Voici une brève information, passée sous silence par la plupart des médias, comme il se doit, et tirée du Journal « Valeurs actuelles » du 18 février :
La célébration de la Saint-Valentin a été interdite en Iran (ce qui est une attitude conséquente de la part des tenants de la secte de thanatos…), ceci afin de lutter contre la décadence occidentale.
Pour bien montrer à quel point le régime des ayatollahs tenait à sa pureté originelle,
une jeune fille de 16 ans a été pendue en public à Téhéran, pour « actes contraires à la chasteté ». Le journaliste poursuit en soulignant que tout cela n’est qu’un « point de détail », effacé fort rapidement par le retour de la manne céleste des échanges commerciaux…
Imaginez, ne serait-ce qu’un instant, la déréliction de cette jeune fille abandonnée par le monde entier…
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Refaite, à l’impératif, ça prend pas un « s » ?
Je taquine…
Non, Diogène, cette ado n’a pas été abandonnée par le monde entier. Conformément engoncés dans leur bon droit, ses pairs l’ont prise en charge jusqu’à la limite du possible.Et aucun spectateur n’a cru devoir soulever la moindre contestation. Tous autant qu’ils sont s’accordent et continueront de s’accorder sur la sentence à appliquer. Dura lex, sed lex. Mais qui la faute ? A la population passive et formatée, ou aux bourreaux que cette même population regarde comme des citoyens vertueux ? A bien y réfléchir, ce sont les mêmes.
Cette jeune ado a été abandonnée par son père et sa mère, complices imbéciles et salauds par ignorance entretenue.
Cet exemple précis d’exécution cruelle pourrait être présenté à nos imams, qui auraient l’amabilité de nous exprimer leur point de vue . En cas d’approbation, nous serions tous confirmés dans notre conception solide de l’islam orthodoxe contraire à nos lois républicaines .
Pour le cas ou nos imams de France , au contraire viendraient à désapprouver un tel crime public, en affirmant que cela « n’est pas l’islam », nous pourrions dans ce cas alors immédiatement leur enjoindre de prendre l’avion et se rendre à Téhéran pour rencontrer les grands mollahs dirigeants et leur expliquer que cette violence institutionnelle n’est pas conforme avec la mansuétude coranique traditionnelle , et que les juges auteurs de la décisions , sont décidément de …BIEN MAUVAIS MUSULMANS !
S’imagine bien nos imams de France , pâlir de trouille à l’idée d’aller critiquer les magistrats mollah sur le terrai, et qu’à la seule pensée d’une initiative aussi folle, ils en ….PISSERAIENT DANS LEUR DJELLABAHS !
C’est bien c’est islam là qui est amour et paix. on nous prend pour des cons.
Oui
Combslavillais
Désolé mais « déréliction » puis « abandonnée » dans la même phrase…
La critique est facile. Refaite la phrase en lui conservant tous ses sens ….