Je n'aime pas Trump, mais je le soutiens, car de lui dépend le recul de nos ennemis

Illustration : Alexandre, vainqueur de Darius, bataille de Gaugamèles 

Je n’aime pas Trump, je le soutiens, car c’est de lui que vont dépendre les plus grands changements , le recul de nos ennemis.
Que Trump tienne bon, et qu’il fonce, après nous pourrons l’aimer ou pas si cela nous chante.
Les vrais fascistes de ce siècle tuent en égorgeant, en lapidant, en humiliant des millions de femmes (d’abord) et d’hommes là où ils sont encore les maîtres (et pas pour longtemps car comme dirait Victor Hugo la liberté est aussi « une force qui va! »), commettent d’horribles attentats au nom de leurs dogmes, et crient une même formule un « Allah Akbar » qui est devenu le nouveau « Sig Heil » que d’autres hurlaient en d’autres temps en massacrant ceux qu’ils n’aimaient pas, et ceux qui les combattent sont traités de « fascistes » et de « racistes » et sont jetés dans le sac de la « fachosphère », insulte qui finit par devenir un titre d’honneur pour ceux qui ne sont pas lâches et ne lâchent justement pas les valeurs qui au cours des siècles ont affranchi des hommes et des femmes de leurs tyrannie obscurantiste.

Parfois un monde qui ne veut pas devenir esclave (ou soumis) doit élire des « brutes », des Miltiade, des Patton, des Churchill ou… des Trump parce que la rage destructrice et l’orgueil démesuré de certains commence à fatiguer le reste du monde et pas seulement les Etas-Unis.

L’histoire est un éternel recommencement.
Quand on veut la paix, disaient les Romains, on prépare la guerre et, surtout, on ne se trompe pas d’adversaire: l’islam veut la peau de l’Occident, le trophée qui non seulement lui échappe, mais aussi, s’il se ressaisit, hâter sa perte.

Nous savons que nous allons souffrir mais pour gagner il faut qu’il y ait quelque chose de solide derrière les phalanges qui mirent en déroute les multitudes, cela s’appelle des peuples, des nations, et il n’y a rien de « xénophobe » ni de « raciste » à défendre ses valeurs , ses lois , son mode de vie!
Malheureusement ni Athènes ni aucune cité grecque n’auraient pu être sauvées avec de bon sentiments face à Darius ni Xerxès et il en va de même pour l’Occident d’aujourd’hui.

Nous sommes une Byzance qui n’a plus son Bélisaire, une Byzance sous la menace.

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14 Commentaires

  1. tout à fait d’accord,
    c’est fou ce que sark a été « aimé » des vieilles rombières

  2. C’est déjà bien de le soutenir, mais j’avoue que le personnage me fait bien rigoler et je le trouve très sympathique ! ça nous change de la grisaille de son prédécesseur .

  3. Nous, les français, nous sommes ligotés et baillonnés, comme le furent les américains. Maintenant, ils ont la chance d’avoir Donald Trump. Et nous ? Eh bien espérons que nous aurons Marine…
     » les français sont comme les pavés de la rue. Pendant très longtemps, on marche dessus; Le jour où ils vous tombent dessus, ils vous écrasent »
    Victor Hugo.
    J’aime bien Trump.

  4. C’est stupide d’écrire un article en commençant par dire « je n’aime pas Trump ». Aimez-vous plutôt Obama ou ceux qui l’ont précédé depuis des décennies ?…à répandre la guerre, leur impérialisme et leur malbouffe partout ?

    • Je viens de l’expliquer, je refuse d’utiliser le terme »aimer » en ce sens, je soutiens ce qui est juste et le combat de Trump est juste.
      Churchill n’était pas non plus particulièrement aimable et d’autres s’aveuglaient pour des tyrans charismatiques rouges ou brun en uniforme.
      Mais la liberté était du côté de type en costard comme Churchill et je l’espère Trump.
      Pas de « tripes » donc mais la raison face à la rage fanatique.
      Je me fiche d’aimer ou non Trump, mais c’est son action qu’il faut soutenir sans ciller.
      Après je dirais si j’aime ou pas un homme qui pour l’instant fait ce qu’il dit et dit ce qu’il fait et ne manque pas de courage.
      Alors oui que Trump fonce sus à l’ennemi c’est tout ce qu’il faut espérer, avec Poutine et d’autres.

  5. Trump est une aubaine pour mettre un terme ou alléger une monstrueuse mondialisation et lancer, avec Poutine comme allié sûr, une véritable guerre pour anéantir le terrorisme planétaire (les terroristes étant tous issus de la même religion, iront sur le front soutenir leurs frères, ça dégagera l’horizon).
    Je soutiens Trump parcequ’il est avant tout un protectionniste, qui privilégie les intérêts de son peuple en relançant emplois, soins et sécurité, avant des ambitions de conquêtes, de pouvoir ou de fric, pour les Américains moyens et pauvres c’est une chance, une bouée de sauvetage.
    Comparé au Kenyan et ses projets diaboliques, Trump fait figure de Messie.
    Après, le reste de sa ligne de politique extérieure n’est pas encore définie, nul ne peut ni la prédire ni l’anticiper : chaque chose en son temps…
    Dans l’immédiat, il doit asseoir ses pouvoirs absolus, c’est là que le bas blesse.

  6. Moi, je veux bien que les Américains, avec Trump, envahissent la France; car cela nous éviterait le respect du coran et donc l’esclavage de nos filles et petites filles..

  7. Nigel Farage est un allié pour Trump car il a vu en lui ,non pas un guignol comme on veut bien nous le faire croire dans les médias faux culs et chez les politicards de la gauche mortifère et trompeuse ,mais quelqu’un de vrai et de sincère aimant son Pays comme Marine et Vladimir Poutine!!!!! Ce n’est pas un hasard si ces trois personnes se retrouvent en même temps aux commandes !saisissons notre chance pour voter judicieusement car c’est notre dernière chance!
    VOX POPULI VOX DEI

  8. C’est un hors normes. Il a le courrage de foncer. Le problème n’est pas d’aimer ou pas, les hommes politiques sont des ponts de civilisation et des barrages contre les dérives, il est nécessaire qu’une autre génération de décideurs émerge. Autrement, on va vers une « branlée » mondiale.

    • Je n’utilise pas le mot aimer mais celui de soutien pour bien souligner que notre choix est d’abord celui de la raison et du bon sens.
      C’est à dessein.

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