Le guide du CCIF apprend aux étudiants musulmans à combattre notre droit !

Les musulmans  sont chez nous depuis plusieurs générations et  il y a de nombreux  juristes FRANCAIS musulmans. Ils ont étudié à ASSAS ou autres facultés. Et c’est de notre DROIT qu’il s’agit.
Ils ont appris à retourner notre propre Droit contre nous.
Ils ont instauré la terreur sur notre propre Droit civil et pénal ,ils les ont pris en otage ni plus ni moins.

En réalité voici ce qui se passe:

Guide pratique juridique du CCIF/ LE POLEJURIDIQUE DU CCIF apporte conseil et assistance aux victimes dans la constitution des dossiers et l’accomplissement des démarches juridiques.
http://www.islamophobie.net/category/article/service-juridique-du-ccif

Egalement voir:

Le CCIF en collaboration avec EMS (étudiants musulmans de France) : guide pratique des étudiants maintenant disponible.

http://www.islamophobie.net/articles/2014/11/20/guide-juridique-pour-les-etudiants-maintenant-disponible

Ce qui veut dire que depuis le début de leurs études,les étudiants en droit d’origne et de confession musulmane apprennent à combattre notre Droit français.
Ils sucent au biberon la haine de notre Droit et apprennent à le contourner avec leurs fameuses « lois opposables ».
Dés qu’ils commencent leurs études de droit,CHEZ NOUS,on leur enseigne la haine de l’état français.
»le CCIF est composé d’unservice juridique et d’un réseau d’avocats qui….. », « il nous est apparu essentiel de produire ce guide à fin (ils écrivent:afin) que nos étudiants…. »

NB: ils ont des guide pour tous les cas le plus sympa: »Le petit (oui,petit) guide du perquisitionné/Street press »
ou « Pratiquer du sport avec un foulard est un droit -CCIF- Collectif »

Autre exemple : Cantine scolaire. 3 pages de textes de lois opposables présentées comme des  textes consacrant la liberté des parents d’élever leurs enfants dans leur religion »

Et de balancer dans le désordre:
art 371 CODE CIVIL (texte)
art 2 du protocole additionnel (texte)
art 8 du PACTE INTERNATIONAL RELATIF AUX DROITS CIVILS ET POLITIQUE (sans s) (texte)
art 14 de la convention du 20 nov 1989 des droits de l’enfant (texte)
ET Conclusion des juristes musulmans: »par conséquent…les pratiques religieuses….ne peuvent être interdites ou entravées que par des mesures de niveau comparables (????????) et seulement si les interdictions ou les entraves constituent des mesures necessaires à la sécurité (??????) publique,à la protection,la santé ou morale publique ou à la protection des droits et libertés d’autrui; »

Vous avez compris? C’est du grand n’importe quoi mais ça marche devant nos tribunaux complètement paumés.
Des pages comme celle-ci,il y en a des centaines.
Notre Droit est en train d’être « remplacé » par le grand remplacement .
Les docteurs de la loi et les professeurs des textes sont déjà infiltrés dans l’ETAT DE DROIT et tout le monde s’en fout!

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7 Commentaires

  1. il est certain que ces guides et conseils retors ont été inspirés, voire même, produits par la gauche française,
    inutile de les sur-estimer…

  2. s’ils croient qu’on va se convertir et se laisser mener par le bout du nez ils se mettent :(..imams , fidèles , recteur , muftis et compagnie ) le doigt dans l’oeil
    mais s’ils préfèrent se le mettre ailleurs ,nous Français , on n’y voit pas d’inconvénient !

  3. Une stratégie tous azimuths:
    Youssef al-Qaradâwî, référence des Frères musulmans, réfugié au Qatar :
    “Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons, avec nos lois coraniques, nous vous dominerons”.

  4. Que de manipulés complices d’un coran incompatible avec nos lois ! Luttons comme et avec Résistance républicaine . Luttons par nos votes, par le boycott des rayons et des magasins halal, en informant nos proches du contenu du coran , etc….

  5. En fait, il n’y a pas de vérité judiciaire. Bien que la vérité soit revendiquée tout au long du processus emmenant à un jugement elle n’est qu’une fiction destinée à nous faire croire que l’arbitraire n’existe pas dans notre système juridique.
    Un juge ne dit jamais la vérité d’un système de norme mais il rend seulement une décision sur un cas particulier. Tous les cas particuliers mis bout à bout ne feront jamais une norme collective parce que chaque cas est différent, présente des spécificités qui lui sont propres.
    D’ailleurs le concept de vérité n’est pas aussi clair qu’il en a l’air. En lui même ce concept n’a pas de signification ce qui compte c’est la valeur qui est derrière.Ensuite, le juge ne juge que des faits passés. Dès lors, il ne peut y avoir devant un tribunal que des THÈSES sur le fait en question à cause du principe de l’irréversibilité du temps ! Le droit se réduit en réalité à n’être qu’une argumentation d’une hypothèse. La vérité étant indéfinissable. En effet,la seule chose que l’on peut dire sur la vérité c’est que c’est une simple équivalence. Partant, les jugements ne révèlent aucune vérité mais construisent simplement une cohérence logique c’est à dire un ensemble de croyances non contradictoires entres elles. Alors, n’importe quel contenu, n’importe qu’elle croyance peut être validé en droit.
    Par exemple : La notion de laïcité est actuellement attaquée par des organisation comme TERRA NOVA ou votre guide. Ils dévoient sciemment la notion pour la détruire en s’appuyant sur la notion, très différente, d’égalité ! La laïcité devient une égalité de toutes les religions qui en revendiquent l’application. Or, la laïcité a été prévue en fait pour les religions existantes à son élaboration étant entendu de facto que “les religions nouvelles” ne pouvaient pas émerger sans au préalable avoir respecté le principe d’ assimilation définit par la notion d’ordre public. Il n’y a pas de laïcité sans son contrepoids l’ordre public. C’est évident, c’est clair. Pourtant, comme vous le soulevez dans votre article, il y a des juristes qui contestent ces évidences. Ces contestations ne sont possibles que parce qu’il n’y a pas de VÉRITÉ JUDICIAIRE mais un système de valeurs fondateur de la norme. En fait ces guides n’ont pas un objectif judiciaire mais un objectif politique et social. Il s’agit de faire pression sur le groupe social vu en tant que créateur de norme juridique. L’objectif est de détruire la valeur fondatrice.
    La conclusion surlignée en jaune des “juristes musulmans” est juste sur le plan juridique. Le paralogisme est avant, juste avant, en soutenant qu’il faudrait “des mesures de niveau comparables “pour entraver l’exercice d’une religion. Outre, le fait que nous avons déjà un niveau constitutionnel au sujet de l’ordre public, les traités internationaux s’abrogent naturellement par…le non respect des traités contestés !!! C’est pourquoi toutes les argumentations au sujet de traités internationaux qu’il faudrait impérativement respecter sont fausses. Un traité c’est comme l’amour, il est éternel tant qu’il dure !
    Pour se sortir de ce piège certains juristes influencés par la mare médiatique dans laquelle ils vivent au pire par leur croyance politique voire religieuse s’affranchissent de cette notion de ” vérité” , de cohérence, en réduisant la vérité au pragmatisme : Ce qui est vrai c’est ce qui marche ou plutôt ce qui est utile. Utile à qui ? à quoi ?
    On voit immédiatement le danger de cette théorie. La croyance à quelque chose devient un “postulat vrai” à l’action !?
    Ex : Le juge croit que tous les jeunes de banlieue sont gentils et doux comme des agneaux, qu’ils sont des victimes d’une société méchante et avilissante alors il va “pardonner” , donner “une chance” au mineur coupable d’une “tournante” , d’un viol ciblé raciste, d’un vol… Après tout, la victime n’est elle elle même pas un peu coupable ? Il s’agit même d’une science : la victimologie !
    Cette logique conduit à condamner sans preuve ou condamner des innocents si le juge estime que cette sanction, parfaitement immorale, est conforme en la croyance qu’il a de l’ordre social qu’il veut défendre.
    Au secours BECCARIA, au secours MONTESQUIEU.
    Le droit n’est qu’un travail interprétatif radicalement différent du travail législatif qui pose la norme. Le problème c’est le juge ! Pire s’il est pris en tant que créateur du droit. Outre, qu’il n’a aucune légitimité politique pour créer le droit en démocratie puisque fondé sur un pouvoir discrétionnaire, il ne peut pas s’appuyer non plus sur un droit obscur puisqu’il doit l’interpréter, ni sur un droit dit “naturel” puisque celui ci n’existe pas. Alors pourquoi devrions nous subir une volonté particulière même si elle est apparemment, dans certains cas, intègre ?
    La décision de justice ne repose sur rien que sur un récit, de la fiction, des croyances, un roman. Il s’agit toujours de politique. Ce qui compte c’est la création de la norme positive qui DOIT comprendre l’interdiction d’interpréter les lois. La démocratie c’est le peuple et non une aristocratie de toge qui se croit toujours au dessus de toutes et de tous.
    Toutes nos institutions y compris judiciaires sont à prendre avec des pincettes tant elles sont gangrénées. Toutes les décisions de nos cours doivent être contestées, reniées. Que veut dire une mise en examen de proches de Marine Le Pen ? Rien, sinon que la justice est devenu un instrument, une arme pour certains comme les européistes, idem pour Fillon et que dire des “juristes Musulmans” en question dans votre article. S’ils ne veulent pas instrumentaliser la justice qui veulent ils alors instrumentaliser ? Que valent sur le plan JURIDIQUE les futures condamnations de Pierre et de Christine… Que représentent dans l’esprit du juge ces associations à qui il va octroyer de fortes sommes à titre de dommages intérêts ? En dédommagement de quoi ? Quel préjudice ont elles démontré ? S’il s’agit d’une violation à un texte la condamnation suffit par elle-même et l’attribution de dommages intérêts apparait comme une double peine au service en plus d’intérêts particuliers ! Pourquoi nos juges ne condamnent ils pas à 1 euro de dommages intérêts comme le font tous les autres pays européens en matière de liberté d’expression où il ne peut s’agir que d’abus c’est à dire d’une exagération d’un droit mais fondamentalement une application d’un droit ? Où est la limite réelle ? Où est le droit dans un cadre aussi flou … Où est l’ordre public dans tout cela ? Les juge n’instrumentent ils pas eux-mêmes la justice en posant arbitrairement une peine disproportionnée ? L’individualisation de la peine n’est elle pas aussi la prise en compte de la bonne foi autant de ceux qui sont poursuivis que de ceux qui demandent réparations ? Où sont ces associations dans l’affaire de Mehdi merklat ? Où étaient elles dans l’affaire de reims où une association interdisait l’entrée au blanc ?

  6. j’appelle ça une cinquième colonne.
    quand ils arriveront au pouvoir ils verrouilleront tout.

  7. Il y avait déjà le guide publié par le Syndicat de la Magistrature destiné à aider les délinquants lors de contrôles policiers. Faut plus se gêner !

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