Dans le » programme » ( ? ) de Macron : » la discrimination positive « .
»Le retour des orangs-outans » !
– des pilotes d’avion qui n’ont jamais vu un avion, mais qui sont ……
– des premiers de la classe qui ont 2/20, mais qui sont …..
– des médecins qui ne connaissent de la médecine que le mot, mais qui sont …..
– des enseignants qui ne savent pas lire, mais qui sont ……
Je suis pour la sélection !
Il n’y a rien de raciste, sexiste, homophobe, etc. dans ce que je viens d’écrire : je suis toujours pour que le meilleur soit choisi ( peu m’importe sa couleur, son sexe, ses préférences sexuelles, son origine ….. je m’en fous ! Et tous ceux qui me connaissent le savent ! ).
Voici quelques extraits d’ un entretien d’ Anne Marie Le Pourhiet avec l’ » Observatoire du communautarisme » :
» Anne-Marie Le Pourhiet : la discrimination positive marque le « retour au droit des orangs-outans »
Anne-Marie Le Pourhiet, professeur de droit public à l’Université Rennes-I, se livre dans cet entretien à l’Observatoire du communautarisme à une dénonciation en règle des principes de la discrimination positive et du règne du politiquement correct qui pèse chaque jour davantage sur le débat public.
Anne-Marie Le Pourhiet :
Le terme de discrimination lui-même est aujourd’hui tellement galvaudé qu’on ne sait plus du tout de quoi l’on parle. Il paraît donc nécessaire de « déconstruire » un peu notre sujet. Le mot « discriminer » n’a a priori aucun sens péjoratif ou répréhensible puisqu’il désigne simplement le fait de distinguer, séparer, sélectionner ou discerner et vous m’accorderez qu’il est en principe tout à fait louable de savoir distinguer les êtres, les choses, les caractères ou les oeuvres. Il est rassurant de jouir de ses « facultés de discernement » et c’est le contraire qui est jugé inquiétant par le corps médical. Savoir distinguer un homme courageux d’un lâche, un homme vertueux d’un fainéant, un savant d’un ignorant, le permis de l’interdit ou encore un chef d’oeuvre d’un barbouillage est traditionnellement une qualité. Il se trouve cependant que par un glissement sémantique dont on ignore l’origine mais qui est peut-être lié au goût postmoderne pour l’indifférenciation, le terme de discrimination a acquis une signification essentiellement péjorative désignant des distinctions arbitraires et mal fondées.
Dès lors, une discrimination devient une sélection négative préjudiciable à celui qui la subit au point d’être moralement et/ou juridiquement condamnée. C’est ce qui résulte clairement de la politique dite de « lutte contre les discriminations ».
On n’affirme pas haut et fort vouloir lutter contre de bonnes actions.
En conséquence, parler de discrimination positive n’a a priori pas de sens puisque cela revient à reconnaître un caractère positif à ce contre quoi on prétend lutter y compris pénalement !
Il faut donc être cohérent : si la discrimination c’est le mal, alors toutes les discriminations sont mauvaises, sans exception.
….. sauf quand il s’agit d’attribuer des privilèges à ceux qui ont la chance d’appartenir au club très prisé des « dominés ». Femmes, handicapés, « issus de l’immigration africaine et maghrébine », homo-bi-trans-sexuels, etc….ont le droit de bénéficier d’avantages refusés aux hommes mâles, blancs, valides, hétérosexuels et originaires de régions hexagonales à l’ identité faible.
Voilà très exactement ce qu’est une discrimination « positive » : un passe-droit reconnu aux membres de catégories ethnico-culturelles ou sexuelles ayant réussi à se forger un statut de victimes d’une domination perpétrée par une catégorie de bourreaux qui ne sera donc pas fondée à s’en plaindre.
Tout cela commence à sentir sérieusement le népotisme. C’est aussi ce que proposent certains syndicats étudiants d’obédience musulmane : il faudrait « adapter » les modalités d’examens et de notation universitaires aux différences culturelles ! On va finir en république bananière ! «
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» il est fondamental de rappeler que l’Islam, du premier verset révélé au Prophète (SAAWS) jusqu’au dernier des hadiths, a toujours encouragé la quête de la connaissance en plaçant les savants au plus haut degré d’accomplissement de l’échelle humaine. »
C’était une phrase mise en exergue dans un » article » de « oumma.com » titré
» islam et science moderne … »
( https://oumma.com/islam-et-science-moderne-les-questions-qui-fachent/ )
Un article de » jeune Afrique » montre ce qu’il en est :
Une étudiante de l’ université de Sfax ( Tunisie ) présente une thèse de doctorat dans laquelle elle explique que :
– la terre est plate
– le soleil tourne autour
– les lois de physique de Newton, Kepler, Einstein n’ont aucun fondement
– la vitesse du son et celle de la lumière sont les mêmes
– les étoiles ont un diamètre de 292 km
etc ……
Une thèse de doctorat de sciences ! en 2017 !
Là, c’est en Tunisie, mais dans 20 ans, avec les Belkacem, ce sera en France !
http://www.jeuneafrique.com/424393/societe/tunisie-these-affirmant-terre-plate-provoque-stupeur-consternation-monde-universitaire/
https://francais.rt.com/france/36167-challenges-roule-t-il-pour-macron-sdj
Commentaire mal placé, cf plus haut réitéré en réponse à Maxime.
La discrimination qu’elle soit positive ou négative n’a pas sa place dans le Droit français, je ne comprends pas que cela puisse même être pensé. Je suis d’accord avec l’article.
« Voilà très exactement ce qu’est une discrimination « positive » : un passe-droit reconnu aux membres de catégories ethnico-culturelles ou sexuelles ayant réussi à se forger un statut de victimes d’une domination perpétrée par une catégorie de bourreaux qui ne sera donc pas fondée à s’en plaindre. »
Elle parle là de la dynamique que sous-tend l’idée de « discrimination positive », elle ne parle pas de tout les gens concernés (certains ne demandent rien bien sûr, et même sont contre les positions des associations et des politiques, c’est évident, c’est du bon sens).
Elle parle ainsi de « sens général », on est selon moi, dans une position d’analyse pas de réalité concrète. Et pour moi, elle a raison c’est bien exprimé, c’est exactement ça.
Bien sûr, si la France était une grande puissance, c’est bien par des grands qui avaient été sélectionné pour l’ascension de la France.
Et pour l’ascension d’un pays, il faut une vrai culture développé, pas comme avec l’attardé Islam qui n’enrichi personne.
L’arabe, langue du prophète des musulmans, n’est que plus riche que grâce à des chrétiens civilisés, non par des attardés musulmans.
Il faut cesser d’embellir la laideur de Islam pour s’en protéger, laissez crever l’Islam de la haine.
Si les musulmans utilisent la force, nous aussi et dehors la haine Islamique.
Maxime,
Voici le lien avec l’intégralité de l’ article dont des extraits sont cités :
http://www.bondamanjak.com/anne-marie-le-pourhiet-la-discrimination-positive-marque-le-l-retour-au-droit-des-orangs-outans-r/
Le dernier chapitre de l’article de RR ( » …… sentir le népotisme …. » ) y figure.
Je trouve l’article très bien. Et anticipant un peu, comme quiconque doué d’un sens de discrimination moyen qui s’affine avec les années, je vous prie de considérer avec attention la période 2017 électorale -présidentielles / législatives- ainsi que le début du ramadan .On verra bien où ils se situent, le temps des orangs-outangs et celui du népotisme..
Excellent article. Merci claude t.a.l .
Est-ce que la fin de l’article est aussi de le Pourhiet ?
Sur le fond, je suis naturellement opposé à la discrimination positive, contraires à nos principes qui suffisent déjà à garantir l’égalité.
En revanche, je pense ne pas avoir la même opinion qu’elle quant aux limites à l’égalité, mais c’est une autre histoire…
Je ne suis pas sûr que son intervention soit désintéressée, quand on sait quelle position elle a soutenu à propos de la réforme du mariage en 2013.
Ce qui me choque dans son propos, c’est l’emploi du présent, si vraiment tout est d’elle dans cet article, même la fin (comme il faut être abonné Figaro et que je ne le suis pas, je ne peux vérifier).
Je lis en effet que les catégories citées « ont le droit de bénéficier », « ayant réussi à se forger un statut de victime » etc.
Or, dans la liste citée, il y a des gens qui n’ont jamais rien demandé à personne. Ce sont des propositions qui émanent de personnalités politiques qui ne représentent pour l’instant que leur nombril. Même s’il peut y avoir du lobbying, la liberté d’association fait qu’une association féministe, d’handicapés ou LGBT par exemple ne représente que ses adhérents et pas toutes les femmes, tous les handicapés ou tous les homosexuels.
Finalement, le risque d’un tel propos est d’encourager la réaction inverse : misogynie, « handiphobie », homophobie etc.
Bref, si j’étais journaliste au Figaro, ce n’est pas son papier que j’aurais publié. On peut être un bon juriste mais manipuler sa science à des fins politiques. Je considère que c’est ce qu’elle fait. Du moins, si l’information à laquelle on peut accéder sur internet exprime vraiment ses opinions.
Juste un exemple : pour expliquer son refus du mariage homosexuel, elle dit :
« Si vous examinez deux planches d’anatomie vous voyez bien que le corps de l’homme a été fait pour s’encastrer dans celui de la femme et que ce sont en quelque sorte les deux parties d’un tout ».
http://www.libertepolitique.com/Actualite/Decryptage/Anne-Marie-Le-Pourhiet-le-mariage-homosexuel-Drole-de-progres-!
Ce propos n’est pas républicain, nous avons affaire à un partisan du droit naturel qui considère que la loi des hommes ne peut dépasser ce qu’implique l’observation de la nature. Si on suit ce raisonnement, l’adopté et l’adoptant ne seront jamais père ou mère et fils ou fille, car le lien biologique n’existe pas. Par contre, allez savoir pourquoi, les mêmes soutenaient au XIXème siècle que le mariage est indissoluble, alors que physiquement, les corps des époux des époux sont indépendants. Dans une telle conception, l’invocation du droit naturel signifie en réalité un refus de la laïcité…
C’est incroyable que des gens pensent encore ainsi en France, au XXIème siècle, ils incarnent une droite intolérante qui ne vaut pas mieux que la gauche prônant la discrimination positive. Deux attitudes politiques antirépublicaines et qui hélas, pour la première, est incarnée aussi par une bonne part de l’électorat du Front national. Cela n’empêche pas Marine le Pen et Florian Philippot d’être de vrais républicains essayant de faire évoluer leur parti dans la bonne direction.
J’ai l’impression pour ma part que le Front National, qui a eu raison sur tous les sujets depuis sa création au milieu des années 70 – était dans la « bonne direction ».
Pour avoir choisi la voie préconisée par tous les autres, on voit dans quel état se trouve la France aujourd’hui, et on devine ce qu’il va advenir d’elle à vouloir encore faire la fine bouche avec le Front National comme vous le faites.
Dans un commentaire récent, vous n’excluiez pas de voter Mélenchon et il ne faut pas se demander pourquoi il n’est jamais possible de régler un seul problème dans ce pays. Si vous ne comprenez pas, si vous ne voulez pas comprendre, pensez au moins à vos enfants ! Ils ont le droit, eux, de suivre une autre « direction » que celle du cimetière…
Bonjour,
Cela dit, relisez ce qu’écrivait Jean-Marie Le Pen sur l’intégration de l’Algérie à la France dans les années 50 : c’était exactement la même UTOPIE que nous servent, en 2017, en choeur, Macron, Hamon, Mélenchon, Besancenot …
Curieux paradoxe !
C’était dans les années 50, au moment où éclatait la guerre en Algérie, et ces propos de JMLP allaient trouver leur concrétisation avec le plan de Constantine décidé… par le général De Gaulle !
JMLP partageait le sentiment de beaucoup de Français de bonne foi au sujet de « l’Algérie française », laquelle n’avait – je suis d’accord avec vous – aucune chose de voir le jour, mais ce n’était pas l’erreur du FN non encore créé.
Donc, on ne parle pas tout simplement de la même chose et ainsi, les propos ne sont pas contradictoires.
« ….partisan du droit naturel qui considère que la loi des hommes ne peut dépasser ce qu’implique l’observation de la nature. Si on suit ce raisonnement, l’adopté et l’adoptant ne seront jamais père ou mère et fils ou fille, car le lien biologique n’existe pas. Par contre, allez savoir pourquoi, les mêmes soutenaient au XIXème siècle que le mariage est indissoluble, alors que physiquement, les corps des époux des époux sont indépendants ».
Je crois qu’il y a là mélange de plusieurs registres, le biologique n’est pas le social et le social n’est pas le biologique, il est ce que l’on décide pour organiser la vie et la survie d’une communauté.
L’adopté et l’adoptant ne sont père/fille ou père/fils que sur le plan social, ils ne le seront jamais sur le plan biologique (cela n’empêche pas le lien affectif bien sûr qui peut être plus fort que le lien biologique).
Alors, dans la même idée, » les corps des époux sont indépendants » certes, mais l’institution du mariage est sociale et non biologique. Et le collectif avait décidé qu’il ne pouvait être dissous alors que le lien biologique (« les corps ») lui pouvait l’être de fait bien sûr, les époux restant mariés par obligation sans plus aucun lien physique ni affectif.
Et bien sûr, pour concevoir un enfant il y a aura toujours la nécessité d’un ovule + un spermatozoïde = un enfant (le biologique, lié à la survie de l’espèce), c’est incontournable on ne peut le nier sous peine d’être psychotique, quelles que soient les lois sociales (le social) décidées par un collectif. Il y a donc là aussi le biologique (« la nature ») ET le social (« la loi des hommes »).
dont beaucoup qui se font du lard sur le compte des petits sans dents » devraient la prendre en exemple d’honnêteté patriotique «
Madame Le Pourhiet est NON seulement une professeur/e de droit mais également ( et c’est tout à son honneur ) une philosophe très compétente et intelligente dont beaucoup qui se font du lard avec leurs livres ( souvent dicté par des petites mains ) et, j’espère doit se rendre dans des conférences d’associations bidons ou école universitaire privée dirigé par d’autres philosophes qui retournent souvent leur casaque pour monter sur les chameaux du désert… Dans son exposé ci-dessus tout est dit et le petit retraité devrait lire entre les lignes ou en diagonal sa pensée philosophique contre notre « dis-crie-nations » Ils veulent garder leurs petits euros mais ils auront le » dinars « …