On se souvient des gesticulations de Trierweiler, Pécresse et compagnie lors de l’enlèvement de ces 300 gamines destinées à devenir des esclaves sexuelles.
Depuis elles ont naturellement retrouvé leurs cocktails, leurs inauguration, Voici et Gala… Abandonnant les malheureuses. 21 viennent d’être libérées, et pour une fois le mépris dans lequel sont tenues les femmes par les musulmans a payé, 5 femmes récupérées pour un homme libéré… Certes 4 monstres dangereux sont en liberté, 4 monstres capables de mettre encore à feu et à sang d’autres écoles et d’enlever encore des centaines de jeunes filles… Mais la communauté internationale si prompte à dénoncer Julian Assange ou à taper sur les populistes s’en moque éperdument.
Nigeria : deux ans et demi après leur capture par Boko Haram, 21 lycéennes retrouvent leur famille
Une vingtaine de familles de la ville nigériane de Chibok, où avaient été capturées en avril 2014 quelque 300 lycéennes par le groupe islamiste Boko Haram, ont eu le bonheur de retrouver leurs filles, libérées le 13 octobre.
C’est une scène touchante que rapporte le journal britannique The Guardian, dans son édition du lundi 17 octobre : des parents originaires de Chibok, une ville reculée du Nigeria, ont traversé ce week-end 800 kilomètres de routes en mauvais état, sur lesquelles plane la menace d’attaques de groupes rebelles, afin de gagner la capitale Abija où les attendaient leurs filles, arrachées à leur famille par la secte islamiste Boko Haram il y a deux ans et demi. Les retrouvailles, indique le journal, ont donné lieu à d’émouvantes célébrations, qui ont notamment pris la forme de chants et de danses lors du service religieux à l’église, le 16 octobre.
Ces démonstrations de joie ont toutefois été légèrement assombries par les inquiétudes de certains parents concernant l’exploitation politique et l’attention médiatique dont leurs filles pourraient faire l’objet. «Les enfants ne sont pas de l’argent, les enfants ne sont pas des habits que l’on peut revêtir lorsque l’on fait campagne», a ainsi noté un père de famille cité par le Guardian, qui craint que le président nigérian Muhammadu Buhari ne cherche à tirer profit de cet événement.
200 Nigérianes environ toujours prisonnières de Boko Haram
Les 21 lycéennes en question, dont le gouvernement avait obtenu la libération le 13 octobre en échange de celle de quatre prisonniers de Boko Haram, se trouvaient dans la capitale nigériane afin de recevoir une aide médicale et psychologique de la part des autorités. Malgré cet échange, la tâche de ces dernières est loin d’être achevée : au total, 276 jeunes Nigérianes avaient été kidnappées le 14 avril 2014 dans le lycée public pour filles de Chibok, par Boko Haram, et 57 d’entre elles étaient parvenues à s’enfuir.
Un mois plus tard, le groupe islamiste avait diffusé une première vidéo dans laquelle apparaissaient leurs captives. Une autre vidéo montrant les jeunes captives de Boko Haram avait été diffusée en août 2016.
https://francais.rt.com/international/27714-nigeria–deux-ans-demi
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les premières informations disaient ‘otages libérées » et pas échangées
je pense que grace à internet que les merdias ont été obligés de parler d’échange
Ces pauvres filles qui ont du être ultra-violées, par les crasseux, ont des visages qui respirent le bonheur et la joie de vivre. Elles ont plutôt l’air terrifiées.
Nous ne sommes plus dans le rapport « normal » islamo-musulman : 1 homme vaut 2 femmes.
Ici ils échangent 1 crasseux pour 5,25 femmes.
C’EST DIRE TOUT LE MÉPRIS QU’ILS PEUVENT AVOIR POUR LA GENT FÉMININE.