Et pendant ce temps-là, on s’entraîne à la guerre dans les prisons de France. On dirait que le successeur de Taubira est un Taubira bis, mais on s’en doutait un peu…
« Tout simplement un foutage de gueule ! » Lorsque les personnels du centre pénitentiaire de Liancourt ont appris, la semaine dernière, qu’une initiation à la canne de combat — un bâton de 95 cm utilisé dans les arts martiaux — serait proposée aux détenus d’ici au mois prochain, ils ont eu du mal à le croire.
« Stupeur », « dégoût », « incompréhension », les syndicats ne décolèrent pas. Et encore moins lorsqu’ils ont découvert que le projet serait financé avec le budget dédié… au plan de lutte antiterroriste de l’Etat !
« Le projet ne répond pas du tout aux problématiques liées à la lutte contre la radicalisation et aux agressions. Bien au contraire ! Il plonge les détenus dans un climat perpétuel de violence », s’indigne Emilie Théret, surveillante pénitentiaire à Liancourt et secrétaire locale de l’UFAP-UNSA-Justice, syndicat de l’administration pénitentiaire.
Les cours d’arts martiaux se présenteraient d’abord sous forme d’initiation. Puis, en fonction de leur éventuel succès, ils pourraient devenir une activité régulière. Une information que le directeur local du centre pénitentiaire de Liancourt aurait « confirmé lui-même de vive voix » à Emilie Théret vendredi dernier. Le motif donné pour justifier cette initiative ? « Apprendre la maîtrise de soi et le respect entre détenus ».
« On a vraiment peur des risques de cette pratique. Ils ne se rendent pas compte de la dangerosité d’une telle activité. Il y a eu deux agressions dans la prison de Liancourt rien que ce mois-ci », affirme la surveillante pénitentiaire. Les activités sont proposées par le service pénitentiaire d’insertion et de probation et validée par la direction locale. « Les surveillants pénitentiaires ne sont jamais consultés, ni sur le contenu des activités, ni sur le recrutement des participants. Et pourtant, nous sommes au contact des détenus au quotidien ! Ceux qui vont sélectionner les candidats ne connaissent pas bien les profils des détenus, dont certains ne sont pas adaptés à ce genre d’activités », s’insurge l’élue syndicale, qui réclame l’annulation du projet. « Des actions seront à venir si nous ne sommes pas entendus. » Contactée, la direction de l’établissement n’a pas souhaité s’exprimer, nous redirigeant vers la direction interrégionale des services pénitentiaires de Lille, qui n’a pas pu être jointe.
414 total views, 1 views today
Non c’est une blague
Apprendre aux détenus les arts martiaux
Vous me faites marcher..
hélas…
Ils concourent pour une nomination à la palme d’or de la débilité profonde au festival de Cannes .
A propos de canne..
Vous pouvez en acheter une. c »est une bonne arme de défense
Il existe d’ailleurs diverses canne adapté à la défense et attaque
Renseignez vous. Voyez sur le net
Et même un parapluie, assez grand , solide peut être efficace pour la défense
De plus en plus nul! on se demande même s’ils ne le font pas exprès!… Je serai gardien je ferais grève immédiatement : mieux vaut prévenir que de se trouver à la morgue…
2017… Enfin, le retour des Quartiers haute sécurité ?
(je crois qu’ils leurs préparent une réinsertion professionnelles!)
blague à part je plain les gardiens ,ceux qui on des idées pareille devrait faire le job pendant plusieurs jours. après nous vairons.
Je suis de plus en plus écœuré. Pourris de gauche.
Peut-être devrions nous également faire un stage de six mois en prison pour apprendre a manier fusils , grenades , et lance roquette , ça doit sûrement être au programme pour plus tard , de plus le temps passera vite car nous mangerons très bien ( halal) nous aurons une salle de sport , des ordinateurs , des bouquins ( même le coran ) des télévisions …..bref beaucoup de choses que les couillons dehors ne peuvent se payer …………….
On a vu récemment qu’en Suède sont organisés des cours de tir pour les migrants. Maintenant des cours d’arts martiaux armés pour les détenus qui sont majoritairement des « chances pour la France ». Décidément, le Grand Remplacement s’organise de façon offensive avec la complicité de nos dirigeants. La guerre civile approche à grands pas.
A la lecture d’un tel texte stupéfiant je remercie la providence d’avoir été assis sur un fauteuil , car dans le cas contraire, je me serais ….Retrouver par terre !
Au risque de paraître vulgaire, je serais presque ténté de prendre le téléphone pour contacter la brigade des stupéfiants, afin qu’ils opèrent immédiatement un contrôle sur les personnes qui sont les auteurs de cette initiative confondante, car je suspecte chez eux , un abus sévère de substances hallucinogènes.
L’immense défi que rencontre la société et le système pénitentaire consiste justement à tenter de transformer la personnalité de détenus , qui furent bien sur incarcérés pour des faits de violence , envers laquelle ils éprouvent hélas un attachement inné et instinctif!
Autrement dit la pratique des arts martiaux en prison , ne peut en aucun cas être une méthode d’éducation , permettant de modifier le comportement de délinquants , pour lesquels la violence est un mode de vie naturel à part entière !
C’est exactement comme si pour guérir des violeurs , on leur passait des films pornos en permanence dans leur cellule ? on croit littéralement rêver !
Par ailleurs cette affaire pose aussi un problème juridique essentiel, car les cannes de combat , sont assimilées à des armes blanches utilisées par les forces de l’ordre , dont le port en public et en plus dans une prison, est interdit à toute personne non habilitée par une fonction de sécurité particulière
Par conséquent en plaçant des armes blanches dans les mains de détenus, l’administration se met elle même en dehors de la réglementation , ce qui est quand même une aberration absolue
Le règne de Taubira nous avait habitué à bien des extravagances, mais effectivement son successeur pourrait lui aussi ne pas du tout nous décevoir dans ce domaine !
et pourquoi pas leurs donner tout de suite des Kalachnikov pour tuer tout les Gardiens de Prison ? PFFFF quel bande de salopard en Haut lieu tous des traïtres qu’ils faudra fusiller sans sommation et sans tribunaux .