Pourquoi l’islam est violent
7 juin 2016 par Daniel Greenfield : « La civilisation islamique est instable et insoutenable ». Daniel Greenfield, journaliste à New York écrit principalement sur l’islam radical.
http://www.frontpagemag.com/fpm/263118/why-islam-violent-daniel-greenfield
La violence islamique est pratiquement impossible à ignorer. Mais pourquoi cette violence ? La réponse facile est de citer les versets coraniques appelant à la conquête et à la soumission des non-musulmans. Cela couvre certainement la base théologique pour expliquer la violence islamique, mais cela n’explique pas pourquoi les musulmans continuent à la pratiquer, même les uns contre les autres. La violence est devenue la forme qui définit l’exception islamique.
Les optimistes parlent de réformer l’islam ; il est à craindre que d’éventuelles réformes prendraient des milliers d’années avant d’intervenir.
L’islam est une idéologie. Sa violence est une stratégie. Cette stratégie répond aux besoins de Mohamet. Mohamet a choisi d’employer la force pour répandre son idéologie. Il avait besoin de recruter des combattants et ainsi pouvait prêcher l’infériorité des non-musulmans, l’obligation pour les musulmans de conquérir les non-musulmans et le droit pour ses combattants de saisir les biens et les femmes des non-musulmans comme motivation de se joindre à son combat. Il leur a même promis que s’ils mouraient au cours d’une bataille, ils recevraient butin et femmes au paradis.
La stratégie était barbare, mais particulièrement efficace. Mohamet avait créé une nouvelle super-tribu dans une société tribale. La tribu de l’islam avait unifié différents groupes dans une mission de conquête. La religion islamique permettait aux divers clans de devenir plus efficaces et ambitieux que leurs victimes. Dans un temps extrêmement court et surprenant, la chaîne des conquêtes faites par l’islam en a fait une religion mondiale. Les conquérants islamiques les plus efficaces pouvaient, non seulement revendiquer des vastes territoires, transformant des civilisations en fiefs, mais en outre préparer leurs fils et petits-fils à continuer la chaîne des conquêtes.
L’islam a rendu les tactiques normales de la guerre tribale beaucoup plus efficaces. Son alliance était plus difficile à fragmenter et ses combattants n’avaient pas peur de la mort. Mais en même temps, l’islam restait fondamentalement tribal. Il rendait le brigandage tribal plus efficace, sans en changer la civilisation. Il a codifié le soupçon tribal des étrangers et des femmes en une doctrine religieuse. Cela pousse encore aujourd’hui la violence islamique contre les non-musulmans et les femmes.
Et pourtant l’islam aurait pu être réformé. Tout ce qu’il devait faire était de choisir une différente stratégie de civilisation.
Le choc actuel de civilisations est entre les sociétés coopérantes et les sociétés tribales hierarchisées. Les pays occidentaux sont des sociétés coopérantes. Elles réussissent en réunissant une grande diversité de personnes dans des organisations qui coopèrent. Ces organisations négocient et échangent un peu de tout, des marchandises aux défenses mutuelles. Des versions primitives de telles organisations existaient à l’époque de Mohamet. Elles ont également existé au sein de sociétés islamiques, mais ont été inhibées par l’instabilité tribale des civilisations islamiques. Les sociétés coopérantes priment la conscience interne sur la posture externe. La religion est une question de morale personnelle, plutôt qu’une conquête collective. Les ressources économiques sont développées par la récolte de nouvelles idées et techniques afin d’offrir des avantages plus importants à la société.
Les sociétés tribales islamiques sont gouvernées par des groupes familiaux étendus et autres hiérarchies qui, comme l’islam, s’acquittent d’un rôle similaire. Alors que de telles sociétés peuvent être stables localement, quoique arriérées, assurer leur expansion est difficile parce que leur seul façon de s’unir se fait par le biais de conflits avec des étrangers. Sans conflit externe avec les non-musulmans, les sociétés tribales dégénèrent en conflits internes entre tribus. C’est ce qui s’est produit en Iraq et en Syrie, sans parler du Yémen et de la Lybie. La plupart des pays musulmans sont en équilibre délicat sur le bord d’un précipice ; ils peuvent très facilement basculer dans d’horribles violences entre des groupes différents si leur fragile ordre interne se brise et qu’il n’existe pas d’ennemi extérieur.
L’expansion musulmane n’a pas pu être soutenue alors que le déploiement externe de la conquête limitait l’accès des armées musulmanes aux victimes non-musulmanes. L’unité islamique n’a survécu à Mahomet que bien peu de temps. La stabilité venait de sociétés féodales qui étaient lentes, arriérées et pesantes, mais empêchaient les conflits.
En fin de compte, la seule société musulmane stable est l’état esclavagiste. Les dictatures modernes, qui s’efforcent d’imiter les pays civilisés en formant des élites professionnelles de docteurs, ingénieurs, avocats et généraux, sont éventuellement détruites par ces mêmes élites. Ce sont les royaumes véritablement arriérés qui dépendent de la richesse du pétrole et du travail d’esclaves qui résistent le mieux aux changements et qui maintiennent leurs privilèges dominants.
Et c’est là où nous en arrivons à la crise fondamentale de la violence islamique.
La civilisation islamique est fondamentalement instable et insoutenable. Le contact avec le monde moderne l’a déstabilisée, déclenchant une série de réactions en chaîne. La civilisation islamique, en particulier au Moyen-Orient, n’a pas su faire la transition vers le modernisme. Les pays qui possédaient le pétrole pouvaient acheter leur voie et sortir de l’impasse grâce à de généreux subsides chez eux tout en achetant des influences à l’étranger. Les Saoudiens se sont enrichis tout en contrôlant l’Ouest. Ils ont financé des guerres sans avoir besoin de généraux, en finançant des terroristes. Ils ont maintenu une société tribale en engageant des professionnels étrangers pour effectuer la plupart des travaux techniques.
Cependant, la plupart des pays musulmans n’avaient pas la possibilité d’acheter ce type d’immunité face au modernisme. Même les Saoudiens n’ont pu acheter qu’une immunité temporaire qui s’amoindrit avec la diminution du prix du pétrole. Les sociétés les plus profondément islamiques ont suivi la vieille pratique de Mohamet d’épuisement de la terre ; mais ensuite, vers quelles nouvelles terres allaient-elles se diriger ?
La migration massive vers l’Europe est une partie de la réponse. Alors que les Européens sont choqués à la vue de millions de personnes profitant juste des lieux et allant plus loin, le Moyen-Orient a toujours des racines nomadiques profondes. La plupart des pays musulmans ne sont que des fictions politiques et historiques. Les groupes familiaux ont beaucoup plus d’importance que les identités nationales.
En dehors d’Israël, l’agriculture est éparse au Moyen-Orient. L’attachement profond à la terre qu’on trouve chez les Israëliens ou les Européens est absent. La féodalité associe le travail de la terre à l’infériorité et la féodalité est un souvenir plus récent chez les musulmans que chez la plupart des Européens. Le succès signifie l’expansion sur la terre de quelqu’un d’autre et de vivre de dépouillements plutôt que de se stabiliser et de travailler personnellement.
Les sociétés coopérantes occidentales accueillent ardemment les migrants musulmans parce qu’elles attendent d’eux qu’ils coopèrent et contribuent. Mais cela ne se produit pas. Les sociétés musulmanes sont hiérarchiques, et non pas coopérantes. Les nouveaux arrivants s’attendent à s’incorporer dans une hiérarchie. S’ils ne la rencontrent pas, ils cherchent à « conquérir » en établissant leur propre hiérarchie avec la suprématie du Coran comme guide.
Les sociétés occidentales recherchent un établissement permanent. Elles planifient à long terme. Les tribus nomadiques consument les ressources, voyant les villes et institutions comme des biens à dépouiller, piller et se défaire avant d’aller plus loin. La migration islamique n’est pas un nouveau phénomène et l’Europe n’est pas destinée à être le lieu d’arrêt.
C’est là une variation de la vieille stratégie de Mohamet. Alors que certains groupes islamiques, comme ISIS et Al Qaëda, restent en arrière pour se battre pour des terres mourantes du Moyen-Orient afin d’y établir leur propre société parfaite, un grand nombre de musulmans ont fait le choix de partir vers des pâtures plus fraîches. Ce cycle ne va faire que se répéter.
Cette stratégie est la raison pour laquelle l’islam continue d’être violent. C’est pourquoi l’exportation de la démocratie est une perte de temps. La démocratie ne fonctionne que dans les sociétés coopérantes. Elle ne peut fonctionner dans des sociétés tribales qu’en tant que démocratie de groupes et exige que ces groupes préfèrent la coopération au conflit comme stratégie de civilisation.
L’islam favorise le conflit à la coopération. À défaut d’ennemis extérieurs, sa doctrine permet à ses groupes en querelle de s’appeler les uns les autres des infidèles, des hérétiques et des ennemis. Pour réformer l’islam, il faudrait que les musulmans fassent une transition civilisée vers une stratégie coopérative. Il faudrait qu’ils changent fondamentalement leurs valeurs, leurs priorités et le fonctionnement de leurs sociétés.
Il n’y a aucun signe que cela se produise.
La civilisation islamique devient instable à partir du moment où elle s’étend au-delà de ses limites tribales. Sa seule stratégie basée sur son instabilité est la violence, dirigée soit extérieurement vers les non-musulmans, soit intérieurement vers d’autres musulmans. Ses outils de développement économique sont limités et rendent le soutien d’une société moderne très difficile parce que les musulmans préfèrent le maintien d’une stabilité hiérarchique interne plutôt que l’innovation et le progrès.
. Elles recommencent la même stratégie jusqu’à ce qu’elles soient arrêtées. Alors la civilisation islamique épuisée devient un esclave, stabilisé mais arriéré. Si cette société est troublée, l’œuf se casse et l’horrible processus de la guerre, de l’invasion et de l’épuisement recommence. C’est ce dont nous faisons l’expérience actuellement ; il n’existe pas de réponse facile à ce problème.
Nous avons le choix de stopper la migration islamique, ou elle inondera nos sociétés et les détruira.
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Analyse qui rejoint celles que j’avais lu naguère d’un vieux professeur de l’Institut, Roger Arnaldez et de l’islamologue Robert Spencer sur l’Islam;
Prédation continuelle qui ne peut être stoppée que les armes.
Faut raser la Mecque ensuite virer les musulmans intégristes les repris de justices etc…
excellente analyse, conclusion il faut détruire l’islam et les islamistes avant qu’ils nous détruisent!
il faut virer tous les musulmans d’Europe ils n’ont rien a y faire,
l’islam et les muzz sont les parasites de notre civilisation….
Superbe. C’est le mot en effet.
Très très grande analyse !
LE COMPORTEMENT DE L ISLAM EST LE MEME PARTOUT DELINQUANCE PLUS PLUS REVENDICATIONS INCESSANTES PUIS ATTENTATS LES PAYS CONTAMINES AVEC L ACCORD DE LEURS DIRIGEANTS SERVENT DE REPOUSSOIRS A D AUTRES LE DANEMARK FINLANDE SUISSE CONTIENNENT L ISLAM D AUTRES LE REJETTE VOIR POLISH PEOPLE AGAINST MIGRANTS VIDEO ET JE VOIS LES COMMENTAIRES EUROPEENS ET MONDIAUX A CE SUJET APPROBATION GENERALE SAUF DES MUSULMANS BIEN SUR ET SE REGROUPER EN COMMUNAUTES EST UNE FAIBLESSE TOUS EN VILLE OU QUARTIERS VOIR GHETTO VARSOVIE ET SUN TZU
Notre survie et celle de nos enfants dépend de la destruction de l’islam et de ses kollabos…………….