On atteint le sublime : cet article excellent d’ailleurs dans son contexte égyptien, fustige les viols collectifs sur la Place Tahir, viols subis par les femmes égyptiennes protestant pour l’égalité des droits hommes/femmes en Egypte.
Il souligne -qui cela étonnera-t-il ?- « pas un mot de la presse… » « il aura fallu que des journalistes étrangères subissent les viols pour qu’on en parle !!! » comme ceux de Cologne ?Aucune allusion d’ailleurs dans cet article à Ccologne, à la Suède,….aux réfugiés……comme c’est bizarre ! Vous avez dit bizarre ?
DOIGTS D’HONNEUR – Une BD reportage pointe les violences sexuelles faites aux femmes
Alors que de nouveaux rassemblements contestataires ont lieu en Egypte, « La Boite à Bulles », maison d’édition française, publie « Doigts d’Honneur, Révolution en Egypte et droits des femmes». Ce récit engagé prend place au Caire en juin 2013, lors de la révolution égyptienne au cours de laquelle plus d’une centaine d’agressions sexuelles et de viols collectifs ont été recensés.
Par Virginie Houet
Lors de ces manifestations de plus de quatre jours, deux ans après le printemps arabe égyptien, les femmes tentent de se frayer un chemin vers leurs droits les plus élémentaires. Portées par le souhait de plus de liberté et d’égalité, elles réclament, avec leur concitoyens masculins, le départ du nouveau président islamiste, Mohamed Morsi, élu après la chute de Moubarak.
Dans la BD reportage parrainée par Amnesty International (A.I.), les auteurs Ferenc et Bast, racontent comment et dans quel contexte les manifestantes furent violées et agressées sexuellement. « On aimerait penser que le récit relève du champ de la fiction » souligne A.I. qui intervient dans l’album. Dans l’histoire illustrée, la jeune Layla, étudiante en agronomie, est emmenée sur la place Tahrir pour participer à la manifestation par un ami d’enfance Asim. Elle se laisse porter par l’esprit de solidarité qui semble y régner et ignore qu’elle sera l’une des dizaines de victimes d’une forme de violence sexuelle extrêmement sauvage. Layla tentera par la suite de porter plainte contre ses agresseurs mais ni les autorités, ni même sa famille ne voudront entendre son histoire. « Ces violences ont été un choc tant elles ont contesté et brimé l’élan légitime que la Révolution avait libéré. Au-delà, elles ont réveillé et révélé les failles d’une société égyptienne fondée sur l’inégalité entre les hommes et les femmes. (…) » explique A. I.
D’autres faits de violence sexuelle en Egypte apparaissent dans l’ouvrage. Le martyre d’Azza Suleiman battue au sol par les soldats égyptiens en décembre 2011, les tests de virginité menés en masse par l’armée ou encore les mutilations génitales féminines extrêmement répandues montrent l’ampleur de la problématique des droits des femmes en Egypte. Selon l’UNICEF, les mutilations féminines génitales, pourtant légalement interdites depuis 1978, touchent en 2015, 87% des Égyptiennes.
Les violences subies par les femmes sur la place Tahrir n’ont pas été des exceptions. « (…) des femmes ont été pelotées, déshabillées et traînées à travers les rues, ou frappées à coups de bâtons, de couteaux et de ceintures par les foules déchaînées. Les autorités n’ont alors rien fait pour empêcher ces attaques ou protéger les femmes. Il aura malheureusement fallu que des femmes journalistes étrangères subissent, elles aussi, ces agressions pour que l’on prenne conscience de l’ampleur et la presque banalité des violences infligées aux femmes » continue A.I.
Selon une étude publiée par ONU Femmes en 2013, plus de 99% des jeunes filles interrogées en Egypte ont déclaré avoir subi une forme de harcèlement sexuel. En 2014, l’Egypte adopte la toute première législation érigeant en infraction le harcèlement sexuel. « Malgré des réformes fragmentaires adoptées récemment, (…) les lacunes des lois égyptiennes et l’impunité de fait des agresseurs entretiennent un climat de tolérance des violences sexuelles (…) ».
Ferenc, le scénariste, souligne un paradoxe interpellant : d’une part, la société égyptienne souhaite acquérir de nouvelles libertés, d’autre part, elle en refuse complètement à la moitié féminine de sa population. « Alors que les hommes considèrent qu’il est indispensable de progresser, d’un point de vue économique et social, ils ne sont pas prêts à accorder quoi que ce soit comme liberté à leur compagne, leur femme ou leurs concitoyennes.» Et Bast, l’illustrateur, de conclure : « Il semble encore nécessaire de rappeler des choses évidentes, comme le fait que la femme est l’égale de l’homme ».
Virginie Houet (www.lepetitjournal.com/lecaire) mardi 17 mai 2016
Les auteurs seront présents au Festival BD Clairac les 26 et 27 novembre 2016 et au Festival BD Engagée du May-sur-Evre les 14-15-16 octobre 2016.
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Nous voyons bien la grande mauvaise foi de nos dirigeants totalitaires de vouloir cacher les crimes au nom de l’Islam, en ne protégeant pas nos populations en Europe et continuent malhonnêtement l’invasion musulmane.
N’importe qui en Europe peut s’attendre à une agression ou un viole d’une de nos gamines ou de nos femmes sans que l’état n’intervienne et sans toujours manipuler les chiffres et les événements, toujours mentir pour l’Islam.
Il ne faut pas confondre la place Tahrir où les femmes étaient correctement vêtues et Cologne où les victimes ont provoqué leurs agresseurs avec des tenues provocatrices. C’est hélas comme cela que les autorités allemandes ont vu les choses puisqu’une immonde salope a même déclaré que » le viol, ça n’est pas si terrible, ça ne dure que trois minutes » !!! Quant aux autorités françaises, elles ont nié les agressions sexuelles. Entre l’Égypte qui n’est pas encore sortie du Moyen Âge et la France qui y retourne, les femmes ne sont pas à la fête. Nous, les hommes français, ne laissons pas nos fées subir l’assaut de ces salauds. Un peu de courage…
Un patriote de plus. Cordialement, n’oubli pas de t’arm.
J’avais personnellement dans mes commentaires de ces derniers jours évoqué le cas trés particulier d’une certaine sous préfecture des pyrénées atlantiques , également port fluvial, ou des horreurs similaires se sont déroulées à plusieurs reprises dans le cadres des ruelles étroites de la vieille ville
Le mode opératoire est d’une efficacité on ne peut plus redoutable . Un équipe de « chances pour la France » répére et débusque des femmes et des jeunes filles de souche , et parvient par la contrainte à les isoler dans un coin de ruelle, pour infliger des sévices génitaux trés grave à l’aide d’objets métalliques , pendant que des « confréres » se chargent de dissuader par la violence des témoins de passage éventuels !
Tous les éléments tendent à prouver que ces actions d’une trés grande cruauté , correspondent à l’accomplissement d’une véritable guerre raciale et culturelle , contre le concept même de femme française et occidentale , avec en plus un réel aspect cultuel !
Rien dans la presse locale , ou les comptes rends de la police et de la justice de la ville, n’a révélé la réalité de ces attaques terrifiantes, et elles ne sont désormais connues des patriotes locaux , que grace au témoignage précis de « personnes » possédant en permanence une connaissance approfondie des faits agitants les bas quartiers historiques de cette ville .
La matérialité de ces crimes maintenus secrets , car les magistrats locaux sont tous classés à gaoche ! peut en partie s’expliquer par le fait que la totalité des bars des petites rues furent réquisitionnés par des « gens de la diversité » induisant la fréquentation d’une certaine faune interlope et imprévisible !
Depuis plusieurs jours , je m’emploie à prévenir l’ensemble de mes amis sur la région , pour les dissuader de fréquenter ces zones à jamais !
Les dissuader de fréquenter ces zones à jamais???
mais c’est abonder dans leur sens!!!
c’est organiser des descentes expéditives qu’il faudrait,
plûtôt!
au lieu de baisser les bras et se résigner à la triste fatalité!
si tout le monde réagit comme ça, c’est mal barré!