Nous avons publié hier deux articles à propos des conseils donnés aux Allemands qui devraient stocker vivres et eau.
http://resistancerepublicaine.com/2016/08/22/quest-ce-que-vous-attendez-pour-faire-des-stocks-bordel/
http://resistancerepublicaine.com/2016/08/22/terrorisme-les-allemands-vont-devoir-stocker-des-vivres-et-de-leau-mais-en-france-on-ne-nous-dit-rien/
Et un certain nombre de nos commentateurs-contributeurs de prendre la plume pour vous offrir des compléments d’informations. Ils ne sont pas tous d’accord, et c’est fort intéressant. A chacun de lire, réfléchir, fouiner, interroger… Et en tout cas de se préparer !
Christine Tasin
Le gouvernement Allemand recommande aux allemands de stocker de l’eau et des réserves de nourritures.
On ne sait pas pourquoi ! J’ai lu la même recommandation et j’ai souri.
Pourquoi 10 jours ? Pourquoi de l’eau ?
Des « experts » auraient décidé que les réserves d’eau seraient polluées ? Ils estiment que la dépollution prendra 10 jours ?
Est-ce une blague ?
Le gouvernement Suisse a fait la même recommandation il y a quelques années.
Quel était l’objectif ? Dans le même temps, le gouvernement Suisse avait aussi créé un nouveau bataillon de gardes frontières. Dans ce cas de figure, la recommandation suit un schéma de risque d’invasion avec blocage des livraisons alimentaires et fournitures des premiers secours.
Nous avons là un schéma classique d’invasion avec paralysie totale ou partiel des services de l’état et des services de distributions (commerces) privés.
Mais là, le gouvernement allemands lance une recommandation sans prendre dans le même temps de mesures cohérentes répondants à des besoins spécifiques telles qu’une invasion frontalière ou acte terroriste majeur de très grande intensité.
Rien … On ne sait rien !
A partir de ces données (c’est à dire aucune) , il n’est pas possible de penser survie.
Vous pouvez par principe stocker de l’eau pour le « au cas ou » mais sur quelle information choisirez-vous la quantité à stocker ? Et je n’évoque ici que le stockage d’eau.
Il y a plusieurs techniques et méthodes de survie.
Celles-ci dépendent du type de menace.
S’agit-il d’une zone de guerre ? Guerre totale avec totalité du pays occupé. Zones de guerre localisées, conflit de basse intensité avec des zones sécurisées ou en paix.
S’agit-il d’une catastrophe naturelle ? Un ouragan a dévasté des kilomètres carrés de zones urbaines. Mais quelques kilomètres plus loin, le reste du pays est normal. Un raz de marée à dévasté des kilomètres carrés de zones urbaines et rurales mais quelques kilomètres plus loin le reste du pays est normal.
Très vite, lorsqu’il s’agit d’une catastrophe naturelle, les secours, s’ils ne sont pas immédiatement mobilisés, sont néanmoins informés. Et oui, il faut aussi accepter qu’ils puissent mettre du temps, car parfois, les voies de communication sont coupées.
Des lors, quand on vit dans une zone à risque (séisme, raz de marée, ouragan), il faut avoir prévu un sac d’urgence. Un sac de survie qui permettra de pouvoir rejoindre une zone sûre.
Plus la famille est nombreuse, plus il y aura de sacs. Chacun le sien, même l’enfant de 8 ans. Il marche et porte sa part. Dans les sacs, de quoi soigner une coupure (pansements, désinfectant, sutures) de quoi soulager une douleur (antalgique puissant mais pas à base de dérivés de morphine) des pilules de désinfectant d’eau de type MicroPur ou du permanganate de potassium (à prendre le temps du déplacement). Un téléphone portable pour avertir de sa position et prévenir les personnes nécessaires, une carte de la région pour pouvoir se localiser …et prévenir ensuite les personnes nécessaires.
Un bon couteau. Il permet de découper du tissu (en cas de blessure) il permet de couper des branches (avec le côté scie) il permet de se protéger des dangers de la nature animale (ours, serpent) voir de chasser quand on en a les compétences (le couteau se fixe sur une lance ou permet de fabriquer une lance.
Concernant l’alimentation, je ne jure que par la viande séchée. Rien d’autre.
Pourquoi ? Peu encombrant, donc emport important. Séchée, la viande se conserve des mois voir des années. Elle est certes un peu dur à mâcher, mais elle regorge de nutriments essentiels au bon fonctionnement de l’organisme.
De toutes façons, dans le cas de catastrophe naturelle, la survie est de courte durée. Elle est l’affaire de quelques heures ou quelques jours. Les lignes téléphoniques ne sont pas toutes hors service et passé la zone dévastée, la population locale ainsi que les services publics aident les personnes déplacées pour un logement provisoire ainsi que pour la nourriture.
(Cela ne s’applique pas dans les pays du tiers monde évidemment).
Je fais court concernant la survie en cas de catastrophe naturelle car ce n’est pas le sujet correspondant aux recommandations du gouvernement allemand.
Il s’agit alors d’une recommandation en cas d’attaque terroriste.
Stocker de l’eau pour au moins une durée de 10 jours.
Supposons que nappes phréatiques et réserves d’eau traitées soient infectées. Il faudra des semaines avant que les réserves d’eau traitées soient de nouveau disponibles à la consommation. Mais concernant les nappes phréatiques, il faudra des mois voire des années pour qu’elles puissent se nettoyer.
10 jours pour ne pas sortir de chez soi ? Parce qu’il y aurait un danger autre qu’une pollution de l’eau ? Comme par exemple, des commandos terroristes se déplaçant en ville et abattant toutes personnes rencontrées ?
…10 jours ? Ce serait le temps d’éradiquer les terroristes ?
…10 jours coincé à la maison ou dans l’appartement car à l’extérieur, les voies de communications sont coupées ? Par quoi ? Des attaques terroristes de grandes envergures ? De nouveau des avions se jettent sur des immeubles de grandes hauteurs ? Quoi d’autres ?
On ne sait pas.
Alors, s’il fallait survivre à un acte de guerre, je ne resterais pas chez moi à attendre que les terroristes défoncent ma porte et maîtrise ma vie et celle des miens.
Je fuis immédiatement pour mettre en sécurité (en lieu sûr) ma famille …et je reviens.
On ne peut pas se battre en pensant à sa famille qui risque la mort parce qu’elle se trouve sur la zone de guerre. Ceux qui ont servi en Yougoslavie ainsi qu’en Afrique, ont dû comme moi, voir le résultat de la naïveté de certaines personnes, s’étant barricadées chez elles, pensant qu’elles étaient en sécurité. Elles ont été exécutées sans pouvoir faire quoi que ce soit. Femmes, enfants, nourrissons, tous sans exception.
Une porte n’a jamais arrêté qui que ce soit. Si une personne veut rentrer, elle rentrera !
Si demain, les services de sécurité de l’état sont incapables de remplir leur devoir de protection du citoyen, alors, le citoyen doit se prendre en charge lui même.
En premier, ACCEPTER LA REALITE DE LA SITUATION.
Les réponses données seront alors cohérentes. Si on ne tue pas une mouche au lance roquettes, on ne se protège pas de fous d’allah en fermant sa porte.
Une guerre totale oblige à se protéger, à se défendre ou à fuir.
Restons dans la survie immédiate.
Se protéger : Danger immédiat. L’ennemi est en face de soi. Il tire le premier ou c’est moi. Quel que soit le moyen, il faut agir vite. Faire quelque chose. Tenter n’importe quoi mais tenter quelque chose.
Se défendre : Elaborer avec ses proches, ses voisins, son quartier, un plan de sécurité. Système artisanaux de détection d’intrusion. Rondes de sécurité, des gardes fixes aux points stratégiques avec protocoles d’identification.
Fuir : La menace est imminente, hyper violente et les moyens de sécurité et de protection totalement insuffisants en proportion du danger.
Donc, en pareil cas, la seule chose à faire, est d’avoir un protocole de priorité.
1 J’explique la situation telle qu’elle est.
2 Je suis ferme et autoritaire. Je ne laisse pas le doute et la confusion s’installer.
3 Je choisis vite un endroit à rejoindre.
4 Je donne le plan oralement et chacun écoute attentivement.
Le reste est tactique.
Le déplacement en véhicule est-il possible ? Si oui, il y a -t-il assez de carburant pour aller à l’endroit choisi ? Est-ce loin ? En cas de doute, prendre le véhicule qui peut constituer une protection immédiate et l’abandonner quand il devient un handicap voire trop visible et constitue une cible pour l’ennemi.
Finir à pied.
Si les communications téléphoniques sont encore en état de fonctionnement, il sera alors possible d’avoir des informations en temps réel sur l’état de la zone, l’évolution de la situation (positif ou négatif) ainsi que sur les mesures à adopter en fonction des renseignements obtenus. Il s’agira alors de décider de poursuivre, de stopper la progression, de se cacher en forêt, de changer de plan, d’établir un périmètre de sécurité avec piégeage. Voir d’établir un bivouac de plusieurs jours.
Combien de personnes que j’ai vu mortes auraient survécu si elles avaient simplement accepté la situation telle qu’elle était ? Au lieu de cela, elles furent retrouvées en train de pourrir chez elles, et les gamins dans leur lit. Ils s’étaient barricadés et quand leur ennemi est arrivé, il a dit « ouvrez la porte » … et ils l’ont ouverte. Alors, à quoi bon rester chez soi ? Même avec une arme.
Un fusil à pompe ? Très bien. Large champ de dispersion. En combat rapproché, c’est parfait. One shot one kill . C’est sûr. Mais combien de cartouches avez –vous ? 3000 ? 10.000 ? Seul face à une section de crevures islamistes, qui eux , à coups de balles d’Ak47, vont détruire le chambranle de la porte ou celui des fenêtres ? Même Robocop serait incapable d’en venir à bout. Superman peut-etre…
Une arme de défense personnelle. Un pistolet semi auto. Du 9 Para, avec des munitions en quantité. Parfait. Mais idem, pour fuir ok, mais pas pour résister.
C’est bien d’avoir de l’eau pendant 10 jours et un stock de munitions , mais il faut que les mesures adoptées soient en cohérences avec le type de menace.
Dans les villages, on sait qui est qui et qui a quoi.
Si la maison du bout de mon village est attaquée, je le saurai rien qu’aux détonations venant de l’ennemi ou venant de la riposte. Là, nous pouvons aider, assister et renverser la situation.
Mais en ville, ouh la ! Habiter dans un immeuble même armé, revient à ZERO ! Avec une carabine de précision, vous abattez un terroriste d’un groupe qui se dirige vers votre immeuble. C’est déjà ça. Mais qui empêchera les autres de monter ? Ou de mettre le feu à l’immeuble ? Personne ! Il faut donc sécuriser l’immeuble à partir de ses points d’accès. Il faut donc sortir de chez soi et sécuriser. Seul, c’est impossible. Mieux vaut fuir.
Se barricader chez soi, revienstà s’enfermer soi même dans sa propre prison ou tombe.
Une BAD ? Je n’y crois absolument pas. Vous attirerez la convoitise de ceux qui n’ont pas d’armes, qui n’ont rien à manger et même, vous représenterez une cible fixe avec à l’intérieur, un centre commercial.
Si le périmètre n’est pas sécurisé par des hommes armés, alors, vous êtes vulnérables.
Si l’armée dit « restez-vous » et qu’effectivement vous voyez bien les militaires dans les rues, là d’accord, mais dans le cas contraire, fuyez ! Immédiatement, le plus vite possible et le plus discrètement possible.
Je recommande autour de moi ce qui suit.
Avoir un sac à dos toujours disponible.
Ce sac contient :
1 Boite d’allumettes
1 Briquet
2 Pierres à feu
1 Boussole
1 Lampe torche avec piles de rechange
Des petits sac en plastique bien pliés (Pour récupérer des vapeurs d’eau)
Des petits sacs étanches ( pour les documents personnels)
1 Téléphone avec 1 batterie de rechange
De la corde (type paracorde).
Des cachets de MicroPur
1 Paille de survie (désinfecte l’eau immédiatement aspirée)
1 Trousse de secours contenant : Pansements, Sutures (aiguilles + Fils) , Désinfectant, Bandages, Ciseaux, Compresses, Alcool 90, Loupe
Un pistolet de combat (15/17 coups) et munitions standard si plusieurs armes de poing. Ou à défaut, n’importe quelle autre arme.
Rien qu’avec cet équipement léger, vous êtes opérationnel. Vous avez les moyens de soigner, et de protéger.
La survie est théorisée depuis des années. Mais les retours d’expériences sont bien plus concrets. En Yougoslavie, il y eut un vrai laboratoire d’expériences de survie.
Ceux qui ont survécu, étaient préparés psychologiquement. ACCEPTER LA REALITE DE LA SITUATION. Ensuite, ils étaient armés avec parfois, seulement un fusil de chasse. Beaucoup ont su se fédérer afin de créer une zone sûre équivalente à un quartier ou tout un village. Ceux qui ont dû fuir ont emporté des vêtements chauds pour supporter le froid et se sont adaptés en forêt. Chasse de petits gibiers, peu de feux, longues marches, sécurisation de site temporaires et pas de médicaments. Ils ont survécu parce qu’ils étaient devenus plus forts.
Dans des villes, certains se sont acharnés à vouloir de la farine. Ils ont troqué des objets contre de la farine. Pour faire des galettes de pain. Ils se sont eux même rendus malade car, ils ont affaibli leurs défenses immunitaires. Ils ont de ce fait, dû recourir au troc contre des médicaments. Quel gâchis !
Alors justement, concernant l’emport ou le stockage de nourriture.
Ne stocker SURTOUT PAS, de pâtes ou du riz ou tout autre féculents. NE FAITES PAS CELA !!!
Je sais qu’il s’agit d’un réflexe entretenu par grand nombre de survivalistes, mais c’est une grave erreur.
Les féculents comme le pain, les pâtes, les pommes de terre, le riz et les flageolets (liste non exhaustive) sont des sucres lents, MAIS DES SUCRES .
Qui dit sucre, dit production d’insuline. L’insuline que produit votre corps sert à faire baisser le taux de sucre de votre sang (la glycémie). Alors que vous avez mangé des pâtes, votre glycémie va augmenter et de ce fait , entrainer une réaction normale de votre pancréas qui va produire la dose nécessaire d’insuline pour faire descendre le taux de sucre dans votre sang. C’est une action naturelle de votre organisme car contrairement aux idées reçues, notre organisme n’est pas adapté pour manger des céréales comme le blé (le plain et les pâtes) et autre légumineux à fort teneur en sucre. Donc, les personnes diabétiques de type 1 ou 2 seront condamnés à être malade pour les premiers ou à mourir pour les seconds si leur insuline à injecter ne leur est pas fournie à temps.
De plus, pour les personnes non concernées par le diabète. En survie, il faut rester opérationnel. C’est à dire , avoir une capacité physique permettant de courir, de soulever, de se battre et de supporter les blessures.
Il faut pouvoir cicatriser vite et se guérir sans aide extérieure le plus rapidement possible.
Stocker des médicaments c’est bien. Mais combien de temps allez vous les conserver ? Il y a une date de péremption. C’est comme ça.
La seule façon d’y parvenir, est d’avoir un système immunitaire optimal.
Les sucres ingérés par les pâtes, le pain, les pommes de terre, le riz, vont augmenter la production d’insuline, empêcher le déstockage des graisses accumulées et encombrer le foie. Ce même foie qui va libérer des cellules graisseuses dans le sang qui fatiguera l’organisme. Mais ce n’est pas tout. Les sucres ingérés rendent le système immunitaire défaillant . La moelle osseuse qui fabrique les globules blancs sera affectée par le sucre et produira peu de globules blancs ce qui ne permet pas la production normale d’anti corps. Donc, en cas de blessure ou de maladie , les anti corps insuffisants ne permettront pas la cicatrisations ou même de lutter contre une maladie (rhume, grippe ou plus grave encore).
Donc, en survie, il faut renforcer le système immunitaire en stoppant tous les sucres.
Les fruits, les légumes verts et la viande contiennent à eux seuls les glucides nécessaires et SUFFISANTS pour le bon fonctionnement du cerveau et de l’organisme.
Alors, en cas de fuite ou de survie, pensez plutôt à vous munir d’une carabine de petit calibre (22 LR) et réapprenez à chasser. Les moineaux se mangent, le poisson même dans le canal se mange. Mieux vaut manger du poisson avec du plombs quelques jours, que des pâtes chaque jours. Sachez qu’un seul repas de poisson par jour est suffisant pour tenir toute la journée, alors qu’en mangeant des féculents (quels qu’ils soient) il vous faudra manger au moins 3 fois par jour, du fait des montées et chutes du glycémie provoquées par l’ingestion de sucres lents et la production d’insuline.
Vous pouvez d’ailleurs vous entraîner à cela.
Cesser de manger 8 jours TOUT FECULENTS en les remplaçant par des œufs, du poisson, des légumes, de la viande de porc (vaccination anti islamique) ou de poulet. Vous renforcerez votre système immunitaire et , ce qui pour certains ne gâchent rien, il y aura une perte de volume (amincissement).
La survie commence aussi par une préparation de longue date.
Pour ceux qui en ont la possibilité, effectivement, en cas de crise majeure, avoir un potager est vraiment d’une grande aide. Mais n’oubliez pas que cela attirera des convoitises. Avoir ses poules pour la viande et les œufs idem.
Mais si des à présent, vous commenciez à faire sécher de la viande de porc ou de poulet, alors, le J, vous savez que vous pouvez aller puiser dans vos réserves soit, pour tenir un siège soit pour fuir en toute sérénité. Savoir que votre famille sera en bonne santé durant un déplacement de survie est un poids en moins dans la charge de responsabilité.
Pour conclure,
La recommandation du gouvernement allemand est insuffisante.
Si je suis d’accord sur le principe de penser survie, il faut d’abord penser technique de survie.
Il n’y a pas UNE METHODE SURVIE. Chaque environnement est unique. Il faut contextualiser. Il faut imaginer jusqu’au bout, la façon dont peut se dérouler un siège (quelques jours ) chez soi, ou une fuite pour rallier un point sûr.
Il faut aller jusqu’au bout du raisonnement.
A partir de ce moment, les quelques lignes que je viens d’exposer, vous serviront à adapter selon votre environnement (rural ou urbain) la tactique de fuite, la sécurisation de site, la création des demain d’un potager et d’un poulailler, ainsi que l’élaboration de vos sacs de survie.
Pensez efficacité, discrétion et légèreté.
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Elle ne pense pas dans ses hypotheses a une attaque
terroriste?
Bonjour,
Merci de nous communiquer les références de ce guide complet en français sur l’établissement d’une ferme semi-autarcique.
Je n’ai pas atteint ce degré d’organisation, bravo!
Idem; j’ai fait un dossier spécial survie.
Compilations de plusieurs sites, y compris un guide complet en français sur l’établissement d’une ferme semi-autarcique pouvant être convertie en ferme 100% autarcique en l’espace de 3 heures seulement, à l’usage des citadins comme moi n’ayant aucune compétence en la matière.
Le conseil le plus utile que j’ai retenu de mes recherches: faire plusieurs listes séparées d’items à avoir sous la main le cas échéant. Voici les titres de mes listes: liste nourriture, liste énergie, liste hygiène et médicaments, liste chien/chats, liste vêtements,…le meilleur conseil: acheter régulièrement un tout petit peu plus que ce dont on a besoin. Pour ceux qui aiment les pâtes: trois sachets au lieu de deux, etc….faire une liste avec les dates de péremption, une liste avec les endroits où l’on a rangé les choses (si dispersé). Avantage: ces listes sont adaptables individuellement. Se fixer des objectifs et des limites, combien de personnes pendant combien de temps, jusqu’où aller dans la préparation…Ca va du très simple: paquet de chips pour le couvre-feu au plus compliqué: quatre personnes pendant dix jours au très très complexe: plusieurs équipes dans une ferme semi-autarcique (bêtes, culture, cuisine, bricolage, etc…).
Je n’ai fait que compiler pour l’instant…. comme tous les retraités, je suis surbookée!
J’ai carrément fait un dossier « opération survie », avec tous ces judicieux conseils.
Parfait ! Si tu as fait une synthèse qui peut être utile à tous on peut la publier
A 1.Charles-Emmanuel Guérin : Merci pour cette mise au point . D’ailleurs j’ai fait un copier-coller de votre texte et de vos diverses réponses pour les lire plus en profondeur .
Bonjour Charles-Emmanuel Guerin
je reviens vers vous car vous m’avez donné un peu d’espoir.
Voilà les différentes situations qui pourraient se présenter à nous
– nous sommes bloqués chez nous pour cause d’attaque chimique limitée, l’électricité fonctionne encore et ce n’est plus qu’une question de temps jusqu’à ce que la situation soit rétablie jusqu’à la prochaine crise…pas de panique, on vit des stocks que l’on a constitués
– nous sommes bloqués chez nous, il n’y a plus d’électricité donc…li’nsuline se périme; la situation est relativement sous contrôle: pas de panique, les stocks sont là pour nous aider et nous sommes peut-être plus en danger si nous sortons de chez nous pour cause de combats dans les rues,…
– c’est la guerre totale, plus d’électricité, l’anarchie dans les rues…
les plus vaillants comme vous sortent survivre dans les bois et reconstituer des maquis; les plus faibles comme moi ont deux choix: soit rester chez soi et attendre la fin que vous avez décrite soit rejoindre une BAD et apporter ses compétences ou se former (radio, tir). Je suis d’accord pour rejoindre une BAD le cas échéant, c’est-à-dire, échange de mes compétences (les soins et les langues étrangères) contre de la nourriture et de la protection par les armes…
Christine, vous parlez de réseaux; est-ce une réalité ou un espoir secret 🙂 ?
Un conseil et des encouragements à ceux qui ont entrepris la démarche
Je rappelle que comme le gouvernement français est d’une intelligence suprême, il a vendu et vend encore du matériel, des équipements et des véhicules militaire à ceux qui s’en servent et s’en serviront encore contre nous. Je pense que bon nombre de militaires français ou amis ont déjà subi des attaques avec des armes françaises, un comble !
Le problème est de savoir si on veut vivre en paix en faisant des concessions quant à notre petit confort ou si au contraire on veut continuer à user et abuser des ressources naturelles, faire du business avec des barbares pour être toujours dans plus de confort…
Personnellement, je sais qu’on peut vivre sans superflu mais je vois beaucoup de gens autour de moi qui ne sont pas prêts à s’en passer et minimisent donc le business que l’Etat français fait avec des pays pour le pétrole ou d’autres ressources alors que nous pourrions vivre heureux et la conscience en paix… et surtout sans pactiser avec l’ennemi
j’ ai lu avec intérêt l’ article et les commentaires
très instructif et j ‘ai appris bien des choses .
merci à tous .
mais il faudrait une base de repli ( comme but , pour réunir les poursuivis .).. ce qui certainement vient à l ‘esprit de nous tous ???
je n ‘ose pas dire un maquis )
ou sera t -elle ??? que sera t – elle cela sera surement difficile à savoir à cause des fuites et des espions , qui sont partout , les collabos ect ..
kénavo
il faut constituer des dizaines, que dis-je, des centaines de bases de repli dès maintenant en utilisant les réseaux patriotes, c’est le concept de la bad
Bonjour. Excepté Burban, je vous invite à revoir la définition de survie.
J’ai répondu hier soir à certaines d’entres vous, mais pour une raison que j’ignore, mes réponses non pas été validées. Dommage.
Je suis sur le départ. Je n’ai plus le temps de tout recommencer.
Burban, votre participation est sans nul doute la meilleure. Je ne doute pas un seul instant de votre réussite pour vous et les vôtres en cas de de nécessite de survie.
Malheureusement pour les autres et malgré certains commentaires intéressants, la plupart confondent survie et engagements militaires conventionnels. D’autres confondent cause et effet ce qui ne leur permet pas de saisir le contexte.
Je suis par contre comme tout le monde. Si on me méprise, je réponds.
Aimez-vous la condescendance ?
Une fois de plus, si vous souhaitez des détails, donnez moi des cas de figures concrets. Par exemple, des situations que vous craignez par rapport à votre environnement ou tout simplement si vous souhaitez un plan de sécurisation de site en situation de survie ou un déplacement en situation de survie. Il n’y a pas de miracle. Cela se travaille.
Je serai dispo la semaine prochaine.
Je vous propose de m’écrire directement pour exposer vos questions en toute liberté si celles-ci nécessitent l’anonymat.
Mon email : chemmanuelguerin@gmail.com
ouf!
j’ ai fini de lire!
je vais aller m’ enfermer dans ma cuisine ,prendre un somnifère et ouvrir le gaz , sans oublier de couper le courant qu il n’ y ait pas un con qui vienne sonner et faire sauter tout l’ immeuble 😆
BAD = Base Autonome Durable .
Bon, depuis 2 ou 3 articles sur le sujet, je vais enfin poser la question: que veut dire « BAD »? j’ai demandé à M. Google, et il m’a répondu: « Banque africaine de développement »….ça ne doit pas être ça!!!!
Je vous conseille vivement ce site Allemand.
Dans la colonne de gauche vous trouverez tout ce qui se conserve en très longue durée ! Un vrai trésor.
http://shop.conserva.de/fr/108-reserve-alimentaire
Charles Emmanuel Guérin,
Je ne doute pas que votre contribution soit réfléchie et utile, cependant, je me permets d’émettre un doute sur le paragraphe concernant les féculents (dits « sucres lents »).
En effet, un diabétique insulino-dépendant ne peut survivre en jeûne glucidique.Il ne le peut non plus sans insuline, c’est à l’équilibre (fragile ) entre les deux qu’il tient le coup.Les sucres lents valant mieux que les rapides , sauf en cas d’hypoglycémie sévère.
A quoi sert l’insuline ?
Dans quel cas est-elle stimulée ?
A quoi sert l’insuline ? ben je survis depuis 20 ans , mon frère depuis 50 ans…ma grand-mère qui n’en a pas bénéficié est morte aveugle…
Merci à vous, Charles-Emmanuel pour cet article très intéressant sur la paléo-alimentation. En effet, nos Ancêtres, ces nomades, avaient recours à ce type d’alimentation. Une BAD n’est concevable que si elle peut être défendue, sinon, on est un « sitting duck » (canard immobile). Ceci suppose donc de devenir nomade. Quand les médicaments seront périmés, et il le seront, penser à l’homéopathie. Il existe d’excellents écrits sur l’homéopathie en situation d’urgence (notamment celui de Mateu y Ratera): je suis déja en train de de me constituer ma liste spéciale attaque chimique, radiologique, plaies par balle er arme blanche. Je me suis également fait une liste de matériel de pansements (Jelonet, pansements américains,…). Pour ceux d’entre nous qui comme moi n’ont pas les moyens de défendre leur BAD, faire la paix avec Dieu dès aujourd’hui. Je ne me vois pas (50 ans, sédentaire, en léger surpoids), survivre dans la nature…
Bonsoir.
Merci à vous aussi.
L’homéopathie est mal considérée.
Vous pourriez survivre dans la nature. Il suffit d’être motivé et d’avoir des connaissances suffisantes.
Pas nécessaire d’être un James Bond. Pouah, oh non. Une personne intéressée est assez « armée » pour survivre selon différents niveaux de menaces.
Comme je l’ai écrit au début de mon texte, il faut d’abord identifier la menace et ensuite l’admettre. Le reste sera cohérent si vous êtes préparé. Franchement, aujourd’hui, avec Internet, même s’il y a tout et n’importe quoi, il y a quand même de quoi alimenter sa curiosité et avoir des réponses à des situations posées.
J’ai donné des exemples, mais si vous voulez des réponses pplus précises, donnez moi un cas de figure. Ne restez pas dans le général. La survie est une adaptation.
Le surpoids se perd. Il faut le décider.
C-E G
Les conseils et l’expérience de l’auteur sont certes d’un réel intérêt, mais sa façon de répondre aux remarques de madame Cromby est assez déplaisante. On ne convainc personne en lui témoignant du mépris… d’autant qu’elle aussi a son expérience ! Quant aux manières de survivre, y compris en matière de nutrition, elles sont diverses ; ce que l’auteur reconnaît, mais en en excluant certaines, ce qui est curieux. Au fond cet officier semble lui-même pris par son expérience et n’envisage que deux scenarios : catastrophe naturelle ou guerre de type yougoslave. Il y en a bien d’autres… Quelque soit le nombre de terroristes infiltrés, il me semble douteux que nous en soyons au scenario yougoslave (mais je peux me tromper et ce pourrait être le cas dans dix ou vingt ans). Je penche plus pour une convergence, plus ou moins orchestrée, de divers scenarios se combinant : émeutes de type 2005 (mais plus violentes et étendues), attentas semblables à ceux que nous avons connus ces deux dernières années et, plus nouveau, attaque de grande ampleur sur nos infrastructures. Pour ce troisième volet, je pense spécialement aux drones qui ont survolés nos centrales (affaire qui reste mystérieuse et impliquant des drones assez évolués, pas de simples jouets), aux explosifs militaires disparus à Miramas et aux attaques contre les réserves de pétrole à Fos (on n’en parle plus, y compris après l’annonce récente de l’interrogatoire d’un suspect). Ce à quoi se rajoute les remarques d’un expert en sécurité au moment où les drones faisaient la une, et qui décrivait le risque : une attaque sur les transformateurs géants jouxtant les réacteurs (il considérait la partie nucléaire comme bien mieux protégée). Il expliquait que détruire un de ces transformateurs n’aurait que peu de conséquences ; mais l’attaque simultanée de plusieurs mettrait l’ensemble du réseau à bas et ce pour une période pouvant durer des mois ! En fait, ce serait plus grave qu’un accident nucléaire : les victimes, privées d’électricité, donc souvent aussi d’eau, de gaz, de nourriture, de tout ce qui fait notre vie moderne, seraient innombrables. Pas besoin d’armée pour ça : juste de commandos décidés et formés… Dans une telle hypothèse, rester chez soi, avoir des réserves de biens essentiels, ne serait pas une stratégie absurde, même si être capable de faire ce que préconise l’auteur pourrait être également précieux. C’est pourquoi, malgré mes réserves, ai-je apprécié son article et son partage d’expérience.
Le commentaire de M Combry est l’expression d’une expérience en survie ? …Ah bon, je dois ne pas savoir de quoi je parle.
Je n’ai donné que deux exemples certes, mais en précisant que les possibilités sont diverses et variés. Il faut bien me lire.
Le mépris, je l’ai eu le premier. Prière de ne pas confondre la cause et l’effet. Merci.
Les types de conflit qui se préparent auront divers aspects. mais seront tous motivés par le fait religieux : » Les musulmans contre le reste du monde ».
Les vols d’équipement militaires font parties des priorités des des services d’enquêtes spécialisés. On sait pourquoi.
Les moyens pour paralyser un pays sont incroyablement simples.
Je suis surpris chaque jour que cela n’arrive pas encore.
Je pense que les terroristes islamistes n’ont pas encore réussi à réunir lea logistique (le matériel) , les moyens (ceux qui acheminent) et les hommes (ceux qui agissent) au même endroit, en quantité suffisante pour commetre des attentats plus souvent.
Bien sur, en fonction de leur stratégie, ils attendront les dates stratégique s(élections, dates symboliques) pour frapper les esprits et faire changer les mentalités, mais je suis convaincu de ce fait.
Quelques individus, déterminés peuvent mettre à genou tout un pays. ou déclencher une guerre.
Je ne disais rien d’autres mais nous étions dans le sujet de la survie.
Bonjour,
je n’ai pas du tout dis que vous ne saviez pas de quoi vous parliez, bien au contraire, mais une infirmière a aussi son expérience de survie : soins d’urgence ou du quotidien, bien des patients doivent la vie aux bons gestes d’une infirmière. En fait, vous trouverez beaucoup de gens qui ont des notions de survie, parfois sans le savoir, par héritage familial par exemple: expériences de guerres, de catastrophes ou d’un mode de vie simplement plus rustique que celui que nous connaissons.
Encore une fois, j’ai apprécié votre partage, y compris votre réponse ; il faut juste comprendre que chacun a sa parcelle de savoir: on est souvent surpris !
bonjour pour la survie pure et dure il vous faut un kit de purificateur d’eau surtous pas de feux car ça attire l’attencion pas de lampe ni de bougie , vivre avec le cycle du soleil ,surtout du sel très important pour faire cuire car le sel et un cuiseur naturel et une monnaie d’ echange c’est pas pour rien que on l’appelle l’or blanc des vetements tres chaud et si possible anti pluie car l’eau et un ennemi naturel, des cordes, des chaussures deux paires anti pluie aussi des couvertures militaire tres chaude, pour peche vous pouvez faire un barrage pour coinsse le poison et le faire cuire avec votre sel surtout le laisser dans un endroit sec. la viande de même, bref une arme vous pouvez toujour fabrique avec du bois lance couteau tres eficasse pour tue avec une pointe tres pointu et silencieux discretion oblige bref des graines des bidón pour l’eau des antibiotiques si vous ne connaissez pas les plantes. du fil de peche pour faire des pieges pour les animaux , rapelez vous que si on doit survivre va faloir zape tous les trucs moderne et retourner a l’age de Pierre chasse peche cuire au soleil ou au sel cuellir faire des pieges naturel (trou avec son fond de bois en pointe avec une pele ) bref comme avant presque comme les neandertal bref presque sauf que on peux cultiver avec le graine sauf si vous preferez piller mais risqué bref la liste est longue mais l’essenciel est là.
Bonsoir.
Parfait !
Pour une survie longue durée, les principes de base sont là !
Pour une survie en déplacement, ces principes peuvent être utilisés.
Le hic est que le antibiotiques sont à usages orientés. Ils ne correspondent pas tous à la même réponse de soin.
Encore une fois, ils ont une durée de vie limitée.
Combien de fois renouvellez-vous votre stock de médicaments ? Posez vous la question.
Par contre, vous vous en sortirez.
A Charles Emmanuel Guérin ;
Très bon article pertinent . Mais il y a des contradictions . Fuir les combats quand on est isolé est la première des choses à faire . Mais pour aller où ? Si tu n’as pas de zone de repli tu es foutu . Voila la contradiction car tu dis que la BAD attire les convoitises, alors tu vas où ? Une BAD n’est pas un bunker que l’on repère très vite, mais une habitation, un village, une cabane, autre . C’est la base de repli, de sauvegarde qui dans un premier temps pourra garantir la survie de la famille, du groupe . Si tu évacue pour errer comme un pauvre diable, aucune chance . Si tu évacue pour rejoindre une base organisée, la survie est au RDV .
En cas de chaos, non pas de catastrophe naturelle mais plutôt de conflit, ce qui nous préoccupe ici, ceux qui n’ont rien préparé vont fuir et déferler partout en quête de sécurité, de soins, de nourriture . D’autres vont pourrir sur place, chez eux ou se laisseront massacrer par l’ennemi, comme tu le décris si bien . Si tu es seul avec ta famille ou tes amis, tu sera la cible idéale pour les désespérés même si tu possèdes la puissance de feu d’un croiseur . Organisé en BAD ou toute autre dénomination avec barrages, contrôle du périmètre, en étant conscient des règles d’engagement, réserves logistiques et surtout communications ( il faut oublier les téléphones portables et privilégier les radios de type UHF-VHF ) le nombre de personnes et l’organisation prendra le dessus . Certes, comme tu le dis ça attirera les convoitises d’où les REGLES D’ENGAGEMENT . Pour ceux qui ne connaissent pas ce concept :
… 1- Établir des règles d’engagement
La première des priorités consiste à définir le type de réponse à apporter face aux divers problèmes qui pourraient se présenter. Ce qui revient dans la pratique à établir des » règles d’engagement « . De telles règles définissent de manière précise le niveau de force qu’il est prévu d’opposer aux gens contre qui vous envisagez de défendre votre voisinage ; En l’occurrence, toute personne sur le point de pénétrer votre zone de protection dans le but d’y perpétrer des activités criminelles, ou qui l’a déjà fait.
C’est probablement le point éthique et moral le plus facile à mettre en oeuvre, ou le plus difficile suivant les cas. Mais il est capital que vous-même et votre groupe compreniez et vous accordiez sur la manière de gérer les personnes prises en train de pénétrer votre territoire ou tenter de le faire. En d’autres termes, le sort qu’il faudra leur réserver…
En temps de guerre, les règles d’engagement permettent aux militaires de savoir exactement ce que l’on attend d’eux. Par exemple, une règle telle que » On n’ouvre pas le feu tant que l’on nous tire pas dessus » est assez simple à comprendre. Avec une telle consigne, votre équipe serait en mesure de limiter le nombre de tués aux seules personnes qui ont clairement démontré leur intention de vous faire du mal. Si elles vous tirent dessus en premier, alors il serait techniquement viable (d’après vos propres règles d’engagement) de leur faire sauter la tête. Encore une fois, nous parlons ici d’un scénario de guerre, et c’est bien de chaos dont il s’agit.
Pour ce qui vous concerne, ces règles devraient être simples et rapides, mais pourraient varier en fonction de la situation. Par exemple, si vous êtes posté dans votre périmètre de surveillance (le bout de votre rue), et qu’une personne approche qui est à la recherche de nourriture, vous n’allez probablement pas utiliser de force létale contre elle. Dans l’hypothèse inverse, si quelqu’un aborde votre rue avec un fusil dans les mains et qu’il ne répond pas à vos sommations, alors la force létale pourrait être la seule option envisageable.
Qu’en serait-il à présent si la menace était une pandémie globale et que la ou les personnes aux abords immédiats de votre périmètre montraient des signes évidents de contagion ? La réponse n’est pas aussi simple, et tout dépend pour beaucoup de la situation et du scénario.
Dans un contexte caractérisé par l’absence de règles de droit, il existe de nombreux facteurs à prendre en considération, notamment celui des retombées éventuelles de vos actes. Il est très possible que ce que vous fassiez tombe plus tard sous le coup de la loi, dans le cas et l’hypothèse où l’ordre soit rétabli. Si cela arrivait effectivement, et que vous n’eussiez pas la chance de tomber sur un général d’opérette qui vous absolve après coup de tous vos crimes et délits, comme ce fut le cas à la » Libération « , alors vous pourriez être amené à répondre de vos actes.
Il est donc important de considérer avec prudence le niveau de force que vous avez l’intention d’opposer dans le cadre de la défense de votre voisinage. Le but devrait être de prévenir autant que possible que quelqu’un de votre groupe perde la tête et massacre le premier qui se présente, par peur ou par bêtise. C’est aussi à cela que servent les règles d’engagement, en plus de leur utilité purement tactique.
En pratique, il est difficilement concevable de répondre par un coup de fusil à quelqu’un qui vient seulement pour voler, même s’il s’agit des tomates du jardin dont vous avez patiemment surveillé la maturité le 12 à la main. Dans l’absolu, la force létale devrait être réservée à ceux qui mettent en péril votre vie ou celle de vos proches, voire les membres de votre équipe. Vous vous placeriez du mauvais côté de la barrière en tirant sur des personnes innocentes. Les événements ainsi que leur degré de sévérité vous dicteront les règles qui doivent être appliquées en fonction de la situation, en espérant que vous sachiez vous comporter en personne responsable et civilisée.
Source : http://survivreauchaos.blogspot.fr/2016/04/la-defense-de-voisinage-
2-les-priorites.html
Nous sommes là dans un objectif de défense et une fois bien organisée, tu dois le savoir, la défense prime sur l’attaque . Ceux qui voudrons la forcer viendront se casser les dents . De quoi en dissuader plus d’un et irons voir ailleurs . Nous parlons de survie de nos frères donc retranchement . L’attaque est un autre sujet .
Ce texte n’est pas une critique négative du tiens, mais écrire que fuir pour rejoindre un groupe tout en critiquant la notion de BAD me semble inapproprié .
On se retrouve sur le front . Bien à toi .
Bonsoir.
Je ne crois pas une BAD. C’est pourquoi j’ai écrit dans mon texte qu’il fallait décider d’un lieu sûr. Ce n’est pas une BAD sinon, je l’aurais appelé BAD. Un lieu sur dépend de la situation. Du type de conflit : Guerre totale ou de basse intensité ? Des zones sont libres ou tout est sous menace ?
Adaptation. La BAD est une méthode au départ « discrète ». Mais quand les voisins « qui ont chanté tout l’été » verront que toi, tu ne sors jamais de chez toi, ou que tes poules chantent sans cesse, …ils viendront se servir. C’est ce qui s’est systématiquement passé …ailleurs.
Fuir une zone sur, par définition est aller dans un endroit ou l’on ne risque rien. Question de contexte. Pas de guerre. J’en ai croisé des « fuyants sur les routes qui ont eu le bon réflexe. Ils savaient où ils allaient. Ensuite, il y a les autres, les « Programme alimentaires des nations unies ». Ceux là, étaient ceux qui avaient fermé leur porte et qui ont fui en entendant les détonations et les hurlements.
Ceux là marchaient …marchaient sans savoir ou aller. Mais ceux là ne pensez pas survie. Ils pensaient ONU.
Les radios ? On est plus dans la survie là. On est dans la structure militaire même non officielle. Les téléphone portable peuvent servir et ils ont servi tant qu’ils le pouvaient. Après, il faut s’adapter. Etablir un protocole de communication. Nous n’allons pas tout détailler ici ? D’accord ? En privé ?
Tout a fait d’accord concernant la sécurité et la protection périmètrique. Impec !
Par contre, je laisse aux militaires d’active les règles d’engagements de type « on vous tire dessus, vous répliquez ». Là, je parle d’une situation de survie. Les règles sont raccourcies.
Concernant une pandémie. Je n’en ai pas la moindre idée. Quoi que, l’expansion de l’islam peut-il être une pandémie ?
J’appliquerai alors les mêmes principes. Mais sans un cas de figure concret, un vrai scénario, on reste dans le vague. On reste dans les « principes ».
Les règles d’engagements ? Répondre de ses actes ? Nous parlons de survie et il faudrait penser tribunal ?
Nous ne sommes pas sur le même sujet.
Et je tairais les situations « complexes » ayant eut lieu avec des réponses peur protocolaires. Pourvu qu’elles aboutissent à garder en vie.
Faites vous voler UNE tomate en situation de survie sans rien dire. Le lendemain vous êtes mort !… Et les tomates ont toutes disparues. Tu avais bien commencé pourtant.
Les techniques de survie ont été « théorisées » …c’est ce que j’écrivais.
Aujourd’hui, il y a une vague de survivalistes.
mais comme l’écrivais très succinctement burban, il faut revenir à l’age de pierre le plus possible. Totalement n’est pas faisable mais s’en approcher est le principe de survie. Discrétion, furtivité et légèreté.
Il n’était pas question dans ce texte de riposte, mais de survie. Les ReTex (Retour d’Expérience) ont apporté beaucoup en matière d’informations.
Les théories sont toutes agréables et réconfortantes. Mais la survie est la capacité de l’individu à s’adapter.
On ne pense plus lois, feux rouges et sens interdits. On pense déplacements, pour ou, comment en combien de temps ?
Je l’ai écrit dans mon texte. Tenir un siège est envisageable à condition que vous savez que l’armée n’est pas loin. Rester revient à vous laisser attraper. et ça, c’est du vu, revu et revu et du vécu. Et y en marre.
Faut sois être en nombre et constituer une force de défense. Soit tailler la route pour protéger ceux que l’on peut. CEUX que l’on peut.
Ca, c’est de la survie.
Pardon pour les fautes frappes.
ça serait pas plus simple d’utiliser la bombe atomique chez eux avant de nous laisser faire ????et de foutre dehors cette merde qui est déjà chez nous ,
pour les armes peut être du coté de Marseille !!!!!!
bonjour!
en ma qualité d infirmière en retraite j aurais d autres priorités pour les soins. non nos médicaments ne périment pas aussi vite que vous le dites. un excès de protéines(viande séchée) occasionnent des crises de goutte effroyables et on ne peut poser le pied par terre tellement c’est douloureux ce qui va être commode pour marcher afin de fuir!!!! il y a un « tout petit détail » qui vous échappe.Pour les personnes non « équipes James bond » qui va nous fournir une arme alors que la vente dans notre maudit pays en est prohibée????? C’ est elle qui en premier lieu et devant un agresseur peut nous sauver la vie et non un morceau de bacon!!
nous avons dans nos services des urgences un foule d expériences acquises suites à des violences et dans tous les cas ce qu l on voit est effrayant. Maintenant imaginez que vous viviez avec votre mère qui a une arthrose importante ne lui permettant pas de marcher longtemps et si elle le fait c est très lentement . Quelle serait sa chance de survie,??? vous voyez la solution idéale n’existe pas ! vous ne pouvez parer à tout. par contre ce que les français auraient du faire depuis longtemps c’est de bien voter !! nous n’en serions pas là… cordialement.
La goutte ??? RIDICULE !!!
Mais je connais les formations d’infirmières, je ne suis pas surpris. La goutte apparait avec d’autres facteurs non pris en compte dans votre réaction épidermique et corporatiste et cela s’appelle une analyse tronquée. Mais la médecine généraliste en France, n’y connais rien en nutrition.Ils ont 4 à 5 heures de formation en nutrition.(admis par les généralistes) . Nous avons une réaction corporatiste …larguée.
Il n’y a aucun équipement « James Bond » ou alors, vous ne comprenez pas. C’est du matériel « DECATHLON » Connaissez-vous ? Ou alors Decathlon est fournisseur de sa Majestée.
Donc, selon les Pygmées de la tribu Bakaa avec laquelle j’ai évolué, selon les expériences militaires Internationales et les techniques de survie reconnues par les spécialistes de la question. ALLEZ Y ! Viande séchée , poisson, tout ce que pourrez trouver sur votre route. Vous marcherez même mieux. J’ai travaillé avec des biologistes et des spécialistes de la nutrition pendant des années. Ils sont eux mêmes moqués par des non spécialistes de la question. Voyez le docteur Henri Joyeux. En France, quand on sort des sentiers battus, on devient un hérétique. Notre corps est adapté depuis l’ère paléolithique. Nous étions alors cueilleur, chasseur et pêcheur.
Alors, Cromby M, poursuivez vos recherches en la matière. Cherchez non pas ce que vous voulez trouver, mais cherchez plus loin. Vous verrez que vos connaissances en la matière sont devenues obsolètes.
Si des lecteurs ont des questions en survie, qu’ils n’hésites pas, je répondrais à toutes.
C’est même assez navrant ce type de réaction.
Cela peut polluer la vision de certains au départ dubitatif .
Des personnes consultent ce site et ne savent pas lire un texte. Ou alors, ils n’en ont pas envie des le départ.
J’ai écrit dans mon texte qu’il n’y avait pas qu’UNE SEULE METHODE DE SURVIE et je constate que M Cromby croit que j’ai écrit que j’avais la solution idéale.
Pour trouver une arme , il y a deux façons. La légale et l’illégale. Pour la légale, dans RR, il y a déjà eu des colonnes sur ce sujet. Pour l’illégale, débrouillez vous.
Quand à avoir un agresseur en face de vous, je suis certainement mieux placé que vous pour en parler. Il a bien fallu faire ce qu’il fallait pour rentrer chez moi. Une arme à feu semble idéale. Mais le munitions s’épuisent vite. Un couteau est très bien, mais il faut aller au contact de l’ennemi. Pas évident pour tous le monde. Il faut s’adapter et c’est cela que j’ai écrit.
J’ai fréquenté des zones sur cette terre peu recommandable. J’ai déjà été blessé en opération et j’ai pu guérir rapidement grâce à des conseils que vous estimeriez « hérétique » mais moi au moins, je suis rentré vivant et sans séquelles physique.
L’arthrose se soigne naturellement. J’ai fait disparaitre la mienne en moins d’un an. Mais vous les médecins et infirmiers généralistes êtes dans « le tout médicaments » dans le chimique.
Je ne laisserai pas les lecteurs de RR dans le doute.
En survie, on doit s’adapter. Vous n’en avez aucune expérience. Si ma mère devait boiter pour marcher et vivre, sachez qu’elle boiterait volontiers.
Mais faites comme vous semble. restez chez vous
En Allemagne on prend des dispositions pour des stocks d’eau potable et d’aliments et en France on invite le bon peuple à faire des provisions de bougies pour répondre aux attentats prévisibles. C’est une grande spécialité française que le monde nous envie. Avec les marches blanches autre spécialité bien de chez nous….
Je suis ancien militaire de carriere et reside en Allemagne.
La presse allemande se pose des questions a propos des recommandations
du gouvernement federal.Elle ne pense pas dans ses hypotheses a une attaque
terroriste mais a une possible guerre avec la Russie,que les neocons aux Etats-Unis cherchent par tous les moyens ou a un enorme crash financier,qui
est de plus en plus inevitable.
Merci Bernard pour ces précisions ; de ce fait des stocks de 10 jours sont tout à fait insuffisants de toutes manières…
bel article très instructif et brûlant de réalité , nous vivons une période terriblement stressante et dangereuse et malheureusement de grand malheurs vont arrivés probablement très vite
Pierres à feu De la corde (type paracorde). Des cachets de MicroPur
1 Paille de survie (désinfecte l’eau immédiatement aspirée)
Un pistolet de combat (15/17 coups) et munitions standard si plusieurs armes de poing. Ou à défaut, n’importe quelle autre arme.
…………et où peut-on acheter tout ça? l’achat d’une arme est-il soumis à autorisation???
merci.
CATALOGUE USMC
Bonjour.
Pierre à feu et paracorde = Décathlon ou sites survivaliste via Internet. Pas cher et très pratique.
Idem pour la paille de survie.
Les cachets de micropur se trouve via les sites survivaliste ou en pharmacie. Sinon, faire bouillir de l’eau et récupérer les vapeurs. Ou encore, quelques goutes de Javel (3 à 4) par litre d’eau.
Concernant l’arme de poing. Là c’est plus délicat. Idéalement, il faut être titulaire d’une licence de tir sportif ou d’un permis de chasse.
D’ici à ce que le gouvernement nous confisque nos armes, faudra « se débrouiller ».
Cette situation en passe de devenir dramatique nous la devons au droit du sol, au regroupement familial, aux aides considérables en tous genre accordés aux nouveaux venus (au détriment des autochtones) avec une natalité explosive à charge du pays d’accueil, à l’immigration massive imposée (quelle belle démocratie !) à l’immigration invasion acceptée et encouragée etc. Nos responsables nous ont bel et bien abusés, trompés, asservis, détruits. Le cauchemar ne fait que commencer. La seule solution possible est-elle de quitter au plus vite l’Eurabia ? comme les protagonistes de cette love story « les corps indécents » ? Quel grand malheur quand on pense que nos ancêtres ont payé de leur vie (guerre de 14-18 surtout) pour que nous soyons libres !