Marianne voilée : Hollande rampe dans les sphères de la honte et du déshonneur

Avec cette histoire de voile, M. Hollande a visé le plus bas niveau. Il rampe dans les sphères de la honte et du déshonneur.
« …quel est le pari que l’on fait? C’est que cette femme préférera la liberté à l’asservissement. Que le voile peut être pour elle une protection, mais que demain elle n’en aura pas besoin pour être rassurée sur sa présence dans la société. »»
Un compromis. Un compromis lâche, une sortie par la petite, la toute petite porte.

Tant qu’on y est pourquoi pas coudre le « s… » ou mettre un cadenas, comme çà la femme sera assurée d’être protégée. Mais où sommes-nous, en Afghanistan, ou dans un de ces pays … ? Nous sommes en France, dans le pays de cette Marianne fière et libre. Il s’arroge le droit de la travestir avec ce tissu de l’arriération, ce signe de la provocation, sous prétexte que la femme musulmane, demain, n’en aura pas besoin pour être rassurée sur sa présence dans la société… » Faut-il être le dernier des imbéciles pour sortir des énormités calamiteuses. Il se croit drôle … Le tout noyé dans sa conclusion : « La femme sera libérée » – Hier il danse couvert du « voile vert », aujourd’hui il envisage une Marianne voilée. Demain ce sera quoi M. Hollande, Marianne enniqabée ? Un cauchemar ! Des années me séparent de 2017 tellement le temps me semble long, avec ce spécimen à la tête de l’état. Mais Marianne vous observe et ce n’est pas son sein qu’elle vous réserve, car vous avez cessé d’être son enfant, mais la colère du peuple que vous avez trahi, par clientélisme, avidité, et amour du pouvoir. A par les hommages et les « Salam Aleykom » que savez-vous faire ? Partez en 2017 et ne revenez jamais ! Que votre souvenir s’évapore dans les poubelles de l’histoire.
Ici, nous les résistants, aimons la France, non pour sa sécu, ni pour ses allocs et encore moins pour toutes ces aides et subventions tentaculaires que vous gaspillez afin de voiler – oups ça m’a échappé – vos incompétences, mais pour ses combats séculaires, les revendications des Anciens, dont nous sommes les bénéficiaires – pour combien de temps encore – sa culture et ses racines que vous piétinez allègrement par votre politique, votre comportement vis-à-vis des « sans dents » et votre traitement réservé à la « Femme ».
S’il voulait nous tirer une balle dans le pied, il ne s’y prendrait pas autrement.
Je ne parie pas sur le compte de la France, je ne joue pas aux dés ma République car ses fondements sont debout, ses lois sont claires et son avenir tracé par les aïeux, de sorte que les probabilités n’ont pas leur place dans notre Patrie.

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