Le fait-divers qui s’est déroulé ce matin à Orly s’est bien terminé, fort heureusement. Le forcené a été abattu, ça fera des économies de juges, d’éducateurs, de psychologues, de policiers et autres gardiens de prison, et peut-être même que ça fera un consommateur de viande halal de moins en taule.
Un militaire de Sentinelle a une lourde responsabilité et il fait un travail épuisant nerveusement. Et il a de moins en moins de temps de repos et de formation, alors patrouiller en ayant l’oeil à tout, en étant sur le qui-vive à chaque seconde… C’est difficile. Merci à eux d’être là.
Alors on peut comprendre qu’au bout d’un certain temps l’attention puisse se relâcher, qu’une jolie fille qui passe détourne un dixième de seconde le regard d’un de nos jeunes gars. Parce qu’ils sont jeunes, les militaires de Sentinelle.
Mais cela ne suffit pas à expliquer…
L’explication est sans doute ailleurs. Nos policiers, comme nos militaires, n’ont pas la formation et l’entraînement qu’ils devraient avoir. Parce que le gouvernement les leur refuse.
Nous avons régulièrement des témoignages de policiers qui, pour garder la main, sont obligés de se payer leurs cartouches parce qu’ils n’ont droit qu’à un nombre plus que minime.
En 2014 les policiers n’avaient plus droit qu’à 3 séances de tir par an, et ne pouvaient tirer plus de 16 balles à chaque séance. Les tireurs sportifs qui foncent au stand dès qu’ils peuvent, au moins une fois par semaine apprécieront l’entraînement et l’efficacité des policiers formés de cette façon.
Article du Figaro en 2014 :
La police rationne ses cartouches pour faire des économies
Limite à 16 balles par séance
INFO LE FIGARO – L’approvisionnement de la police en munitions est rationné en cette fin d’année. Lors des séances d’entraînement de tir à Paris, le nombre de cartouches tirées sera limité dans les chargeurs.
Cette décision se justifie par des «mesures d’économie». Au risque de donner de la consistance aux critiques récurrentes des syndicats sur la baisse des moyens accordés aux fonctionnaires. Déjà un responsable syndical à la PJ s’interroge: «Comment garantir un niveau de sécurité maximum en limitant les conditions réelles de tir pour tous les agents? Que se passera-t-il si un gardien de la paix mal assuré tombe nez à nez avec de vrais braqueurs qui font feu en pleine rue, comme cela s’est vérifié récemment encore près des Champs-Élysées?»
Dans cette note, datée du 27 octobre 2014, sur les «modalités d’utilisation des munitions d’entraînement», la direction des ressources humaines de la Préfecture de police fait d’emblée état de «contraintes actuelles qui touchent l’approvisionnement en cartouches d’entraînement au niveau national». Le problème dépasse donc le simple cadre parisien.
«Dans ce contexte, explique le rédacteur du document, il a déjà été décidé, temporairement, de limiter aux trois tirs réglementaires le nombre annuel de séances de tir de chaque fonctionnaire de police». Avec deux exceptions toutefois: «la nature spécifique des missions» de l’agent (exemple: un membre d’une unité d’élite comme l’Antigang) ou «une maîtrise de l’arme jugée insuffisante par le moniteur de tir».
Par ailleurs, le préfet de police de la capitale, Bernard Boucault, a retenu le principe de «limiter à 16 (8 par chargeur) le nombre de cartouches tirées dans les armes de dotation individuelle lors des 2e et 3e séances d’entraînement au tir réglementaire». Jusqu’alors, les agents avaient droit à trois séries de 30 balles pour s’entraîner.
En 2015
La formation au tir est une des hontes de notre pays.
Extraits
« L’Essor ». – Les gendarmes des brigades sont-ils suffisamment formés, selon vous ?
Me Liénard. Qu’il s’agisse de la Police ou de la Gendarmerie, la formation est la honte de notre pays. On donne une arme aux gens sans les former ni les informer, alors que c’est une composante de l’uniforme qui va servir potentiellement à sauver leur vie. On ne met pas du tout les moyens qu’il faut, même en formation initiale.
Regardez une séance de tir : on leur donne une position figée et un nombre de cartouches extrêmement réduit, alors qu’il faudrait habituer les gendarmes a manipuler leur arme le plus souvent possible. Si on vous donne une nouvelle moto, il faut 2 000 km avant de savoir la manier. La formation passe par un phénomène de sevrage. Il faut tirer beaucoup pour comprendre comment cela fonctionne et pour avoir l’arme en main. Au FBI, les gens qui ont du mal avec leur arme se retrouvent avec cette dernière scotchée dans la main pour rapprendre à vivre avec. C’est excellent ! Il faut dédramatiser l’outil et apprendre à s’en servir.
Tirer, c’est compliqué, et bien tirer, encore plus.
[…]
Me Liénard. Je pense que si un gendarme connaît exactement son arme, ses capacités, et qu’il est à l’aise avec, il la porterait déjà chambrée, c’est-à-dire prête à tirer. De nombreux gendarmes préfèrent porter leur arme non chambrée. C’est très dangereux. Et, en cas de besoin, ils n’auront pas forcément la deuxième main libre. Si, dans la panique, ils tirent et que rien ne se passe, la panique sera encore plus grande.
« L’Essor ». – On ne peut transformer chaque gendarme en spécialiste du tir…
Me Liénard. Non, mais ils pourraient tous s’entraîner à la Fédération française de tir. Une licence, c’est 150 euros par an, et une heure d’avocat, c’est 300 euros. Si vous passez devant une cour d’assises, il va vous en falloir, des heures. On estime qu’un tel procès coûte entre 30 000 et 50 000 euros !
Entraînez-vous. Quand on est gendarme, on ne boxe jamais assez, on ne court jamais assez, et on ne tire jamais assez.
En 2016
Le règlement prévoit que les policiers doivent consacrer 12 heures par an (une journée et demie seulement !) à l’entraînement… et recevoir 30 cartouches pour chacune des 3 séances minimum d’une heure réparties au cours de l’année.
Pas réjouissant tout cela… Parce que les restrictions évoquées ci-dessus pour les policiers sont les mêmes pour les militaires…
La France sous Hollande s’est sur-endettée pour accueillir et aider des délinquants, pour aider des pays musulmans comme l’Algérie et le Maroc mais a réduit encore tout ce qui concerne son devoir régalien, la sécurité.
Opération sentinelle
Entre 7500 et 10000 soldats sont mobilisés par l’opération Sentinelle (merci les terroristes musulmans, merci Hollande qui laisse ouvertes nos frontières, merci Hollande qui utilise le temps des policiers et des juges pour poursuivre les islamophobes au lieu de mettre le paquet sur la lutte contre le terrorisme…).
Et ces militaires sont désabusés, découragés :
TÉMOIGNAGES- Routine, sentiment d’inutilité, manque de reconnaissance, défaut d’entraînement : le plan Sentinelle a changé la vie des militaires. Nombre d’entre eux sont lassés d’un métier qui ne ressemble pas à ce dont ils avaient rêvé. Certains ont même claqué la porte de la grande muette.
Il n’y a pas de syndicats dans l’armée. La grande muette serre donc les dents, et peine à faire entendre sa douleur. Pourtant, depuis plus d’un an et demi que dure le plan Sentinelle, mis en place en janvier 2015 après les attentats de Charlie Hebdo, nombreux sont les soldats à être lassés d’un métier qui ne correspond pas à ce pourquoi ils s’étaient engagés. L’été 2016 a été celui de la surchauffe: après l’attentat de Nice, le plan Sentinelle a été prolongé tout l’été pour 10.000 hommes , ce qui a occasionné des suppressions des congés, des annulations de permissions. Certains soldats en ont tellement assez qu’ils décident de quitter l’armée.
Sentiment d’inutilité et manque de reconnaissance
C’est le cas de Benoît, 24 ans, qui avait signé pour cinq ans en tant qui militaire de rang. En septembre 2016, il a quitté l’armée. «J’ai été dans un lycée militaire, mon père est militaire, j’ai toujours voulu faire l’armée, pour servir mon pays, pour faire un métier qui sorte de la routine», explique-t-il. «Quand on regarde les spots de recrutement de l’armée de terre, on a l’impression d’un métier qui bouge, mais on déchante rapidement.» Au début de son contrat, le jeune homme trouvait son travail «intéressant». Il est parti en mission en Nouvelle-Calédonie, en Centrafrique. Aprèsles attentats de janvier 2015 ,c’est devenu «l’enfer». «On a commencé à enchaîner les missions Vigipirate dans des conditions difficiles. Parfois, on s’est retrouvé à dormir à huit dans 8m2», raconte-t-il. Idem pour François*,26 ans, sergent, pour qui le plan Sentinelle a été «la goutte d’eau qui fait déborder le vase». Lui aussi n’a pas renouvelé son contrat, et s’est reconverti dans l’immobilier. «Quand j’ai signé, on m’avait fait croire que j’allais partir à l’extérieur si j’étais bon. J’ai fini major partout et ne suis parti qu’une seule fois en cinq ans. On m’a gardé pour former les troupes.» «Vigipirate pour nous, c’est l’horreur», résume-t-il. «Quand tu es en Opex loin de ta famille, tu tiens le coup parce que tu es éloigné, mais quand tu es seulement à deux cent bornes de chez toi et que tu ne peux pas bouger, c’est beaucoup plus dur moralement.» «Il y a un ras-le-bol général», assure le jeune homme, ajoutant: «Je connais des gens qui ont quinze ans d’armée, qui connaissent leur métier, mais qui pètent les plombs.» «Beaucoup voudraient partir, mais ils sont trop vieux, ou ont une famille à charge» confirme Benoît, qui s’est reconverti lui, dans l’hôtellerie.
Rémi*, 27 ans, a lui carrément rompu son contrat au bout de trois ans, ne pouvant plus supporter le quotidien d’un soldat du rang. «Je n’ai jamais sauvé la patrie, on fait de la figuration.» «On n’a pas signé pour ça, c’est du boulot de vigiles», dit-il, pestant contre l’inutilité du plan Sentinelle: «Si on nous agresse, on n’a même pas le droit de riposter, pas le droit de fouiller une voiture, d’arrêter des gens». Les militaires ont pour consigne de n’utiliser le feu qu’en dernière instance, privilégiant la neutralisation à mains nues. En cas de positionnement statique, ils n’ont même pas le droit de poursuivre leurs éventuels assaillants. La seule fois où un militaire en plan Vigipirate a utilisé son arme en deux ans, c’est à Valence, au début de l’année 2016, lorsqu’un un homme a foncé sur des soldats avec une voiture. Les Sentinelles étaient devenues des cibles.
Outre leur sentiment d’inutilité, les jeunes hommes pointent du doigt «le manque de reconnaissance». «Jamais un merci, des gens qui te crachent dessus», raconte François. «Les seuls remerciements que j’ai eu, ce sont des anciens militaires à la retraite ou des touristes étrangers pendant l’euro.»
Vers une baisse du niveau général de l’armée?
De nombreux experts militaires, comme Bénédicte Chéron, Florent de Saint Victor, Michel Goya, Elie
Tenenbaum, ont critiqué la légitimité et l’efficacité dans la durée du plan Sentinelle. Elie Tenenbaum, auteur d’un rapport de l’IFRI très complet publié en juin 2016 et intituléLa Sentinelle égarée, pointait du doigt un «contexte de frustration lié à des missions peu valorisantes et à la montée des incivilités». «Les militaires n’ont pas le blues seulement parce qu’ils sont sur-sollicités, mais parce qu’ils pratiquent une mission contestée et contestable» rappelle aussi Benédicte Chéron.
Avant les militaires vivaient selon un rythme ternaire: entraînement /Opex (opérations extérieures) /repos. Avec la généralisation du plan Sentinelle, ils ont basculé sur un rythme quaternaire: entraînement /Opex /repos /sentinelle. Ils passent désormais 50 % de leur temps en opération intérieure et 15 % en opérations extérieures (contre 5 % en opération intérieure et 15 % en opérations extérieures avant 2015). L’entraînement en pâtit sévèrement. «Alors que l’objectif de la LPM 2014-2019 fixait à 90 le nombre de journées de préparation par an, cette moyenne est descendue à 59 en 2015 du fait des engagements intérieurs», écrit Tenenbaum. 70 % des rotations dans les centres d’entraînement spécifiques ont été annulés en 2015.
«On est en train, lentement, mais sûrement, de perdre tous les acquis tactiques accumulés au Mali et en Afghanistan» s’inquiète le général, Bruno Dary. «La condition physique a baissé. On ne fait plus de sport, les gens sont fatigués», confirme Benoît, qui a lâché l’armée. «Il n’y a plus de sélection au niveau du recrutement», déplore-t-il. «Avant, mon régiment n’acceptait que des E1 [NDLR: les militaires du rang sont classés en trois groupes selon leur niveau E1, E2, E3), aujourd’hui il accepte des E3. C’est la génération Bataclan», ricane-t-il. «Ils s’engagent sur le coup du ‘je suis Charlie’, mais sur le terrain, il n’y a plus personne. On recrute 50 personnes, et à la fin il en reste 15.»
Le ministère conscient de la lassitude des troupes
La lassitude des soldats du rang est très bien comprise par nombre d’officiers. Ainsi le général Thonier, qui écrivait en février dernier : «Jamais sans doute depuis la professionnalisation des Armées une opération n’aura été aussi préjudiciable pour l’Armée de Terre» Il ajoutait: «Sentinelle est destructrice parce cette opération «consomme» des femmes et des hommes qui devraient se former, s’entraîner ou se reposer avant un nouvel engagement». Un constat que partage le général Bruno Dary, qui reconnaît une «usure des personnels dans des travaux monotones et peu valorisants. Mais le général temporise: «Il faut faire preuve de discernement, il est normal qu’un soldat protège la France. Ça n’a peut-être pas l’exaltation du Mali ou de l’Afghanistan, mais c’est la terre de nos pères, la sécurité de nos familles et l’avenir de nos enfants.»
«On est conscient de la lassitude occasionnée», nous répond une source proche du ministère de la Défense. précisant que«l’abandon du plan sentinelle n’a jamais été envisagé en haut lieu». «L’opération est plébiscitée par les Français, utile pour la dissuasion et la protection», ajoute-ton. La Défense évoque également les efforts consentis par l’état: le passage de l’indemnité journalière de 5 à 10 euros, le choix de privilégier la patrouille au statique. Le recrutement de 11.000 hommes, annoncé par le gouvernement en mars 2015, et leur formation, prennent du temps. Les militaires recrutés devraient entrer en service bientôt, ce qui devrait soulager les militaires saturés par le plan Sentinelle.
Jusqu’à quand?
Quand on a lu tout cela, on comprend que des accidents comme celui de ce matin à Orly puissent arriver. Et ils arriveront de plus en plus souvent. Par la faute des salauds et incapables qui nous gouvernent. Ces mêmes salauds qui n’épargneront pas au pauvre gars à qui une ordure à pris son arme les affres de l’enquête et de la critique, voire du procès.
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J’ai oublié de vous dire que , j’ai connu Vals au camp de Ferch ex DDR . Si celui ci à bonne mémoire il devrait se rappeler de moi . Aujourd’hui j’apprends que celui ci est la gonzesse des imans salafistes . Franchement il est devenu une mauviette . Quant je pense qu’il à reçu une claque , et hop ces gardes du corps sont allés voir le petit jeune . Vals si tu lis ces propos , tu es vraiment une gonzesse . J’espère que tu as préparé dans tes valises de donzelle ta djellaba , ta burqa , et autres . As tu appris à faire la danse du ventre ? Franchement tu es gigolo de catalan , un toutou de tes imans . Pauvre imb… Enfin un âne . Eric Der Grosse
Un de plus en moins ………le top ……..merci à nos militaires.
J’adore quand un boudhiste monte direct au paradis
Et je sais de quoi je parle : j’aime les boudhistes et j’espère très rapidement les aider à rejoindre le ciel
6h00 sur France Info, « le français de 39 ans » dit la journaliste!
????!!!!!
C’est plus qu’insultant pour les français!
ce n’est pas innocent. c’est pour nous HABITUER à ce genre de Français.
le considérer pareillement qu’un FDS.
Bien sûr.. Mais on sait qu’il n’est pas français, ils ont beau user de rhétorique pour nous le faire croire…… ça ne passera pas, peine perdue.
http://www.fdesouche.com/833999-ardisson-traite-de-chemise-brune-et-de-nazi-par-yassine-belattar-ca-fait-mal-ca-fait-de-la-peine
Les policiers tirent 30 cartouches par entrainement, les 15 qui sont dans le chargeur de leur pistolet SIG SAUER SP2022 et les 15 cartouches qu’ils ont dans leur étui à la ceinture. Les trois entrainements au tir, sont le minimum imposé, demandés par l’administration. auxquels ils sont astreints de se rendre sur le pas de tir, sous peine de sanction administrative. A mes débuts dans la Police il y a plus de vingt ans, des collègues avaient des armes rouillées et n’allaient jamais au stand ! C’étaient d’ailleurs les mêmes qui picolaient, ceux-là sont partis et c’est tant mieux !
Si des fonctionnaires veulent aller tous les mois sur le stand de tir, ils le peuvent, aucun règlement ne l’interdit !
Sur la télévision israélienne, l’info a été retransmise avec une photo de l’assaillant, son nom, et la précision suivante, passée par pertes et profits sur BFM, « citoyen musulman ».
Bizarre, je n’ai rien vu à ce sujet : quel est son nom ?
j’au lu sur le salon beige de ce matin que valérie Pécresse avait entendu hollande dire que depuis cinq il démolissait la France, qu’il savait bien le faire, donc tout cela n’est pas étonnant.
Et en ce moment, cet enfoiré dégénéré est en train de picoler des vins fabuleux après avoir sauté sur la 1e houri qu’il a vue !
Ce connard est « français » dixit BFMWC, il a tiré ce matin sur des flics et il se baladait sans problème….très connu des services de police ! Mais qu’est-ce qu’il faisait en liberté, ce tas de merde ? Demain, c’est l’anniversaire des accords d’Evian. Il voulait fêter ça à sa façon ?
Chic! L’homme abattu n’était pas un vilain fiché S. Juste un fiché « J » pour justice (sic), pour un braquage « normal » à main armée et simplement 9 autres signalements. Une racaille ordinaire, quoi, pas bien méchante, et tout juste un peu radicaliselée et brimé, car interdite de sortie de territoire. Méchant État français qui empêche les braves malfrats d’aller faire du tourisme en Syrie ! 😉
Je serais curieux de connaître le montant du préjudice financier qu’a causé ce bouddhiste!!!
Paralisye d’un aéroport, des milliers de voyageurs empêchés de prendre l’avion ou d’attérrir, déploiement des forces de l’ordre en renfort, pagaille générale!
ça n’a pas coûté un rond à cet enfoiré!
Et ce n’est pas fini!
sans compter le problème des valises perdues dans la débacle avec les problèmes sous jacents que ça crée forcément.
certains passager l’ont évoqué.
et si le vol est enfin annoncé et que vous ne retrouvez pas la valise pour l’enregistrer , vous faites quoi?
J’ai oublié de dire qu’ils sont, je cite : « indépendants de tout pouvoir, sans caractère politique ou syndical, ne sollicitant aucune subvention de l’Etat ».
Merci pour cet article, c’est vraiment révoltant de lire cela. Cela mériterait d’être divulgué à grande échelle mais bien sûr il n’y a que les concernés et leur entourage qui savent cela.
Cependant, il y en a qui bougent.
En effet, il y a une association mais peut-être d’autres que je ne connais pas, qui s’appelle :
l’ASAF (Association de Soutien à l’Armée Française). Ils ont un site.
Cette association regroupe des militaires, anciens militaires et tous les Français qui le désirent sans exclusive. J’y avais lu divers articles très intéressants d’anciens hauts responsables des armées qui montrent tous ces problèmes et les problèmes rencontrées par les Armées aujourd’hui. On peut y lire aussi pleins d’articles de Mémoire, et bien d’autres qui sont très instructifs.
> Dernière nouvelle micron veut instaurer un service militaire de ….1 mois !!!
On voit que VOUS n’avez PAS fait le service militaire.
Parce que le service militaire c’était UN MOIS d’instruction et 11 mois à ne rien faire d’autre que gérer sa parfaite inutilité.
Eventuellement, c’était DEUX mois d’instruction (un mois supplémentaire) pour les plus doués, destinés à devenir sergent et, encore plus éventuellement, 15 jours de plus pour une poignée destinés à devenir sous-officiers.
Alors un service militaire réduit à l’instruction c’est peut-être la seule mesure intelligente de son programme.
Personnellement, j’ai un bon souvenir du Service Militaire (classe 82) anciennement appelé Service National, un mois pour passer de 2em classe à sergent, puis 9 semaines pour passer Aspirant, ensuite affectation Sous Lieutenant Fusilier Commando…Nourriture mess officier, solde triple (900 FF), sauna le vendredi, uniforme Armée de l’ Air (!) etc…et …pas le temps de s’ennuyer !
Uniforme de l’Armée de l’Air ! Voyez-vous ça ! Pour fasciner les filles, sûrement ! Coquin, va !
Service militaire à la Brigade de Sapeurs Pompiers de Paris: 4 mois d’instruction dont tir sportif (avé un vrai fusil siouplait!) et 8 mois de service pas inutile du tout!
De mon temps (Il y a vraiment LONGTEMPS…) c’était 6 mois de formation, avant le départ pour l’Algérie pour on-ne-savait-pas-combien-de-temps… Au bout de ces 6 mois, j’étais dans une excellente forme physique que je n’avais jamais eue avant, et que je n’ai pas eue depuis.
Dernière nouvelle micron veut instaurer un service militaire de ….1 mois !!! Avec ça on est sauvé et c’est soit disant notre future chef d’état , il a fait son SM où l,enfumeur???
cest un tare de premiere avec lui president la france coule vite fait
Non, la France s’enfoncera dans les fonds vaseux dans lequel le p’tit macron- Icare aime patauger… car, pour couler, depuis qu’elle a hollandouille…pfffou ! elle a pris l’eau de toutes parts !
Le lâche parmi les lâches est celui qui s’attaque à une femme;
Après la « branlette » mahométane du vendredi soir ,pas de boogy boogy mais une attaque contre une femme-soldat.
Lâche parmi les lâches,il opère au milieu de ses congénères ,beaucoup de ses congénères passagers d’air algérie.Ni vu ni connu.
Non,ce n’est pas vraiment un terroriste, plutôt un « droit commun »,les « profils sont de plus en plus disparates » ,il n’ a pas vraiment le profil des terroristes.
Attends,BFM tv ,je vais te dire le point commun :ils sont tous musulmans.
Bonnes gens vous pouvez dormir sur vos deux oreilles.
Bonjour,
Au 13 h de France 2, la journaliste chargée du « terrorisme » s’étonnait de la porosité entre banditisme et fanatisme musulman.
Elle n’a pas dû lire la bio de Mahomet : Mahomet était à la fois un malfrat, un tueur de braves gens et un fanatique religieux et c’est le « beau modèle à imiter par tous les musulmans » (sic) …
Quand donc tous ces journalistes se renseigneront-ils sur l’islam et Mahomet ?
Vous avez ces informations dans quel livre histoire…
SALHI
ces informations sur le chamelier pédophile sont dans les livres d’histoire de l’islam dans lesquels vous trouverez très bien expliqués les massacres des tribus juives de Médine qui ont eu la mauvaise idée d’ouvrir les bras à un groupe de brigands virés manu militari de la Mecque .
«Nous sommes en guerre.» Ce sont les mots de Manuel Valls, ce mardi, après les attentats de Bruxelles. «Nous sommes en guerre, nous subissons depuis plusieurs mois en Europe des actes de guerre. » ( libération )
Voilà ce que disait Valls le 22 mars 2016 !
La meilleure façon de perdre une guerre …….
est de ne pas la faire !
16 cartouches par séance de tir !!!? C’est ridicule, Je suis tireur sportif et quand je vais au stand je tire entre 100 et 200 cartouches… Quelle honte quand on pense que pour restaurer a neuf des châteaux pour y loger des « chances pour la France », ou financer des salles de shoot pour que des dégénérés puissent violer la loi en toute impunité là nos gouvernants félons en trouvent de l’argent.
Vivement que Marine devienne Président pour redonner à notre armée et à nos policiers et nos gendarmes tous les moyens nécessaire pour faire un métier convenablement. Ils risquent leur vie pour nous protéger et ont droit au meilleur des traitements. Notre gouvernement est une honte et ces traîtres ne pensent qu’à la peau des migrants racailles et envahisseur qui parasitent et menacent notre beau pays. Si un merluchon, un hamon , un macron ou un fillon passe c’est fini pour car notre pays sera le paradis des musuls.
Madame Tasin, pourquoi vous censurer toujours mes commentaires….?
je ne trouve aucun de vos commentaires à la corbeille je ne vois pas pourquoi vous parlez de censure. Je rappelle qu’il y a censure si il y a insulte, violence, racisme, antisémitisme ou propos pouvant nous amener au tribunal
Bonjour @Brousse ;
Peut-être une explication à votre problème. Puisque Madame Tasin ne trouve pas trace de vos messages, c’est qu’ils n’ont pas été envoyés.
Permettez-moi, s’il vous plaît, de vous signaler que même si vous écrivez un message il faut vous assurer de le valider en cliquant sur le bouton : « Laisser un commentaire » et d’attendre que la page sur laquelle vous écrivez soit actualisée ; vérifiez par exemple que l’icône du site de Résistance Républicaine soit apparu de nouveau sur l’onglet de votre page. Si vous êtes sûr qu’il ne s’agit pas de cette cause ; alors c’est que peut-être le problème vient de la configuration de votre navigateur ou des diverses protections de votre ordinateur.
merci de vos réponses à vous 2!
je vais donc réessayer de republier mon commentaire..peut-être 1 erreur de ma part..
brousse, cela m’est arrivé aussi. Rien à voir avec une quelconque censure. J’avais tout simplement fait une faute de frappe dans mon adresse de messagerie…
La faute ici ne revient pas aux politiciens mais au commandement militaire, en retard d’une guerre, comme chaque fois.
Les militaires en patrouille devraient simplement être équipés de leur baïonnette, portée au ceinturon (au canon pour les gardes statiques) afin de pouvoir faire face aux agressions à mains nues ou à l’arme blanche.
C’est refusé, parce que… parce que c’est comme ça, les baïonnettes ne servent maintenant qu’à faire joli lors des défilés du 14 juillet, l’armée à oublié que c’est une arme.
» La bataille d’Alger a opposé, en 1957 à Alger , durant la guerre d’Algérie, la 10e division parachutiste de l’Armée française aux indépendantistes algériens du Front de libération nationale (FLN). À la suite des nombreux attentats perpétrés contre la population par le FLN, le pouvoir civil délègue alors tous pouvoirs au général Massu, qui agit en dehors de tout cadre légal, pour démanteler l’organisation du FLN et ainsi mettre fin aux attentats, de janvier à octobre 1957. » …………
….. si vous voyez ce que je veux dire ……
Malheureusement la 10è DP appartient au passé et vu l’état de l’armée française actuelle j’imagine assez mal le résultat.
L’ état de notre armée :
«Fortement choqués», les trois militaires de l’opération Sentinelle visés ont été pris en charge par les secours, selon des sources policières. » ( libération )
C’ est une armée, ça ?
on voit !!
Et pendant ce temps la construction de mosquées, centres culturels islamiques continue. Plus on en construit, plus il en faut. Les statistiques sont interdites, néanmoins ce type d’informations peut vrairement être recoupé avec le taux exponentiel d’immigrants musulmans ; sinon pourquoi cette accélération frénétique de construction d’édifices pour musulmans et toutes les lois visant à favoriser et protéger l’islam et son implantation quand dans le même temps on s’attaque aux peites croix de 1cm ou de minuscules crêches qui font les joies de Noël pour beaucoup de français indigènes ? Plusieurs nouvelles cette semaines sur le sujet dont :
Centre culturel islamique à Rennes : vers un compromis ?
:: http://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/centre-culturel-islamique-rennes-vers-un-compromis-4863599
Éric CHOPIN
Le projet de centre culturel et cultuel islamique, rue Pierre-Sémard, quartier Francisco-Ferrer à Rennes, a reçu l’autorisation de travaux. Le collectif de riverains est au bord du recours. Le Cercle Ibn Khaldoun, lui, rassure.
Le Cercle Ibn Khaldoun de Bretagne, association musulmane de type loi 1901, veut transformer l’ancienne supérette au 1, rue Pierre-Sémard (quartier Francisco-Ferrer-Vern), en centre culturel et cultuel islamique.
Centre de ressources documentaires et d’activités culturelles et interculturelles, ce lieu aurait pour but, selon les statuts de l’association « de permettre aux musulmans d’exercer leur culte dans les respects de la République française et de s’ouvrir sur d’autres acteurs locaux et régionaux ».
« Saturation »
Ce projet, explique le Cercle Ibn Khaldoun (1) est né du fait « de la saturation » des centres culturels et salles de prières existants. Il envisage également d’y assurer « la transmission de la culture islamique (Coran) et la connaissance de la langue arabe » à ses enfants. Avec un objectif à terme : « Construire une école primaire privée dans un autre lieu à Rennes. »
Au terme d’une « instruction effectuée avec la plus grande rigueur », la ville de Rennes a accordé, en janvier, une autorisation de travaux dans le cadre d’un « changement de destination de locaux ». Ce projet s’inscrit sur une surface totale de 554 m2, dont 372 m2 de plancher.
L’établissement transformé serait susceptible d’accueillir 298 personnes au maximum. Quatre places de stationnement vont être aménagées à proximité.
Quel stationnement ?
Cette autorisation de travaux est, comme toutes démarches de ce type, susceptible de faire l’objet d’un recours gracieux de la part de riverains. Un collectif, mobilisé depuis que ce projet est connu, est au bord du recours.
Même s’il est « travaillé » par plusieurs sensibilités, ce collectif semble pourtant plutôt « dans la bienveillance » par rapport à l’idée de permettre à une religion, quelle qu’elle soit, de disposer d’un lieu de culte. Mais il se déclare extrêmement préoccupé par la tranquillité dans le quartier, surtout liée au problème de stationnement.
« Comment fera-t-on les jours de grandes fêtes musulmanes et les vendredis, jours de prière ?, s’interroge Jean-Jacques Mahuault. Les quatre places de stationnement ne suffiront pas. »
Le vendredi au gymnase du Haut-Sancé ?
« Le projet du Cercle Ibn Khaldoum nous paraît légitime. Mais les inquiétudes des riverains aussi », résume Hubert Chardonnet, adjoint, en charge également des questions de laïcité. D’où une solution de compromis, déjà en vigueur à Maurepas ou dans le Blosne, formulée par l’adjoint dans un courrier adressé aux deux protagonistes. « Les jours de grande affluence, les prières ou cérémonies du vendredi pourraient avoir lieu au gymnase du Haut-Sancé, 195, rue de Châteaugiron, moyennant une mise à disposition payante », propose Hubert Chardonnet.
Si cette solution de compromis, qui paraît sage, et est bien reçue par le collectif, est validée, une convention pourra alors être signée.
La balle est dans le camp du Cercle Ibn Khaldoum. « Nous nous donnons un mois pour prendre position, explique un de ses représentants. Nous avons besoin d’éclaircir des points avec la Ville. Mais nous restons animés par l’esprit du vivre ensemble et de la tolérance. »(1) Ibn Khaldoun (1332-1406) est un historien et philosophe musulman du Maghreb et de l’Espagne andalouse, considéré comme le précurseur de la sociologie moderne. Le Cercle Ibn Khaldoun de Bretagne a un site internet : cib35.fr et une page Facebook.
Nos gauchouillards promoteurs de la chienlit doivent se frotter les mains ! L’escalade des violences continue . Bravo et merci au RAID et au GIGN qui nettoient et nous défendent activement au risque de leur intégrité physique et mentale.
il était connu des service de POLICE
encore 1 finlandais mormon surement !
Oui ! Vous faites bien de changer la chanson phare de ces derniers temps : « les boudhistes ».
Car à force cela pourrait les fatiguer et pour le coup on leur fait endosser les actes d’une communauté qui ne leur ressemble pas du tout. Même si c’est du second degré ils, les boudhistes, les vrais, pourraient finalement le prendre mal.
On pourrait varier et opposer le taoisme par exemple { https://fr.wikipedia.org/wiki/Tao%C3%AFsme } à la déferlante violente ! Et toutes les autres mouvances religieuses ou spirituelles qui ont une aversion pour l’atteinte à la vie et la domination par la violence.
Mais bien sûr il faudrait varier même si ces peuples desquels nous disait Alain Pierreffite qu’ils étaient le péril jaune. Pour ma part, à choisir je préfèrerais ce péril jaune au vert qui a déjà « pignon sur rues » dans notre pauvre pays martyrisé.
pour la petite histoire cher ami
bien que toujours contribuable , pas exilé fiscal
suis retraité au royaume du Siam & Pacsé avec une Siamoise
alors …. du BOUDDHA ,,,, ici , je n ‘en suis pas privé
Rappelez vous Jean Yanne et ses Chinois à Paris
simple erreur de casting . Rappelons aussi les colabos dans son film
Dans le sud de la Thaïland il y a des muzz
depuis 15 ans nous en sommes à 6000 morts
https://www.thailande-fr.com/actu/51606-thailande-trois-morts-attaques-coordonnees-sud-musulman
toujours les mêmes et partout
Tout cela est lamentable. Et cette succession de faits avec armes cette semaine donne l’impression qu’ils ne sont pas dûs au hasard, mais orchestrés de façon à créer un climat permanent d’insécurité. L’irresponsabilité des dirigeants actuels est grande, espérons qu’un jour ils devront rendre des comptes devant les tribunaux du peuple.
Bonjour,
Et après il y en a (TOUS les journalistes en fait) pour s’indigner de ce que dit Zemmour sur la pertinence de contrôler plus les « Noirs et les Arabes » (sic).
C’est vrai que, vu les auteurs répétés des crimes de masse depuis 40 ans, on ferait mieux de contrôler les dames âgées catholiques.
C’est ça la vraie population à risque ! :=)
Vous ne croyez pas si bien dire, Antiislam, je suis sûr que certains politiques se triturent les méninges pour savoir comment occuper les policiers à faire autre chose que de poursuivre la racaille dans les cités.
Par exemple les mettre au bord des routes pour contrôler les dangereux contrevenants qui ont surtout l’avantage de se faire prendre à la sortie du travail ce qui permet de supposer qu’ils sont solvables et pourront payer l’amende qui va leurs être administrée.
AUX ARMES CITOYENS!!!
Pas de cartouches pour nos militaires!!!
Et Macron, sur le compte des contribuables via le ministère des finances, s’offre une soirée électoraliste à Las Végas pour 380 000 €…..
Pauvre France!