Dans les prisons de la CIA, j’ai regardé dans les yeux des êtres humains les plus monstrueux de la planète.
Dans son livre-choc: “Enhanced Interrogation: Inside the Minds and Motives of the Islamic Terrorists Trying to Destroy America*” (Techniques d’interrogatoires renforcés— Dans la tête des terroristes islamiques qui essayent de détruire l’Amérique et leurs motivations), James Elmer Mitchell, le psychologue qui les « tortura », décrit les interrogatoires auxquels furent soumis les terroristes islamistes, et revendique leur efficacité, et dévoile ce qu’il apprit lors de ses entretiens avec les terroristes les plus cruels de la terre.
Le nom de James Elmer Mitchell apparaît plusieurs fois dans le rapport du Sénat sur les tortures pratiquées par la CIA lors des interrogatoires des terroristes islamistes.
Mitchell commença à travailler avec la CIA en décembre 2001. Il était psychologue du « SERE » (Survival, Evasion, Resistance and Escape), l’école militaire qui enseigne aux troupes américaines à résister aux traitements brutaux.
Après l’attaque des tours jumelles, la CIA demanda à Mitchell d’appliquer ces techniques aux jihadistes capturés. (techniques interdites par Obama en 2009, mais qui pourraient être rétablies par D. Trump).
La CIA demanda à Mitchell d’assister personnellement au waterboarding (la simulation de la noyade).
Cette technique consiste à immobiliser un individu et à lui verser de l’eau sur le visage pour simuler la noyade, de façon à induire le réflexe pharyngé, afin de faire croire au sujet que la mort est imminente, sans causer des dégâts permanents.
Sous le gouvernement GW. Bush, la Maison-Blanche avait défendu cette pratique, assurant qu’elle était légale et qu’elle permit de sauver de nombreuses vies. Le waterboarding pouvait être utilisé à l’encontre de suspects de terrorisme, en fonction des circonstances et notamment quand les autorités avaient la conviction qu’une attaque imminente se préparait.
L’obtention d’informations par cette méthode permit de sauver de nombreuses vies américaines.
Mettez-vous à la place d’un président qui vient d’assister à la mort de 3 000 Américains lors d’une série d’attaques terroristes, perpétrées par un ennemi tapi dans l’ombre. Le Service de renseignement annonce qu’il y aura d’autres attaques, mais dispose de peu d’informations. On sait juste que l’ennemi utilisera des tactiques non conventionnelles qui violent les lois de la guerre, que cet ennemi s’habille à l’occidentale, qu’il attaque des civils et n’a aucun scrupule à utiliser toutes les armes, y compris les armes chimiques et biologiques pour tuer un maximum d’innocents. Et coup de chance, les USA capturent quelques mois après le 11 septembre un ennemi, un leader de haut rang d’al-Qaida, Khalid Sheikh Mohammed, le cerveau de l’attentat sanglant des tours jumelles.
Le Président américain a la responsabilité de protéger ses citoyens, la patrie et ses alliés. Il faut dès lors impérativement obtenir des informations. Il ne peut se permettre d’attendre pendant des semaines que le leader d’al-Qaida daigne coopérer spontanément et courir ainsi le risque de voir se perpétrer entre-temps un autre attentat encore plus meurtrier.
Ce fut Mitchell qui décida de soumettre Abu Zybaydah, le numéro trois d’al-Qaida, à la privation du sommeil.
Il y a quelques jours, deux ex-détenus de Guantanamo, un Libyen et un Tanzanien, portèrent plainte contre Mitchell.
De Human Rights au NYT, des requêtes ont afflué de toutes parts pour juger Mitchell. (Or, Mitchell et les autres agents de la CIA impliqués dans les interrogatoires sont protégés par un décret [executive order] émis par la Maison-Blanche).
L’ex-psychologue de la CIA a répondu aux accusations en publiant la semaine dernière un livre intitulé « Enhanced Interrogation » dans lequel il décrit les techniques d’interrogatoires renforcées, reconnaît leur efficacité et explique ce qu’il apprit lors des entretiens avec les terroristes les plus sadiques de la terre comme Khalid Sheikh Mohammed, l’architecte de l’attaque du 9/11, que Mitchell soumit au waterboarding.
« Bien que désagréables, ces techniques ont protégé les détenus d’autres pratiques beaucoup plus douloureuses décidées par la CIA », écrivit Mitchell.
« Khalid Shekh Mohammed (KSM) se lança dans une description détaillée et terrifiante de cruauté de la façon dont il décapita le journaliste Daniel Pearl du Wall Street Journal » révéla Mitchell.
« Je suis fier d’avoir autorisé le waterboarding. Ce fut l’ennemi qui nous imposa ce choix, » déclara Mitchell.
« Après le 11 septembre, de nombreuses informations furent collectées, grâce aux techniques d’interrogatoires renforcées pratiquées sur les jihadistes islamistes. »
Il obtint des informations, qu’il estimait et estime encore essentielles pour gagner la guerre contre al-Qaida et établir la stratégie pour vaincre l’EI et tout l’islam radical.
Jusqu’alors, la CIA ignorait que KSM, l’ordure d’al-Qaida, avait personnellement décapité Daniel Pearl.
A la question : « cela fut-il difficile », KSM répondit « Oh non, aucun problème, j’avais des couteaux bien aiguisés, comme pour l’égorgement des moutons. »
Au cours de la reconstitution, KSM, souriant aux caméras, déclara : « J’ai égorgé Daniel Pearl avec ces mains bénies. »
« Chaque jour, dans les prisons de la CIA, je regardais dans les yeux des êtres humains parmi les plus monstrueux de la planète. Je me suis assis avec eux et j’ai ressenti leur passion meurtrière, qui s’exprimait à travers leurs mots, quand ils décrivaient leur devoir sacré de détruire notre mode de vie. »
Une partie passionnante du livre est celle dans laquelle KSM révèle à Mitchell ce qui poussa al-Qaïda à attaquer l’Amérique.
« Ce furent les bombes qui en 1983 s’abattirent sur les casernes des marines à Beyrouth et qui « firent fuir les Américains la queue entre les jambes. »
« Si les islamistes n’ont pas été en mesure d’attaquer à nouveau les USA après le 11 septembre, poursuivit KSM, c’est à cause de la férocité de la riposte de G.W.Bush. »
KSM révéla également qu’il planifiait une autre vague d’attaques, mais fut surpris et choqué par la réponse américaine au 11 septembre.
« Comment pouvais-je deviner que le cow-boy George Bush annoncerait qu’il nous voulait morts ou vifs, et qu’il allait envahir l’Afghanistan pour nous débusquer et nous poursuivre ? …. Si les Etats-Unis avaient traité le 11 septembre comme une simple affaire d’application de la loi, j’aurais eu le temps de lancer une deuxième vague d’attaques. »
Mais, le terroriste islamiste lança une autre prophétie :
« A la fin, nous vaincrons, car les Américains ne prennent pas conscience d’une réalité : nous n’avons pas besoin de vous vaincre militairement, il nous suffit de lutter pendant le temps nécessaire à vous faire cesser de combattre. Finalement, l’Amérique offrira sa nuque au boucher. »
Dans un article paru dans le Wall Street Journal, Mitchell a réaffirmé l’efficacité du waterboarding.
« Je l’ai pratiqué sur trois terroristes et deux avocats du gouvernement qui cherchaient à déterminer si elle s’apparentait à la torture. Leur conclusion fut négative. Je me suis aussi soumis personnellement au waterboarding. Aucune complaisance. Nous sauvâmes des vies humaines, de nombreuses vies humaines. »
« Sans cette technique d’interrogation, conclut Mitchell, il y aurait eu un autre Ground Zero. »
« Si nous insistons trop sur le politiquement correct, nous atteindrons un niveau moral si élevé, qu’en regardant vers le bas, nous ne verrons plus qu’un trou de fumée, d’où autrefois s’élevaient de nombreux quartiers d’une ville. »
Il a raison ! Les jihadistes n’éprouvent aucune compassion, aucune pitié, aucun remord quand ils répandent destruction et mort dans nos villes. Ils jouissent de la souffrance et de la mort d’innocents, se délectent à la vue des taches de sang qui rougissent nos rues et s’endorment le cœur apaisé d’avoir accompli leur mission funeste pour la cause d’Allah. Le plus navrant, c’est de constater que des idiots occidentaux prennent leur défense et se soucient de leur bien-être… L’amour du prochain ne concerne pas les monstres, or ces fléaux de l’humanité sont des monstres. Alors peu importe s’ils souffrent à leur tour toutes les peines de l’enfer qu’ils font subir à leurs victimes, le cœur léger et un sourire sadique aux lèvres.
En hommage à Daniel Pearl.
https://www.dreuz.info/2016/12/12/dans-les-prisons-de-la-cia-jai-regarde-dans-les-yeux-les-etres-humains-les-plus-monstrueux-de-la-planete/
Dans son livre-choc: “Enhanced Interrogation: Inside the Minds and Motives of the Islamic Terrorists Trying to Destroy America*” (Techniques d’interrogatoires renforcés— Dans la tête des terroristes islamiques qui essayent de détruire l’Amérique et leurs motivations), James Elmer Mitchell, le psychologue qui les « tortura », décrit les interrogatoires auxquels furent soumis les terroristes islamistes, et revendique leur efficacité, et dévoile ce qu’il apprit lors de ses entretiens avec les terroristes les plus cruels de la terre.
Le nom de James Elmer Mitchell apparaît plusieurs fois dans le rapport du Sénat sur les tortures pratiquées par la CIA lors des interrogatoires des terroristes islamistes.
Mitchell commença à travailler avec la CIA en décembre 2001. Il était psychologue du « SERE » (Survival, Evasion, Resistance and Escape), l’école militaire qui enseigne aux troupes américaines à résister aux traitements brutaux.
Après l’attaque des tours jumelles, la CIA demanda à Mitchell d’appliquer ces techniques aux jihadistes capturés. (techniques interdites par Obama en 2009, mais qui pourraient être rétablies par D. Trump).
La CIA demanda à Mitchell d’assister personnellement au waterboarding (la simulation de la noyade).
Cette technique consiste à immobiliser un individu et à lui verser de l’eau sur le visage pour simuler la noyade, de façon à induire le réflexe pharyngé, afin de faire croire au sujet que la mort est imminente, sans causer des dégâts permanents.
Sous le gouvernement GW. Bush, la Maison-Blanche avait défendu cette pratique, assurant qu’elle était légale et qu’elle permit de sauver de nombreuses vies. Le waterboarding pouvait être utilisé à l’encontre de suspects de terrorisme, en fonction des circonstances et notamment quand les autorités avaient la conviction qu’une attaque imminente se préparait.
L’obtention d’informations par cette méthode permit de sauver de nombreuses vies américaines.
Mettez-vous à la place d’un président qui vient d’assister à la mort de 3 000 Américains lors d’une série d’attaques terroristes, perpétrées par un ennemi tapi dans l’ombre. Le Service de renseignement annonce qu’il y aura d’autres attaques, mais dispose de peu d’informations. On sait juste que l’ennemi utilisera des tactiques non conventionnelles qui violent les lois de la guerre, que cet ennemi s’habille à l’occidentale, qu’il attaque des civils et n’a aucun scrupule à utiliser toutes les armes, y compris les armes chimiques et biologiques pour tuer un maximum d’innocents. Et coup de chance, les USA capturent quelques mois après le 11 septembre un ennemi, un leader de haut rang d’al-Qaida, Khalid Sheikh Mohammed, le cerveau de l’attentat sanglant des tours jumelles.
Le Président américain a la responsabilité de protéger ses citoyens, la patrie et ses alliés. Il faut dès lors impérativement obtenir des informations. Il ne peut se permettre d’attendre pendant des semaines que le leader d’al-Qaida daigne coopérer spontanément et courir ainsi le risque de voir se perpétrer entre-temps un autre attentat encore plus meurtrier.
Ce fut Mitchell qui décida de soumettre Abu Zybaydah, le numéro trois d’al-Qaida, à la privation du sommeil.
Il y a quelques jours, deux ex-détenus de Guantanamo, un Libyen et un Tanzanien, portèrent plainte contre Mitchell.
De Human Rights au NYT, des requêtes ont afflué de toutes parts pour juger Mitchell. (Or, Mitchell et les autres agents de la CIA impliqués dans les interrogatoires sont protégés par un décret [executive order] émis par la Maison-Blanche).
L’ex-psychologue de la CIA a répondu aux accusations en publiant la semaine dernière un livre intitulé « Enhanced Interrogation » dans lequel il décrit les techniques d’interrogatoires renforcées, reconnaît leur efficacité et explique ce qu’il apprit lors des entretiens avec les terroristes les plus sadiques de la terre comme Khalid Sheikh Mohammed, l’architecte de l’attaque du 9/11, que Mitchell soumit au waterboarding.
« Bien que désagréables, ces techniques ont protégé les détenus d’autres pratiques beaucoup plus douloureuses décidées par la CIA », écrivit Mitchell.
« Khalid Shekh Mohammed (KSM) se lança dans une description détaillée et terrifiante de cruauté de la façon dont il décapita le journaliste Daniel Pearl du Wall Street Journal » révéla Mitchell.
« Je suis fier d’avoir autorisé le waterboarding. Ce fut l’ennemi qui nous imposa ce choix, » déclara Mitchell.
« Après le 11 septembre, de nombreuses informations furent collectées, grâce aux techniques d’interrogatoires renforcées pratiquées sur les jihadistes islamistes. »
Il obtint des informations, qu’il estimait et estime encore essentielles pour gagner la guerre contre al-Qaida et établir la stratégie pour vaincre l’EI et tout l’islam radical.
Jusqu’alors, la CIA ignorait que KSM, l’ordure d’al-Qaida, avait personnellement décapité Daniel Pearl.
A la question : « cela fut-il difficile », KSM répondit « Oh non, aucun problème, j’avais des couteaux bien aiguisés, comme pour l’égorgement des moutons. »
Au cours de la reconstitution, KSM, souriant aux caméras, déclara : « J’ai égorgé Daniel Pearl avec ces mains bénies. »
« Chaque jour, dans les prisons de la CIA, je regardais dans les yeux des êtres humains parmi les plus monstrueux de la planète. Je me suis assis avec eux et j’ai ressenti leur passion meurtrière, qui s’exprimait à travers leurs mots, quand ils décrivaient leur devoir sacré de détruire notre mode de vie. »
Une partie passionnante du livre est celle dans laquelle KSM révèle à Mitchell ce qui poussa al-Qaïda à attaquer l’Amérique.
« Ce furent les bombes qui en 1983 s’abattirent sur les casernes des marines à Beyrouth et qui « firent fuir les Américains la queue entre les jambes. »
« Si les islamistes n’ont pas été en mesure d’attaquer à nouveau les USA après le 11 septembre, poursuivit KSM, c’est à cause de la férocité de la riposte de G.W.Bush. »
KSM révéla également qu’il planifiait une autre vague d’attaques, mais fut surpris et choqué par la réponse américaine au 11 septembre.
« Comment pouvais-je deviner que le cow-boy George Bush annoncerait qu’il nous voulait morts ou vifs, et qu’il allait envahir l’Afghanistan pour nous débusquer et nous poursuivre ? …. Si les Etats-Unis avaient traité le 11 septembre comme une simple affaire d’application de la loi, j’aurais eu le temps de lancer une deuxième vague d’attaques. »
Mais, le terroriste islamiste lança une autre prophétie :
« A la fin, nous vaincrons, car les Américains ne prennent pas conscience d’une réalité : nous n’avons pas besoin de vous vaincre militairement, il nous suffit de lutter pendant le temps nécessaire à vous faire cesser de combattre. Finalement, l’Amérique offrira sa nuque au boucher. »
Dans un article paru dans le Wall Street Journal, Mitchell a réaffirmé l’efficacité du waterboarding.
« Je l’ai pratiqué sur trois terroristes et deux avocats du gouvernement qui cherchaient à déterminer si elle s’apparentait à la torture. Leur conclusion fut négative. Je me suis aussi soumis personnellement au waterboarding. Aucune complaisance. Nous sauvâmes des vies humaines, de nombreuses vies humaines. »
« Sans cette technique d’interrogation, conclut Mitchell, il y aurait eu un autre Ground Zero. »
« Si nous insistons trop sur le politiquement correct, nous atteindrons un niveau moral si élevé, qu’en regardant vers le bas, nous ne verrons plus qu’un trou de fumée, d’où autrefois s’élevaient de nombreux quartiers d’une ville. »
Il a raison ! Les jihadistes n’éprouvent aucune compassion, aucune pitié, aucun remord quand ils répandent destruction et mort dans nos villes. Ils jouissent de la souffrance et de la mort d’innocents, se délectent à la vue des taches de sang qui rougissent nos rues et s’endorment le cœur apaisé d’avoir accompli leur mission funeste pour la cause d’Allah. Le plus navrant, c’est de constater que des idiots occidentaux prennent leur défense et se soucient de leur bien-être… L’amour du prochain ne concerne pas les monstres, or ces fléaux de l’humanité sont des monstres. Alors peu importe s’ils souffrent à leur tour toutes les peines de l’enfer qu’ils font subir à leurs victimes, le cœur léger et un sourire sadique aux lèvres.
En hommage à Daniel Pearl.
https://www.dreuz.info/2016/12/12/dans-les-prisons-de-la-cia-jai-regarde-dans-les-yeux-les-etres-humains-les-plus-monstrueux-de-la-planete/
DREUZ 12.12.2016
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Délit d’expression, c’est vraiment très faiblard comme accusation, aussi faiblard que la faiblesse de nos défenses,
Ce n’est pas à coup de « démocratie » et de DDH, qu’on pourra se défendre contre des sauvages assoiffés de sang mécréant,
Bien sûr, que l’on ne peut combattre un ennemi qu’en se mettant à sa portée, mêmes méthodes, sinon, on a signé notre arrêt de mort,
Les connards qui viennent chialer sur les droits de l’homme , bafoués à Guantánamo, n’ont rien compris à la guerre,
Quand on est en temps de guerre, les DDH n’ont plus droit de cité,
C’est pour avoir le droit de vivre en PAIX, qu’on doit s’asseoir sur les DDH, et faire la guerre avec les mêmes armes que nos ennemis.
On ne combat pas la barbarie à coup de DDH et de « vous n’aurez pas ma haine ». C’est d’une naïveté et d’une bêtise renversantes.
Écoutez la conférence de Bill Warner, vous aurez l’explication du comportement des dhimmis qui nous gouvernent : peur et soumission sont ancrés dans leurs gênes, ils préfèrent les camoufler sous les DDH
« Il est peut-être préférable de savoir plus facilement qui pense quoi en laissant chacun s’exprimer et de réagir plus efficacement par des sanctions dissuasives (remigration, c’est-à-dire déchéance de nationalité puis expulsion, peine de mort, enfermement définitif…) ».
> mon idée est que l’apologie du terrorisme comme délit d’expression devrait disparaître et il devrait dans ce cas s’agir d’entente avec l’ennemi sanctionnée par des sanctions pénales plus fortes.
Car après la peine de prison pour apologie du terrorisme, l’individu est libre…
Donc c’était mal formulé.
(après modification d’un paragraphe pour que ça soit plus clairement dit)
J’ignore qui sont Fallaci et Wardein, en revanche ce que je sais c’est que les poulets ne sont jamais venus à bout des aigles.
On ne peut combattre un ennemi que sur son terrain et en appliquant les mêmes méthodes.
Je suis comme la plupart des gens censés, je n’aime ni la violence ni le sang,
mais nous n’avons plus le choix, ce n’est pas nous qui avons posé les règles,
mais nous sommes bien obligés de nous y conformer.
Lorsqu’on n’ aime pas le voir, le seul qu’on voit couler, c’est son propre sang.
L’ennemi n’est jamais vainqueur de par sa force, mais par la faiblesse de son adversaire.
Croyez vous que les malheureux qui ont été décapités, les mains attachées dans le dos, ne se seraient pas battus comme des chiens pour sauver leur vie s’ils avaient eu les mains libres et une arme blanche.
Si nous ne changeons pas de mentalité, si nous ne prenons pas le parti de
» terroriser les terroristes » et de calmer de façon drastique les velléités de ceux qui seraient tentés de le devenir, quitte à commettre quelques bavures, alors nous sommes perdus.
» Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté » reste d’actualité
LORSQU’ILS AURONT ÉLLIMINÉ LES CHIENS ENRAGÉS.
Hitler aussi était humain après tout, que je saches tout homme sort bien du ventre de sa mère…c’est après que les choses se gâtent comme dirait Freud! la part sombre de l’humanité (nazisme, islamisme par exemple) avec une préférence pour la couleur noire ne demande qu’à s’exprimer sur un terreau fertile . »La bête » est protéiforme et maligne autant qu’assoiffée d »âmes soumises et de sang frais…sale temps pour les socialistes humanistes « droits de l’hommistes » éteigneurs de tour Eiffel!
Quand on parle d’êtres humains monstrueux, nous ne pouvons plus parler d’êtres humains, mais des monstres tout court qui n’ont aucune part d’humanité et d’empathie en eux.
Il ne faut pas être humain pour pratiquer l’Islam.
Et quand ceux-ci pratiquent l’Islam, il se cache derrière des monstres, ceux qui sont humains quittent l’islam comme Pascal Iloute et bien d’autres, eux sont les premières victimes de l’Islam.
Ils nous faut devenir des TIGRES face à ces charognards ,ils ne comprennent que la force brute .
Je tiens a recidiver… Qui est Fallacci? Un type qui tient a detruire Riposte Laique pour le compte des agents americains les plus corrompus sur tous les plans? Ce qu’a fait Massu en Algerie n’etait peut-etre pas glorieux mais cela n’atteignait pas le niveau de connerie de ce qu’ont fait certains americains a Guantanamo.
Sauf que si Bush junior avait consacre tous ses moyens a l’intervention en Afghanistan et n’avait rien fait en Irak nous n’en serions pas ou nous en sommes aujoud’hui face aux talibans.
Il ne sert a rien de torturer de pauvres zebres qui ne font qu’obeir aux ordres de leurs seigneurs feodaux irakiens ou afghans. Et les chefs terroristes que peuvent-ils nous apprendre quand ils sont pris? Leurs reseaux ont alors ete totalement modifies.
Desole: je porte un jugement tres negatif sur cet article.
PS : ou alors il faut torturer les chefs terroristes en public, pour l’exemple. Mais ca c’est autre chose.C’est la gestion de la barbarie de notre cote.
Pourquoi en France on n ‘appliqué pas cette méthode à l’enflure qui refuse de parler devant la justice
Il faut jouer avec les mêmes armes qu’eux. Ils n’ont pas d’humanité, nous aussi il faut qu’on met au placard cette humanité, et revenir à notre origine des bêtes qui défendent leurs petits et leur territoire. Ce sera nous oui eux de toute façon.