QUE SERAIT LA CHANSON FRANÇAISE SANS LA LIBERTÉ DE CHOISIR ?
« Ceux qui chantent, le prophète a dit qu’ils seront engloutis sous la terre. Ils seront transformés en singes ou en porcs. » Voici un extrait du discours prononcé il y a peu par l’imam d’une influente mosquée de Brest, devant un public d’enfants. Il poursuivit en dissuadant un enfant de jouer de la batterie. Voilà comment on induit des frustrations en contrant la naturelle et légitime aspiration à l’épanouissement par l’art. Pauvres enfants !
Voilà ce qui peut se dire, être entendu aujourd’hui dans la France de Claude Debussy et Maurice Ravel. Des propos d’indécrottables fanatiques d’un chamelier du VIIe siècle, propageant l’ensemble de ces dogmes hallucinants qui doivent être récités cinq fois par jour et sans chercher à les remettre en cause. Nous, Français de culture chrétienne deux fois millénaire, subissons l’invasion des adeptes de ces préceptes reniant toute culture, toute forme de pensée personnelle, d’indépendance d’esprit, toute libre poésie. Il est vrai que c’est ce que subissent déjà les chrétiens d’Orient, arméniens, byzantins, chaldéens, coptes, maronites et syriaques, en plus que de voir détruire leurs églises et même de devoir fuir pour ne pas être massacrés, et pas seulement par l’État islamique. Mais il est vrai que dénoncer ces monstruosités perdurant encore au XXIe siècle, c’est, pour les irréductibles gauchos, « entretenir la haine ».
Mais pour nous patriotes, bercés par les comptines avant de chanter en chœur à l’école, puis en harmonie dans une chorale, ou entretenant l’art musical par l’apprentissage de quelque instrument ou la pratique de la danse, attentifs et charmés par l’écoute de poésies lyriques interprétées par des artistes de talent, il ne saurait être question de laisser de tels propos influencer la vie civile et républicaine, la vie artistique et publique. Cette remise en cause de notre culture, de nos us et coutumes est inadmissible, même s’il s’est trouvé quelques singulières voix pour prétendre qu’il n’y a pas là motif à critiquer, au nom de la liberté de religion.
Nous admirons la grâce féminine si bien peinte par Pierre-Auguste Renoir ; nous savourons la célébration de la Femme dans de nombreuses et fort belles chansons ; nous savons que tout cela serait banni, tout autant que les chansons « engagées » ou humoristiques, avec toutes les autres, si la France devait un jour se soumettre à la loi d’assassins de notre culture devenus majoritaires. Si nous étions depuis longtemps soumis à une telle loi, voici par exemple ce qui n’aurait jamais existé dans un monde où la Femme n’est rien :
Jamais Serge Reggiani n’aurait décrit la beauté d’une compagne âgée dans « Sarah », ni exprimé une tendre leçon d’objectivité dans « Il suffirait de presque rien ».
Jamais Jean Ferrat n’aurait reconnu la grandeur et l’importance essentielle de la Femme dans « La Femme est l’avenir de l’Homme », « Que serais-je sans toi ? » ou « Ma Môme ».
Jamais Georges Brassens n’aurait évoqué de furtives rencontres pourtant source de nostalgie dans « Les Passantes ».
Jamais Charles Aznavour n’aurait rendu cet inoubliable et sublime hommage à la mère de famille dans « La Mamma ».
Jamais Michel Delpech n’aurait exprimé une forme de tendresse quotidienne et gratuite dans « Chez Laurette ».
Jamais Julien Clerc n’aurait décrit un caractère féminin affirmé dans « Ma préférence à moi », ni exalté la délicatesse et la subtilité féminines dans « Femmes je vous aime ».
Et plus encore…
Jamais, dans un monde régi par une emprise pseudo-religieuse mondialiste et totalitaire, ignorant les peuples et les Nations, Claude Rouget de Lisle n’aurait composé « La Marseillaise », Maurice Druon et Joseph Kessel n’auraient écrit « Le Chant des Partisans » interprété par Anna Marly ; Jean Ferrat n’aurait pas chanté sa plus belle chanson d’amour, « Ma France » et Les Compagnons de la Chanson n’auraient pas repris « La Marche des Anges ».
La liste pourrait se compléter indéfiniment. Je n’ai plus envie d’interpréter, ou du moins pas en public, des chansons qui en leur temps avaient une signification propre à notre société civilisée et conviviale, parce que aujourd’hui elles pourraient être récupérées afin d’alimenter la propagande mondialiste et irresponsable destinée à faire accepter l’invasion de notre pays. Il en est ainsi de : « La Ligne Holworth » de Graeme Allwright « Lili »de Pierre Perret « Chanson pour l’Auvergnat » de Georges Brassens, cet inoubliable Brassens qui, athée, nous avait chanté « La Prière », d’après un poème du très catholique Francis Jammes.
Voici donc d’excellentes raisons de préserver, de conserver, de promouvoir et de défendre notre identité nationale française, notre République, nos us et coutumes, nos valeurs de civilisation, nos traditions de peuple chantant et aimant la vie, la musique et toutes les belles choses.
Les promoteurs d’une théorie allergique à tout cela n’ont rien à faire chez nous.
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Nous les peuples européens, nos anciens qui avaient combattu les nazis et les Fasciste vous doutez encore!
Arrêtez de vous excuser devant nos escrocs aux pouvoirs qui ruinent tout, qui n’ont aucun respect pour vous, qui laissent lâchement agresser nos peuples par d’autres et des attentats sans fermer lâchement les frontières.
La manipulation et les temps des pigeons sont terminés français.
Nous sommes femmes de France , nous vivons selon nos traditions ancestrales
comme nos parents nous ont appris
et ce n’ est pas le fada de Brest qui vat changer les donnes avec ses prêches d’une autre époque
vive la chanson Française et ses chantres de talent
kénavo
Bonjour,
« D’une autre époque » , non, d’une autre civilisation.
Notre civilisation n’a jamais traité les femmes comme ils traitent « leurs » femmes.
Cette civilisation a l’impudence de nous coloniser pour la seconde fois, AU NON DE L’ANTICOLONIALISME (quelle sinistre blague !) : il faut la refouler totalement, définitivement comme en 732.
Vive la chanson Française, vive les femmes, vive nous, les patriotes. Dehors les barbares arriérés envahissants.
ecouter aussi alain chamfort le titre » c’est l’amour en France »
mais bientôt finito avec la charia sera la haine en France et plus l’amour ,dite tous merci à vos politicards de toute cette situation !!
Parmi la liste des œuvres menacées par ce tribun réactionnaire qu’est l’imam de Brest, on peut aussi citer le chant « L’Internationale ».
En effet, en prônant l’union et la participation de tous les travailleurs ainsi que l’égalité entre toutes et tous, cette hymne s’avère de facto incompatible avec plusieurs valeurs ségrégationnistes défendues par l’islam politique (ou par l’islam tout court si « islam politique » est un pléonasme), valeurs parmi lesquelles figurent entre autres la haine envers voire l’appelle au meurtre de tous les non-musulmans parce que non-musulmans, ainsi que cette misogynie impliquant que les femmes soient forcées de porter le voile et écartées de tout pouvoir alors même qu’elles représentent plus de la moitié de l’humanité.