Pourquoi les « intellectuels » médiatiques ne se mobilisent-ils pas pour dénoncer l’horreur que subit le peuple yézidi ( on dit aussi yazidi ) ?
Le 4ème pouvoir, le pouvoir médiatique, prompt à dénoncer la moindre offense faite aux adeptes de la secte de thanatos, ne s’émeut pas plus du sort des femmes yézidies humiliées et torturées par les fous de Daech…
Je vous laisse lire cet article du point rédigé par Nadia Hamour, secrétaire nationale à l’Intégration des Républicains.
La lente agonie des femmes yézidies
TRIBUNE. À l’occasion de la Journée de la femme, la secrétaire nationale LR veut sensibiliser au sort des Yézidies, victimes d’un génocide commis par Daech.
PAR NADIA HAMOUR*
Des femmes yézidies, forcées de quitter leur village du nord de l’Irak, pourchassées par les djihadistes de Daech. ©Anadolu Agency/AFP/ Huseyin Bagis
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Nadia Hamour, secrétaire nationale à l’Intégration des Républicains
Chaque année, depuis un siècle maintenant, les femmes sont à l’honneur le 8 mars. Combien de femmes seront encore exclues de cette journée aujourd’hui ? Si cela est acquis dans notre pays et en Occident, être une femme n’est pas partout dans le monde un statut enviable… Chaque jour, depuis près de deux ans maintenant, les femmes issues de la minorité yézidie sont l’objet d’un véritable génocide, violées, vendues et assassinées par Daech parce que yézidies, dans l’indifférence la plus totale. Démocrates et féministes du monde entier, mais aussi ceux du monde arabe qui se sont dressés courageusement contre les dictatures et les obscurantismes, doivent élever leurs voix contre ces massacres pour faire du 8 mars la Journée internationale des femmes yézidies.
Depuis 2014, nous assistons à la disparition programmée d’un morceau de l’identité orientale et d’un élément d’une civilisation mille fois millénaire, incarnée par la minorité yézidie. D’origine kurde, la communauté yézidie, estimée à 500 000 membres, est installée au Moyen-Orient depuis plusieurs millénaires. Adeptes d’un syncrétisme religieux mêlant plusieurs influences, leur histoire se confond avec celle de leur persécution qui remonte au Moyen-Âge. Massacrés au XIXe siècle, ils sont aujourd’hui des milliers à fuir les attaques terroristes de l’organisation État islamique contre la région de Sinjar, berceau de cette minorité irakienne.
Comme les chrétiens, que les fanatiques sanguinaires de Daech tentent de marginaliser et d’exclure de la société et du monde, les Yézidis font partie des premières communautés persécutées par les djihadistes. Comme les chrétiens d’Orient, ils représentent une des minorités les plus méprisées et ostracisées. Décapités, crucifiés, exécutés, les Yézidis sont massacrés par les djihadistes qui n’hésitent pas à vendre leurs enfants comme esclaves sexuels ou à les enterrer vivants.
Dans leur entreprise de purification ethnique, les femmes et les filles yézidies sont la cible particulière des djihadistes qui en font des esclaves au service de l’organisation État islamique et de ses combattants. Dépouillées de leur humanité, ces femmes et ces filles yézidies sont considérées comme des butins de guerre, vouées à devenir des esclaves sexuelles et domestiques. Elles sont aujourd’hui des centaines, voire des milliers à être mariées de force, vendues ou offertes à des combattants, irakiens ou syriens, ou des sympathisants de l’EI comme en témoigne dans son livre la jeune Jinan, victime de cette traite d’êtres humains.
Poussant toujours plus loin les limites de son ignominie, Daech a fait du viol des prisonnières yézidies, y compris des enfants, une pratique codifiée et bureaucratisée digne du Moyen-Âge, au mépris des droits humains les plus fondamentaux. Cette « théologie du viol » est définie pour répondre à la nécessité de recruter toujours plus de terroristes, en leur permettant d’éviter la tentation du péché, c’est-à-dire les relations sexuelles interdites par la charia.
Ces massacres et la réduction en esclavage des Yézidis, qualifiés aujourd’hui de « génocide » par les Nations unies, sont perpétrés aux portes de l’Europe et de la Méditerranée. Pourtant, l’agonie des femmes yézidies ne suscite guère de mobilisation à la hauteur de leur tragédie. Pas assez musulmanes ni suffisamment chrétiennes ? Kurdes non reconnues par l’État irakien car pas assez arabes ?
Coupées du reste du monde, les cris des femmes yézidies résonnent difficilement. J’entends encore l’appel émouvant de la députée yézidie Vian Dakhil, qui, en invoquant l’humanité tout entière, implorait ses collègues irakiens impassibles de sauver cette minorité persécutée. C’était il y a un an et demi… L’anéantissement qui se déroule sous nos yeux est pourtant d’une extrême gravité, sur le plan de la conscience humaine mais également pour l’avenir de l’Orient, du monde arabe comme de l’Occident.
Complices
Aurait-on oublié que l’universalisme suppose chez toute personne une essence humaine qui transcende tous les particularismes, y compris culturels ou religieux ? Aurait-on oublié que le principe d’égalité entre les hommes et les femmes s’inscrit dans l’universalité des droits humains en général ?
Sommes-nous si confortablement installés dans la protection de nos droits civiques pour ne pas percevoir la menace inhérente à ce projet de société totalitaire, négation de toute liberté, qui tente d’imposer sa raison et qui teste une nouvelle fois notre capacité à résister ?
Notre indifférence et notre silence font de nous les complices d’une idéologie qui sape l’humanité tout entière et la dignité de chaque être humain. Ici en France ou ailleurs, militants laïcs ou de foi musulmane, nous devons dénoncer la barbarie des fanatiques du califat qui tue à petit feu la communauté yézidie, menacée d’être rayée de la carte du Moyen-Orient, à l’instar de toutes les minorités locales.
À la racine des valeurs fondant l’universalité des droits de l’homme, Hannah Arendt disait que c’est « l’idée d’humanité qui constitue la seule idée régulatrice en termes de droit international ». L’affirmation des droits des femmes vaut partout et pour tous, ou elle ne vaut rien. Elle implique « la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine », sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion. Les femmes yézidies ne sauraient en être exclues.
La dignité de la femme ne se divise pas. Il est de ces rendez-vous historiques que nous ne pouvons manquer. La dénonciation du massacre des femmes yézidies par les abominations des bourreaux de Daech est de ceux-là.
* Nadia Hamour est historienne et secrétaire nationale des Républicains.
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Expérence vécue d’une adolescente Yézidie : https://www.yahoo.com/news/yazidi-teen-escaped-appeals-help-captives-041405946.html
ce que vie le peuple est une honte, nos peuples Européen vivront là même chose très rapidement, nos merdias sont financé par touts ces fous et bien entendu nos politiques idem!pour quelle raison aucune force militaire ne leurs vient en aide?????ces femmes ont plus de méritent que n’importe qui .
Les Yezidis ne seront jamais traités comme les pauvres palestiniens qui eux lorsqu’ils s arrache un ongle le monde crie d une seule voix.
POURQUOI les YEZIDIS sont ils aussi scandaleusement IGNORES et MEPRISES par nos ignobles « merdias »??! Tout simplement parce qu’ils sont BLANCS, de culture Indo-Européenne très ancienne, et NON-MUSULMANS martyrisés par l’ISLAM!!! Alors, parler de leur martyr, qui dure depuis plus de 1200 ans…çà fait tache sur l’image de la « religion de Paix et d’Amour » islamique!…
Comme le veut la tradition, des Françaises musulmanes (Nadia Hamour, Lydia Guirous, Malika Sorel, Dounia Bouzar…) disent pis que pendre des soldats de l’Etat Islamique, sans préciser que les crimes que commettent ces soldats ont été commis par le prophète dont elles se réclament. Car aucune d’entre elles, à ma connaissance, ne se présente comme une ex-musulmane.
Ces crimes sont autorisés dans le coran, mais ces musulmanes ne semblent pas être au courant. A moins qu’elle ne se moquent de nous, ce qui pour moi est évident.
Feriez-vous confiance à des chrétiennes instruites mais qui ignorent (ou font semblant d’ignorer) le contenu des Evangiles et la vie de Jésus ?
Vous aurez également remarqué qu’elles disent toujours « Daech », qui ne veut rien dire, plutôt que « Etat Islamique ». Car dans « islamique », il y a « islam ». Et il semble que les musulmans français cherchent à éloigner nos soupçons de l’islam.
Effectivement ces femmes oublient fort opportunément cette phrase : » islam que de crimes en ton nom! ».
Pour les soldats d’Allah, ces femmes sont des prises de guerre. Le Coran (Sourate 33:50) signifie littéralement que Mohamet a LÉGALISÉ les rapports sexuels avec des filles ou femmes esclaves capturées au cours de raids. Mohamet s’est lui-même accordé la permission d’avoir des rapports sexuels avec qui il voulait. Notez ces phrases « c’est là un privilège pour toi » et «afin qu’il n’eût donc point de blâme contre toi ». Ceux qui ont lu le Coran et les Hadiths savent que Mahomet donnait des filles capturées à ses suiveurs pour avoir des rapports sexuels avec elles, avec autorisation de les brutaliser en cas de réticence.
Coran, Sourate 33:50 – « Ô Prophète! Nous t’avons rendu licites tes épouses à qui tu as donné leur mahr (dot), ce que tu as possédé légalement parmi les captives [ou esclaves] qu’Allah t’a destinées, les filles de ton oncle paternel, les filles de tes tantes paternelles, les filles de ton oncle maternel, et les filles de tes tantes maternelles, – celles qui avaient émigré en ta compagnie, – ainsi que toute femme croyante si elle fait don de sa personne au Prophète, pourvu que le Prophète consente à se marier avec elle : c’est là un privilège pour toi, à l’exclusion des autres croyants. Nous savons certes, ce que nous leur avons imposé au sujet de leurs épouses et des esclaves qu’ils possèdent, afin qu’il n’eût donc point de blâme contre toi. Allah est Pardonneur et Miséricordieux. »
Evidemment, cette citation très politiquement incorrecte était une impossibilité pour Nadia Hamour, de même que de, tout bonnement, renvoyer au Coran.
Article hypocrite !
On dédouane l’islam comme à l’accoutumée… Alors qu’il est la source de toutes ces horreurs, avec son coran, ses hadiths, son Mahomet que pas un seul musulman ne rejette
Quand on veut se débarrasser définitivement d’une mauvaise herbe, on l’arrache avec sa racine…
Nos propres dirigeants ne respectent déjà pas les droits les plus élémentaires de la démocratie dans toute l’Europe aux européens eux mêmes, qui sont les plus grands exclus et discriminés dans leurs propres pays, sans égalité avec les migrants, par des classes politiques racistes contre leurs propres peuples et escrocs avec la démocratie, manipulateurs et voleurs.
Il ne faut rien s’attendre de ces escrocs là, j’espère que pour ces pauvres Yézidi, que des gens courageux pourront les aider.
Et j’aurai préféré laissé la place pour ces gens là, que pour les musulmans et leur meurtrière Islam chez nous.