Le maire tient tête à l’inspection académique à Perpignan, très justement il évoque le retard des petits immigrés en français quant ils reviennent de vacances ! A Perpignan en toute logique, en dehors de l’anglais, l’espagnol s’impose comme langue étrangère avec l’Espagne à 30 minutes de voiture.
L’enseignement de l’arabe en primaire fait polémique à Perpignan
Des enseignements religieux sont-ils dispensés dans les écoles publiques de la ville ? Les avis divergent entre l’inspection académique et la Ville de Perpignan.
Un bras de fer oppose la Ville de Perpignan et l’inspection académique sur la tenue de cours de langue arabe par des professeurs recrutés et payés par des pays étrangers dans le cadre d’accord binationaux.
• La polémique enfle à Perpignan.
En cause, l’opposition, depuis septembre, de Jean-Marc Pujol, maire de la commune, à la tenue de cours spécifiques de langue arabe dans les écoles primaires publiques de la ville. Ce dispositif, dit Elco, créé dans les années soixante-dix pour permettre aux enfants d’immigrés de garder un lien linguistique avec leur pays d’origine, accorde à des élèves, via des conventions entre deux États, de suivre un enseignement de la langue maternelle et de la culture du pays d’origine sur le temps périscolaire.
Les enseignants étant recrutés et rémunérés par le pays d’origine des familles. Refusant donc d’accorder des salles et du personnel pour le déroulement des cours, le maire est entré en conflit avec le directeur académique Michel Rouquette qui, dans un courrier de janvier, a rappelé à Jean-Marc Pujol ses obligations pour les 462 élèves inscrits à Perpignan.
• Un enseignant algérien visé
Pourtant, ce dernier persiste et signe. « Ce dispositif, dont j’ignorais l’existence jusqu’à cette dernière rentrée, est une erreur. C’est le contraire qu’il faut faire en renforçant les enseignements du français. Car on constate dans les quartiers difficiles, après le retour de vacances, que les élèves régressent en français. Dans le même temps, un article du Monde critique cette mesure en évoquant une atteinte à la laïcité. » Le maire Les Républicains va même plus loin. « Sans mon accord, les cours se tiennent toujours à Perpignan, alors que l’on me fait remarquer du prosélytisme religieux dans certaines écoles par un professeur. »
• Aucun fait grave pour l’académie
Selon nos informations, des parents d’élèves auraient bien effectué des signalements à la municipalité pour dénoncer un enseignement plus religieux que linguistique dans les écoles primaires Pasteur-Lamartine, Ferry et Duruy.
La Ville aurait alors fait remonter ces problèmes à l’inspection académique qui a diligenté un rapport sur la situation. Pourtant, selon Michel Rouquette qui a pu avoir accès au dossier, a contrario des élus de la Ville, « aucune observation négative sur le déroulé des cours n’a été enregistrée tout comme nous n’avons pas eu de plainte de parents. Il y a une vigilance forte de nos services dans le cadre de ces accords binationaux. Des préconisations pédagogiques ont été faites, mais rien d’inhabituel. Si on avait connaissance de faits graves, j’aurais pris une décision sur le champ ».
Toujours selon nos informations, le professeur en question serait absent depuis plusieurs semaines. De quoi ajouter de la suspicion autour de son cas. Si Michel Rouquette a bien envoyé un courrier à l’ambassade d’Algérie en France, c’est donc pour « connaître les raisons de cette absence qui peut être liée à des problèmes de santé ».
Toujours est-il que le maire de Perpignan ne semble pas vouloir relâcher la pression et a même prévu de se rendre dans les écoles à l’heure où sont dispensés les cours, manière de se rendre compte du déroulement du dispositif qui, selon ses informations, « ne serait pas un grand succès du fait de l’important taux d’absentéisme des élèves enregistrés». Par ailleurs et alors que des polémiques de même ordre se font entendre en France, la ministre de l’Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, aurait émis le souhait de mettre fin à ce dispositif pour le remplacer par des cours de langue vivante sur le temps scolaire.
Note de Christine Tasin
Effectivement cet enseignement des « langues et cultures d’origine » est légal, puisque prévu par la loi, et existe dans nombres de villes, là où il y a un certain nombre d’enfants de l’immigration.
Néanmoins le maire a raison, non seulement parce que ces enfants ont plus besoin de français que de langues d’origine, mais parce que l’arabe qui est enseigné n’est pas parlé dans les familles qui parlent un arabe dialectal, c’est l’arabe utilisé pour l’enseignement de l’islam… Il est donc logique de s’interroger sur l’enseignement « religieux » véhiculé avec l’arabe… Et on peut se dire que le maire sait de quoi il parle, quand on sait à quel point Perpignan est devenu terre privilégiée pour les immigrés et les gens du voyage…
Par ailleurs, la déclaration de Bel Kacem est une déclaration de guerre supplémentaire, puisqu’elle prétend imposer en première ou seconde langue étrangère un peu partout l’arabe, aux dépens de l’allemand ou de l’espagnol, langues européennes et indo-européennes, logiques pour des petits Français. On va enfermer encore davantage les petits musulmans dans leur monde… Et supprimer pour les nôtres la possibilité d’avoir cours d’allemand ou d’espagnol, puisque, là où ils ne sont pas en majorité, ils ne seront pas suffisamment nombreux pour que subsistent les heures de seconde langue autre que l’arabe, ils devront donc choisir l’arabe comme seconde langue, voire comme première langue… Bingo ! Bel Kacem, avec son projet, fait coup double. Et elle fait entrer encore plus de musulmans dans l’Education nationale, chargés d’enseigner l’arabe… Coup triple.
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la destruction d’un pays commence par la aussi ,que croyez vous fon certain ministres
Pour contrer l’arabisation de notre pays et de notre culture, il serait bon que l’on commence par réapprendre à écrire et à parler correctement notre langue.
d’un autre coté,si j’ai un petit fils qui comprend ce qui se dit quand ils nous insultent dans leur langue,un minimum vitale est necessaire.il faut réfléchir avant des conclusions hâtives.
on s’en fout de ce qu’ils disent et nous insultent en France on parle français
Courage !
Je vous rejoins en tant que lectrice et vais envisager de donner de l’écho à certains de vos articles en Belgique, en tant qu’écrivain et de la façon la plus mesurée possible.
En effet, j’ai déjà rencontré en Belgique des personnes de confession musulmane qui sont de très grande qualité humaine. …mais d’autres qui sont dangereuses, autant que les Belges d’origine puissent l’être aussi, par ailleurs. Ce n’est pas une question de religion mais de nature humaine.
Cependant, j’adhère à ce courant qui est de refuser de perdre nos valeurs et nos racines européennes et chrétiennes, littéraires et des « Lumières », au profit d’une civilisation arabo musulmane qui ne cache pas/plus ses ambitions de conquête du territoire européen.
Bon travail.
cl
Merci à vous par ailleurs de vrais musulmans d’une vraie qualité humaine doivent apostasier et renier cette idéologie mortifère
. »belafoumouk » « nadimbabek ».. »nikomouk »…ça y est on a fait le tour..
faite un referendum des pettions NON A LA LANGUE ARABE DANS NOS ECOLES ET dans la rue vous croyez qu il y en a pas marre
bravo messieur le MAIRE au moin un qui a des couilles pas comme notre gouvernement on est en FRANCE il nous fon chier avec leur islaùmm leurs mosqué et toute leur connerie si il ne veulent pa s integré dehor
pourquoi appendre l arabe notre si belle langue FRANCAISE on est dans un pays europeen il y a les langues voisines
Un « bravo » à ce maire de Perpignan qui défie l’inspecteur d’académie, je le félicite pour le bon sens dont il fait preuve, courage Monsieur le Maire vous avez raison et la plupart des français vous soutiennent, enfin ceux qui sont encore des vrais français!
Quand nous voyons, quotidiennement ,les commentaires de français qui s’expriment sur le « net » nous sommes affolés… comment peut on demander aux enfants d’apprendre une langue comme l’arable alors qu’ils ne maîtrisent pas la langue du pays qu’ils habitent? Je pense qu’après le français apprendre l’anglais, l’espagnol ou l’allemand, l’italien est plus normal que de se plier au dictat de la ministre arabe de l’EN! Ce sont les arabes venant habiter la France qui doivent impérativement parler et écrire le français et non l’inverse…
Tout étranger en France doit parler Français et écrire Français. Ca fait parti de l’intégration. Et ceux qui ne sont pas d’accord retournent au bled, belkacem la première.
L’arabe est une langue laid en sonorité, heureusement qu’il y a des arabes chrétiens qu’il lui donne un peu d’esthétique.
En Europe nous n’avons pas besoin de l’arabe, dehors!.
Nos élus fascistes autoproclamés n’ont que de la haine pour nous les vrais européens.
Tout ce que j’espère , c’est que ses administré(e)s français de souche le soutiendront contre le déchaînement de la pensé unique qui ne devrai pas tarder !
Il n’y a qu’une langue qui s’impose en France, c’est le français.
Dans le contexte actuel, les jeunes scolarisés doivent se concentrer sur l’apprentissage de notre langue, dont l’on sait que la méconnaissance conduit à rendre difficile l’emploi, et l’assimilation pour les enfants d’immigrés.
Par ailleurs, ne laissons pas croire à ceux, nos ennemis, qui prétendent islamiser la France que la voie vers la conquête soit admise et irréversible.
on sacrifie notre langue et on veut nous exiger l’arabe ? pas normal.