Il y a plusieurs façons de prendre le maquis. Intervenir sur le site et adhérer à RR en est une. Refuser la dictature de la pensée dominante en rejoignant le groupe des partisans en est une autre.
En fait, le maquis peut revêtir bien des aspects. Il n’est pas nécessaire de s’exclure de la société en partant bivouaquer dans les bois pour entrer en maquis. Dans l’Armée des Ombres, Paul Meurisse vit chichement au vu et su de tout le monde. On découvre qu’il est pourtant une des têtes pensantes de la Résistance.
La base principale du repli s’aménage autant dans un abri de bûcheron qu’au coeur même de la cité.
Le maquis est là où l’on veut qu’il soit.
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Perso,je suis tout seul dans ma micro région(massif et foret a perte de vue)je n’aurai aucun mal a résister! Je connais par coeur mes coins(étranglement pour embuscade par exemple…)sans compter ce que mère nature nous donne a manger,FO juste connaitre son environnement,pour moi c la campagne,pour d’autre c la ville,les deux réunis sont imbattables! Je connais des plantes mortelles…
vite je demenage a Gstaad avec mes lingots ,je rachete le chalet a johnny!!
Encore une autre suggestion, pour le volet communication.
Avec le commerce en ligne, la possibilité d’évaluer un produit et de le commenter se développe.
Merci Maxime le numéro 2 publié demain soir, et celui-ci jeudi !
La résistance passe aussi par la conquête de l’opinion.
merci cher Maxime c’est vraiment une excellente idée ! Je publierai sans doute demain soir ou jeudi au plus tard
En sommes le mot réfractaires serait plus adapté que le mot maquisards
merci Alexcendre pour ce rappel je confisque pour publication demain soir
je suis avec vous je veu defendre mes racine et mon pays politicar attention arreté de nous vendre bande de colabo au arme reston FRANCAIS et chretient
Comme dit Henri de Montfort « s’organiser ».
C’est la base (individuellement et collectivement) afin de ne pas être pris au dépourvu.
Secundo: pouvoir communiquer avec les autres résistants.
Tertio: N’oublions pas que nous avons quand même plus de moyens à notre portée que ceux de 1940 et même ceux du Liban (Téléphones portables, boussoles, cartes et autres outils se trouvent à profusion etc)
une évidence : lire le superbe ouvrage de Piero San Giorgio sur ce sujet et le survivalisme qui en découle , la ville est le maquis à venir
Merci, Gentilitas, pour cette précision à l’usage de qui est capable de matérialiser la Résistance d’aujourd’hui.
Avec les méthodes de surveillance modernes cela risque d être plus compliquer qu’à l époque pour ne pas être repéré.
La guérilla peut être urbaine! C’est la plus sanglante! Bientôt vous ferez face à ce type de guerre asymétrique….vous verrez alors que cela n ‘est pas marrant. Tout comme les chrétienslibanais dans le passé, vous devrez vous organiser pour vous défendre……ou fuir notre pays livré à l’ennemi par nos dirigeants islamo-collabos.Quel futur radieux pour nos enfants!
Prendre le maquis peut effectivement prendre différentes formes.
Petit neveu de maquisards qui combattirent les « boches » en 42,43 et 44, mon enfance a été bercée par le récit de ses hommes qui firent plier les colonnes nazi dans les vallées alpines.
Ses hommes discrets se laissaient parfois aller à quelques confidences en fin de repas. Leur véritable rôle ne fut connu qu’après leur morts.
Ce qui me permet d’affirmer qu’effectivement le maquis peut prendre plusieurs formes, et nul besoin d’être des millions…
Je suis parfaitement d’accord avec l’auteur de ce texte . La ville actuellement représente un véritable et formidable maquis dans lequel on peut survivre , se déplacer , communiquer et combattre .La guerrilla en ville est extrêmement meurtrière pour les assaillants . Je l’ai vécue à Beyrouth ( Liban ) , Sarajevo et Vukovar ( ex-Yougoslavie ) .