Les massacres du Ramadan remontent aux premiers jours de la religion islamique

Rien de plus « ramadien » que le meurtre

Apprenez la vraie leçon du Ramadan

http://www.frontpagemag.com/fpm/263418/there-nothing-more-ramadan-y-murder-daniel-greenfield

8 juillet 2016 par Daniel Greenfield

Les musulmans, nous dit-on, sont troublés et consternés par les attaques terroristes jihadistes durant le Ramadan. Le Ramadan, ainsi qu’on nous le rabâche sans cesse, est une période de jeûne et de prière. Pas une période de meurtre.

La violence islamique pendant le Ramadan est aussi troublante que la pluie à Seattle (il pleut beaucoup à Seattle. Par analogie, Breton que je suis, je dirais «aussi troublante que la pluie en Bretagne »).

Le score des attaques du récent Ramadan de la religion de paix est de 1723. L’an dernier, il a presque atteint 3000. En 2014, il s’est approché de 2400. En 2013, le score n’était que de 1651. La violence islamique durant le Ramadan ne s’arrange donc pas, mais quand les attaques touchent des milliers de gens, doubler ce chiffre ne peut plus se définir comme uniquement troublant. C’est évidemment consternant, mais pas pour les musulmans qui rendent hommage à l’héritage de Mohamet. Et Mohamet massacrait des non-musulmans durant le Ramadan.

En fait, l’usage d’éviter de se battre pendant le Ramadan remonte aux Arabes préislamiques que Mohamet, soit massacrait, soit forçait à se convertir. Cet usage pourrait même avoir une origine chrétienne. Le Ramadan est souvent vu comme une appropriation du carême par les musulmans. L’intention de cette trêve et paix de Dieu était de se retenir de se battre durant la saison du carême. Alors que cela est postérieur à l’époque de Mohamet, ainsi en est-il des écritures islamiques.

Quelle que soit l’origine, ce sont les musulmans qui ont exploité les mois sacrés d’autres religions pour guerroyer entre eux. C’est encore la manière dont les musulmans continuent à pratiquer le Ramadan.

Mohamet était vite à court d’idées, mais il avait un grand appétit pour le massacre. La bataille de Badr a commencé quand un groupe de voleurs de la caravane de Mohamet a attaqué une caravane non-musulmane durant les « mois sacrés » que ses suivistes musulmans avaient appropriés.

À la fin de cette période, le Ramadan s’était couvert de sang et, dans le même style que ISIS de nos jours, le gang de jihadistes de Mohamet avait égorgé et décapité les hommes qui leur tombaient sous la main.

Comme la plupart des illettrés, Mohamet montrait une haine particulière envers les poètes et avait décapité un prisonnier qui avait écrit une poème se moquant de lui. Des scènes typiques des répercussions de la bataille de Badr étaient du même acabit que ce que nous voyons dans les vidéos de ISIS. « Je lui ai alors coupé la tête et l’ai montrée en disant : ‘Voici la tête de l’ennemi d’Allah, Abu Jahl.’… J’ai ensuite jeté sa tête et ai rendu grâces à Allah ».

Les corps de ceux qui avaient été tués durant la période « sacrée » étaient jetés dans un puits pendant que Mohamet se moquait des victimes. Si la tuerie de non-musulmans durant le Ramadan est le fait d’un comportement radical ou extrémiste, alors le fondateur de l’islam est un extrémiste radical.

L’objectif de la bataille de Badr déclenchée par Mohamet était le nettoyage ethnique des juifs, pratique raciste qui se manifeste encore de nos jours avec les attaques terroristes contre Israël. L’une des guerres islamiques caractéristiques du Ramadan fut la guerre du Kippour (octobre 1973) que les armées islamiques, avec un mépris typique pour les fêtes non-musulmanes et une grande vénérations pour leurs propres fêtes, avaient programmée pendant le jour le plus sacré du calendrier juif et qu’ils avaient dénommée « Opération Badr », en souvenir de la guerre initiale du Ramadan.

Le début de la conquête de l’Espagne par les musulmans s’est faite pendant le Ramadan. Les envahisseurs étaient exhortés par des promesses de « ravissantes jeunes filles grecques » dont ils seraient les maîtres. Les toutes dernières violences islamiques ne déparent pas la tradition théologique musulmane. Cela n’a rien de troublant pour quiconque connaît l’histoire de l’islam.

C’est pourquoi les musulmans s’hérissent constamment pendant le Ramadan.

On nous a également dit que les musulmans ont été particulièrement consternés par la récente attaque près de la mosquée du prophète à Médine. Quel genre de musulmans prendrait pour cibles ses propres lieux saints ? Eh bien, les Saoudiens pour commencer. Le wahhabisme s’est fait une pratique spéciale de détruire des tombeaux et sépultures islamiques de toutes sortes. C’est une pratique que les Saoudiens continuent à suivre de nos jours. Quand ISIS ou d’autres groupes comme Al Qaeda profanent des sépultures, ils ne font que suivre une habitude de nos alliés modérés Saoudiens.

La mosquée du prophète a été initialement prise pour cible par les wahhabistes qui l’avaient pillée, prenant l’or et les bijoux. Ils ne l’ont pas détruite et les Saoudiens l’ont même agrandie, mais l’attaque révèle une pratique islamique agressivement mise en place par les Saoudiens. Ces derniers n’étaient pas les victimes de l’attaque ; il l’avaient inspirée.

ISIS ne fait que marcher dans les pas de Mohamet, recréant quelques unes des plus vieilles atrocités du wahhabisme. Rien d’autre qu’un autre cas d’une révolution dévorant ses propres enfants.

Les médias dénaturent sans cesse la violence islamique comme sans précédent, troublante et peu ordinaire. C’est complètement faux. Les massacres du Ramadan remontent aux premiers jours de la religion islamique. ISIS et Al Qaeda n’ont pas inventé un « mois de conquête ». C’est l’islam qui l’a fait.

Les massacres du Ramadan, qu’il s’agisse du bar gay d’Orlando ou de la boulangerie du  Bangladesh, où les terroristes musulmans ont séparé les musulmans des non-musulmans, ont fait les employés de la boulangerie leur préparer un repas de façon à ce qu’ils puissent manger avant la fête du Ramadan, n’étaient pas non-islamiques ; ils étaient l’islam classique.

La vérité toute simple à propos de l’islam est qu’il est né dans le péché. Et il ne l’a jamais quitté. Les réformes de l’islam ne font que le rendre plus violent. Le wahhabisme est l’exemple typique de ce qu’une réforme de l’islam en fait pour vouloir l’aligner avec ses valeurs d’origine. L’ISIS n’en est qu’un meilleur exemple.

La violence particulièrement critique de Mohamet pendant le Ramadan était justifiée, comme d’habitude, par une révélation bien commode d’Allah, qui avait admis que de se battre pendant le « mois sacré » était un grand péché, mais que de ne pas suivre la divinité patronne de Mohamet était un péché encore plus grand.

Ces musulmans qui pourraient avoir des doutes quant à partir en guerre pendant le « mois sacré » se sont vu dire que « le combat vous a été prescrit alors qu’il vous est désagréable. Or, il se peut que vous ayez de l’aversion pour une chose alors qu’elle vous est un bien. Et il se peut que vous aimiez une chose alors qu’elle vous est mauvaise. C’est Allah qui sait, alors que vous ne savez pas ». (C’est la Sourate 2:216 du Coran)

Cette règle tient toujours aujourd’hui.

L’islam n’est pas juste une religion de violence, mais de convenance. Tout et n’importe quoi peut être justifié par le besoin d’atteindre les objectifs islamiques par la violence. Cet état d’esprit mène à tuer quelques musulmans, mais cela ne le rend pas non-islamique. C’est plutôt la violence inhérente au culte de la force par l’islam.

Tout enseignement, toute valeur et toute pratique appropriés par l’islam, y compris les codes de la morale élémentaire, sont extensibles quand il faut trouver une occasion de tuer des non-musulmans et de faire triompher l’islam.

La violence du Ramadan d’aujourd’hui a ses origines dans l’acceptation par Mohamet d’une violence expéditive. Ses suivistes actuels, ISIS, Al Qaeda, Hamas, Boko Haram ou n’importe quelle autre légion de groupes de terreur islamique, commettront n’importe quelle atrocité, se parjureront et enfreindront les soi-disant standards de l’islam pour gagner.

Et personne ne peut prétendre que c’est non-islamique parce que ce sont tout simplement les valeurs reçues du Coran, de Mohamet et de l’islam.

L’islam contient à la fois de l’exceptionnel et du non-exceptionnel. Le contenu non-exceptionnel est emprunté du judaïsme et du christianisme, de religions préislamiques diverses et de pratiques dans la région. Ce sont les valeurs et idées souvent décrites comme « islamiques » par les médias apologistes. Mais le contenu islamique exceptionnel est universel. Son usage par l’islam tend à le faire paraître comme n’importe quelle autre religion.

Le contenu exceptionnel de l’islam est plus simple et plus pur. Sa mission fondamentale est l’expansion de l’islam. Il n’est pas exceptionnel dans sa sophistication ou sa complexité, mais dans son amoralité absolue. L’acceptation de la violence par Mohamet durant le « mois sacré » est un exemple de la façon dont « l’exceptionnalisme » violent de l’islam trompe son contenu non-exceptionnel d’emprunt.

L’islam prêche la charité, l’amour et la fraternité, puis il les balance par dessus bord en un instant quand il y a quelque chose de stratégique à gagner.

C’est la vraie leçon du Ramadan.

 

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5 Commentaires

  1. Bonjour,
    Excellente analyse, merci !
    Je ne comprends pas que l’on puisse raconter (du côté des musulmans) ou gober ( du côté des non-musulmans) une fadaise comme le fait que le ramadan soit une période de paix sacrée.
    Il suffit de lire, en effet, la biographie de Mahomet, écrite au début de l’islam par un musulman observant: tout y est !
    Et en particulier, les très nombreux crimes commis par Mahomet pendant le ramadan.
    Lire cette biographie ne prend que quelques heures : est-ce trop demander à de puissants esprits, comme le ci-devant Ali Juppé?

  2. Attentats de Paris : des hommes du GIGN accusent leur chef de manque de courage
    Dans une lettre anonyme révélée par Le Canard enchaîné mercredi, des membres du Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) règlent leurs comptes avec leur chef, le colonel Hubert Bonneau. Ils le qualifient de « mauvais » et jugent son « commandement injuste et peu légitime », l’accusant en particulier de ne pas avoir engagé ses hommes au Bataclan lors des attentats du 13 novembre.
    C’est une lettre au vitriol adressée au colonel Hubert Bonneau, patron du GIGN. Des membres de cette force d’élite accusent leur chef de ne « rien comprendre aux missions d’intervention » de son équipe. Ce courrier anonyme de trois pages, révélé par Le Canard enchaîné dans son édition de mercredi et que l’AFP s’est procurée mardi soir, est seulement signée « l’esprit de l’inter », au nom de membres de la Force intervention, qui regroupe une centaine de militaires.
    « Voilà maintenant deux ans que nous subissons le commandement injuste et peu légitime du colonel Bonneau », « un mauvais chef », « qui fait de son mieux pour minimiser la Force intervention », écrivent les initiateurs de la lettre. Lui reprochant de ne pas être issu comme eux de « l’inter », ou « intervention », coeur de métier du GIGN, ils estiment que le colonel « est peu courageux et perd ses moyens dans l’action ».
    suite sur :http://www.lejdd.fr/Societe/Attentats-de-Paris-des-hommes-du-GIGN-accusent-leur-chef-de-manque-de-courage-796528

  3. RECTIFICATION L AMOUR LA CHARITE LA FRATERNITE OUI MAIS QUE POUR LES MUSULMANS ENTRE EUX ET ENCORE DE MEME OBEDIENCE PAS ENTRE CHIITES SUNNITES ET AUTRES

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