Najat Vallaud-Belkacem face au terrorisme: cynisme ou impuissance ?
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Myriam, Gabriel et Arieh. Ces trois prénoms auraient dû suffire à faire comprendre, ce 19 mars 2012, que cette barbarie là, pas plus que les autres n’épargnerait les enfants. Mais c’était une autre époque, celle des « loups solitaires », des « déséquilibrés ». Bientôt allait venir le temps des « Oui, mais… » pour Charlie et des « pas d’amalgame ». Joyau du dispositif terranoviste du Président normal, Najat Vallaud-Belkacem chanterait les joies du « vivre-ensemble » et minimiserait les minutes de silence bafouées.
Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut voir. François Hollande a donc laissé s’épanouir l’ambigüité d’une ministre dont les propos et les actions étaient avant tout calibrés pour servir ses ambitions personnelles. De la com’, des sourires et du vent. Beaucoup de légèreté dans un climat de plomb.
Aujourd’hui, si près de la rentrée scolaire, à l’heure où nul de peut nier que les écoles constituent des cibles, où en est-on ? La réponse se résume en une phrase, prononcée par la ministre dans l’interview publiée par ParisNormandie.fr le 1er août : « Nous n’avons pas attendu les attentats pour agir : réarmer l’école, c’est y mettre des professeurs et des professeurs formés ». Un aveu d’impuissance. Un cynisme écœurant. (Note de Christine Tasin : je reviendrai dans la journée sur cette scandaleuse interview de Belkacem parue dans Paris Normandie)
La femme qui ne voulait pas savoir
Dans les cabinets feutrés où Madame la ministre tourne les vidéos dont elle abreuve ses troupes, arborant son éternel sourire formaté de speakerine, on s’est donné beaucoup de mal. Car dans le domaine de la recherche d’un responsable pour ne pas se sentir coupable, on excelle dans ces officines.
Dès le 25 novembre 2015 la circulaire n°2015-206 sortait, plaçant une fois de plus les directeurs, éternels lampistes, seuls et sans moyens en première ligne du dispositif. J’encourage chacun de vous à la lire et à poser les cinq questions suivantes par l’intermédiaire de leurs délégués de parents au directeur de l’école de leur enfant :
1) Existe-t-il dans l’établissement une salle permettant un confinement en cas de tempête ou d’attaque terroriste, c’est-à-dire sans aucune fenêtre ou équipée de volets solides et de portes fermant à clef ?
2) Dispose-t-on du personnel suffisant pour assurer une surveillance à l’entrée sur les temps scolaires mais aussi périscolaires ?
3) Le directeur dispose-t-il d’un téléphone portable de fonction lui permettant d’être joignable à tout moment en classe par les autorités?
4) Le directeur a-t-il pu rencontrer des membres de la police ou de la gendarmerie afin de « mettre en place le dispositif de vigilance accrue » demandé par la circulaire ?
5) Combien y a-t-il d’enseignants ayant une formation aux gestes de premiers secours de moins de cinq ans?
Vous risquez fort de découvrir que nos écoles sont angéliquement ouvertes sur l’extérieur au nom du « vivre ensemble » et de l’architecture moderne. Que la sécurité de nos enfants repose sur l’investissement personnel des équipes qui compensent l’absence d’équipement par la mise à disposition de leur téléphone personnel. Que les forces de l’ordre n’ont pas voulu ou pu se déplacer malgré l’appel du directeur et même, peut-être, qu’en conseil d’école, les élus ont balayé d’un « ici, on ne risque rien » moqueur les demandes d’aide et d’équipements. Et lorsque vous saurez, qu’en plus, l’essentiel des formations de l’année scolaire 2015-2016 a porté sur les nouveaux programmes ou rythmes scolaires et non sur les gestes qui sauvent ou la gestion de situation de crise, vous serez atterrés.
Y a-t-il urgence à ne rien savoir?
Peu importe, aucune évaluation de la mise en place du dispositif n’a été prévue par le ministère, car il y a urgence à ne rien savoir. Il sera bien temps de dire que l’on ne nous avait rien dit en cas de problème. Le goût pour l’écrêtage de vagues des inspecteurs et l’autocensure des enseignants sur ce sujet sensible devrait éviter toute remontée d’informations salissantes.
Alors que faire ? Il y a peu à attendre de Najat Vallaud-Belkacem : elle sent proche la fin de Sardanapale et redoute le sort des favorites. Sur ce délicat sujet, son silence sera du même souffle que celui face au salafiste Idriss Sihamedi sur Canal +. Il convient d’être prudente si l’on veut pouvoir trouver refuge dans quelque circonscription assise sur un vote communautariste. Il n’y a pas plus à espérer d’un François Hollande qui est de cette gauche embarquée dans le tramway nommé Désir des années Mitterrand et s’est construit en opposition à un père sympathisant de l’O.A.S..
Il appartient donc à chacun d’utiliser son pouvoir de citoyen auprès des élus locaux, des députés et des inspections académiques pour que la sécurité soit une action pragmatique de terrain et non des directives inapplicables d’officines. Aujourd’hui, il est bien plus urgent d’équiper les directeurs de téléphones portables que d’offrir aux élèves des tablettes. Il doit être prioritaire de former systématiquement les enseignants aux gestes de premiers secours au lieu de leur faire subir un formatage idéologique à la gloire de réformes désavouées par les français. Il est essentiel d’exiger que des travaux de sécurisation des locaux scolaires soient entrepris.
Les loups sont déjà dans la bergerie. N’attendons pas passivement que les agneaux soient leurs prochaines proies.
http://www.causeur.fr/najat-vallaud-belkacem-ecole-terrorisme-39544.html
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Hahaha Najat et ses grandes envolées lyriques… Dans mon école, le plan anti-intrusion se résume à un sifflet : si on voit quelqu’un sauter la clôture, on doit donner des grands coups de sifflet pour avertir les collègues (ou pour vriller les tympans de l’agresseur va savoir…) mais pas verrouiller les portes parce qu’il n’y a toujours de serrure sur les portes…
Bonjour,
Normal !
Les néo-dirgeants de l’Education Nationale refusent que l’Ecole soit « un sanctuaire » (sic).
Ce qu’elle avait toujours été.
On voit, chaque jour, les conséquences abominables de l’abandon de la conception ancienne.
Les enfants doivent apprendre le Français et la culture française !
Objet ; La virgule est-elle utile ?
C’est une nouvelle institutrice toute jeune qui débarque dans sa première école.
Par malheur pour elle, la Belkacem, actuelle ministre de l’éducation nationale, est de sortie dans cette école.
Voulant voir les capacités de cette petite jeune, elle demanda à assister à son premier cours, lequel justement portait sur le bon usage de la virgule.
Sonne l’heure de la récré. Les enfants sortent en piaillant, la ministre s’approche de l’instit.
“C’est bien, dit-elle, avec son sourire mielleux. Mais….”.
Il y avait un “mais”. La ministre avait trouvé qu’une demi-heure sur la seule petite virgule, c’était un peu long.
Surtout que, dans sa tête, elle préparait déjà le nouveau français pour les cancres.
“Mais, Madame la Ministre, c’est quelque chose de fondamental, la ponctuation, se défendit l’enseignante.
Tenez, allez au tableau et écrivez…”.
Et elle fait écrire à la Belkacem les deux phrases suivantes :
1 – La Ministre dit, l’institutrice est une imbécile.
2 – La Ministre, dit l’institutrice, est une imbécile.
Alors ! Sans importance la virgule ?
Le vrai problème c’est surtout et encore l’enseignement de l’arabe à l’école. Ce serait anormal dans un autre pays, mais en France aujourd’hui c’est tout simplement criminel. Pour ma part, j’ai une formation d’historien, et je suis titulaire d’un Bac +4 à la Sorbonne, obtenu il y a 20 ans. Je vous dis ça, car il y a bien longtemps un livre est paru en 1946, écrit par Marc Bloch qui s’appelait « l’étrange défaite ». Ce dernier analysait les raisons de la catastrophe de mai 40 et de notre défaite contre l’Allemagne. Cet historien en arrivait à la conclusion que la défaite n’avait été possible que par une trahison des élites. Ces élites préféraient en effet à l’époque, Hitler plutôt que le Front Populaire et le PCF. Aujourd’hui c’est la même chose, on préfère les migrants et l’islam plutôt que le FN ou Mme Tasin. Ainsi, les causes produisant les mêmes effets, nous risquons de vivre dans les mois ou années qui viennent une chute de la France et de ses institutions, parce qu’il ne faut pas se leurrer, un régime militaire serait quand même une victoire des islamistes qui se glorifieront d’avoir fait tomber la démocratie française. Donc, la clique au pouvoir en France est tout simplement une bande de traîtres à leur pays, qui feront tout pour accueillir au mieux, l’armée d’occupation tiers-mondiste et comme en 40, chaque village français aura sa mosquée, comme avant sa Kommandantur. Ils ont fait le choix de l’étranger et de l’islam contre la France, pour conserver leur place et uniquement pour cette raison. C’est ainsi et nous n’y pouvons rien. Et malheureusement peu de gens veulent voir cette réalité.
Tout à fait d’accord avec votre analyse et celle de Bloch mais pas avec votre conclusion, nous pouvons y faire quelque chose, si nous votons autrement, si nous agissons et pesons, si nous nous révoltons
A la rentrée prochaine, le fils de ma bonne voisine intègrera l’Université. Ma voisine se fait beaucoup de souci car elle sait qu’aucun système de sécurité ne protège l’entrée de l’Université, des salles de cours… Je l’incite à écrire au directeur pour demander l’installation de portiques pour sécuriser un minimum. Gouverner c’est prévoir. Et j’ai bien peur, oui peur, que nos jeunes soient la prochaine cible d’Allah…
Parents, unissez vous pour exiger des entrées sécurisées, des cours d’écoles fermées… Déjà, cela devrait être fait depuis longtemps étant donné que des dealeurs n’hésitent pas à venir tenter nos jeunes pratiquement dans les écoles. Désormais, la menace est terrible. Il faut changer l’organisation des établissements avant qu’il ne soit trop tard.
Désolée si je fais peur aux parents mais c’est au sentiment de crainte que nos ancêtres ont survécu à beaucoup de dangers !
non Olivia c’est vous qui avez raison il va falloir au contraire intensifier à la fin du mois la campagne d’avertissement aux parents
Vous avez raison Olivia Blanche, notamment en période d’examen avec des centaines d’étudiants dans des amphithéâtres dont ils ne pourraient pas s’échapper en cas d’attentat du type Bataclan (commando) et on entre dans beaucoup si ce n’est toutes les universités comme dans un moulin.
On se demande parfois si on est vraiment en guerre…
Les écoles forment à l’évidence des cibles de choix pour des actions de terreur absolument effroyables , dont les répercussions psychologiques et médiatiques seront colossales
Je ne vais pas ici m’étendre sur le cas de Belkacem, qui probablement en cas de fiasco de bidochon, sera probablement tentée de se recaser au palais bourbon, moyennant un fort soutien électoral , d’une de ces communes de banlieue , ou le fond de commerce mahométan est considérable
Toutefois il est prévisible que le ou les terroristes , ne s’en prendront qu’aux élèves français de souche, en épargnant les enfants ouvertement communautarisés, consacrant radicalement le concept de génocide ethnique, à vocation de pure haine raciale
Les trés malheureux parents des innocentes petites victimes bien franchouillardes , en sortiront ils de leur torpeur irénique, pour abandonner bougies et autres gerbes de fleurs dont le DAECH se moque, pour enfin entrer dans une sainte fureur les amenant à reconsidérer leur vision des mahométans, ? La question reste ouverte !
On me parle de téléphone portable de service ? de formation de premiers secours ? mais ici je m’empresse de signaler le caractére exagérément dérisoire de ces « mesurettes » en cas d’attaque à l’arme automatique ( comme dans le cas de Merah ) , ou la violence de l’attaque confirmera l’impuissance tragique des équipes scolaires d’encadrement, qui fatalement mourront en compagnie d’innombrables enfants !
A mes yeux , l’unique mesure un tant soit peu efficace , serait la constitution d’un local , transformé en blockhaus, ou les enseignants pourraient tenter de rassembler le maximum d’enfants , dés les premiers coups de feu tirés dans une autre partie de l’établissement . A condition de prévoir un local en sous sol , sans fenêtre et avec une porte blindée à l’épreuve des balles ! faute de quoi , la protection sera …ILLUSOIRE !
Un autre facteur permettant de limiter le nombre de petites victimes , est la volonté des tueurs professionnels à éventuellement épargner les enfants d’origine alogéne , les obligeant à opérer une sélection peut être nécessitant quand même du temps , donnant ainsi l’opportunité au reste de l’établissement d’être averti et de s’enfuir au plus loin , tout en reconnaissant honnêtement tout le caractère aléatoire de l’hypothèse ici formulée par moi !
Et pas plus de renfort pour le jour de la rentrée où tous les gosses seront amassés devant les établissements…
Déjà il ne faut pas ouvrir les portes à l.’islam dans les écoles.les enfants doivent apprendre le français et la culture française .perso si mes enfants
Étaient en age d’aller à l’école je l’ai retirerai de l’école publique pas de langue arabe
Dans les écoles c’est une honte.
Si j’avais des gosses, je les mettrais en pension à l’étranger mais certainement pas dans l’éducation nationale ni chez les curés dhimmis ( enseignement privé sous contrat).Je les mettrais en Pologne ou en Hongrie. Je préfère qu’ils apprennent le polonais ou le hongrois plutôt que l’arabe.
Quand je vois un » ministre » comme ça je me demande pourquoi je ne suis pas président du F M I .
Parceque c’est Christine qui a Lagarde de ce poste 😉