On hallucine, carrément. Un très long article de l’obs, qui donne largement la place aux parents qui regimbent à juste titre, qui utilisent de bons arguments dans leur révolte… Enfin presque.
Parce que la langue de bois à ce point, ça dépasse l’imagination. et ne parlons ni des directeurs et animateurs du Centre aéré qui s’emmêlent les pinceaux dans des explications à la mords-moi le noeud pour éviter le sujet qui fâche.
Pas un mot sur le fait que seul l’islam est responsable de cela. Il est évident que les gamins de 10 à 12 ans susceptibles de faire des remarques -ou pire – à une gamine de 4 ans dont on voit la culotte ce n’est pas les nôtres.
Dans quel monde voile-t-on les fillettes, parfois même avant qu’elles sachent marcher ?
Dans quel monde apprend-on aux garçons dès la plus petite enfance que la femme doit être cachée dans des sacs poubelle ?
Dans quel monde les Ministres acceptent-ils d’inaugurer des mosquées avec des fillettes voilées à leurs côtés ?
Contrairement aux apparences, la France n’est pas -encore- un pays musulman et donc les pratiques ci-dessus évoquées ne font pas partie de notre culture, de notre civilisation, et nos gosses de 12 ans ne considèrent pas une gamine de 4 ans comme une salope qui devrait être ou enfermée ou violée.
On aurait pu sussurer à la directrice du centre que le moindre comportement déplacé, la moindre remarque aurait dû assurer à leur auteur l’exclusion immédiate du Centre, sans autre forme de procès. Et donc que le petit mot distribué aux parents aurait dû non pas parler de short mais des règles en vigueur dans le centre.
Règles, règles, je sais, je parle de règles, dans un endroit où on cause, on fait du débriefing, on explique, on comprend, on pardonne, et on demande aux fillettes de 4 ans d’éviter de provoquer les pulsions sexuelles ou agressives du mâle dominant…
Enfin, comme il n’est pas trop tard pour bien faire, on peut, courtoisement, rappeler à la Directrice du Centre qu’elle a le droit et même le devoir d’exclure les éléments pas éduqués, pas élevés, qui mettent en danger les autres.
29, rue Pontgivart
51100 REIMS
Tel : 03.26.40.54.82
Fax : 03.26.88.58.77
troispiliers@maisondequartier-reims.fr
Quant à l’Obs qui se fend d’un des titres les plus ridicules et les plus faux-culs de son histoire, sexisme ou maladresse… no comment. C’est l’Obs, organe dégénéré d’un pouvoir dégénéré.
Ils demandent aux fillettes de porter un short sous la jupe : sexisme ou maladresse ?
Un centre de loisirs demande de mettre « un short sous la jupe » de leur fille de 4 ans pour éviter « des situations complexes à gérer ». Les parents s’indignent.
En fin d’après-midi, lundi 18 juillet, Alice et son mari viennent récupérer leur petite fille de quatre ans au centre de loisirs des Trois Piliers, à Reims. Sans commentaire, un animateur leur remet un mot qu’ils glissent dans le cartable de leur fille avant de partir. Une fois à la maison, les parents découvrent son contenu. Le programme du séjour, et puis cette instruction qui détonne :
« Nous vous demandons de mettre soit des shorts, pantalons ou de mettre un short sous la jupe de votre fille car dans le groupe des plus de 6 ans notamment cela permettra à votre enfant déjà d’avoir une meilleure mobilité pour les activités et sachez que nous avons des enfants de 10 à 12 ans qui peuvent avoir un comportement déplacé avec une petite fille dont la jupe se soulèverait. Nous voulons juste éviter des situations complexes à gérer. »
Le mot donné aux parents lundi 18 juillet (photo par Alice N.)
Dans l’émotion, Alice publie un message sur sa page Facebook.
La publication Facebook d’Alice a été partagée des milliers de fois sur Twitter (Capture d’écran)
Jointe par « l’Obs », elle explique :
« En voyant ce mot, j’étais très en colère. La responsabilité était déplacée du côté des petites filles qui portent des jupes. Je comprends que le rôle de l’animateur n’est pas d’éduquer les enfants mais il peut dire ‘non’ à un garçon s’il embête une fille parce qu’elle a une jupe. Lui expliquer qu’il ne faut pas soulever la jupe d’une fillette ou l’embêter à cause de cela. »
La publication sur Facebook était destinée « aux proches seulement ». Mais elle a été récupérée par une tierce-personne à l’insu d’Alice, et a été partagée sur Twitter plus de 4.300 fois. « Ce message a pris des proportions qui m’ont dépassée », confie la mère.
Jouer en toute tranquillité
Après avoir pris le temps de la réflexion, les parents ont décidé de joindre la direction de la maison de quartier des Trois Piliers pour faire part de leur surprise à la réception du mot. Dans leur mail, que « l’Obs » a pu consulter, ils argumentent : « Si cela s’entend tout à fait pour le confort de notre enfant lors d’activités sportives, en revanche nous sommes bien plus contrariés à l’idée que cela soit pour éviter des ‘comportements déplacés’ dont il est fait mention. » Les parents poursuivent :
« Si comportements déplacés il y a, ce n’est pas à notre fille d’en porter la responsabilité au travers de sa tenue. […] Nous estimons qu’une petite fille de 4 ans dont la jupe se soulève est simplement une petite fille qui vit sa vie avec les aléas du vent, des objets qui l’entourent, et que ça n’est pas pour autant que des comportements ou des remarques déplacées doivent avoir lieu. »
Tout en prenant soin de ne pas charger les animateurs, ils suggèrent : « Signaler aux enfants ayant un comportement déplacé que c’est inapproprié nous semble faisable pour l’équipe. Et pourquoi pas faire passer un mot aux parents afin de s’assurer que leurs enfants n’aient pas de comportement déplacé, jupe ou non ? »
Un malentendu ?
Pas de doute sur le fait que le centre de loisir a voulu bien faire. Mais la réponse du centre de loisir déconcerte Alice : « La direction se disait désolée qu’on ait pu mal comprendre, et expliquait que le seul but était le confort des enfants, notamment dans les activités. Elle ne répondait pas du tout sur le fond de la question, à savoir qui doit se protéger de quoi et comment. »
Jointe par « l’Obs », la directrice générale des maisons de quartier de Reims, Noëlle Harmand s’étonne de l’ampleur qu’a pris l’affaire.
« Nos centres de loisirs accueillent des filles et des garçons, certains entre 11 et 12 ans. Les animateurs ont repéré que les enfants pouvaient avoir des réflexions envers les fillettes. Un travail éducatif a d’abord été fait avec les enfants pour rappeler les notions de respect mutuel. La directrice du centre a ensuite pris l’initiative de ce mot. »
Interrogée sur le manque d’explications autour de cette lettre, la directrice générale répond :
« Je comprends que le mot ait pu être mal interprété. Il n’y a eu aucun geste déplacé entre les enfants, nous avons voulu anticiper. Le but n’était pas du tout de demander aux fillettes de se cacher, il s’agissait avant tout d’éviter tout malaise et d’assurer le confort lors des activités extérieures. Il est hors de questions qu’on remette des pantalons à toutes les filles, nous sommes sensibles à la question d’égalité.«
Un forum éducatif quotidien
Noëlle Harmand précise par ailleurs que les animateurs des centres de loisirs de la ville organisent quotidiennement ce qu’ils appellent un « forum » avec les enfants. En fin de journée, tous se réunissent pour faire le bilan de la journée. « Ce sont leurs vacances avant tout, donc les animateurs écoutent leurs remarques sur les activités », explique la directrice. « Mais le but est également de prendre le temps de revenir sur les valeurs des règles de vie en communauté, du respect, etc. Selon les jours, les thèmes varient, s’il y a eu des bagarres ou des bêtises par exemple », poursuit-elle.
Le thème du respect entre les enfants, notamment envers les filles a été évoqué, assure-t-elle :
« Les animateurs ont expliqué aux enfants qu’ils ne devaient pas embêter les filles parce que leur jupe se soulevait avec le vent par exemple. C’est intéressant de pouvoir ouvrir le débat avec les enfants sur le regard qu’ils se portent entre eux. »
Quant au mot, la directrice des différents centres convient qu’il était « un peu maladroit » et assure que la question sera rediscutée en interne. Noëlle Harmand précise que la lettre a été remise aux parents avec une explication et qu’ils ont semblé comprendre les intentions du centre. Et préfère mettre sur le compte des larges horaires pour récupérer les enfants, le fait qu’Alice et son mari n’aient pas reçu ces explications.
« Cette expérience nous servira pour le futur. Elle attirera l’attention sur la différence entre l’intention éducative et les mots que l’on emploie ». Et permettra peut-être d’éviter qu’une telle maladresse ne se reproduise.
Solène de Larquier
Complément de Alix
Je viens de faire un tour sur le twitter de cette maman (Alice), Elle a depuis publié un tweet où elle s’en prend à La manif pour tous, un tweet où elle explique que la jupe n’a rien à voir avec la religion et celui ci que j’ai copié/collé « les gens qui profitent de ma colère pour hurler à l’islamisation de la société : vous êtes de tristes âmes. »
Du grand classique de la France actuelle quoi
1 un post bien écrit qui dénonce une situation factuelle
2 on détourne sur un adversaire hypothétique, Moyen-Âge
3 l’islam c’est pas ça
4 vous qui n’aimez pas l’islam c’est de votre faute
Bref tout ça pour ça…
Note de Christine Tasin
Cela me rappelle la donzelle qui, attaquée parce qu’en short par quelques musulmanes a pris leur défense en disant elle aussi que cela n’avait rien à voir avec la religion.
Même les deux pieds dans la merde ils continuent à affirmer que ça sent la rose… tant pis pour eux.
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Bonjour
qui aurait cru que en France nous en serions à écouter ou à lire des âneries pareilles
des Bébés , qui attisent des gestes ou des convoitises c’est un monde de fous
d ailleurs une petite fille en burka ou en hijab en été c’est de la maltraitance il fait trop chaud ces enfants doivent souffrir là dessous ,
c’est grotesque et dangereux pour la santé
kénavo
J’enjoins mes compatriotes à faire de même dès que l’occasion nous est donnée d’écrire à un nuisible, politique, privé, qui s’adonne aux accommodements raisonnables ou la trahison de notre peuple et Nation.
Il faut être ferme et courtois, pas d’insultes, pas de menaces simplement montrer notre dégoût pour leurs actes. Nous ne sommes ni des terroristes, ni des voyous, mais des gens fermement décidés à œuvrer dans tous les domaines y compris politiques pour qu’ils mordent la poussière et quittent leurs postes.
Si nous les inondons de mails, ils verront que le vent tourne et que la France commence à sortir de sa léthargie et n’admettra plus jamais aucune compromission.
Voici ma lettre à la directrice du camps de vacances.
Madame la Directrice,
Je viens comme beaucoup de Français de prendre connaissance de vos consignes au sujet de la tenue vestimentaire des fillettes présentes dans votre centre.
Cela est tout simplement inadmissible et doit cesser.
Si de jeunes garçons considèrent déjà des fillettes comme des objets sexuels, c’est à vous d’être ferme et de sanctionner ces comportements d’un autre âge et d’une autre civilisation par un renvoi ferme et définitif.
Après les événements du 14 juillet, c’est aux Français d’être fermes et intransigeants sur nos valeurs et principes.
Il est hors de question que des individus déterminés à nous imposer leur mode de vie, accoutrement et religion continuent à être encouragés par des comportements inadmissibles d’accommodements raisonnables comme le vôtre.
Vous ne rendez pas service à votre Pays en pratiquant ainsi mais donnez des signaux clairs de faiblesse à ceux qui veulent nous imposer leurs lois.
Personnellement je ne suis pas client de votre centre car sans quoi j’aurais immédiatement retiré ma fille de votre établissement et porté plainte.
Je ne suis animé dans mon propos que par une seule chose, le respect de l’intégrité de mes compatriotes et mon amour du Pays.
Je pense que vous avez commis là une énorme maladresse, ne sachant pas comment réagir si une situation telle que décrite arrivait, mais il fallait réfléchir avant d’écrire et mesurer le signal de faiblesse que vous envoyez à ces sauvages qui considèrent une fillette comme un objet sexuel.
Vous souhaitant une bonne saison et un bel été à vous et aux enfants, je voulais simplement vous faire part de mon mécontentement.
Très cordialement
la directrice anticipe !!! ne serait elle pas un peu raciste en pensant que les enfants muzz sont des pervers ou bien cette excuse bidon pour rattraper le coup pour cacher la vérité et que ces gosses d’une autre culture suivent l’exemple de leurs parents, o nous prend pour des cons et cette mère est une lobotomisée dhimmi.qui dans quelques années verra sa fille en burqa.
Oulala !!!! Regardez bien sur une des photos, on voit cazevide poser ses mains sur les épaules d’une petite fille voilée….. Je crois qu’il est très tenté, qu’il va succomber……Finalement, vu le temps qu’il passe dans les mosquée, il doit être musulman.
maintenant, faire du toboggan en jupe ou en short, ce n’est pas confortable! ça brûle les cuisses.
je suggère un bon collant de laine!
Prenons un peu de recul : nous sommes dans un pays qui s’islamise or dans les pays musulmans, les camps de vacance mixtes (garçons et filles) n’existent pas.
Ce qui signifie que les centres de vacances mixtes sont appelés à disparaître et cet épisode ne fait que traduire le mouvement qui s’amorce.
Ce qui est important, quand on en prend conscience, c’est d’identifier quel sera le prochain danger. Réfléchissons : dans cinq ans, vous placez votre enfant dans un centre de vacances non-mixte. Que faudra-t-il redouter ?
Mon pronostic c’est que le danger à venir sera celui d’un petit garçon (« souchien ») victime d’abus de la part des grands (« chances pour la France »).
Je viens de faire un tour sur le twitter de cette maman (Alice), Elle a depuis publié un tweet où elle s’en prend à La manif pour tous, un tweet où elle explique que la jupe n’a rien à voir avec la religion et celui ci que j’ai copié/collé « les gens qui profitent de ma colère pour hurler à l’islamisation de la société : vous êtes de tristes âmes. »
Du grand classique de la France actuelle quoi
1 un post bien écrit qui dénonce une situation factuelle
2 on détourne sur un adversaire hypothétique, Moyen-Âge
3 l’islam c’est pas ça
4 vous qui n’aimez pas l’islam c’est de votre faute
Bref tout ça pour ça
Merci Alix je viens d’ajouter votre remarque à l’article… sans commentaires naturellemen t
Bonjour Alix,
Si j’ai bien compris, cette note ou lettre est adressée à tous les parents? Alors pourquoi cette mère s’épanche sur les réseaux sociaux avec de telles informations si à la fin du compte elle est d’accord?
Encore une dinde qui défend thanksgiving et qui chéri les causes dont elle déplore les effets.
Bonne après-midi à vous
Dites-moi, le toboggan, c’est Haram ?
Rappelons à toutes fins utiles que ce fait se passe à Reims. Ville qui l’année dernière à la même époque a connu l’agression par une musulmane d’une jeune fille qu’elle jugeait trop légèrement vêtue… Le maire Arnaud Robinet, un Macron de droite, s’était fendu d’un communiqué appelant au « pas d’amalgame » et que l’agression n’avait pas de caractère religieux.
Je pense que cette directrice de centre social a dû subir des pressions de la part de parents musulmans, elle en a fait part à sa hiérarchie , qui lui a demandé de faire cette note aux parents.
Ceux-là ne tirent pas dans une salle de spectacle, ne se font pas exploser, ne foncent pas dans une foule avec un camion, non ceux-là sont les musulmans lambda ceux qui nous pourrissent au quotidien avec la complicité des pouvoirs en place.
encore une Dhimmis et traître à notre culture ! et en plus une femme !! quel honte .. C’est le début et ils essayent tout ces traîtres et traîtresse de faire porter la burqua à tout nos enfants !
Chère Christine,
Voici la copie du mail que je viens d’envoyer à Mme La directrice:
merci Laurence je publie dans la matinee
Non mais c’est de pire en pire.
je m’en vais écrire un mot des plus salé à cette dame. Et lui citer ma fille de 15 ans tout juste : Si à 10 ans tu as ce genre de comportement, c’est très grave. faut te faire soigner. Surtout si en plus tu te comporte comme le courrier le laisse supposer avec une petite fille de quatre ans!
Bon je vous laisse je vais aller engueuler ( litote) cette dame.
Il n’y a pas qu’une certaine partie de la population qui ont des gestes déplacés sur des fillettes. J’ai toujours connu des pré-ados aux hormones montantes qui essayaient de soulever les jupes.
On ne nous mettait pas des shorts pour ça! Dans les années 50, à la campagne, les filles ne portaient pas de short, même sous une jupe.
» …… pour éviter les comportements déplacés et les discriminations, la direction demande aux parents d’habiller leurs filles en burqa …….. »