qu’elle vomissait la morgue des elites et qu’à l’avenir son choix serait marine Le Pen … Becassine sait mordre parfois !

  2. Une main de pianiste dans une marionette artritique. Le spectacle est pitoyable et l’avenir qui nous menace bien inquiétant

  3. et certains (beaucoup trop d’ailleurs) veulent élirent ce type, la France est déjà dans un gouffre profond, mais avec lui ce sera un gouffre sans fonds, non seulement il admet ne pas comprendre ce qu’il dit (ce qui est très, très grave) mais il veut continuer d’ouvrir en grand la porte à toutes sortes d’immigrés,

  4. « Je vous lis ce qu’on m’a mis », « Je n’ai pas compris cette phrase », …
    Fantastique !!! Il ne songe même pas à glisser pudiquement et à embrayer en souplesse sur autre chose. Un cocktail détonnant de mépris, d’amateurisme, d’improvisation pour tout ce qui touche aux problèmes de fond.

  5. Ça la fout mal ! Là le pavé était trop gros pour son public ; rien de moins que des têtes, des gros bonnets de l’Enseignement supérieur et un discours normalement taillé sur mesure pour cette catégorie !

    S’ils votent pour lui, on a la preuve que tout est bidon, ce n’est pas possible sinon.

    Autrement dit, il pourrait lire à l’envers le bottin de vidangeurs de chiottes que ce serait pareil.

  6. ça me rappelle le sketch des Inconnus, où ils interprètent des intervenants auprès d’un Monsieur Gentil et ces intervenants, soi-disant experts dans leur domaine, parlent des langages incompréhensibles.

    Sinon, autre sujet. Ce soir sur la première chaîne, il y a eu Dupont-Aignan qui s’est prêté au jeu du « moi Président ». ce gars a un programme et des propos copié-collé à 90% voire plus, de Marine Le Pen. Et lui ça passe mieux. On ne le traite pas de fasciste ou de raciste.
    Il devrait se rallier au FN, il apporterait et obtiendrait plus.

    • il s’en gardera bien cet imbécile ( et je suis gentille ) il fait le jeu de LR en prenant des voix à Marine

      • Bien d’accord avec vous Christine. Il n’est là que pour ça, faire filtre et affaiblir Marine au profit de LR, idem pour Asselineau.
        Macron n’est qu’un droïde mal programmé.
        Hamon, une marionnette.
        Fillon, un collabo qui sait pas, un « oui-mais-peut-être que ».
        Pendant ce temps le « petit dictateur » fort en gueule progresse et se prend à rêver…
        Je ne comprend pas comment nous avons pu en arriver à un tel degré de crétinisme.

  7. « Macron ne comprend pas les discours qu’il prononce… ». Je l’avoue humblement, moi non plus. Et vous ?

  8. soyons indulgents …

    il ne fait que lire ou parfois réciter, un texte auquel il ne comprend rien lui même

    j’ espère au second tour un duel MLP/Mélanche

    histoire d’ assister a la formidable déculottée que se prendra le communard…

  9. Pour le charabia, Macron devrait lire  » Le bourgeois gentilhomme de Molière.  » Monsieur Macron, vos mots dénués de sens nous font mourir de rire. De rire nous font mourir, Monsieur Macron, vos mots dénués de sens. Dénués de sens nous font de rire mourir vos mots, Monsieur Macron…

    • _ Ou « Le Malade imaginaire », ce type est creux de chez creux, il raconte n’importe quoi pour brouiller et cacher ces véritables intentions mondialiste porteuse de misère et de régressions pour le Peuple qu’il méprise, encore une de ces « Macronades » dont il a le secret. macron incarne une certaine forme de « Fascisme elitiste mondialiste », il est manipulé par les Banqsters de la finance.

      _ Il ne sera pas au deuxième tour, il a trop de carences dans son programme et les Français sont dans le dégagisme, il a son bilan sur les épaules aussi, les Français ne sont pas tous des « Jambons ».

      _ Anania de Schirac.

  10. ce mec est une pourriture
    un imposteur un collabo comme tous ces politicards de gauche
    ces fumiers qui veulent la destruction de ce qui fait la france
    votez pour ça reviens a se suicider

  11. Hénorme! Décidement il ne nous aura rien épargné. ET ce n’est même pas lui qui prépare ses discours. A dégager.

    • A l’évidence il n’en prend même pas connaissance avant de les lire (bêtement) à la tribune…
      C’est très révélateur, d’autant qu’il pense se dédouaner (?). Une manière de dire : « Si c’est con, c’est pas moi, c’est eux »… L’imbécile !…

  12. Sur le coup, j’apprécie plutôt l’attitude qu’il adopte, en affichant son mépris pour le jargon jargonisant qu’on lui a pondu.

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