Le lycée Suger de Saint-Denis (93) attaqué par des bandes

Le lycée Suger attaqué à Saint-Denis : il est temps de remettre les banlieues en ordre.
8 mars 2017

Communiqué de Wallerand de Saint Just, président du groupe FN au conseil régional d’Ile-de-France et de Jordan Bardella, conseiller régional, secrétaire de la fédération de Seine Saint Denis:

Le lycée Suger de Saint-Denis a été la cible d’attaques ultra-violentes ce mardi 7 mars : jets de pierre, de cocktails-Molotov et tentatives d’incendie.

D’une lourde gravité, ce type d’événements ne surprend plus : certains territoires sont devenus de véritables parcs d’attraction pour des jeunes criminels toujours plus violents et sans limite. Défiant chaque jour l’Etat et la République, beaucoup d’entre eux​ n’ont même pas conscience de violer les lois morales les plus élémentaires de notre société, n’en ayant jamais acquis les bases.

Bien que nécessaires, les actions de sécurisation des lycées franciliens impulsées par la Région depuis le début de la mandature apparaissent dérisoires. Face à la violence des bandes, l’Etat doit être implacable et répondre par la tolérance zéro. Marine Le Pen est la seule candidate à l’élection présidentielle à proposer de rompre avec cette culture du laxisme.

Wallerand de Saint Just (Trésorier National du Front National)

 
 


Rappel des faits :

Saint-Denis : 55 jeunes en garde à vue après une émeute dans un lycée

Après l’évacuation du lycée Suger, consécutive à des tirs de fumigènes et cocktails molotov, «80 à 100 jeunes» ont pris la direction du centre-ville caillassant des policiers, incendiant des poubelles et brisant du mobilier urbain, selon la police qui évoque des «reliquats» de l’affaire Théo.

Cinquante-cinq jeunes, dont 44 mineurs, ont été placés en garde à vue mardi après avoir «caillassé des policiers» et incendié des poubelles à proximité du lycée Suger de Saint-Denis que le proviseur venait d’évacuer après des jets de fumigènes. Le parquet de Bobigny précise que leur garde à vue sera prolongée mercredi matin, le temps de déterminer les responsabilités de chacun. La plupart des personnes interpellées sont scolarisées dans l’établissement, explique Le Parisien, citant une source proche de l’enquête. Ils auraient été reconnus grâce aux caméras de vidéosurveillance à l’intérieur de l’établissement. Les cours n’ont pas été assurés mardi après-midi mais le rectorat, cité par France Bleu, indique que l’établissement n’est pas fermé pour autant.
Le ministre de l’Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, s’est rendue en fin d’après-midi à la direction académique de Bobigny, où elle s’est entretenue avec les chefs d’établissement. «Ce sont des actes gravissimes menés par un certain nombre de casseurs qu’il faudra sanctionner fermement», a-t-elle ajouté plus tard, sur BFMTV. «Une digue semble avoir sauté (avec) l’introduction de la violence non plus seulement sur le parvis des établissements mais à l’intérieur des établissements», a-t-elle estimé, appelant à en «poursuivre la sécurisation renforcée».

C’est une véritable scène de chaos qui a eu lieu dans l’établissement mardi matin. «Vers 11h00, des fumigènes ont été lancés dans l’enceinte de l’établissement situé dans le quartier réputé difficile du Franc Moisin. L’air est devenu irrespirable et le proviseur a décidé d’évacuer et de fermer l’établissement, qui avait déjà été perturbé la veille par des incidents», a relaté l’une de ces sources. «Trois foyers d’incendie ont été détectés dans les toilettes du 1er et du 2e étages», précise une source au Parisien-Aujourd’hui en France. Et un professeur de préciser, horrifié: «On a répandu de l’essence dans un escalier». Il y a même eu au moins un tir de mortier dans les locaux, selon Le Parisien.

Un appel à casser répandu sur les réseaux sociaux

«C’est une descente de jeunes qui étaient là pour casser, suite à un appel lancé sur les réseaux sociaux», a indiqué une source proche de l’enquête, rappelant que le lycée Suger avait connu un épisode de violences similaire en septembre, lors duquel un surveillant avait été blessé. Des incidents qui ne sont pas nouveaux dans ce lycée difficile. «Je vois chaque année ce type d’incident», témoigne ainsi une enseignante sur France Bleu.
Après l’évacuation du lycée, «80 à 100 jeunes» ont pris la direction du centre-ville. Sur leur chemin, «ils ont caillassé des policiers, incendié des poubelles et détruit du mobilier urbain», a indiqué une troisième source policière. Les policiers ont notamment été visés par des «jets de pierre et de barres de fer», mais aucun n’a été blessé, a précisé la source proche de l’enquête.
Outre les 55 jeunes interpellés pour des faits de «violences volontaires», «attroupement armé» et «incendie volontaire», trois autres jeunes ont été placés en garde à vue, l’un devant le lycée Paul-Éluard à Saint-Denis après un jet de projectiles contre des policiers, et deux autres à Paris suite à un incendie de poubelles devant le lycée Voltaire, a précisé la préfecture de police de Paris. En toile de fond, «des reliquats de l’affaire Théo», selon les sources policières. «On a pu entendre quelques slogans du type ‘vengeance pour Théo’», a témoigné l’une d’entre elles.
La semaine dernière, les accès à plusieurs lycées à Paris et en région parisienne ont été bloqués ou perturbés par des jeunes qui protestaient contre «les violences policières». A l’automne, des faits similaires avaient occasionné 70.000 euros de dégats dans le lycée, selon la région. Les troubles de mardi auraient quant à eux coûté 35.000 euros de déprédations pour le lycée Suger et 35.000 pour le lycée Bartholdi, attaqué aussi à Saint-Denis. Dans un communiqué, la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse condamne fermement ces violences et demande «des sanctions exemplaires pour les auteurs» . Elle renouvelle sa demande «au ministre de l’intérieur de protéger les abords des lycées franciliens, qui depuis plusieurs semaines sont le théâtre d’incidents violents, et de garantir leur sécurité».

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/03/08/01016-20170308ARTFIG00069-saint-denis-55-jeunes-en-garde-a-vue-apres-une-emeute-dans-un-lycee.php?cmtpage=0

 

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16 Commentaires

  1. avec la sinistre de l’éducation et celui qui lui a préceder
    je suis pas surpris
    et sa risque de continuer de plus belle
    les éléctions approchent
    et si marine est en tête ça va être tres chaud

  2. L’accès de tous les établissements scolaires et universitaires devrait être sécurisé a

  3. Oh les vilains petits « sauvageons » c’est pas bien ce que vous avez fait leur dira-t-on, faudra pas recommencer hein?

  4. Ces sauvages ne veulent pas apprendre quoi que ce soit, vous le savez bien ! la république, la vie en société, l’apprentissage de la lecture, de l’écriture, des maths, ils s’en foutent puisque  » tout il est dans li coran » ! Remarquez, à moi, ça ne me gêne pas que ces sauvages soient et restent incultes . S’ils préfèrent gagner des sous en se fourrant de la drogue ou autre chose dans le troulala, c’est leur problème ! Mais il va bien falloir qu’ils fassent ça…chez eux ! L’embêtant, c’est qu’ils empêchent les enfants français de travailler et ça, ce n’est pas acceptable ! Quant aux profs qui pleurnichent parce qu’il y a eu des tirs de mortier dans un lycée (entendu sur BFMWC, je crois) ils l’ont voulu, non ? Ils le voient, à présent que nous sommes en guerre ? Car des tirs de mortier, c’est pas des tirs de pistolet à grenaille…! Et si tout ça était voulu (par qui?) pour faire monter et élire Marine afin de pouvoir l’accuser ensuite d’un racisme épouvantable si elle veut remettre de l’ordre et renvoyer ces sauvages dans leurs déserts ou leurs savanes ? Si c’était voulu pour faire exploser enfin la guerre civile ? Y’a des tordus dégénérés qui en seraient capables !

  5. un lycée paralysé a cause d’energumène,les élèves sérieux qui veulent aller en cours sont interdit du coup,tous ça a cause de cpf qui rejette,toutes instituion,il y de l’ordre a remttre dans ce pays vite marine

    • Je me demande s’il reste encore des « élèves sérieux » dans ces établissements.Les parents, prudemment, mettent leurs enfants dans des établissements privés, où ils peuvent non seulement, travailler, mais ne pas être molestés et rackettés.

  6. On remarquera les divergences entre ce que perçoit le peuple et l’optimisme aveugle des élus ;
    « les riverains excédés, la Mairie confiante » .

  7. les gens n’ont qu’à retirer leurs enfants du lycée et REFUSER DE PAYER UNE PARTIE DE LEURS IMPOTS si ils en payent et envoyer la facture des cours particuliers s’ils n’en paient pas!

    • c’est impossible, la loi ne le permet pas; heureusement d’ailleurs, si chacun considérait qu’il ne veut payer que pour ce qui l’intéresse il n’y aurait plus de res publica, de bien public. Ce n’est pas parce que nos dirigeants font n’importe quoi qu’il faut cracher dans la soupe républicaine

    • de toutes façons sa fait du bien a ces gauchos de proviseurs et de profs pour certains je parle pas de tous
      et ça amménne des billes a marine

  8. Il faut leur faire payer les dégats causés jusqu’au dernier ct + amendes et prison, mineur ou pas!

  9. Une émeute de plus… Des actes criminels… Et l’incompétente baveuse Ministre de l’Ignorance d’y aller de son couplet sécuritaire, avec promesse de sanctions à la clé, qui ne seront pas tenues, c’est certain. Voilà qui devrait renforcer la détermination de celles et ceux qui veulent voir rétablir et régner l’ordre républicain dans notre pays, à voter pour Marine.

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