Le gigantesque échec européen sur les migrants
Par Renaud Girard
LA CHRONIQUE DE RENAUD GIRARD – Les incidents de Cologne mettent en lumière les ratés de l’Union européenne, qui a instauré la libre-circulation en son sein mais n’a jamais su mettre sur pied un contrôle efficace de ses frontières.
Les incidents de la nuit du Nouvel An 2016 à Cologne ont agi, sur les Allemands d’abord, mais aussi sur tous les habitants de l’Union européenne (UE), comme le puissant révélateur d’un très sérieux problème social, qui avait été jusque-là minimisé par les gouvernements et par les grands médias : l’incapacité des sociétés européennes à bien intégrer en leur sein les populations immigrées venues de pays musulmans. Rappelons les faits: des centaines d’agressions sexuelles commises contre de jeunes Allemandes, autour de la gare et de la cathédrale de Cologne, par des bandes de jeunes gens de souche maghrébine ou moyen-orientale ; plus de 500 plaintes à ce jour déposées auprès de la police ; 32 suspects arrêtés, dont 22 sont des «demandeurs d’asile», d’après ce qu’a affirmé le ministre de l’Intérieur allemand le vendredi 8 janvier 2016.
Le 4 septembre 2015, les opinions publiques européennes avaient été bouleversées par la diffusion de la photo tragique d’Aylan Kurdi, garçonnet syrien retrouvé mort noyé sur une plage de Turquie. Le 5 septembre 2015, Angela Merkel avait réagi en affirmant qu’il n’y avait pas de limite légale à imposer sur le nombre de demandeurs d’asile et que l’Allemagne pouvait facilement accueillir chez elle «800 000 réfugiés cette année». Prononcée par la patronne de l’économie la plus puissante d’Europe, dotée d’un régime d’aides sociales très généreux, cette phrase avait créé un appel d’air fantastique. Des flots de migrants qui, jusque-là, résidaient en Turquie, se précipitèrent vers l’Allemagne et l’Europe du Nord, pour profiter de l’aubaine. On vit des cohortes entières de migrants traverser à pied ou en train les campagnes balkaniques vers l’eldorado germanique. En 2015, plus de 1 million de demandeurs d’asile sont entrés en Allemagne, contre environ 200.000 en 2014. Comme on a pu le voir sur les photos, plus de 70 % de ces demandeurs d’asile sont de jeunes mâles célibataires. L’écrasante majorité d’entre eux sont issus de sociétés musulmanes conservatrices, où une jeune fille décente ne sort pas seule la nuit dans la rue. Le drame de Cologne est le résultat, chez de jeunes hommes en pleine santé, d’un cocktail de frustration sexuelle et de mépris culturel pour la liberté des femmes occidentales. Cocktail que l’on trouve aussi, hélas, auprès de nombreux immigrés musulmans de seconde, voire de troisième génération.
Avec l’opportunisme qui est sa marque de fabrique, Angela Merkel essaie aujourd’hui de faire marche arrière. Elle a proposé au Bundestag de durcir la législation applicable aux demandeurs d’asile. Mais parviendra-t-elle à bien intégrer chez elle ces centaines de milliers de jeunes hommes musulmans demandeurs d’asile et déjà présents sur le territoire allemand, qui sont, pour la plupart, peu éduqués? On peut se montrer sceptique quand on considère le problème continu des «crimes d’honneur» perpétrés au sein de la communauté turque, pourtant installée en Allemagne depuis des décennies. En ce qui concerne les pays voisins de l’Allemagne que sont la Belgique, les Pays-Bas, le Danemark, la Suisse et la France, l’intégration des jeunes hommes musulmans dans la société n’y est pas davantage réussie.
Au-delà, les incidents de Cologne sont le révélateur d’un gigantesque échec de l’Union européenne. Dans les années 1950, 1960, 1970 et 1980, la construction européenne fut vendue aux citoyens de l’Europe comme la garantie d’un supplément de prospérité et de sécurité. Les deux furent incontestablement au rendez-vous. À partir du milieu des années 1980, les États membres décidèrent d’instituer entre eux une libre circulation des personnes, qu’elles soient ressortissants européens ou étrangers, et de faire du contrôle des frontières communes une compétence de l’UE. En mars 1995, l’espace Schengen devint une réalité administrative.
La responsabilité de la Commission européenne
Or, depuis, les institutions de Bruxelles se sont montrées incapables de forger un droit d’asile européen et d’édifier un corps de contrôle efficace des frontières communes. Alors que la Commission de Bruxelles dispose de son propre réseau diplomatique, elle n’a pas anticipé les conséquences que pourraient avoir les révolutions arabes de 2011 sur les flux migratoires. À l’automne 2015, cette institution, peu soumise à la pression des opinions publiques, aurait dû faire son travail et prévenir les États membres qu’il était hasardeux d’accepter des arrivées massives d’immigrants d’origine musulmane, alors qu’étaient déjà patentes les difficultés d’intégration au sein des États membres. Ces derniers ont également leurs responsabilités. Pensons à la France, dont l’aviation détruisit au printemps 2011 les radars que l’UE avait installés sur les côtes libyennes, pour surveiller les trafics maritimes d’êtres humains.
Au cours des trente dernières années, l’UE s’est montrée incapable de fournir un supplément de sécurité à ses ressortissants. C’était pourtant l’une de ses obligations premières.
Cet article est publié dans l’édition du Figaro du 12/01/2016.
Accédez à sa version PDF en cliquant ici
http://premium.lefigaro.fr/vox/monde/2016/01/11/31002-20160111ARTFIG00353-le-gigantesque-echec-europeen-sur-les-migrants.php
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(…)L’immigration de masse fait pression à la baisse sur le salaire des natifs, selon un rapport de la Banque d’Angleterre.
Les économistes de la Banque affirment sur l’augmentation de l’immigration provoque une diminution des salaires, notamment pour les travailleurs sociaux, les personnels de santé et dans le milieu de la restauration.
La Banque a calculé que l’augmentation de 10% du taux d’immigration réduirait le salaire moyen de 1.9% des emplois non qualifiés.
[ Notez que le Medef pousse au char pro-immigrationiste, en voilà la raison ]
(Source The Telegraph sur)
http://www.fdesouche.com/692021-la-banque-dangleterre-limmigration-provoque-une-diminution-des-salaires-des-natifs
Nouvelle toutes fraiche: Le ministre turc des affaires étrangères menace cyniquement l’UE de lâcher tous les migrants si l’UE ne paie pas les 3 milliards promis car l’argent n’est pas encore arrivé!!!
http://neurope.eu/article/turkey-threats-the-eu-over-delaying-the-delivery-of-the-refugee-aid/
COMME L’UE NE DOIT PAS PLIER AU CHANTAGE TURC ET IL EST EXCLUT DE FAIRE COULER LES BATEAUX DES PASSEURS EN PLEINE MER ALORS LA SOLUTION EST LA SECURISATION DE ZONES TERRESTRES TAMPON SUR LES COTES D’ASIE MINEURE JUSTE EN FACE DES ILES GRECQUES AVEC L’AIDE DES ARMEES DES PAYS EUROPÉENS.
Merci pour l info je publie comme brève
Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre.
Winston Churchill
cet article m’a laissé sidéré http://www.valeursactuelles.com/monde/grande-bretagne-les-nouveaux-programmes-dhistoire-font-polemique-58540
merci amie pou rl’info j’ai fait article
Plaçons une sérieuse frontière entre les peuples européens de protection plus qu’ indispensable et ces dictateurs union d’ état fascistes de Bruxelles, avec l’article 35 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, un honneur au pays fondateur des droits de l’homme, la France!, et la France sera de retour avec ses droits fondateurs avec honneurs.
Les droits du Caire d’arriérés ou les droits de l’homme des pays civilisés, choisissez.
Car ce sont bien les droits de l’homme qui sont attaqué, la France et le reste du monde libre, qui ont accepté ces droits de l’homme, un des fleurons de la France libre.
Vous pouvez être fier de vous les français et ne jamais en douter, personne! vous valez bien mieux que ces sauvages d’arriérés musulmans qui sont incapables de pisser tout seul sans les autres, et ces escrocs de Bruxelles.
Assez! d’insultes et d’humiliations, la repentance n’est pas l’apanage des peuples libres et forts, capables des droits et libertés.
Nos peuples européens et la France ont été depuis trop longtemps humilié et insulté, l’heur est de se lever!., crions!, plus de repentance, stop! à la soumission des diktats de Bruxelles et des musulmans, en femmes et en hommes libres, fière de l’être et sans reproches.
Moi Belge, je vous fait l’ honneur à vous les français, j’aime la France libre et pas musulmane, debout! français, debout! européens et le reste du monde libre.
Les états fascistes d’ union européenne de Bruxelles, dehors! pas de soumission, ni de repentance!, no surrender!, vive l’indépendance! et vive la liberté!.
Merci Xtemps les Résistants français sont fiers de votre appui et de votre présence à leurs côtés
Plaçons une sérieuse frontière entre les peuples européens de protection plus qu’ indispensable et ces dictateurs union d’ état fascistes de Bruxelles, avec l’article 35 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, un honneur au pays fondateur des droits de l’homme, la France!, et la France sera de retour avec ses droits fondateurs avec honneurs.
Les droits du Caire d’arriérés ou les droits de l’homme des pays civilisés, choisissez.
Car ce sont bien les droits de l’homme qui sont attaqué, la France et le reste du monde libre, qui ont accepté ces droits de l’homme, un des fleurons de la France libre.
Vous pouvez être fier de vous les français et ne jamais en douter, personne! vous valez bien mieux que ces sauvages d’arriérés musulmans qui sont incapables de pisser tout seul sans les autres, et ces escrocs de Bruxelles.
Assez! d’insultes et d’humiliations, la repentance n’est pas l’apanage des peuples libres et forts, capables des droits et libertés.
Nos peuples européens et la France ont été depuis trop longtemps humilié et insulté, l’heur est de se lever!., crions!, plus de repentance, stop! à la soumission des diktats de Bruxelles et des musulmans, en femmes et en hommes libres, fière de l’être et sans reproches.
Moi Belge, je vous fait l’ honneur à vous les français, j’aime la France libre et pas musulmane, debout! français, debout! européens et le reste du monde monde libre.
Les états fascistes d’ union européenne de Bruxelles, dehors! pas de soumission, ni de repentance!, no surrender!, vive l’indépendance! et vive la liberté!.
Le plan de remplacement est en route, seulement voila les gouvernements qui l’ont mis en place ne contrôle plus rien. Il fallait s’en douter, L’islam c’est engouffré par la porte grande ouverte vers l’Europe que les musulmans espéraient depuis des siècles envahir pour l’islamiser.
C’est leur seul but ultime.
Bobo Premier dans son beffroi
Se trouvait quelque peu à l’étroit.
« Comment étendre cette minuscule royauté,
Sans, pour autant, risquer ma royale intégrité ?
Comment engraisser copains, amis et famille,
Sans que les bergers y voient quelconque bisbille ? »
Tournant dans tous les sens ses pensées,
Ce bon prince, eut, soudain, une géniale idée :
« Nous allons vivre dans l’opulence
En fusionnant, notre royaume de France
Avec celui de notre voisin bien aimé,
Ringard Trois, pour ne pas le nommer ! »
Les ministres eurent beaucoup de mal à calmer
Le royal enthousiasme qui, parfois, s’emballait.
« Un seul royaume, un seul peuple, un seul roi !!! »
Les anciens se rappelaient… et étaient pris d’effroi…
La partie fut rude, les pourparlers durèrent des années,
Tant de problèmes à résoudre, tant de fromages à partager !
« Vois-tu, Ringard, pour gérer cette nouvelle entité,
Avec efficacité, et ce, en toute intégrité,
En plus de nos respectives administrations,
Il faudra, de toute pièce, créer une Commission.
De nouveaux postes de députés, de magistrats,
Pour nous et tous nos potes, il y aura du gras ! »
Comment allait se nommer ce nouveau domaine ?
Des noms des rois on prendrait une portion
Pour former une nouvelle et royale appellation.
« Le royaume nouveau s’appellera Bo-Gard-Land »
Déclara superbement Bobo Premier.
« Le royaume nouveau s’appellera Gard-Bo-Land »
Déclara, Ringard Trois, avec autorité.
« Bo-Gard ou Gard-Bo, peu me chaut, arrête ton cinéma ! »
Ajouta en se marrant, Ringard Trois…
Un peu vexé, Bobo Premier riposta :
« Gard-Bo, Bo-Gard, cinéma ? Je ne comprends pas ? »
« C’est de l’humour… Mais à tout prendre,
Je ne crois pas que tu pourras comprendre. »
Au sort, à pile ou face, on tira
Et le royaume Rin-Bo-Land s’appela.
« Un peu littéraire, non ? » remarqua Ringard Trois
« Quoi ? » demanda Bobo Premier
« C’est bon, laisse tomber »
Le bicéphale royaume de Rin-Bo-Land ainsi naquit.
La noblesse, députés et magistrats dans la plus totale euphorie,
Furent conviés à une immense réception
Les bergers, bien sur, durent fournirent les moutons.
Comme promis, on créa la Commission
Qui allait gérer cette nouvelle nation.
Fils de rois, de princes, de magistrats, de courtisans
Se ruèrent sur la bête et prirent les meilleurs bancs.
Chaque place confortablement dotée
De directeurs, secrétaires et attachés.
De cochers, de carrosses de fonction
Et de palais avec gens de maison…
Les bergers, méfiants, demandèrent à être représentés
Et obtinrent de haute lutte quelques places de députés.
Il fallait encore définir les rôles, précisément
De ces zélites qui, de notre quotidien, allaient devenir gérants.
Bobo Premier et Ringard Trois décidèrent bilatéralement
Que seraient appliqués les règlements suivants :
Article premier :
La Commission sera responsable de la nomination
Des membres de la susdite Commission.
Article second :
La Commission sera responsable de l’attribution
Des promotions, salaires, indemnités et subventions.
Article troisième :
Les membres de la Commission jouiront d’une totale immunité
Dans le cas, fort improbable, où leurs actes seraient critiqués.
Article quatrième :
La Commission lèvera impôts et taxes nécessaires
De gré ou de force les bergers devront s’y faire.
Article cinquième :
Article réservé, sera promulgué en fonction
Des futurs besoins de la Commission…
Article sixième :
Les députés seront responsables comme il se doit :
Du diamètre et de la couleur des petits pois.
De toute législation concernant la culture du poireau.
De toute décision relative à la chasse aux blaireaux
De la détermination de la courbure des concombres.
De décider si les préservatifs doivent être de couleurs sombres.
De la puissance des ampoules lumineuses,
Et toutes lois utiles sur la forme des lessiveuses…
Et ça votait, et ça décidait, et, surtout, ça subventionnait.
Et s’additionnaient, encore et encore, lois et décrets.
La gestion de cette montagne de documents
Nécessitait de plus en plus de personnel, évidemment.
Mais de personnel on ne manquait point
Tant étaient nombreux les copains des copains !
Il s’avéra très rapidement
Que les députés votaient du vent.
Que seule, la commission avait le pouvoir
Et que le peuple des bergers s’était bien fait avoir.
Car non content d’engraisser leurs respectifs glandeurs,
Les bergers des deux royaumes, par leur dur labeur,
Devaient, en sus, de ce Rin-Bo-Land supporter le poids
Sans rien en recevoir, ni aide, ni bénéfice, de surcroit.
Comme la grenouille de la fable, la commission enflait,
Tous ces impôts et taxes demandaient à être réglementés.
Et tous ces règlements, impôts et taxes entrainaient…
Rien ne semblait pouvoir endiguer l’appétit de ce batracien
Qui risquait, un beau jour, de mourir d’embonpoint.
Les bergers des deux royaumes formèrent coalition,
Et à leur respectif souverain demandèrent audition.
De l’entrevue des français j’ai eu connaissance,
Dans l’autre royaume ce fut pareil, je pense.
Les bergers tremblant :
« Sire, notre, roi, nous venons, humblement, vous demander
De dissoudre ce Rin-Bo-Land qui ne fait que nous affamer.
Il nous accable de taxes, d’impôts, de lois, de tracas
Pour quoi ? Rien de bénéfique, pour nous, en tous cas ! »
Le roi dédaigneusement :
« Gueux que vous êtes, vous n’y connaissez rien,
Avec Rin-Bo-Land, la prospérité est au bout du chemin ! »
Les bergers pleurant :
« Prospérité pour les princes, magistrats et courtisans,
Mais pour nous et nos familles il n’y a que du néant. »
Le roi furieusement :
« Manants, vous osez critiquer mes décisions ?
Pour cela, vous serez pendus par les roustons ! »
Les bergers ricanant :
« Soit, Sire, notre roi, mais en ce cas, qui élèvera les moutons
Qui alimentent votre palais lors de vos gueuletons ?
Pendus par les roustons ? Mais en ce cas, qui élèvera les moutons
Qui apportent à votre royale litière, la laine des édredons ? »
Bobo Premier, notre roi, qui était gourmand et frileux
Fut impressionné par la détermination de ces gueux.
Fallait-il céder aux demandes de ces hurluberlus
Ou les virer du palais à grands coups de pieds au c.l ?
Bien qu’il n’osât l’avouer Bobo Premier était coincé !
Soit, il accédait à la demande pressante des bergers,
Privant princes, magistrats et courtisans de leurs privilèges,
Risquant une révolution de palais et d’autres sacrilèges.
Soit, ses archers massacraient ces fichus mendiants
Et dans ce cas, une sanglante révolution… certainement…
Bobo Premier, fin politicien, cacha fort bien son courroux
Ménageant avec virtuosité la chèvre et le chou,
Il s’adressa aux bergers en termes choisis :
« Vox populi, vox dei…
Traduction : Faites ce qui vous semble bon
Et cessez, sur le champ, de me briser les co…ons !
De vos futurs délits, je me lave les mains
Et ne veux rien savoir de vos sombres desseins ! »
L’entrevue avec le roi Ringard Trois
Apparemment, dut avoir les mêmes résultats,
Car devant le siège de la fameuse Commission,
Immédiatement, la place fut noire de pâtres furibonds.
Point d’archers, point de pandores à cette heure,
A la vindicte populaire furent livrés les profiteurs.
Plus de palabre, de discussion et point de vote,
Mais une volée de gnons et de grands coups de botte !
Au grand contentement de tous,
Rin-Bo-Land fut immédiatement dissout,
La Commission fut supprimée
Ses luxueux locaux, ainsi libérés,
Furent transformés en bergerie.
Les vestiges de cette vaste duperie
Allaient servir utilement, pour une fois.
Imaginez, les moutons dans la soie !
Ils durent vite choisir, les profiteurs :
Entre le noir cachot ou le dur labeur.
Le choix dut être vite fait,
Car presque dans la foulée,
En long cortège, les branleurs engraissés,
Aux champs, aux moulins, furent envoyés.
A ce jour, je pense qu’ils y sont toujours,
Et ont du oublier les fastes de la cour…
Quant à Bobo Premier et Ringard Trois,
Les bergers les ont gardés, ils sont toujours rois.
Ils ont sentis le vent du boulet
Et se tiennent, ma foi, fort quiets.
Ils ont compris que les bergers ne sont pas des faisans
Et que, même les moutons, parfois, peuvent montrer les dents.
Bonjour,
Jolie fable sur notre chère (7 milliards volés par an: 21-14 = 7) , très chère U « E » …
Merci !
Bravo Louvois !
De vos fables je ne me lasse pas ! 🙂
Merci et bravo Louvois ! 🙂
Si une ville comme Marseille continue de s’ islamiser avec des migrants, çà finira mal ! Ils peuvent très bien décréter que la ville est islamique comme certains quartiers de Londres
http://resistancerepublicaine.com/2015/12/30/angleterre-des-milices-chretiennes-contre-la-police-de-la-charia/
Chaque jour est précieux, comment ouvrir les yeux de nos compatriotes ?
» l’incapacité des sociétés européennes à bien intégrer en leur sein les populations immigrées venues de pays musulmans. »
Absolument pas d’accord avec analyse. Ce sont au contraire ces musulmans qui sont incapables, qui refusent de s’intégrer à nos sociétés, à nos valeurs.
On cherche encore une fois à nous culpabiliser,même de façon insidieuse.
Nous n’avons rien nous reprocher !
Bonjour,
La preuve en est que de la Chine ou l’Inde aux Etats-Unis, de la Grande-Bretagne à la République Centrafricaine, les mêmes crimes musulmans se commettent : le problème est bien celui de l’islam, non le nôtre !
exact !
même si on ouvrait les portes des prisons françaises qui abritent 80% de musulmans, ce serait moins catastrophiques que ces vagues de violeurs, voleurs (bien sûr parmi eux doivent bien se trouver une dizaine de chrétiens d’orient et des familles honnêtes…)
Pour moi ce n’ est pas un échec !
Bien au contraire le plan de remigration voulu par les dirigeants européens, alias traitres-collabos si vous préférez, sous les ordres d’ une grosse poignée de financiers US fonctionne presqu’ à merveille.