Benoît Rayski et Robert Redeker se sont admirablement exprimés sur le sujet.
RAYSKI
De grâce monsieur le Président, pourriez-vous vous arrêter de gracier ?
Il ne reste plus que cinq mois à François Hollande pour faire ce que bon lui semble. Nul doute qu’il va en profiter.
Il y a un an, monsieur le Président, vous aviez partiellement gracié Jacqueline Sauvage condamnée à 10 ans de prison pour avoir tué son mari violent. Un an! Il vous a fallu un an de tourments, qu’on suppose intenses, pour parvenir à la conclusion que cette demi-mesure n’était pas digne du grand président que vous êtes. Et vous l’avez donc totalement graciée. Vous avez bien fait. Car jamais depuis le début de votre quinquennat, vous n’aviez suscité un tel enthousiasme amoureux.
A gauche, ce n’est plus de la passion, c’est de la rage. La ferveur de Montebourg et d’Hamon est palpable. L’émotion de plusieurs ministres femmes a de quoi arracher des larmes. « Une décision courageuse » se pâment-t-elles. Nous vivons une époque formidable ou les mots ne veulent plus rien dire : qu’est-ce que le courage a à voir dans cette affaire ? A droite, c’est à peine moins lacrymal. Valérie Boyer, porte-parole de François Fillon et (présidente du comité de soutien à Jacqueline Sauvage) salue la décision présidentielle.
Même Florian Philippot vous félicite. C’est dire si vous êtes populaire.
Tout à leur émotion, les journaux oublient de rappeler un petit détail. Jacqueline Sauvage a été condamnée aux assises par un jury populaire. Peine qui a été confirmée une deuxième fois par un autre jury populaire. On ne nous a pas informés que les jurés, tirés au sort, avaient des sympathies particulières pour les maris violents et une tendance à s’acharner sur les femmes battues. La présidente de l’Union Syndicale des Magistrats a essayé de le rappeler. Elle a été noyée sous un tombereau d’insultes. Elle avait osé toucher à une icône.
Et vous, monsieur le Président, vous aimez bien les icônes. Car dans les sondages, ça rapporte. Voyez-vous, votre quinquennat avait commencé sous le signe du mensonge (« mon ennemi c’est la finance »). Il s’est poursuivi avec le grotesque-roi : vos escapades en scooter. Il s’achève dans un feu d’artifice de la démagogie.
Pourquoi avez-vous gracié Jacqueline Sauvage ? Sans doute parce que vous aviez envie de plaire. Et ça se comprend : vous avez tellement déplu. Mais aussi, parce qu’il vous est agréable d’user encore pour quelques temps de vos prérogatives présidentielles. Un prince a bien le droit à un hochet. Maintenant, nous sommes certains que vous allez encore nous surprendre.
Qui vous empêchera pour vos derniers jours d’abroger la loi El Kohmri ? Vous avez à l’Assemblée Nationale la majorité qu’il faut pour ça. La gauche reconquise applaudira. Qui pourrait vous interdire de renoncer à la construction de l’aéroport Notre-Dame des Landes ? Les écologistes brûleront d’amour pour vous. Pourquoi vous priveriez-vous du plaisir de remettre sur le tapis la déchéance de la nationalité ? La droite subjuguée sera à vos pieds. Et pourquoi ne rétabliriez-vous pas la double peine abolie par votre prédécesseur ? L’extrême droite sera en pâmoison.
Et puis, monsieur le Président, vous n’allez quand même pas vous sentir tenu par votre annonce hâtive de ne pas vous représenter à l’élection présidentielle ? L’heure est grave. La France endolorie traverse des moments difficiles. Elle a besoin d’un homme qui, comme pour Jacqueline Sauvage, est capable de réaliser l’union nationale. La gauche vous appelle, la droite vous aime, l’extrême droite vous veut. Venez, oui venez, monsieur le Président !
PS : Luc Tournié, buraliste de son état, a été condamné à 10 ans de prison. La même peine que Jacqueline Sauvage. Il avait tué un cambrioleur qui s’était introduit chez lui. Ni le monde politique, ni les associations, ni les partis ne se sont mobilisés en sa faveur. Hollande ne l’a pas gracié..
REDEKER
Grâce de Jacqueline Sauvage : une insulte à la démocratie motivée par l’idéologie victimaire?
FIGAROVOX/TRIBUNE – François Hollande a accordé à Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son mari violent, une grâce totale. Le philosophe Robert Redeker s’étonne de l’absence de compassion pour Luc Fournié condamné à dix ans ferme pour avoir tué un cambrioleur.
Deux affaires mettant en cause la notion d’autodéfense engendrent ces derniers temps dans les médias et sur les réseaux sociaux, des expressions aussi opposées que confuses. Luc Fournié, désormais connu comme «le buraliste de Lavaur», et Jacqueline Sauvage, qui envoya son mari violent émigrer dans l’au-delà, en figurent les protagonistes. Luc Fournié vient d’être condamné à 10 ans de prison ferme, sans aucune compassion publique, quand, par contraste, Jacqueline Sauvage ne lasse pas d’être l’objet de toute l’attention compréhensive des médias et vient d’être graciée par François Hollande. L’analyse de ce paradoxe apporte un éclairage révélateur sur les incohérences d’une société, la nôtre, qui n’aborde la question de l’autodéfense que par la voie des fantasmes.
Personne ne le niera: l’autodéfense est le premier des droits naturels. Elle est tellement adhérente à l’idée de vie qu’aucun système juridique ne la remet formellement en cause. Ce droit ne peut jamais être entièrement délégué à la société, du fait de l’urgence qui s’impose dans les agressions. Définissons-là ainsi: l’autodéfense est une situation de violence qui fabrique deux victimes, la personne qui se défend, d’abord, qui à juste titre protège ses biens et sa vie, et l’agresseur ensuite, qui en réponse à son méfait subit des dommages pouvant aller jusqu’à la mort. En un clin d’œil, l’agresseur devient victime de sa victime. En fait, l’autodéfense inverse les rôles: la victime se change en agresseur, victime-agresseur, quand l’agresseur est changé en victime, agresseur-victime. A cause de ces paradoxes, aux yeux des juges et d’une opinion publique influencée par les médias, toute affaire d’autodéfense mute séance tenante en un conflit de légitimités. Quelle est la victime légitime, celle dont le dol doit être réparé, et, parallèlement, quel est l’agresseur attitré, celui qui doit être puni? Toute l’occupation de l’opinion publique est de choisir cette victime et de choisir cet agresseur. Elle le fait rarement dans la clarté, la passion l’emportant généralement sur la raison. Devenu victime, l’agresseur peut gagner l’oubli de son statut de coupable; c’est ainsi que le cambrioleur de Lavaur n’est plus un coupable, mais, en dépit de toute réalité et de tout bon sens, une sorte de victime absolue, de victime exemplaire, sur laquelle les belles âmes larmoient.
Les affaires Sauvage et Fournié s’offrent à l’observateur en tête-bêche, l’une se reflétant dans l’autre comme en des miroirs inversés: dans la première affaire, l’idéologie dominante semble prendre parti pour la meurtrière par autodéfense, insistant sur sa qualité de victime, alors que dans la seconde, elle prend clairement parti pour le cambrioleur, renvoyant le buraliste qui s’est défendu au statut de criminel sans excuses. Suivant leur distance par rapport aux discours en vogue concernant les problèmes sociétaux, il existerait de bons crimes par autodéfense, celui de Madame Sauvage par exemple, et de mauvais, dont celui de Monsieur Fournié fournit un échantillon. Une grande partie de ceux et celles qui se dressent pour soutenir Madame Sauvage, meurtrière de son mari, condamnent en se pinçant le nez Monsieur Fournié, meurtrier de son cambrioleur. En matière d’autodéfense les indignations s’avèrent à géométrie variable. Le thème sociétal, en soi tout à fait bienvenu, de la lutte contre les violences infligées aux femmes, porte la caste jacassante (pour employer une formule de Donoso Cortès) et l’opinion publique à une certaine indulgence pour Madame Sauvage, alors que Monsieur Fournié a la malchance d’être un «mâle blanc de plus de 50 ans», c’est-à-dire une figure ontologiquement repoussante. D’autant plus qu’il est petit commerçant, par où l’on soupçonne inconsciemment son crime d’être inspiré par le poujadisme! Il y a plus: même si l’on en vient à estimer que le meurtre commis par Madame Sauvage est plus prémédité que celui accompli par Monsieur Fournié, le résultat ne changera pas: dans l’impitoyable concurrence des victimes, le buraliste de Lavaur a perdu.
Passion adversaire de toute argumentation sérieuse, cette concurrence des victimes incite des groupes de citoyens à se tourner vers le chef de l’État pour obtenir la grâce de tel ou telle meurtrier par autodéfense. Si la condamnation était l’œuvre de juges professionnels, ce type de demande serait recevable, mais lorsque la condamnation est le produit des délibérations d’un jury populaire statuant «au nom du peuple français», le recours en grâce entre en contradiction avec l’idée même de démocratie. Car cela signifie qu’il y a une personne en-dehors et au-dessus du peuple autorisée à annuler selon son bon plaisir des arrêts pris par des jurés exprimant la volonté populaire.
La concurrence des victimes est une lutte qui cherche à innocenter les coupables qui en sortent victorieux. Attisée par d’innombrables discours et proclamations, elle tend à faire oublier que cambrioler un buraliste et tuer son mari ne sont pas des actes anodins. Les Français n’en pourront neutraliser les effets délétères que du jour où ils s’essaieront à une approche moins passionnelle, moins polluée par l’idéologie, des situations d’autodéfense.
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@eva
c’est 3 femmes par semaine, qui meurent sous les coups de leur « conjoint », en France, et là, c’est le silence complet sur les ondes, où sont les procès ? Que deviennent les criminels ?
c’est tellement banal que personne ne s’y intéresse ?
pourquoi tant de battage pour un salopard qui a sévi durant 47 longues années sur toute sa famille, filles violées, fils suicidé, femme battue et humiliée, surement terrorisée…
Si elle a trouvé le courage de tirer au bout de 47 ans, elle n’a pas pu le faire en face, c’est bien évident parce qu’il lui faisait toujours peur.
ce n’est pas au moment où elle prenait des coups qu’elle aurait pu tirer.
Dans sa situation, c’était la seule façon d’agir, et surtout, qu’on ne vienne pas parler des juges et des procès….
En attendant les mâles musulmans pourront continuer d’appliquer les sourates du genre 4:34 et autres douceurs à huis-clos sur leurs « champs de labour », car dans leur cas ils sont intouchables, le tabassage fait partie de la culture et de la spiritualité islamique.
Deux sociétés parallèles se mettent en place et la notre sombre dans le ridicule.
Pugnacité, cette femme dans son acte était je pense au-delà du bien et du mal au sens habituel. Quel sens peuvent avoir le bien et le mal pour une femme qui a subi et consenti par sujétion à une tyrannie faite de coups, de viols, d’humiliations et probablement de menaces sur la vie ? Ayant connu personnellement des cas d’emprise, certes pas si extrêmes, je me garde comme de la peste de tout jugement sur un cas pareil. J’ai noté pour me conforter dans ma position que ses enfants la soutiennent. Eux aussi devenus adultes auraient pu, dû dénoncer leur père mais ils n’en ont rien fait. L’emprise au sein d’une famille, il faut en avoir mesuré toute la puissance pour être capable de la surmonter par la réflexion et lui résister. C’est souvent le travail de toute une vie.
Bonjour,
Merci pour votre témoignage.
Ce qui me gêne dans cette justice, c’est la notion de « punition ». Or toute punition est sans commune mesure avec le fait de tuer un homme. La seule punition possible, c’est l’amende, pour des contraventions et des délits. Mais pas en matière criminelle.
Une seule chose devrait être reconnue en matière criminelle : l’accusé est-il susceptible ou non de recommencer ? Il s’agit ici de prévention, non de punition. Punition par ricochet si l’on veut : certes maintenir quelqu’un en prison parce qu’il serait susceptible de recommencer est aussi une punition, mais ce ne doit pas en être la raison. La seule raison doit être de l’empêcher de commettre un nouveau crime.
On me dira alors : mais qui est assez malin pour savoir si l’accusé va recommencer ? Je répondrais : mais qui est assez sage pour mesurer une punition, dont on ne voit d’ailleurs pas l’intérêt pratique… puisqu’il ne peut s’agir de réparation. Et dans ce cas il y a des critères précis, qui font défaut à « l’évaluation de la juste punition »…
Jacqueline Sauvage peut-elle recommencer ? A son âge, à mon avis, sûrement pas. Elle n’a donc rien à faire en prison. Un islamiste djihadiste peut-il recommencer ? A peu près sûrement sauf à prouver qu’il a pris conscience de son crime. Il doit donc généralement être maintenu en prison ou en détention administrative tout le temps qu’il faudra, sans disserter sur « il a payé » (payé comment, qui, quoi… on se le demande !)
Un tel système judiciaire non plus pénal mais évaluatif, fondé sur la dangerosité et non plus sur la punition, serait à la fois plus efficace et moins morbide
Je suis bien d’accord avec vous Maigrot. Ces deux affaires sont différentes. Dans le cas de J. Sauvage, il ne s’agit pas vraiment de légitime défense mais d’une sorte de décompensation qui a dû se produire au terme de décennies de souffrances et d’humiliation.
Cela justifie t il deturer sur un homme endormi et dans le dos?
Ce n’est pas ainsi que j’analyse « l’affaire J. Sauvage ». Cette femme a subi pendant toute sa vie d’adulte la tyrannie et la brutalité d’un homme sans avoir été capable de le quitter. Je vois dans cette situation un parallèle avec l’affaire de Natacha Kampuch. Une femme sous l »emprise d’un homme dans une relation sado-maso. Cette femme n’a pas trouvé la ressource en elle de sortir de cette situation mortifère. Elle a dû vivre constamment dans la terreur de son mari, pourtant elle n’a pas eu le courage de le quitter, cédant sans doute à la terreur de la menace qu’il faisait planer sur elle et ses enfants, de les tuer si elle le faisait, menace peut-être même pas formulée mais qu’elle ressentait, pesant telle une épée de Damoclès. Peut-être a-t-elle vécu une enfance qui la prédisposait à subir ainsi toute une vie en silence. Je ne peux condamner une personne qui a fini par tuer un homme qui l’avait avili à ce point – avec le consentement d’une partie d’elle-même. Certes, elle aurait pu mettre fin à son calvaire en se contentant de le quitter. Pourquoi ne l’a-t-elle pas fait ? Parce qu’elle avait peur qu’il la tue ou ses enfants ? Ou bien est-ce parce qu’elle ressentait qu’il fallait pour restaurer sa dignité qu’elle le tue ? L’affaire qui se rapproche le plus de la sienne est celle des mères qui tuent leur enfant à leur naissance et qui ont bénéficié de la compréhension du public me semble-t-il, bien plus qu’elle, au prétexte qu’elles ne savaient pas ce qu’elles faisaient. J’avoue que tant d’indulgence à leur égard m’avait laissé plus que perplexe.
Psychologie interprétative qui interroge..
Pourquoi s’en prendre à la grâce de cette femme ? Le problème avec le buraliste c’est le manque de soutien. A tous ses défenseurs ( Et nombreux sont les francais à être révoltes par son procès) de se mobiliser comme ont su le faire les proches de Mme Sauvage.
Cette femme à tiré sur un homme endormi et dans son dos … quelle est s légitimité à commettre cet acte?
Simplement celle d’être une femme???!!
Bien sûr que Madame Sauvage aurait faire plus de prison qu’elle n’en a fait.
Mais c’est étrange de voir les gens se déchainer sur elle, quand tant de maris tuent leurs femmes et font peu de prison sous prétexte de « crime passionnel ».
Il y a eu mort d’homme, et même si cet homme était un monstre, il aurait mieux valu le quitter, plutôt que de le tuer.
Il n’empêche qu’en France, si mes informations sont exactes, deux femmes meurent par semaine sous les coups de leur conjoint ou mari, et je peux vous assurer que beaucoup de ces tueurs s’en sortent avec des peines de prison relativement légères, en comparaison au crime commis. Mais ça, ça fait couler moins d’encre, comme si c’était normal que des hommes tuent leurs femmes toutes les semaines, mais qu’une femme tue son mari, c’est inacceptable.
Les deux sont inacceptables, les deux méritent de lourdes peines de prison.
Visiblement les femmes ne sont toujours pas logées à la même enseigne que les hommes, l’opinion publique ne les considère pas de la même manière.
Au 21eme siècle les femmes sont elles toujours inférieures aux hommes ?
Je ne le pense pas…
Les femmes battues doivent s’interroger sur leur condition et sur leur positionnement..
En effet ,le féminisme,kes lous,l’inforlation et les fuites possibles interrogent quant à celles qui restent…
Claude t.a.l, votre article est remarquable et nous remet en réflexion deux problèmes majeurs: la légitime défense et la vengeance. Dans les deux exemples à deux poids/deux mesures que vous évoquez, ce sont simultanément les mêmes pour Sauvage et Fournié.
Donc la « grâce » accordée à Mme Sauvage, avec toutes les inconséquences inouïes rappelées par Caroline Alamachère dans Riposte Laîque, aurait dû en bonne logique et justice, être aussi accordée à M. Fournié. Mais si nous faisons une analyse phonétique poussée, des deux noms de Sauve-âge, et Fourre-niais(ou fou-renié), nous avons peut-être un début d’explication de la décision de notre actuel président. Explication border-line, bien sûr…
Quand deux types s’avancent dans votre direction dans un local sans lumière où ils se sont introduits par effraction, vous pouvez donc légitimement vous dire que si vous dévoilez, ils risquent de vous faire la peau. Et vous tirez dans le tas.
Ils ont pris ce risque et ont joué avec leur propre vie. Fallait pas …
Quand Jacqueline Sauvage décroche le fusil, elle n’est menacée par personne. Elle a donc le temps de se rendre compte qu’elle va commettre un meurtre délibéré. Pour se libérer, elle se condamne elle-même.
Il y avait d’autres solutions : porter plainte, plaquer son mari, divorcer, etc.
Cette grâce est donc scandaleuse car uniquement dans un but de racolage de sympathies pour normal 1er et de contentement d’organisations qui lui sont inféodées, c’est cousu de fil blanc.
D’accord
non,je ne trouve pas qu’elle soit si scandaleuse ;
il faudrait pouvoir installer des lieux d’écoute fiable ;
perfectionner les UDAF s qui devraient améliorer leurs qualités de service
* UDAF = Associations Familiales départementales
– et aussi ne plus accepter que la plupart des mains courantes finissent à la corbeille du Commissariat ( ne parlons pas des gendarmeries en milieu rural,chez eux,les mains courantes n’existent pas ).-
Les femmes sont elles les,egales des hommes ou bien n’est ce qu’une revendcation..
En effet , la tendance du moment est aux pleureuses qui revendiquent leur condition de faibles femmes .
J’ai honte!!!
Entièrement d’accord.
Ce Président minable et monarque devient dangereux pour le peuple Français.Il n’est plus garant des institutions.
En outre je n’oublie pas ce citoyen qui a usé (mais pas abusé)de la légitime défense et qui s’est vu lourdement condamné.