Mayotte : un collectif de 100 personnes met à la rue les Comoriens indésirables

Pas de quartier. Justice populaire. Très intéressant article de La Croix du 30 mars. Et, une fois n’est pas coutume, un reportage à peu près objectif… Sans doute que le fait que les milices soient constituées de non blancs complique-t-il la tâche des droitdel’hommistes qui sommeillent en tout journaliste…

Quand le ras-le-bol est total, le peuple se prend en mains. Quand le peuple a compris qu’il ne peut compter que sur lui, il se prend en mains. Et il agit.

On ne me fera jamais croire que le peuple de 1789 et de la Commune est moins décidé que les Mahorais à défendre leurs biens et leur île !

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6 Comments

  1. Bravo chère Christine pour cette magnifique mise en relief dans ces pages de tout ce qui confirme nos vues et bouscule la « bien-pensance » de rigueur.

    • Merci cher Jean ravie que cela vous plaise… et merci pour l »info !

  2. Bonsoir et merci pour cet article porteur d’un peu d’espoir.
    Mais la question reste, pourquoi l’occident persiste-t-il à financer des ONG qui ne font rien pour aider les peuples du tiers monde à maîtriser leur natalité.
    Il est trop facile de faire des enfants à la chaîne en se disant, d’autres se chargeront bien de les nourrir, quelque part.
    Même à l’autre bout du monde.
    Toute aide aux pays pauvres devrait être conditionnée à un éducation des filles pour qu’elles contrôlent leur natalité.
    Si ces pays veulent faire des millions d’enfants, c’est leur choix.
    Pas le nôtre.
    Et les arguments des retraites comme de la consommation ou de l’emploi d’une main d’oeuvre pas chère, sont juste les arguments qui portent en germe la destruction de ce qui pourrait faire évoluer tout ce petit monde.

    • tout à fait d’accord, que du bon sens… mais c’est la chose du monde la moins bien partagée…

  3. Bonjour,
    Ce soir encore les médias télévisuels nous font pleurer sur un Comorien entré clandestinement en France.
    En 1974, Mayotte a voulu rester française: pendant ce temps, à la Grande Comore, à Anjouan on brûlait le drapeau français dans l’enthousiasme.
    Donc, pour nous, c’est la double peine (comme avec l’Algérie etc, etc) : non seulement nous devons subir les insultes pour le colonialisme mais nous sommes sommés d’accueillir chez nous ceux qui ont fait un choix anti-français, il y a, à peine, quelques dizaines d’années.
    L’anticolonialisme est un choix mais il est contradictoire avec l’accueil en France.
    Sur Oumma.com il y a, en particulier, une pétasse algérienne, entrée en France, il y a 10 ans, qui passe son temps à insulter tout ce que nous sommes.
    Trop, c’est trop: pour elle et ses semblables, les Bouteldja, les Bouamama, les Boussoumah : RETOUR A LA CASE DEPART !

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