Plusieurs lecteurs et adhérents, rêvant de jours meilleurs après la lecture d’un article paru ce matin sur Riposte laïque nous interrogent sur la faisabilité de la chose…
C’est pourquoi nous publions la réponse de notre avocat Joseph Scipilliti, parue sous forme d’un article signe Julien Thémis il y a un peu plus d’un an. Rien n’ayant changé depuis, la réponse est toujours la même.
Christine Tasin
Peut-on vraiment interdire l’islam ?
C’est une question qui revient sans cesse dans les discussions entre patriotes ou les articles de la patriosphère : que peut-on faire pour interdire le Coran, voire l’Islam ? D’ailleurs on ne serait pas en présence d’une religion mais d’une idéologie totalitaire, ce qui devrait d’autant plus faciliter une telle interdiction.
Cette dernière affirmation, si elle est compréhensible, est excessive. Dès lors que l’on croit en un dieu créateur de l’univers, donc de l’humanité, qui jusqu’à la fin des temps dirigera chaque événement, chaque destin ; un dieu avec lequel on communique par la prière, que l’on rejoint après la mort si on le mérite, à défaut de quoi on va en enfer ; un dieu dont les exhortations sont contenues dans un livre par là même sacré, comment peut-on dire que l’on n’a pas embrassé une religion ?
Certes l’islam n’est pas qu’une religion. Parce que ses règles englobent toute la vie des individus y compris dans ses formes d’organisation sociale, il est un système, que l’on peut qualifier de politico-religieux. Parce qu’il ne laisse aucune place à l’autonomie de la volonté, ce système est totalitaire.
Mais l’interdire est une proposition qui a besoin d’être précisée afin d’en cerner les difficultés et les limites.
Utiliser la justice contre le Coran ?
C’est le sujet qui revient le plus souvent. Sans attendre un changement politique, pourquoi ne pas attaquer en justice un livre dont bien des passages tombent sous le coup de la loi ?
Ce souhait est parfaitement justifié. Quiconque a lu le Coran en connaissant les limites à la liberté d’expression posées par le droit de la presse, ne peut que s’étonner que l’on puisse librement se procurer un tel livre. On y trouve en effet de façon répétée des provocations à la violence, la discrimination, la haine, à l’égard des non-musulmans et des femmes (pour l’homosexualité il faut se référer aux hadiths). Se trouve donc applicable l’article 24 de la loi du 29 juillet 1881, si souvent utilisé au profit de la bien-pensance :
– alinéa 8 : « Ceux qui… auront provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, seront punis… »
– alinéa 9 : « Seront punis… ceux qui, par ces mêmes moyens, auront provoqué à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou de leur handicap ou auront provoqué, à l’égard des mêmes personnes, aux discriminations prévues par les articles 225-2 et 432-7 du code pénal. ».
Il est donc légitime de s’étonner qu’un livre illégal dans toute l’Union Européenne (la législation sur ce point y étant peu ou prou commune) y soit diffusé sans entrave, tandis que ceux qui le critiquent risquent de se voir appliquer la loi à laquelle le livre échappe. C’est le comble de l’arbitraire, digne de l’Ancien Régime.
Obstacles pratiques
C’est qu’il ne suffit pas qu’un délit soit commis pour que les auteurs se retrouvent par magie devant un tribunal : encore faut-il que quelqu’un prenne l’initiative des poursuites. Or une personne ne peut poursuivre un délit dont elle n’est pas personnellement victime, donc la plainte d’un citoyen serait ici irrecevable. Seuls peuvent agir :
– Le Parquet, autrement dit les Procureurs de la République. Il ne faut pas rêver. Dans une matière aussi sensible, aucun magistrat quelles que soient ses convictions personnelles ne touchera à un tel brûlot.
– Une association déclarée depuis au moins cinq ans et dont les statuts prévoient la lutte contre le racisme ou contre les violences et discriminations fondées sur le sexe. De telles associations existent, nous les connaissons bien, et c’est pourquoi nous savons qu’il n’y a rien à en attendre. Leur objectif est de protéger le Coran en poursuivant (quand c’est possible) ceux qui le critiquent, par un renversement des valeurs dont on a peu d’exemples (voire aucun) dans les systèmes qui se veulent démocratiques.
Une association comme Résistance républicaine pourrait le faire dès qu’elle aura atteint cette ancienneté(1), sans se cacher les mille embûches à surmonter.
D’abord on ne fait pas un procès à un objet (le livre) mais à une ou des personnes. En l’occurrence pourraient être poursuivis : imprimeurs, éditeurs, vendeurs, annonceurs, responsables de sites internet et hébergeurs. Or chacun d’eux ne peut être poursuivi que pendant un délai d’un an après la mise en vente, la mise en ligne ou l’annonce. Autant dire que pour tous les exemplaires déjà vendus ou mis en ligne, ce délai de prescription est écoulé depuis longtemps. Quant à ceux achetés individuellement à l’étranger, aucune parade puisque la possession d’un livre n’est pas un délit et ne doit pas l’être dans un régime de liberté.
Ensuite se poserait le problème de la consignation fixée par le juge d’instruction, somme que le plaignant partie civile (l’association en l’occurrence) doit consigner au greffe du tribunal. Dans ce cas elle serait probablement très lourde, aucun barème légal n’existant.
Enfin, comment être confiant quant à l’issue de l’instruction et éventuellement dans le jugement, quand on sait les formidables pressions qui s’exerceraient sur les juges, dont la majorité penche d’ailleurs à gauche ?
Et après un changement politique ?
Seul un changement de personnel et d’orientation politique pourrait apporter un résultat significatif. Nul besoin alors de légiférer, puisque la loi existante, telle que vue plus haut suffit. Elle serait éventuellement modifiée pour protéger la liberté d’expression (disparition de la notion de « haine » trop vague ; précision restrictive de la notion de « discrimination ») mais devrait être maintenue pour le reste.
Dès lors le Garde des Sceaux donnerait instruction aux Parquets d’engager des poursuites contre les personnes citées précédemment, mais uniquement pour les actes à venir : impression, édition, vente, publicité, gestion de site, et la loi pourrait y ajouter l’importation même à titre gratuit . Ces poursuites seraient précédées d’une sorte de préavis donné par le Garde des Sceaux afin que tous sachent que la passivité des pouvoirs publics a pris fin, après quoi chacun prendrait ses responsabilités.
Resterait entier le problème des nombreux exemplaires déjà en circulation, de ceux achetés individuellement à l’étranger, et des sites internet dont certains sont hébergés en dehors du territoire. Peu importe : dans l’ensemble du dispositif, cette présence résiduelle qui irait en se réduisant ne serait pas gênante.
Que signifie interdire l’Islam ?
Comme dit plus haut, la loi ne peut interdire que des actes concrets. Dès lors un texte interdisant « l’islam » n’aurait aucun sens. Il devrait viser certains agissements découlant du culte musulman qui sont incompatibles avec les valeurs de notre république, à commencer par la laïcité. Lesquels ?
On ne peut interdire le respect des cinq piliers de l’islam
Rappelons-les : la profession de foi : « il n’y a de dieu que Dieu et Mahomet est son prophète » – c’est la formule que l’on prononce devant un imam et qui marque l’entrée d’une personne dans le culte musulman ; la prière ; l’aumône ; le ramadan ; le pèlerinage à la Mecque.
L’interdiction de ces cinq pratiques n’est ni possible ni nécessaire. Comment et pourquoi empêcher quelqu’un de réciter une formule rituelle, de prier même plusieurs fois par jour, de verser de l’argent à sa communauté, de jeûner, de voyager où il veut ?
En revanche la loi doit veiller à ce que ces pratiques n’interfèrent pas sur la vie sociale, pour trois d’entre elles. Cela implique :
– L’interdiction de toute prière dans l’espace collectif, ce qui inclut non seulement l’espace public, mais l’entreprise et l’école, entre autres.
– Une surveillance vigilante pour s’assurer qu’aucune pression n’est exercée sur les pratiquants afin qu’ils versent « l’aumône », faute de quoi on serait en présence d’un impôt communautaire, pour ne pas dire d’un racket.
– L’absence de toute complaisance pour le ramadan. Aucun avantage, aucune dérogation ne pourrait être accordée pour ce motif dans la vie sociale. Le salarié qui pour cause de ramadan serait somnolent, absent, irascible, serait traité comme tout autre salarié dans les mêmes circonstances.
On peut interdire nombre d’autres pratiques.
On ne saurait les citer toutes, mais seulement les plus significatives.
– L’abattage rituel. Rien de plus facile ni de plus légitime que de mettre un terme à cette pratique barbare, qui concerne également le Judaïsme. Cela entrainerait ipso facto la disparition des rayons halal et casher dans les grands magasins, comme des plats halal dans la restauration (c’est plus rare pour le casher).
– Les menus différenciés dans les lieux de restauration collective. Qu’il s’agisse de l’entreprise, de l’école, des self-services, plus de menus « avec » ou « sans porc ».
– Les tenues vestimentaires exprimant l’appartenance religieuse. On ne devrait plus pouvoir se montrer dans l’espace collectif avec un hidjab, une djellaba, un kami, une kippa… Les cas litigieux seraient tranchés par les tribunaux et feraient jurisprudence Seuls les ministres du culte échapperaient à l’interdiction, leur tenue religieuse étant en quelque sorte une tenue de travail, et leur nombre modeste.
– Les mosquées constituent le cas le plus délicat. Interdire la construction de mosquées serait contraire au principe de laïcité figurant dans le préambule de la constitution, dès lors que les autres édifices religieux ne font pas l’objet d’une interdiction identique.
Il serait possible en revanche d’interdire : le financement de l’étranger ; le financement public déguisé par le biais des prétendus centres culturels, dès lors qu’ils comportent un espace dédié, ou pouvant être dédié à la prière ; les minarets et naturellement l’appel à la prière ; les formes architecturales qui ne s’intègrent pas à notre environnement.
Que faire des mosquées existantes ? Il n’est pas sérieux de prétendre les détruire comme on le lit ici et là. Ce que les bolchéviques ont fait avec les églises orthodoxes, un Etat de Droit ne peut se le permettre. L’expropriation généralisée serait également impossible car la loi qui la déciderait serait contraire à la constitution, notamment là encore au principe de laïcité.
Mais un texte pourrait autoriser des inspections inopinées dans les centres culturels ayant reçu un financement public, afin de vérifier qu’il ne s’y trouve pas de salle de prière. Toute fraude découverte (et nous savons qu’il y en aurait…) entrainerait une injonction de modification des lieux sous peine de fermeture administrative. Dans ce dernier cas le bâtiment serait ensuite saisi et transféré au Domaine public.
Le coup de grâce : la liberté d’expression
Les mesures légales ci-dessus énumérées ne feraient pas disparaître l’islam, mais entraveraient fortement sa pratique. On reviendrait à la situation qui était celle des années 70-80 approximativement, quand un nombre plus réduit de musulmans pratiquaient dans la discrétion sans rien revendiquer.
Mais une arme redoutable s’y ajoutant serait fatale à la religion du prophète : la liberté. Une fois que les associations « antiracistes » auraient perdu le droit de se constituer partie civile et donc de déclencher les poursuites contre tout critique de l’islam ; que les parquets auraient instruction de poursuivre non plus les patriotes mais les manifestations illégales de l’islam ; que les médias, subissant le changement politique, auraient été contraints de se déboboïser partiellement, le libre examen de l’islam emportera ce qui resterait de cette croyance anachronique. Aucun système totalitaire ne résiste à la libre critique, sinon il n’est pas totalitaire.
En relisant cet article je ne peux m’empêcher de penser au titre du roman de Marc Levy : Et si c’était vrai ?
Julien Thémis
(1) NDLR Résistance républicaine aura dans un peu moins d’un an l’ancienneté nécessaire
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suite du précédent:
que pensez vous de l’attitude consistant (après avoir répondu à la convocation) à me promener en ville avec un panneau, voire à distribuer un tract, expliquant que j’ai été convoqué pour avoir critiqué l’islam?
je déconseille de faire ce genre de choses tout seul, vous risquez de vous faire agresser. Sinon je ne crois pas que ce soit poursuivable par les tribunaux mais si vous êtes poursuivi ce sera pour d’autres motifs que celui que vous mettez en avant. Chaque mot est important dans le combat qui nous est mené
Je suis convoqué dans un SRT (service du renseignement territorial pour avoir distribué lors de la manif de dimanche un tract anti-islam, dont voici le contenu, que me conseillez vous?
(précisons que j’avais été pris à partie par un jeune, tout à fait type nouveau converti, personnage insignifiant, qui m’a menacé d’agression, mais je l’ai froidement laissé parler voyant justement qu’il ne voulait surtout pas discuter…il a fini par abandonner le terrain)
…………………
LETTRE OUVERTE AUX MUSULMANS D’OCCIDENT
Musulmans,
Vous n’êtes pas directement responsables des meurtres lâches et barbares qui ont eu lieu cette semaine à
Charlie-Hebdo, à l’encontre de la liberté d’expression, base de nos valeurs occidentales , MAIS…
Les assassins ne font qu’appliquer littéralement le coran (voir ci-après) et imiter les comportements de
votre « prophète » Mahomet, lequel est INCONTESTABLEMENT, d’après vos textes mêmes, un
IMPOSTEUR, un CRIMINEL avec du sang sur les mains et un PEDOPHILE…
suite supprimée par la modération
Je comprends votre inquiétude mais nous conseillons à ceux qui seraient tentés de faire comme vous de nous consulter AVANT (ou plutôt d’adhérer à RR pour nous faire ces propositions, nous n’avons pas le temps de gérer en plus les demandes de simples sympathisants j’en suis désolée) ; vous avez fait quelques erreurs, la loi est dure et sans pitié pour les islamophobes qui ne respectent pas à la lettre les lois dites anti-racistes. Je ne vous aurais pas, quant à moi, permis d’imprimer ce tract au nom de RR,c’est certain. Bon courage à vous, votre seule chance c’est que vous ayez juste un rappel à la loi et que le procureur ne vous poursuive pas. Je ne vous dis pas ici ce qui pose problème dans ce que vous écrivez (que je supprime afin que nous ne soyons pas nous-mêmes poursuivis pour l’avoir publié). La guerre contre les patriotes est intense, il ne faut pas s’exposerinutilement . En tout cas bravo pour votre courage. Si des milliers de gens étaient comme vous on n’en serait pas là où nous en sommes.
Les crimes contre l’humanité étant imprescriptibles, nous pouvons déclarer cette secte non grata (DEPUIS SES ORIGINES°) en France pour 2 raisons:
1/ Elle véhicule la terreur, la mort et le refus des lois votées
2/ L’origine s’est faite par un auto-proclamé messie analphabète dont la seule démarche pour imposer SA religion était la terreur; la conversion à SA religion ou la mort et son expansion ne s’est pas faite par un message d’amour et d’adhésion libre mais par la terreur et 65 batailles majeures.
Cerise sur le gâteau l’islam dit que le coran est descendu directement du ciel (???) alors que les historiens de l’islam disent bien qu’il a été élaboré en 24 ans par les 3 califes successifs. Personne ne croie Rael lors de sa rencontre avec des « Eloïms »; pourquoi croire un caravanier analphabète quand il disait avoir des discussions régulières avec un ange (Gaby-Djibril) .
Enfin, tant qu’il n’avait pas inventé cette secte il était fidèle (22 ans)à sa vieille patronne devenue sa femme; puis dès ses rencontres avec allah, il a pu avoir 13 femmes et 25 concubines (ce problème de sexualité débridée étant l’apanage de Toutes LES SECTES §§
je pense Cher Maître que vous n’avez pas pensé à la seule possibilité de mettre en difficulté l’islam :
assigner l’islam devant la cour européenne des droits de l’homme en la faisant qualifier en tant que secte !
1. on ne choisit pas d’y entrer
2. on ne peut pas en sortir
3. on ne peut pas la critiquer
4. on oblige les enfants à apprendre par coeur le coran avant de savoir lire ou écrire sans leur demander leur avis.
5. on veut faire passer ses lois avant celles des hommes
6. elle est posélytique (tant qu’il y aura un infidèle la charia continuera)
7. elle se dit dernière religion sur terre et veut éradiquer les autres religions
je pense qu’en la faisant qualifier de secte on pourra engager à son encontre toutes les poursuites possibles.
C’est une idée mais pour le moment on n’a pas encore trouvé la faille juridique, la protection des religions est plus forte qu ele reste; Pour le moment seulement…
Mahomet a été informé sur les religions monothéistes par Waraqa Ibn Nawfal (Ben Nofal) cousin de Khadidja et prêtre chrétien (nestorien ou judeo-nazaréen).
Lui qui ne représentait rien d’autre qu’un modeste serviteur et promu par la fortune de sa femme Khadidja, il a voulu simplement prendre le rôle des leaders précédents (moïse et jésus) pour s’assurer le pouvoir sur le peuple. Et s’est donc inventé une voix de l’au delà.
Mais comment un dieu quelconque peut sélectionner , comme représentant, un individu ignare (totalement analphabète), jouant d’abord le « mac » (marié à une vieille fortunée (25 et 50 ans)) puis le pédophile (violer une petite gamine de 9 ans à 50 ans) ensuite père de garçons non viables (que les filles survivantes) d’où son qualificatif de « abtar », et d’une barbarie sans limite (égorger des prisonniers enchaînés !!).
Quant au fameux mein kamf …pardon coran…il n’est pas descendu du ciel ainsi, mais a été élaboré par les 3 califes suivants Mahomet (Abou Bakr, père de la petite Aïcha, 2 ans; Omar 12 ans; et Othman 10 ans) en 24 ans !!!!!
On connait la suite simplissime!
1/ Conquête: « Tu deviens muz » ou tu meurs
2/ Tu es muz alors tu observes la charia sinon tu meurs
3/ Tu ,ne quittes pas la secte sinon tu meurs.
On pourrait écrire mille pages de critiques, mais une seule ligne suffit.
Islam= Crime contre l’évolution et l’humanité !!
« Saloperie » disiez vous Christine……Vraiment diplomate !
Pour info:
http://www.clio.fr/BIBLIOTHEQUE/l_islam__histoire_des_origines_et_histoire_califale.asp
Il semble qu’en fait Mahomet n’ait pas été analphabète, il savait écrire, le mythe de l’analphabète aurait été inventé pour mieux faire passer l’idée que son message vient d’Allah et que luji n’aurait pas pu l’inventer
N’oublions pas non plus que selon le psychologue Danois,nicolai Seneils, un certain nombre de musulmans type ne respectent que ce qu,ils craignent. Ce qu’ils craignent le plus, c’est la déportation. Si au moins , nous pouvions les déporter au premier acte criminel, là nous aiderions nos pays!! Hélas,au Canada, il faut que la situation soit grave pour déporter.Limiter le quotas d’enfant par femmelle par une obligation admise et signée avant l’entrée au pays même serait aidante,on limiterait les dégâts. Anyway,je crois que rien ou presque ne sera fait tant que nous ne serons pas des millions de victimes »mécréantes » massacrées dans nos pays avant que nos dirigeants ne voient l’islam (tout court) comme un réel danger pour nos pays,nos systèmes sociaux.
Je ne suis ni juriste, ni Française. JE connais par contre assez bien les valeurs,dogmes et pratiques inhérentes à l’islam. A mon sens, le premier acte à poser en se basant sur les centaines de versets et hadiths (shaihs) qui prônent des actes criminels dans nos pays pourraient p-être servir à retirer le statut de religion à l’islam. Nous n’avons qu’à penser è l’hadith de Bukhari ne pénalisant pas le meurtre de mécréants, tuer les homosexuels,apostats, lapidation,amputation de membres aux voleurs, mariages polygames, avec fillettes (autorisés par l,islam, et oui ,cette dernière ne balisant par l’âge ni mariage ni relations sexuelles, discours de conquête,histoire des pays conquis par cette doctrine infâme,perverse, malsaine, sexiste,etc. BREf ,changer le statut de l’islam en »organisation criminogène sous couvert de religion mais bien sectaire »’ serait bcp. plusconforme à la réalité car selon Info-secte (france et Canada) les critères d,une secte sont tous présents dans l’islam. Le site info-secte ne dit pas cela directement mais c’est sûrement par ignorance des dogmes islamiques d’une part , et de la peur de se faire poursuivre,menacer physiquement ds leur locaux,etc. qu’ils se taisent. Châtiments corporels, dons obligatoires, tentatives (et réussite) de s’emparer du pouvoir via les sphères politiques, éducationnelles, etc. bref, ils sont maintenant immiscés partout. Ensuite il y a l’impossibilité d’en sortir (ordre de tuer ses apostats), …JE cite quelques exemples mais ils font tous parti des critères de la vision Canadienne et Française;nous avons retenu les mêmes. LEs millions de morts au nom d’allah ne viennent -ils pas corroborer le fait que cette doctrine est dangereuse et pire que le nazisme.Sans les déchoir du statut honorable de »religion » ,nous serons toujours mains et pieds liés. Le monde ne connait de l’islam que ce qui parait ds quelques medias traditionnels n’ayant aucune connaissance réelle de ce qu,est cette doctrine, pireque le nazisme!! Nos dirigeants attendent qu’ils soient assez nombreux pour faire des coups d’états, prises d’otages, tueries ds des églises,etc.L’islam forme des sociopathes,c’est clair. Loin d’être des »mauvais musulmans » ; ceux nommés à tort »radicaux » ne sont qu’en fait les plus pieux d’entre eux. IL faudra agir sous peu car nos vies,valeurs,familles,enfants,femmes mécréantes ,etc, nos systèmes sociaux sont en train de se faire instituer la loi du blasphême et des parties de la charia avec la bénédiction de nos dirigeants ignares ,inconscients et dangereux au vu de ceci.
Nous sommes bien d’accord mais pour le moment la loi ne nous permet pas de changer le statut de l’islam en France… mais nous ne désespérons pas !
Merci de ce rappel et aussi aux autres contributeurs.
On peut envisager le dépôt de plainte comme une arme…
Si à chaque fois signalée par les organes de lutte, puis par la sphère de ré-information, ce peut secouer l’opinion !
c’est vrai également, est-ce qu’à la longue cela ne pourrait pas ébranler le mammouth ?
Je reviens sur ce terme de citoyen: j’ai connu beaucoup d’étrangers qui ont prospéré en France après guerre, ils ont travaillé toute leur vie, bien éduqué leurs enfants et manifesté leur intégration en les nommant frédéric, paul, ou autre jacques alors que les parents étaient Kozanski, dos santos, Hernandez ou Ruggieri….Pour moi de meilleurs citoyens que des « souches » qui ont passé leur vie en prison pour vols, violences, drogue etc..
Les gitans à mes yeux sont peut être français, mais pas des citoyens qui participent à la cité (société). que des droits, aucun devoir ni apport au groupe !
Mais au moins ils ne veulent pas nous asservir lol
Je pense que nous avons une batterie de lois déjà suffisantes pour que l’on puisse vivre ensemble si elles sont respectées; et c’est cela la carence, c’est que rien n’est respecté en France, toute la situation actuelle découle de la faiblesse, de la démagogie, des trahisons de tous ces « chefs » politiques qui se sont succédés depuis 1973.La seule loi qui manque et qui serait très faisable, c’est de n’accorder la double nationalité qu’aux « européens » . On a créé l’Europe, au moins que l’octroi d’un passeport ne soit accordé qu’à ses composantes. Donc cette loi plus les existantes suffiraient. mais aucun parti politique je dis bien aucun (FN compris dont je sors juste d’adhésion, ayant saisi la démarche soit du père strictement raciste provos, soit de fifille aussi politique que Bayrou, dont les engagements « républicains » ne seront pas tenus une fois le pouvoir en mains).
Qu’on le veuille ou non, seuls les militaires pourront remettre le pays dans l’ état sanitaire socio-économique nécessaire. Allons mon Général ! la France se meurt faute de courage et d’honneur !
Nous avons créé une organisation : SAVANA (SAuvegarde des VAleurs NAtionales) pour promouvoir l’idée que pour être « Citoyen de France » ***il suffit d’en respecter ses valeurs; celles qui au cours des siècles et des lois ont fait l’homogénéité de ce pays et le vivre ensemble harmonieux. Ceux qui veulent nous rejoindre pour réfléchir avec nous: « savana.info@laposte.net ».
***Quand on parle de « français de souche », c’est une énorme tromperie, car où remonte la souche ?? A 1789 …Jeanne d’Arc …Vercingétorix ??? NON! citoyen de France comme on était citoyen de Rome (honneur fait aux étrangers qui avaient prouvé leur intégration et assumé leurs devoirs vis à vis de Rome.Chez nous les devoirs n’existent plus, il n’y a que des droits !!!
A télécharger:
http://ajm.ch/mat/Projet_de_plainte.pdf
tout cela est intéressant mais si on en croit notre avocat inopérant pour le moment… je n’en ferai donc pas un article même si c’est tentant !
On sait désormais les dégâts produits par une démocratie laxiste qui détruit les structures qui l’ont fondée. Il faut l’équivalent dans l’autre sens, une démocratie autoritaire, qui ne laisse rien passer et qui impose un ordre fondé à nouveau sur notre culture et nos valeurs fondatrices. Il y a dans ce pays un ventre mou de la politique, des gens avec des états d’âme, pétris de culpabilité, ce sont eux qui paralysent l’aboutissement de la lutte. Beaucoup trop de Français ne savent pas qu’ils sont en danger, leur vision s’arrête à leur sécurité matérielle, ils en oublient même qu’ils ont un devoir vis à vis des nouvelles générations. Le basculement possible n’a jamais été aussi proche, il manque encore un peu de courage, de confiance et d’audace, et aussi de lucidité pour regarder la réalité en face.
Quelques furtifs commentaires.
. « en l’occurrence pourraient être poursuivis : imprimeurs, éditeurs, vendeurs, annonceurs, responsables de sites internet et hébergeurs. Or chacun d’eux ne peut être poursuivi que pendant un délai d’un an après la mise en vente, la mise en ligne ou l’annonce. »
. COMMENTAIRE : Il y a quelques années le délai était de trois mois puis a effectivement été porté à un an, ce qui n’a servi à rien. Et maintenant, si on le portait à cinq ans, à dix ans ? Mais le mieux est d’interdire toute littérature islamique.
« Que signifie interdire l’Islam ?
Comme dit plus haut, la loi ne peut interdire que des actes concrets. Dès lors un texte interdisant « l’islam » n’aurait aucun sens. »
. COMMENTAIRE : Que faites-vous de la loi du 12 juin 2001 dite loi anti-sectes ; titre exact : « Renforcement de la prévention et de la répression des mouvements sectaires portant atteinte aux droits de l’homme et aux libertés fondamentales ».
L’article 1er de cette loi dit que : « Peut être prononcée, selon les modalités prévues par le présent article, la dissolution de toute personne morale, quelle qu’en soit la forme juridique ou l’objet, qui poursuit des activités ayant pour but ou pour effet de créer, de maintenir ou d’exploiter la sujétion psychologique ou physique des personnes qui participent à ces activités, lorsque ont été prononcées (…) des condamnations pénales définitives pour l’une ou l’autre des infractions mentionnées ci-après (…) ».
Sans chercher à faire un copié-collé trop simpliste avec l’islam, cela ne vous inspire rien ?
. « Que faire des mosquées existantes ? Il n’est pas sérieux de prétendre les détruire comme on le lit ici et là. Ce que les bolchéviques ont fait avec les églises orthodoxes, un Etat de Droit ne peut se le permettre. »
. COMMENTAIRE : Quoique la réaffectation des mosquées à d’autres utilisations soit préférable, certains d’entre nous pourraient en fin de compte se sentir une vocation subite de bolchéviques, merci du tuyau, et les détruire. On va se gêner, tiens …. Et des considérations sur un supposé « Etat de Droit » sont totalement malvenues. On n’est plus dans un Etat de droit, en état de guerre, plutôt.
. « L’expropriation généralisée (des mosquées) serait également impossible car la loi qui la déciderait serait contraire à la constitution… »
. COMMENTAIRE : Sauf erreur la Constitution a déjà été modifiée 24 fois depuis 1958, alors une de plus une de moins… De toute façon il y a peut-être au moins un autre moyen.
Vous mettez en avant des impossibilités qui n’en sont pas.
Merci Philippe pour cette lecture critique et les avancées qu’elle permet d’imaginer si un jour on change de politiciens…
Merci pour cette mise au point très précise. On n’est pas près de s’en débarrasser!
Ce qui est surprenant, c’est l’affirmation: « une personne ne peut poursuivre un délit dont elle n’est pas personnellement victime, donc la plainte d’un citoyen serait ici irrecevable ». On me menace de me tuer ou au minimum de me racketter, et je ne peux pas porter plainte? Il faut attendre d’être mort pour en avoir la preuve?
Si justement, Armand, on peu tporter plainte si on est la victime d’un racket ou d’une menace de racket mais un individu ne peut pas porter plainte parce que d’autres subissent racket etc… sauf à être une association vouée à cela qui a au moins 5 ans d’ancienneté