AUJOURDHUI ON ACCEUILLE DES MIGRANTS ( arabes musulmans qui nous haïssent ) ET TOUT EST POSSIBLE…
LE GOUVERNEMENT Hollande ne vaut pas mieux que celui de De Gaulle. Nous avons quitté l’Algérie pour ne pas nous faire égorger, nous avons été accueillis près du port de Marseille dans un enclosséparé du reste par des barbelés et nous avons attendu sans savoir où aller. Aucune association quelconque n’est venu nous soutenir ou nous apporter de l’eau… nous étions tous des Français déracinés. Ce n’est pas de la démagogie, c’est de l’histoire..! Métropolitains, quel est votre avis, ça nous intéresse !!! C’est de cette façon qu’en juillet 1962, on traita les rapatriés d’Algérie pourtant Français à part entière. Maintenant on construit aux migrants des centres où ils auront logement, nourriture, aide médicale, etc., bien sur aux frais des contribuables français.
31 juillet 2015, Manuel Gomez, Ecrivain :
Le 26 juillet 1962, le maire de Marseille,le socialiste Gaston Defferre, accorde une interview au quotidien Paris-Presse l’Intransigeant.Sujet : l’arrivée massive des rapatriés d’Algérie. > 53 ans plus tard, il m’apparaît comme instructif, pour les générations qui n’ont pas connu, ou mal connu, ces événements tragiques, de faire souvenir de quelle manière ont été accueillis ces Français lors de leur arrivée, contre leur gré et emportés par le vent de l’Histoire, dans leur pays, leur patrie, la France. Le « bafouilleur marseillais », Gaston Defferre, ne se prive guère de donner son avis : > « Ils fuient. Tant pis ! En tout cas, je ne les recevrai pas ici. D’ailleurs, nous n’avons pas de place. Rien n’est prêt. Qu’ils aillent se faire pendre où ils voudront ! En aucun cas et aucun prix je ne veux des pieds-noirs à Marseille. » > À la question : « Voyez-vous une solution aux problèmes des rapatriés à Marseille ? », > il répond : « Oui, qu’ils quittent Marseille en vitesse , qu’ils essaient de se réadapter ailleurs et tout ira pour le mieux. » > Mais Gaston Defferre n’est pas un cas isolé… > Un sondage IFOP début juillet indique : 62 % des métropolitains refusent toute idée de sacrifice à l’égard des Français d’Algérie. > Voici d’ailleurs un rapport découvert lors de l’ouverture des archives : > « Les Français d’Algérie qui débarquent en métropole font l’objet d’une froide indifférence, ou même d’appréhensions. On ne les connaît pas. On ne sait d’où ils viennent ni s’ils sont “vraiment” français. Jugés premiers responsables du conflit qui vient de se terminer et qui a coûté la vie de trop nombreux soldats métropolitains, ils ne semblent pas “mériter” que l’on porte sur eux le regard compatissant que beaucoup espèrent ». Conseil des ministres du 18 juillet 62, Louis Joxe s’exclame : > « Les pieds-noirs vont inoculer le fascisme en France. Dans beaucoup de cas, il n’est pas souhaitable qu’ils retournent en Algérie ni qu’ils s’installent en France. Il vaudrait mieux qu’ils aillent en Argentine, au Brésil ou en Australie. » > Pompidou, Premier ministre, appuie cette idée : > « Pourquoi ne pas demander aux Affaires étrangères de proposer des immigrants aux pays d’Amérique du Sud ou à l’Australie ? Ils représenteraient la France et la culture française. » > De Gaulle : « Mais non ! Plutôt en Nouvelle-Calédonie ! Ou bien en Guyane, qui est sous-peuplée et où on demande des défricheurs et des pionniers ! » > Le 22 juillet 1962, Gaston Defferre poursuit ses anathèmes sur Paris-Presse :
– «Français d’Algérie, allez vous faire réadapter ailleurs. Il faut les pendre, les fusiller, les rejeter à la mer… Jamais je ne les recevrai dans ma cité ». > Dans le centre de Marseille, une inscription sur un grand panneau : > – « Les pieds-noirs à la mer ». > À l’aéroport d’Orly, la direction interdit aux pieds-noirs d’emprunter l’escalier mécanique parce qu’elle estime que leurs valises et leurs ballots volumineux sont une gêne pour les autres voyageurs. > Pas l’once d’une compassion parmi les responsables politiques français > « L’intérêt de la France a cessé de se confondre avec celui des pieds-noirs », dit froidement de Gaulle, le 4 mai 1962, en Conseil des ministres. > Un autre jour, à Peyrefitte qui lui expose « le spectacle de ces rapatriés hagards, de ces enfants dont les yeux reflètent encore l’épouvante des violences auxquelles ils ont assisté, de ces vieilles personnes qui ont perdu leurs repères, de ces harkis agglomérés sous des tentes, qui restent hébétés… », > le Général répond sèchement : > « N’essayez pas de m’apitoyer ! » > Parlant d’Edmond Jouhaud, l’un des généraux putschistes du 13 mai 1958 : > « Ce n’est pas un Français, comme vous et moi, c’est un pied-noir… » > Voilà, tout est dit. Ceux qui ne savaient pas le savent à présent. Quant à ceux qui n’ont jamais voulu savoir, qu’ils croupissent dans leur ignorance.
Manuel Gomez
Enfin une résistance européenne se met en place ce n’est qu’un début mais cça donne espoir dans l’ avenir
C’est clair et net !
Mais c’est dommage qu’elle ne se soit pas abstenue de ce coup de pied de l’âne envers Nigel Farage. C’est un peu minable après le reste de toutes les interventions…
J ’aime bien les « J’ accuse ! « , et le discours de l’Anglaise est intéressant. Il manque les slaves dans ce groupe…
Christine, vous avez raison, point n’est besoin de Nostradamus ou d’autres prophéties pour savoir ce qui se passe. Cependant, s’cusez-moi, ce qui est consolant, c’est de voir que ce qui arrive était annoncé depuis très longtemps et surtout..oh! surtout, de lire que les ennemis de l’intérieur (qui c’est ?) et les ennemis de l’extérieur(les pauvres réfugiés qui viennent jusque dans bras, égorger nos fils et nos compagnes ) que tous ces dégénérés vont morfler ! C’est jouissif ! Que voulez-vous, on se console comme on peut !Cela dit, bravo à Marine, Chauprade et les autres !
Comme je le disais dernièrement: « pas plus que l’euro, l’espace Schengen ne fonctionne.
Merci Hoplite je confisque pour publication demain
On reprend espoir en écoutant Marine et les autres euro-lucides. Que ne nous gouvernent-ils !!! Et comment « purger » l’Europe de ces imposteurs en poste ? Remaniement de masse qui s’impose, c’est Urgent !
Marine a l’envergure pour gouverner.
Le grand remplacement est en marche, ce n’est pas trop tard pour les ralentir voir même les stopper.
Oui Michèle ce n’est pas trop tard si on le veut et si on s’en donneles moyens
ce que Nostradamus avait prédit arrive à grand pas, avec quelques années de retard, mais cela arrive. Nous allons nous battre donc et défendre notre patrie.
Pas besoin de Nostradamus, avec tout votre respect, pour prédire ce qui se prépare…
AUJOURDHUI ON ACCEUILLE DES MIGRANTS ( arabes musulmans qui nous haïssent ) ET TOUT EST POSSIBLE…
LE GOUVERNEMENT Hollande ne vaut pas mieux que celui de De Gaulle.
Nous avons quitté l’Algérie pour ne pas nous faire égorger, nous avons été accueillis près du port de Marseille dans un enclosséparé du reste par des barbelés et nous avons attendu sans savoir où aller. Aucune association quelconque n’est venu nous soutenir ou nous apporter de l’eau… nous étions tous des Français déracinés.
Ce n’est pas de la démagogie, c’est de l’histoire..!
Métropolitains, quel est votre avis, ça nous intéresse !!!
C’est de cette façon qu’en juillet 1962, on traita les rapatriés d’Algérie pourtant Français à part entière.
Maintenant on construit aux migrants des centres où ils auront logement, nourriture, aide médicale, etc., bien sur aux frais des contribuables français.
31 juillet 2015, Manuel Gomez, Ecrivain :
Le 26 juillet 1962, le maire de Marseille,le socialiste Gaston Defferre, accorde une interview au quotidien Paris-Presse l’Intransigeant.Sujet : l’arrivée massive des rapatriés d’Algérie.
> 53 ans plus tard, il m’apparaît comme instructif, pour les générations qui n’ont pas connu, ou mal connu, ces événements tragiques, de faire souvenir de quelle manière ont été accueillis ces Français lors de leur arrivée, contre leur gré et emportés par le vent de l’Histoire, dans leur pays, leur patrie, la France.
Le « bafouilleur marseillais », Gaston Defferre, ne se prive guère de donner son avis :
> « Ils fuient. Tant pis ! En tout cas, je ne les recevrai pas ici. D’ailleurs, nous n’avons pas de place. Rien n’est prêt. Qu’ils aillent se faire pendre où ils voudront ! En aucun cas et aucun prix je ne veux des pieds-noirs à Marseille. »
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À la question : « Voyez-vous une solution aux problèmes des rapatriés à Marseille ? »,
> il répond : « Oui, qu’ils quittent Marseille en vitesse
, qu’ils essaient de se réadapter ailleurs et tout ira pour le mieux. »
> Mais Gaston Defferre n’est pas un cas isolé…
> Un sondage IFOP début juillet indique : 62 % des métropolitains refusent toute idée de sacrifice à l’égard des Français d’Algérie.
> Voici d’ailleurs un rapport découvert lors de l’ouverture des archives :
> « Les Français d’Algérie qui débarquent en métropole font l’objet d’une froide indifférence, ou même d’appréhensions. On ne les connaît pas. On ne sait d’où ils viennent ni s’ils sont “vraiment” français. Jugés premiers responsables du conflit qui vient de se terminer et qui a coûté la vie de trop nombreux soldats métropolitains, ils ne semblent pas “mériter” que l’on porte sur eux le regard compatissant que beaucoup espèrent ».
Conseil des ministres du 18 juillet 62, Louis Joxe s’exclame :
> « Les pieds-noirs vont inoculer le fascisme en France. Dans beaucoup de cas, il n’est pas souhaitable qu’ils retournent en Algérie ni qu’ils s’installent en France. Il vaudrait mieux qu’ils aillent en Argentine, au Brésil ou en Australie. »
> Pompidou, Premier ministre, appuie cette idée :
> « Pourquoi ne pas demander aux Affaires étrangères de proposer des immigrants aux pays d’Amérique du Sud ou à l’Australie ? Ils représenteraient la France et la culture française. »
> De Gaulle : « Mais non ! Plutôt en Nouvelle-Calédonie ! Ou bien en Guyane, qui est sous-peuplée et où on demande des défricheurs et des pionniers ! »
> Le 22 juillet 1962, Gaston Defferre poursuit ses anathèmes sur Paris-Presse :
– «Français d’Algérie, allez vous faire réadapter ailleurs. Il faut les pendre, les fusiller, les rejeter à la mer… Jamais je ne les recevrai dans ma cité ».
> Dans le centre de Marseille, une inscription sur un grand panneau :
> – « Les pieds-noirs à la mer ».
> À l’aéroport d’Orly, la direction interdit aux pieds-noirs d’emprunter l’escalier mécanique parce qu’elle estime que leurs valises et leurs ballots volumineux sont une gêne pour les autres voyageurs.
> Pas l’once d’une compassion parmi les responsables politiques français
> « L’intérêt de la France a cessé de se confondre avec celui des pieds-noirs », dit froidement de Gaulle, le 4 mai 1962, en Conseil des ministres.
> Un autre jour, à Peyrefitte qui lui expose « le spectacle de ces rapatriés hagards, de ces enfants dont les yeux reflètent encore l’épouvante des violences auxquelles ils ont assisté, de ces vieilles personnes qui ont perdu leurs repères, de ces harkis agglomérés sous des tentes, qui restent hébétés… »,
> le Général répond sèchement :
> « N’essayez pas de m’apitoyer ! »
> Parlant d’Edmond Jouhaud, l’un des généraux putschistes du 13 mai 1958 : > « Ce n’est pas un Français, comme vous et moi, c’est un pied-noir… »
> Voilà, tout est dit. Ceux qui ne savaient pas le savent à présent. Quant à ceux qui n’ont jamais voulu savoir, qu’ils croupissent dans leur ignorance.
Manuel Gomez
Enfin une résistance européenne se met en place ce n’est qu’un début mais cça donne espoir dans l’ avenir
C’est clair et net !
Mais c’est dommage qu’elle ne se soit pas abstenue de ce coup de pied de l’âne envers Nigel Farage. C’est un peu minable après le reste de toutes les interventions…
J ’aime bien les « J’ accuse ! « , et le discours de l’Anglaise est intéressant.
Il manque les slaves dans ce groupe…
Christine, vous avez raison, point n’est besoin de Nostradamus ou d’autres prophéties pour savoir ce qui se passe. Cependant, s’cusez-moi, ce qui est consolant, c’est de voir que ce qui arrive était annoncé depuis très longtemps et surtout..oh! surtout, de lire que les ennemis de l’intérieur (qui c’est ?) et les ennemis de l’extérieur(les pauvres réfugiés qui viennent jusque dans bras, égorger nos fils et nos compagnes ) que tous ces dégénérés vont morfler ! C’est jouissif ! Que voulez-vous, on se console comme on peut !Cela dit, bravo à Marine, Chauprade et les autres !
Comme je le disais dernièrement: « pas plus que l’euro, l’espace Schengen ne fonctionne.
Merci Hoplite je confisque pour publication demain
On reprend espoir en écoutant Marine et les autres euro-lucides. Que ne nous gouvernent-ils !!! Et comment « purger » l’Europe de ces imposteurs en poste ? Remaniement de masse qui s’impose, c’est Urgent !
Marine a l’envergure pour gouverner.
Le grand remplacement est en marche, ce n’est pas trop tard pour les ralentir voir même les stopper.
Oui Michèle ce n’est pas trop tard si on le veut et si on s’en donneles moyens
ce que Nostradamus avait prédit arrive à grand pas, avec quelques années de retard, mais cela arrive. Nous allons nous battre donc et défendre notre patrie.
Pas besoin de Nostradamus, avec tout votre respect, pour prédire ce qui se prépare…