Je trouve Monsieur d’Ormesson cultivé et charmant, mais il a peur d’être étiqueté « vieux réactionnaire » comme l’est par exemple Monsieur Alain Finkielkraut. Pour être à la mode et ne pas représenter cette « vieille France rance, confite dans ses traditions », il se sent obligé de promouvoir des écrivains pour ce qu’ils sont, pas pour ce qu’ils font. Il précise d’ailleurs dans cette entrevue qu’il a appuyé la candidature d’Aragon à l’Académie Française car ce dernier était homosexuel et communiste: il n’a évoqué l’immense talent qu’il lui trouvait qu’en dernière position.
J’aimerais ajouter qu’il y a déjà eu des musulmans à l’Académie Française, au moins un membre en tous cas. Je l’ai appris au cours d’une conversation que j’ai eue il y a quelques années avec un jeune vendeur dans une librairie parisienne.
Il rédigeait une thèse, si ma mémoire est bonne, et consacrait du temps à faire la lecture à Madame Jacqueline de Romilly, académicienne aujourd’hui décédée.
– Oui, me dit-il, je suis les yeux de Madame de Romilly, qui n’y voit presque plus, malheureusement. Vous êtes chrétienne d’Orient ? Eh bien Madame de Romilly soutient la candidature d’un chrétien d’Orient à l’Académie Française, mais elle rencontre beaucoup de résistance. Il s’agit de l’écrivain libanais Amine Maalouf.
Je lui ai répondu que j’aime les livres d’Amine Maalouf, et que je pense qu’il a mérité le prix Goncourt pour son livre intitulé « Le Rocher de Tanios », mais qu’il n’est pas le Balzac du Levant, et que c’est peut-être pour cela qu’il y a une résistance à son élection à l’Académie.
– Ah bon ? Parce-que vous croyez que Assia Djebar écrit mieux qu’Amine Maalouf ? Loin de là ! Elle a pourtant été élue à l’Académie.
Donc il y a déjà eu une musulmane à l’Académie Française, décédée en 2015, et dont le talent et la culture sont bien loin d’égaler ceux d’une Marguerite Yourcenar ou d’une Jacqueline de Romilly.
Mais elle était musulmane, et originaire d’un pays ennemi de la France, donc on s’est senti tenu de lui proposer un honneur que l’on refusait à un chrétien d’Orient plus talentueux qu’elle, mais hélas issu d’un pays lié à la France depuis le roi Saint Louis, où les chrétiens considèrent la France comme leur bienfaitrice et leur modèle, et apprennent le français avec une ferveur religieuse, sous le regard hostile et moqueur de leurs compatriotes musulmans.
Pour ceux qui croient que des académiciens musulmans peuvent être utiles à cause de leurs connaissances en arabe, à mon avis, Amine Maalouf connaît l’arabe cent fois mieux que Madame Djebar, qui a dû renoncer à un poste comme enseignante à Alger, car cet enseignement devait obligatoirement être dispensé en arabe littéraire. Bien qu’ayant fait sa scolarité en Algérie, elle était incapable d’enseigner en arabe classique, et aucune de ses oeuvres littéraires ne fut rédigée en arabe.
Précisons que le gouvernement algérien est obligé « d’importer » des professeurs d’arabe originaires du Moyen-Orient, et comme ces postes en Algérie ne sont guère convoités, peu de professeurs réellement qualifiés y postulent.
En résumé, les Maghrébins ne parlent PAS l’arabe. D’ailleurs les Maghrébins musulmans qui vont faire le jihad en Syrie ou en Irak sont obligés de communiquer avec les jihadistes locaux en anglais, car les Arabes du Proche et Moyen-Orient ne comprennent pas le parler Maghrébin, qui est un dialecte berbère mélangé à de l’arabe.
Et ces mots d’arabe sont souvent déformés par les Maghrébins (escamotage de voyelles, inversion de syllabes) ce qui les rend parfois méconnaissables à l’oreille des Arabes du Moyen-Orient.
Donc quand j’entends dire que l’arabe va être enseigné par des Maghrébins dans les écoles françaises, je ris sous cape (ou plutôt sous robe de chambre, parce-qu’il fait encore nuit).
L’oeuvre littéraire de Madame Djebar est assez nombriliste (elle appelle ça « autobiographique ») et le sujet de sa thèse est…sa propre oeuvre littéraire !
Dans le registre de la mégalomanie, j’ai rarement vu mieux…
Question diplômes, Madame Djebar (Fatima Zohra Imalayène de son vrai nom) a été exclue de l’école normale supérieure de Sèvres pour avoir refusé de se présenter aux examens, suite à l’appel à la grève émanant de l’UGEMA (Union Générale des Etudiants Musulmans Algériens). Ingratitude assez répandue chez certains musulmans, auxquels la France offre gratuitement une instruction dont ils n’auraient jamais pu rêver dans leur pays de naissance, mais qui se sentent néanmoins lésés.
Les musulmans se plaignent souvent d’être empêchés d’accéder à certains postes parce-que musulmans, alors que c’est le contraire qui est vrai: on leur offre souvent des postes pour lesquels ils sont sous-qualifiés, et cela au détriment de candidats non-musulmans bien plus compétents et diplômés qu’eux.
Précisons que Madame Djebar (qui a prénommé son fils Mohamed) est présentée comme une féministe qui milite pour les droits des femmes musulmanes, ce qui est étrange de la part d’une femme qui se réclame d’un « prophète » qui a pratiqué, et donc légalisé: la pédophilie, le viol des captives et des esclaves, le mariage forcé, la violence physique contre les épouses ainsi que leur séquestration, la lapidation pour adultère, la répudiation en trois mots, la polygamie, et le mariage de jouissance, qui peut ne durer qu’une demi-heure (le temps de jouir, comme son nom l’indique). (1)
Rappelons que Mahomet a dit que l’enfer est peuplé en majorité de femmes, qui sont inférieures aux hommes, et qui sont déficientes en raison comme en religion, et dont le témoignage en justice vaut la moitié de celui d’un homme, et qui doivent hériter de la moitié de ce dont héritent les hommes.
Pour finir, Mahomet a dit qu’une femme, un âne ou un chien qui passent devant un homme qui prie annulent sa prière. Voilà pourquoi les femmes entrent dans les mosquées par une porte de service, et pas par la porte principale, qui est réservée aux hommes.
D’ailleurs dans les pays à majorité musulmane, les femmes prient chez elles, les mosquées sont réservées aux hommes.
Mais en Occident, où les musulmans sont encore minoritaires, les femmes musulmanes sont encouragées à aller à la mosquée. Et cela pour deux raisons:
1/ Pour montrer que les mosquées sont pleines, et qu’il faut en construire de nouvelles.
2/ Pour qu’elles restent entre musulmanes, ce qui limite le risque de se laisser « corrompre » par le mode de vie des non-musulmanes du pays d’accueil, où l’islam n’a pas encore force de loi.
Donc les Françaises musulmanes comme Mesdames Assia Djebar (2), Malika Sorel, Fawzia Zouari ou Lydia Guirous sont risibles quand elles jouent à la musulmane émancipée et qu’elles défendent les droits des femmes, alors qu’elles se réclament d’un criminel misogyne comme Mahomet.
Pour ces raisons, je me permets d’exprimer à nouveau ma profonde estime et ma vive sympathie pour les EX-musulmanes, qui elles en revanche sont crédibles quand elles parlent de la condition féminine en islam.
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(1) Le mariage de jouissance est un mariage destiné à l’origine pour les hommes musulmans qui sont loin de leurs épouses légitimes, notamment pour des raisons de jihad, et qui ont un besoin sexuel urgent à satisfaire.
Etant donné que l’adultère est puni de mort en islam, il est possible de contracter un mariage dans un but purement sexuel, union qui peut durer quelques instants, quelques jours, ou plus rarement, quelques mois.
Ce type de mariage est utilisé par les musulmans sunnites comme chiites, mais les sunnites l’utilisent plutôt en temps de guerre ou d’absence prolongée loin des épouses, tandis que les chiites l’utilisent en dehors de ces circonstances, notamment pour la prostitution. Des imams sont de faction dans les hôtels de passe, pour bénir des unions fugaces entre chaque prostituée et ses clients successifs, qui la répudieront à peine rhabillés. C’est une pratique courante et parfaitement légale.
Ne soyez pas étonnés si vos amis musulmans sunnites vous assurent que cette pratique est exclusivement utilisée par des chiites. Ce ne sera pas la première fois qu’ils vous mentent.
Mariage de jouissance se dit en arabe: « zawâj al-mout’aa ». Les musulmans traduisent « mariage de jouissance » par « mariage provisoire », pour ne pas choquer les Occidentaux.
Mais « mout’aa » veut dire « jouissance », et non pas « provisoire ». Eh oui, la « taqiyya » se niche parfois dans des détails…
(2) Assia Djebar a prétendu que son pseudonyme veut dire en arabe « consolation » (Assia), et « intransigeant » (Djebar).
Or Assia veut dire « Asie » en arabe, et Djebar est une déformation du mot arabe « jabbar » qui veut dire « très puissant ».
Je le précise pour ceux qui, comme notre ami Armand, croient que la présence de Français d’origine maghrébine à l’Académie Française pourrait être utile pour leurs connaissances en arabe.
Dernière précision: ne pas confondre Assia (Asie) avec Aassiya (rebelle, désobéissante).
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Tien! c’est nouveau, la candidature d’Aragone pour l’académie Française par ce qu’il est homosexuel et communiste!.
Je pensai que c’était avec l’intellectuel qui faisait fonction et pas dans ce qui est dans le caleçon ou dans la culotte et ou l’appartenance.
La préférence et l’appartenance n’ont jamais prouvé l’intelligence et les capacités, mais pour le ou la meilleure quel que soit l’appartenance.
Encore une des fantaisies qui nous rappel les états totalitaires et fascistes dans lequel nous sommes.
Et merci à Eva pour les renseignements qui sont toujours intéressants de rappeler, surtout les petits pièges et tromperies de certains.
C’est toujours un plaisir de lire Eva.
Ps Vous avez bien dit une demie heure! pour les plaisirs et faire dodo avec madame!, pour nos dames c’est à peine ouf, pour les musulmanes je peux comprendre cela doit être très long pour elles et sûrement pas un plaisir, et il vaut mieux couper court le plus tôt possible.
J’aimerai pas être une femme musulmane, quel malheur!, quel horreur!, Alice aux pays des merveilles, Ali baba et les 40 voleurs, mille et une nuit, je le préfère à Euro Disney land, qu’avec saucisse Kefta et le mari tête de chameau et mariage de jouissance forcé, je divorce avant, lol.
Bonsoir à tous les Résistants !
Décidément, on ne perd pas son temps à parcourir ce blog ..
Merci Eva ! Tout ceci est vraiment à connaître. Suis quand même surpris de votre pique à l’égard de Malika Sorel qui me paraissait plutôt détachée, et même hostile aux pesanteurs rétrogrades de tout ce folklore mahométan…du moins, à la lecture de certaines de ses interventions qui ont circulé dans les media. Un peu comme Jeannette Bougrab … Mais je reconnais ne pas avoir étudié à fond la question…
En tout cas bravo ! Il y en avait une à l’Académie et certainement pas la meilleure–je crois que c’est aussi le cas au Sénat– et c’est bien dans l’ordre des choses en notre pays où préférence est laissée à l’ennemi, alors qu’il y a tant de vrais talents parmi les francophiles et athées, lesquels, heureusement, ne manquent pas. Je pense notamment à Boualem Sansal et aussi à bien des journalistes de la presse écrite de pays du Maghreb.
Merci Eva !
Bonjour Chris2a,
Je ne lance pas une « pique » contre Madame Sorel, mais une attaque en bonne et due forme.
Je suis plus que déçue par sa manière de toujours tourner autour du pot, sans jamais attaquer l’islam. Elle met le manque d’intégration des Maghrébins sur le dos de différences « culturelles », alors que c’est l’islam qui est en cause.
Or l’islam n’est pas une culture, c’est une religion, qu’elle n’attaque jamais.
La preuve est que les Arabes chrétiens s’intègrent, ne sur-peuplent pas les prisons françaises, et ne commettent pas d’attentats terroristes.
Madame Sorel a également écrit un article sur son blog, dans lequel elle mettait les crimes de Mohamed Merah sur le dos du conflit israélo-palestinien, ce qui a fini de me dégoûter d’elle.
Qu’est ce qu’on a beaucoup trop donné a l’islam, même à l’Academie ! Stop à l’islam partout. Merci pour cet excellent article.
A votre service, DURADUPIF !
Merci Eva pour ce commentaire. Je n’ai aucune compétence en langue arabe, je constate seulement qu’un mot comme »taqiyya » est écrit de bien des façons suivant les auteurs et qu’il faudrait bien que l’Académie face un choix judicieux. Si aucun académicien ne maîtrise l’arabe ni ne connaît les subterfuges et roublardises musulmans, ce choix ne pourra pas être fait correctement. Bien d’autres mots arabo-musulmans entrent maintenant dans le langage courant, des décisions seront à prendre pour passer de l’écriture macaroni à la l’écriture (latine?) occidentale.
Bonjour Armand,
Vous dites dans votre commentaire: « les mots arabo-musulmans », or les mots n’ont pas de religion. Un être humain peut être Arabo-musulman, mais un mot est arabe, sans religion.
Les juifs et les chrétiens de la péninsule arabique se sont exprimés en arabe bien avant la naissance de Mahomet.
Donc je ne vois pas pourquoi la langue arabe doit être considérée comme musulmane. D’ailleurs ceux qui la parlent le mieux, l’écrivent le mieux, l’enseignent le mieux, sont des chrétiens. Les plus brillants d’entre eux sont souvent des membres du Clergé chrétien.
C’est d’ailleurs un prêtre français, le Père François Jourdan, qui a attiré mon attention sur le fait que le coran comportait quelques erreurs, notamment des fautes d’accord. Ce texte est peut-être « divin », mais il n’est pas parfait.
Un académicien musulman ne vous protègera pas nécessairement de la roublardise de certains musulmans. Nous avons l’exemple de nombreux musulmans très diplômés mais néanmoins roublards, qui squattent les plateaux de télévision pour nous enfumer.
Les islamo-lucides, ainsi que les ex-musulmans, ne sont pas invités à s’exprimer dans les media.
Pour savoir comment écrire « taqiyya » par exemple, vous n’avez nul besoin d’une personne musulmane. Un arabophone chrétien vous aidera plus sûrement, d’autant plus que la plupart des musulmans en France ne connaissent pas l’arabe, et refusent de l’admettre. Car prétendre connaître l’arabe leur permet d’accuser leurs interlocuteurs occidentaux de ne pas avoir compris le message d’amour et de paix du coran, puisqu’ils ne l’ont pas lu en arabe.
Cela fait des années que je vis en France, et pour l’instant, je n’ai jamais rencontré un Maghrébin capable de lire le coran en arabe, ni aucun texte littéraire d’ailleurs.
Et la plupart des Maghrébins qui ont grandi en France ne peuvent pas écrire leur prénom en arabe.
Vous ne verrez jamais un juif dire à un non-juif qu’il n’a pas compris l’Ancien Testament, car pour cela il faut connaître l’hébreux. Vous ne verrez jamais un chrétien prétendre qu’à moins de connaître le grec, nul ne peut saisir le message des Evangiles.
Donc cet argument est d’autant plus ridicule que ceux qui l’invoquent NE SONT PAS ARABOPHONES dans leur écrasante majorité, j’insiste là-dessus.
Et je ne parle pas seulement des Maghrébins nés en France, mais aussi des Maghrébins ayant fait leur scolarité au Maghreb.
Pour finir, vous n’avez pas besoin d’un académicien arabophone pour vous dire comment écrire un mot en arabe. Toute personne ayant fait sa scolarité en arabe AILLEURS que dans un pays africain peut vous éclairer.
Je m’en vais le faire, d’ailleurs:
TAQIYYA s’écrit toujours, invariablement, avec un Q (et pas avec un K).
La raison est qu’en arabe, il y a 2 manières de prononcer ce son: celui qui correspond au K est identique au K français.
Mais le son que nous transcrivons: Q est un son que nous allons chercher un peu plus profondément dans la gorge.
Exemple: TariQ, avec un Q. Karim, avec un K.
Quand ces prénoms sont prononcés dans une phrase en français, on ne distingue pas la différence entre les deux sons, mais cette différence existe.
Ensuite, le Y de « taqiYYa » est toujours doublé en français, on met deux Y pour taqiyya, pour bien appuyer sur la lettre Y.
Mais en arabe, on ne double jamais les lettres pour insister sur un son: on met un petit signe au-dessus d’une lettre, pour prévenir le lecteur que cette lettre doit être prononcée avec insistance. Ce signe s’appelle en arabe la « chadda ».
Dès qu’on voit le petit signe « chadda » au-dessus d’une lettre, il faut la doubler quand on transcrit le mot en français. Or il y a une chadda au dessus de la lettre arabe qui correspond au Y de taqiyya.
Récapitulons: TAQIYYA, avec un seul Q, deux Y, et un I avant les deux Y.
Telle est l’orthographe correcte de « taqiyya ».
Est-ce que je mérite d’être élue à l’Académie Française car je sais écrire ma langue maternelle ? Certainement pas.
D’ailleurs Monsieur d’Ormesson ne dit pas dans son entrevue qu’il faut que la langue ou la culture arabe soient représentées à l’Académie Française.
Il dit qu’il faut que L’ISLAM y soit représenté.
Or le seul membre musulman ayant été élu à l’Académie ne maîtrisait pas l’arabe, et n’a jamais rédigé aucune oeuvre en arabe, et a dû refuser un poste d’enseignant à Alger car incapable d’enseigner en arabe classique.
A présent qu’il y a un Français d’origine libanaise à l’Académie Française (Amine Maalouf), le problème est résolu: il a fait toutes ses études au Liban, et peut donc aider ses collègues de l’Académie quand ils s’interrogeront sur l’orthographe d’un mot.
A mon avis, Monsieur d’Ormesson veut faire parler de lui, soulever une polémique, se montrer moderne, être en vogue…bref, il supporte mal la vieillesse.
Et je suis à votre disposition, Armand, quand vous avez un doute que la manière de transcrire un mot arabe en français.
Bonne journée !
Eva
Bonjour,
Et merci, chère Eva, de ces intéressantes précisions !
Merci Eva pour ces mises au point et ces confidences. Vous dominez le sujet, vous méritez d’aller à l’Académie, ne serait-ce que pour tirer les oreilles de notre cher immortel souvent si sympathique même quand il se trompe. Néanmoins, avant de pouvoir être admis sous la coupole, il est nécessaire d’avoir écrit un livre. Si ce n’est pas le cas, mettez-vous au travail sur un sujet consensuel !! Par exemple, la vie édifiante de mahomet …
Très intéressant ! Pertinent !
Bonjour Alain,
Amine Maalouf a fini par être élu à l’Académie Française, et si vous voulez lire un livre court, charmant et passionnant, qui décrit le système féodal qui régissait la vie des chrétiens du Mont Liban dans un passé pas si lointain, n’hésitez pas à lire « Le rocher de Tanios », qui lui a valu le prix Goncourt.
Mais l’un de ses livres m’a déçue: « Les Croisades vues par les Arabes », car il décrit les méfaits des Croisés, mais sans décrire la barbarie des musulmans qui vinrent envahir, arabiser et islamiser un Orient qui était chrétien et où l’on ne parlait pas l’arabe.
A part cela, je manque de temps pour commenter les nombreux articles que vous publiez dernièrement sur R.R. Vous êtes très actif, et je voudrais vous remercier pour le temps que vous nous consacrez, et pour la qualité de ce que vous écrivez.
Bonne soirée Alain
Eva
Dans la série des idiots utiles, ajoutons à ce brave d’Ormesson la Madame de Fontenay qui, tirant sa révérence à la TV nous affirme que son grand regret est de n’avoir pas pu faire élire une Miss maghrébine.
Très interessant ce que vous dites Eva, effectivement j’ai découvert par hasard Amin Maalouf il y a quelques années et j’ai été réellement passionné par cet écrivain, j’ai lu Léon l’africain et samarcande , : lui il aurait mérité l’académie française