Quelques passages choc :
Il est désormais admis largement que la France est en guerre contre des musulmans.
Tout le monde chez nous, au Front national, quels que soient sa sensibilité, ses tropismes politiques prioritaires, se bat d’abord pour la défense de la civilisation française, composante essentielle et fondatrice de la civilisation européenne. Or, cette civilisation européenne est menacée par l’expansion démographique, idéologique, militaire même, des musulmans djihadistes. Il n’y a que les imbéciles qui refusent d’admettre cette réalité. Je l’ai entendue de la bouche même de nos amis Egyptiens musulmans qui font la guerre à cette hydre, la Confrérie des musulmans, et dont la composante « française » n’est autre que l’UOIF (considérée comme une organisation terroriste par les Emirats arabes unis, alors même que notre gouvernement dialogue tranquillement avec elle).
La priorité de notre gouvernement n’est malheureusement plus d’assurer l’avenir des Français, elle est d’assurer l’avenir de « l’islam de France ». C’est sans compter, cependant, sur le Front national qui lui, a le devoir impératif de ne jamais s’écarte de la priorité identitaire.
Le gouvernement répète, sans cesse, que la question n’est pas de savoir s’il y aura d’autres actes terroristes mais quand ceux-ci se produiront. Mais sa priorité n’est pas de régler le problème terroriste ; elle est de protéger la réputation des musulmans qui vivent en France, d’où le prêt-à-penser du « padamalgam » massivement diffusé par la classe politique et les médias. Cela revient à dire qu’une partie conséquente de nos élites a choisi la soumission.
La perspective d’une France sous domination musulmane n’est plus à écarter mais je ne suis pas aussi pessimiste que Michel Onfray. Une réaction reste possible et mon engagement politique repose d’abord sur ma ferme volonté de réagir face à l’islamisation de la France. Et je pose la question à Michel Onfray : on ne peut pas, d’un côté, faire un constat aussi pessimiste et, de l’autre, continuer à attaquer le Front national.
Donc je dis à Michel Onfray, dont j’admire l’intelligence, que la pureté philosophique et le pessimisme c’est bien, mais à un moment donné, il y a des choix à faire, et il faut alors suivre une règle simple : quelle est la seule force politique qui pose la question essentielle de l’avenir de notre civilisation ?
Il faut se concentrer sur la priorité : la civilisation avant l’économie, ce qui ne veut pas dire que le redressement économique de la France n’est pas impératif. Mais une économie se répare bien plus facilement et rapidement qu’une civilisation.
Il faut avoir une volonté politique sans faille et un grand sens du Bien commun. Rejeter les logiques communautaristes et clientélistes qui commandent le souci électif aujourd’hui. Faire des sacrifices économiques s’il le faut. Ce n’est pas parce que le Golfe arabe peut inonder la France d’investissements, qu’il faut accepter ce partenariat économique. Il nous rapporte à court-terme, mais il nous détruit à long-terme.
Redresser la France sera douloureux, qu’il y aura des temps difficiles, des désillusions, mais que notre programme n’est pas de nous arrêter au bord de la route et d’attendre la mort. Je refuse la fatalité du choix entre l’inaction et la guerre civile. Un autre chemin est possible. Le redressement. Il passe par une révolution des esprits, une réforme économique et sociale profonde, une réaction vitale face à ce qui nous agresse pour ce que nous sommes.
La préoccupation de ce gouvernement n’est plus l’avenir des Français mais l’avenir de la réputation de « l’islam de France ». Nous y sommes !
http://ripostelaique.com/ce-gouvernement-defend-davantage-lislam-que-les-francais.html
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Oh, combien il a raison M. Chauprade !!!!! Il serait temps qu’enfin, tous les Français comprennent. Il en va de notre avenir, et surtout de celui de nos jeunes générations
Magnifique, un grand moment historique.
En effet Galoupix on peut dire cela je crois