L’islamisation de la France est-elle inévitable ? Comment la conjurer ? Approche démographique

 
Introduction au colloque du 13 octobre de l’institut de Géopolitique des Populations
 
L’islamisation de la France est-elle inévitable ? Comment la conjurer ?
Une approche démographique
Qui dit islamisation dit Islam. Parlons donc de l’islam d’entrée de jeu.
 I Le constat. L’islam attaque la France sur deux fronts, en tenaille .

La première branche de la tenaille sont les attentats terroristes qui ont endeuillé notre pays depuis presque deux années faisant plus de 360 victimes. Leur objectif avoué est d’intimider, voire de terroriser la population française de façon à provoquer progressivement sa soumission, un peu comme la Wehrmacht et la Gestapo avaient  tenté de le faire, non sans quelque succès, entre 1940 et 1945.

La deuxième branche, conformément aux enseignements d’Antonio Gramsci, consiste à agir, avec le même objectif, sur la « culture », c.a.d. les moeurs, les   comportements, les attitudes sociales, et nous avons affaire ici à la burka dans nos rues, la viande hallal dans nos restaurants et la burkini sur nos plages. Ceci pour commencer. L’invasion culturelle, bien que plus insidieuse, n’est pas moins redoutable que les attentats terroristes.

La démarche est claire et bien déterminée. Il s’agit , dans un premier temps, d’affirmer la présence et l’identité de l’islam au sein de la société française et de bien marquer son territoire sur le sol national.

Dans un deuxième, d’assurer sa domination sur une société intimidée et apeurée.

En présence de cette menace, la France , tel Gulliver enchaîné, empêtrée dans ses contradictions , prise au piège de son droit datant d’une époque révolue, de ses engagements internationaux  totalement inadaptés à la situation d’urgence  que nous vivons aujourd’hui, est bien mal armée pour y faire face efficacement. Clairement , il faut changer de paradigme. En temps de guerre, et nous sommes en guerre, -c’est Emmanuel Valls qui nous le dit-, le droit et la justice , le régime des libertés publiques et privées du temps de paix  ne sont plus de saison. Sinon il faudra se résigner à changer de régime.

Jusqu’ici la seule riposte des pouvoirs publics a été la répression policière . Elle a été certes nécessaire, voire indispensable. Mais comme le disait le bon Jean Louis Debré en son temps, on ne peut pas mettre un policier devant chaque poubelle. Et pourtant c’est bien ce que fait le gouvernement avec la dérisoire opération Sentinelle qui poste des soldats armés jusqu’aux dents devant chaque synagogue, ce qui n’a nullement empêché les attentats de Charlie Hebdo, du Bataclan, du stade France, de Nice- je dois en oublier quelques uns- sans compter le dernier projet d’attentat, les bombonnes de gaz de ND de Paris déposées  par d’aimables jeunes femmes, radicalisées nous dit-on . Si les femmes s’y mettent, où va-t-on ? A quand les enfants aux cartables bourrés d’explosifs pour se faire sauter  dans une salle de classe ? A quand les voitures piégées comme en Irak ?

Au-delà de l’action policière, il faut attaquer le mal à la racine. Si on ne fait pas dans le cadre démocratique, cela se fera dans un cadre despotique. Ainsi le veut la loi de l’histoire. Or le mal est sur nous, autour de nous, en nous, comme un cancer en voie de métastase. L’Islam pénètre la société civile par tous les pores. Mais comment agir sans cautériser le tissu sain environnant ? En effet, L’islam évolue et prolifère  tranquillement chez nous comme le poison dans l’eau, pour reprendre la métaphore de Mao Tsé Toung. Car on l’a appelé, accueilli, dorloté avec nos lois sociales, conforté avec le regroupement familial, bref une série de lois, de règlements et de décrets promulgués par les gouvernements infantiles , les gouvernements des étourdis et des irresponsables que nous nous sommes donnés depuis 30 à 40 ans[1]. Le meilleur agent de l’islam en France  a été, est toujours  la classe politique française (voir contribution de Christine Tasin au colloque).

Le malheur veut que nous avons été dressés à la soumission et à l’acceptation par plusieurs décennies de lavage de cerveaux médiatique. Nous avons largement perdu l’esprit de rébellion, de résipiscence ou de révolte qui avaient animé les résistances d’antan , et même tout bon sens . C’est ainsi que nous célébrons à l’envie comme des héros  les vaillants gardes côtes italiens lesquels, au péril de leurs vies -la mer est si profonde au large des côtes italiennes-vont repêcher des migrants, musulmans bien sûr, venus du Moyen Orient ou d’Afrique pour mieux les relâcher, leur devoir accompli, au frais de la Sécu dans les mosquées radicalisées de France ou d’ailleurs.

 La compassion et la générosité sont trop souvent les sœurs jumelles de la stupidité ». « Tout le monde  il est bon, tout le monde il est gentil » C’est le nouvel évangile selon saint Jean Yann. Car comment détecter les futurs « fous de Dieu » qui se dissimulent dans les rangs serrés des migrants qui s’engouffrent vers le paradis européen ?

II Que faire ? Mais vous parlez de l’islam, de l’islam, mais nous dit-on, ce qui est en cause, c’est l’islam ra -di -ca – li -sé, pas l’islam bon enfant, ni l’islam modéré et sympa que nous côtoyons tous les jours dans nos rues.. Quant aux tueurs, ce sont   des « loups solitaires » m’entendez-vous (même s’ils chassent en meutes). Pas d’amalgame, je vous prie. De toute façon, comment les reconnaitre ? Faudra-t-il les contraindre à porter un croissant rouge ?

Le problème est que de plus  en plus, c’est blanc bonnet et bonnet blanc. Le passage de l’un à l’autre qui, naguère, prenait des années, se fait aujourd’hui, semble-t-il, en quelques mois  ou semaines, voire quelques jours. Il suffit de quelques actes de délinquance, d’un bref passage en prison, voire d‘un séjour sympa en Syrie et  nous héritons d’un  tueur supplémentaire en puissance sur  les bras.

En fait, le crétinisme contemporain n’a pas de limites. Cela s’appelle le déni de réalité, sport favori pratiqué en France de longue date. En réalité, l’islam  tout court est la matrice de l’islam radical. L’un engendre l’autre comme la nuée porte l’orage. C’est son milieu naturel et il fallu  tout l’angélisme contemporain pour nier béatement cette réalité, d’une part parce qu’elle est gênante, d’autre part et surtout, parce que l’on ne sait vraiment pas quoi faire pour y faire face.

Car soyons clair. Nous sommes dans une totale impuissance face à ce défi monstrueux, qui succède à celui du nazisme des années 30, du communisme dans les années 50. Certes, avec le temps, ils ont été  l’un et l’autre, surmontés  victorieusement. Mais ici c’est une toute autre histoire. Car nous avons monté de toute pièce à partir de rien, une solide communauté musulmane, forte de 4 à 8 millions de personnes, on ne sait pas trop[2], soit  au moins 12 % , voire bien davantage de la population, confortablement implantée sur notre sol  car nourrie de toute sorte d ‘aides sociales et en pleine expansion avec une fécondité double ou triple de la nôtre. Le problème ne va pas disparaître de lui-même .

Le problème, c’est clairement la présence de l’islam  en France. Car les auteurs des attentats ne sont pas chrétiens ( quoiqu’en pense le bon  Pape François, qui ne lit   pas la presse), ni les bouddhistes, ni les taoïstes, ni même les témoins de Jéhovah . mais des musulmans, Un fâcheux hasard sans doute. Il n’y a aucun lien de cause à effet dans cette coïncidence malheureuse.

Comment contenir, comment juguler l’essor de l’islam en France et contrôler son action ? Entendons nous  bien , il ne s’agit nullement de chasser ou d’opprimer mais simplement de contenir son expansion laquelle se poursuit jusqu’à aujourd’hui sans limites ni résistance[3]. A ce jour, il n’y a aucune réponse claire, aucune solution significative. Nos responsables politiques poursuivant benoitement « la politique du chien crevé au fil de l’eau » en attendant les prochaines élections, qui vont tout résoudre bien sûr, comme autrefois le chaman tapait du tambour pour faire venir la pluie.

Mais puisque nous ne sommes pas encore au gouvernement, rien ne nous empêche d’ouvrir une foire aux bonnes idées, quitte à marcher sur quelques pieds sensibles au passage. Ce ne sera pas pour tout de suite car Car n’est pas une présidence totalement décrédibilisée, manifestement en sursis, qui pourra proposer ou faire quoi que ce soit[4]. Mais en attendant ouvrons hardiment quelques pistes sur quelques principes :

1°Il faut manifestement placer la communauté musulmane devant ses responsabilités,  l’inciter voire l’obliger à prendre position, et à agir dans le sens de l’intérêt national. Dans l’urgence, la neutralité, l’indifférence, l’inaction ne sont  plus de mise. Le temps de l’innocence passive est révolu. Il faudra choisir son camp. Puisque l’on est en guerre, faisons la guerre, avec elle, sans elle ou contre elle.

2° En second lieu, il faut enfin y voir clair , c’est-à-dire, au-delà de quelques sondages ou enquêtes forcément imprécis comme celui de l’Ipsos, procéder à un recensement précis pour connaître enfin de façon exacte le volume et la composition de la communauté musulmane sur le sol national. Actuellement la loi ne le permet pas .

3°En troisième lieu, il faut agir, c’est-à-dire prendre les mesures propres à  s’assurer que cette présence musulmane ne devienne pas envahissante. Cela passe par la révocation ou la révision de quelques mesures imprudentes comme le regroupement familial, l’immigration le droit d’asile et l’acquisition de la nationalité par mariage .

4° Adopter,comme on aurait dû le faire bien plus tôt, des mesures franchement dissuasives qui seraient de nature à donner à réfléchir aux candidats terroristes mais aussi à leurs proches et à leurs amis :  déchéance automatique de la nationalité automatique ;  expulsions massives  du territoire ;  possibilité de regroupements administratifs d’indésirables sur le territoire . Un attentat meurtrier ne doit pas rester sans conséquences pour le milieu qui l’a permis ou qui l’a porté.

5°soumettre enfin le versement des aides sociales, allocations familiales comprises, à  un code de bonne conduite ;  peut-être même mettre l’ensemble de cette communauté ou certaines fractions jugées propices à la radicalisation, à une surveillance électronique permanente  pour détecter les projets d’attentats[5].

Si nous ne le faisons pas dans un cadre démocratique, soyons assurés que ces mesures le seront un jour dans un cadre non démocratique,  autoritaire, voire dictatorial.

Nos libertés publique et privées vont en souffrir, nous dira-t-on. Certes, mais la première des libertés est celle  de la sécurité au quotidien, et , au-delà, celle de vivre. Elle conditionne toutes les autres.

 Ce qu’il y a de sûr est que l’on ne peut pas continuer comme ça.

[1] Lesquels ignorent pieusement les enseignements de la démographie.

[2] L’INED, longtemps dirigée par un gauchiste apparemment bien protégé, a pu ainsi déverser en toute impunité, pendant des années et des  années, des tonnes de mensonges éhontés ou d’omissions sur le situation de la société française en matière d’Islam.

[3] Le doctrine Truman de l’endiguement (containment) du nom du président américain de l’époque, avait pour objet de contenir la poussée de l’influence soviétique dans les années d’après-guerre.

[4] Alain Juppé est un problème. Il semble peu sensible à la question. Mais, connaissant ce personnage orgueilleux , il est fort douteux qu’il se laisse ouvertement bafouer sous son mandat.

[5] Cela se fait déjà en partie.

 

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11 Commentaires

  1. Tout ça, c’est du bla bla bla !
    Bon, j’ai lu, quand j’étais jeune, Mein Kampf ! J’ai posé le livre en me disant : incroyable, tout était écrit et personne n’a rien fait…même pas s’armer en conséquence…On a vu ce qu’il en est advenu.
    Je n’ai pas lu le coran mais seulement de nombreux extraits, sans doute les plus dangereux pour nous…et personne ne fait rien ( je parle évidemment de nos dirigeants – mais se pose le problème de qui les a élus…). La seule solution, c’est l’interdiction de cette pseudo-religion sur le territoire français. Un peu de bon sens : comment voulez-vous faire évoluer un texte incréé ? Puisqu’on ne peut rien attendre de ce côté-là, il faut le rejeter, logique comme défense, non ?
    Ne doivent rester chez nous que les vrais apostats. Avec les autres, vous ne saurez jamais à quoi vous en tenir…

  2. Les attentats ce n’est rien, on finira tous par mourir, mais le danger c’est la mort de la France et de l’Europe.
    C’est une merde qui veut conquérir le monde entier. Alors, il faut l’interdire en Europe, parce-que c’est une idéologie fasciste et raciste.

    • « Les attentats ce n’est rien, on finira tous par mourir »
      !!! Oui mais pas tous de la même façon… !!
      Je préfère mourir paisiblement dans mon sommeil à 90 ans qu’écrasé par un camion à 30… ou encore décapité, égorgé, fusillé, empoisonné, persécuté, etc.
      Il y a 1001 façons de mourir, des morts belles et d’autres atroces !

  3. Virer tout ça tout simplement, l’islam doit être interdit en France. Point barre.

  4. Oui on ne peut plus clair. Mais comment se fait-t’il que des compatriotes ne se rendent pas compte du grave danger de l’immigration arabo-musulmane, Comment des Citoyens et des Associations naïves se laissent-‘t’ils prendre encore à prendre partie en faveur des immigré avec leur bienvenues sidérantes sur papier carton, ou du style mon arrière grand père italien était immigré, etc. Comment ne voient t’elles pas LES DIFFERENCES MONUMENTALES entre l’immigration Sud Européennes et Est Européennes et celles maghrebine, sub-saharienne et Africaine ?
    Jusqu’à quand ces idiots utiles garderont t’ ils les grands yeux fermés ?
    Merci quand même aux grands lanceurs d’alertes qui EUX ont ouverts les yeux à de nombreux citoyens et les ont rendus COMPATRIOTES !

  5. Bonne initiative, bonnes idées. C’est la mise en pratique qui pose problème…
    Car ne serait-ce qu’en ce qui concerne la déchéance de nationalité, nous avons déjà eu un aperçu de la tempête qu’une telle proposition provoque, notamment parmi les députés, y compris de droite ! Et ce sont eux qui décident pour nous !
    Les prochaines élections risquent fort d’être décevantes, je le crains… Alors, l’avenir est un grand inconnu… Mais il faut persévérer dans nos ambitions, c’est notre seul salut.

  6. « LA SOLUTION »:comme les islamistes,nous »RADICALISER »de toutes les manières,il est prouvé que tout musulman,est un djihadiste en puissance,il lui suffit d’être encadré par « UN »djihadiste,il ne pourra s’extirper des obligations de sa religion(109 versets ou nous,mécréants devons être exterminé) sans passer pour un renégat,et considéré comme un mécréant lui même,est traité de la même manière: »ÉGORGÉ »,donc pour nous combattre « le mal,par le mal « ,tout autre considération ne serait qu’utopie mortelle,et tout autre faiblesses également..!! »BOUTER L’ISLAM DE FRANCE ET D’EUROPE »par tous les moyens..!!

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