Le privilège musulman a tué 49 personnes à Orlando
L’islamophobie tue… les non-musulmans.
http://www.frontpagemag.com/fpm/263201/muslim-privilege-killed-49-people-orlando-daniel-greenfield
16 juin 2016, par Daniel Greenfield, journaliste et auteur new-yorkais spécialiste de l’islam.
La tuerie de masse la plus meurtrière de l’histoire américaine est la faute de l’islamophobie ! L’islamophobie a tué 49 personnes à Orlando. Elle n’a pas tué 49 musulmans. Elle a au contraire permis à Omar Mateen, terroriste musulman, de tuer 49 personnes au nom de son idéologie islamique et de l’État islamique.
Comme de nombreux tueurs musulmans, on aurait pu empêcher Omar de nuire. Il parlait de tuer des gens quand il travaillait à G4S Security, une entreprise fédérale offrant des services au Ministère de la sécurité publique et au Ministère des affaires étrangères. Mais, selon l’un de ses collègues près de qui il se vantait, un ancien policier, ses employeurs refusaient de faire quoi que ce soit pour lui parce qu’il était musulman.
Le FBI enquêtait sur Omar Mateen. Il était tenu à l’œil et on lui envoyait des informateurs qui le questionnaient pour conclure que ses soi-disant liens avec Al Qaïda et ses menaces terroristes n’étaient que des réactions pour « être marginalisé à cause de sa foi musulmane ». Omar a dit aux agents du FBI qu’il disait ces choses parce que « ses collègues le discriminaient et le tourmentaient parce qu’il était musulman ». Et ils l’ont cru.
Le pauvre Omar n’était pas un terroriste potentiel. C’était juste une victime de l’islamophobie. Omar s’en est tiré avec des commentaires homophobes, qui auraient fait perdre leur emploi à des employés américains, parce qu’il était musulman. Il a pu tenir tête à une enquête intensive du FBI parce qu’il était musulman. Quiconque affirme qu’une telle chose telle que le privilège musulman n’existe pas ferait bien de regarder Omar Mateen.
Il existe une ligne directe entre le privilège musulman de Omar et le massacre d’Orlando. Le privilège musulman de Omar Mateen l’a protégé des conséquences. Alors que les médias dépeignent studieusement l’image d’une population assiégée de musulmans américains souffrant du stigmate d’une constante suspicion, les antécédents musulmans de Omar lui ont en fait servi de bouclier et ont excusé un comportement qui aurait été inacceptable pour n’importe qui d’autre. Le privilège musulman de Omar Mateen l’a protégé jusqu’à ce qu’il s’est mis à tuer des non-musulmans.
Le cas Omar n’est pas unique. Le tueur du camp militaire de Fort Hood, Texas (2009), Nidal Hasan, distribuait des cartes de visite annonçant qu’il était jihadiste. Il avait fait une présentation justifiant les attentats suicides, mais aucune action n’a été prise contre lui. Comme Omar, le FBI connaissait Nidal Hasan. Le FBI savait qu’il s’entretenait avec une grosse tête d’Al Qaïda, Anwar Al-Awlaki, et pourtant rien n’a été entrepris. Au lieu de s’inquiéter au sujet de futures victimes possibles, le FBI était inquiet que de l’enquêter et l’interviewer pourrait « nuire à sa carrière ».
L’un de ses camarades de classe avait révélé plus tard que les autorités militaires « ne voulaient rien dire parce que cela serait considéré questionner quelqu’un sur ses croyances religieuses, ou qu’ils avaient peur d’une poursuite en justice ». Le FBI aurait-il été aussi sensible si Nidal Hasan s’était appelé Frank Wright ? Pas plus que Omar Mateen n’aurait pu garder son emploi d’agent de sécurité s’il s’était appelé Joe Johnson. C’est une histoire de plus en plus familière.
Les voisins des tueurs de San Bernardino, Californie, Syed Rizwan Farook et Tashfeen Malik, (2 décembre 2015), avaient remarqué qu’il y avait anguille sous roche, mais ils avaient peur de profiler les musulmans. S’ils avaient fait quelque chose, sans doute 14 victimes de deux tueurs musulmans seraient-elles encore en vie. Si le FBI avait fait ce qu’il fallait pour Nidal Hasan, les victimes de Fort Hood seraient encore en vie. Si le FBI avait fait ce qu’il fallait pour Omar Mateen, ses 49 victimes seraient encore en vie et ceux qu’il a blessés seraient en bonne santé.
Après le 11 septembre, les musulmans, d’une manière ou d’une autre, sont devenus les plus grandes victimes de l’Amérique. Et même si vous admettez que la plupart des musulmans ne sont pas responsables des actions des groupes fondamentalistes islamiques, même si vous croyez que la plupart des musulmans sont accusés à tort pour les actions d’un petit groupe de radicaux, le mythe pernicieux de la victimisation des musulmans est devenu une force déformante qui protège les terroristes.
Le fait de victimiser les musulmans a porté des groupes islamiques tels que CAIR (Conseil des relations entre l’Amérique et l’islam) au premier rang du discours politique aux côtés des organisations qui justifient les droits de l’homme, en dépit de leurs liens avec la terreur et de l’obstruction systématique des efforts d’exécution de la loi pour lutter contre le terrorisme islamique, tout en généralisant les agendas de l’islam.
Cette victimisation a réduit au silence les victimes du terrorisme musulman. Chaque attaque terroriste musulmane est rapidement déformée par une inévitable narration à contre-courant par laquelle les médias tournent le dos aux corps des victimes de la toute dernière attaque terroriste afin de nous faire avaler des histoires de véritables victimes que seraient les musulmans qui craignent d’être accusés.
Cet acte obscène de distraction par les médias réduit au silence les victimes du terrorisme musulman et récompense au contraire ceux qui en sont les acteurs et les complices. C’est tout de même incroyable de prétendre que les vraies victimes d’un tueur en série sont les membres de sa famille à qui on reproche de ne pas l’avoir dénoncé, au lieu des personnes qu’il a tuées et de celles qui leur étaient chères et qui leur survivent.
La victimisation des musulmans protège les terroristes musulmans comme Omar Mateen. Elle les met à l’abri de toute enquête rigoureuse. Elle leur invente des excuses. Pendant que Omar faisait ses préparations, pendant que l’enquête du FBI le concernant bricolait, les médias se précipitaient habilement sur un millier de plaintes mesquines de la victimisation des musulmans. Et la pire pourrait avoir été Tahera Ahmad, une musulmane qui a prétendu avoir été discriminée lorsqu’une hôtesse de l’air ou autre personnel de bord a versé le soda qu’elle avait commandé dans un gobelet au lieu de lui donner la canette. Ce non-sens débile a reçu des jours de couverture médiatique, c’est-à-dire plus de temps sur les chaînes télévisées que pour n’importe quelle victime américaine d’un terrorisme islamique.
Les médias vont attendre aussi peu que possible avant de se détourner d’Orlando pour parler de quelque virus dans un produit alimentaire ou de revenir à quelque discrimination des musulmans une fois encore insupportablement mesquine. Pendant ce temps-là le prochain Omar Mateen est en train de comploter son nouvel acte de terreur.
Il est grand temps de dire la vérité.
Le terrorisme islamique est causé par le privilège musulman. Ces actes de violence sont motivés par le racisme et la suprématie de l’islam. Allahu Akbar, le cri de guerre islamique souvent associé aux actes de terreur et au nettoyage ethnique depuis son origine dans la persécution des juifs par Mohamet, est une affirmation de la supériorité des musulmans sur les non-musulmans.
Afficher une solidarité avec les musulmans après Orlando a autant de sens que d’afficher une solidarité avec le Ku Klux Klan après le massacre de Charleston (tuerie dans une église méthodiste noire de Charleston, Caroline du Sud le 17 juin 2015, par Dylann Roof, 21 ans, un blanc anti-noirs). Personne ne doit afficher de solidarité avec les groupes de haine.
Omar n’a pas été radicalisé par l’internet. Ses idées lui ont été enseignées par des dignitaires religieux musulmans dont les idées sont celles de l’islam. Il a été « radicalisé » par les très saints textes de l’islam, tout simplement comme tout autre terroriste musulman. Ses actions n’étaient ni dénuées de sens ni nihilistes, il agissait selon le privilège musulman d’une idéologie bigote.
Même dans ce pays (les États-Unis), la majorité des crimes de haine n’est pas dirigée contre les musulmans. En fait, les musulmans ont contribué, de façon disproportionnée, à persécuter divers groupes minoritaires. Orlando n’est que le tout dernier exemple de cette tendance. En Europe, les juifs s’enfuient de Suède et de France à cause de la persécution musulmane. En Allemagne, les réfugiés homosexuels doivent être logés séparément des migrants musulmans. Il en est de même pour les réfugiés chrétiens.
Ce n’est pas le comportement des victimes. Ce sont les actions d’oppresseurs. Les musulmans ne font pas partie de la coalition des oppressés, mais des oppresseurs. Plus vite nous le reconnaîtrons, plus rapidement nous pourrons arrêter le terrorisme islamique et protéger les victimes des terroristes musulmans.
Le privilège musulman a tué 49 personnes le 12 juin à Orlando (et deux de plus le 17 juin à Magnanville) . Combien seront tués le semaine prochaine ou le mois prochain ? Combien seront tués durant la prochaine décennie ou le siècle prochain ?
La génocide musulman des non-musulmans se déroule en ce moment en Syrie et en Irak. L’islam a une longue histoire de génocides. Et si nous continuons à confondre les oppresseurs et les oppressés, le prochain génocide que nous n’aurons pas su arrêter pourrait bien être le nôtre.
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Bonjour,
Ce privilège musulman s’exerce quotidiennement chez nous, comme on l’a vu à notre manif avec la corneille, intégralement voilée, qui a pu passer devant la police, sans rien encourir, alors qu’elle violait ouvertement nos lois …
Islamophobie ou islamophilie ?
A la rigueur la peur de passer pour islamophobe !
Encore une merde qui était connu des instances policières, voire judiciaires, reconnu comme agressif, voire dangereux par son entourage mais on le laisse en liberté. Il faut construire des centres de détention pour y mettre toutes les vermines en relation avec l’état islamique et/ou ayant eu des propos en faveur de l’état islamique…
Pourquoi les proches des victimes de Nidal Hassan, de Omar Mateen et tous les autres, ne poursuivent pas en justice le gouvernement ????? Avec le nombre le gouvernement finira par capituler et fera lui-même la surveillance.
Quand les victimes demanderont 10 milliards et gagneront, ils ne feront pas prier pour emprisonner tout ce qui porte une barbe ou un foulard