Ils sont tous confondants de sottise, de mensonge, de refus de la réalité, de relativisme insultant pour nous, les Occidentaux, et de tentative de blanchir un islam responsable de l’immense majorité des femmes lapidées, enlevées, mariées de force, enfermées, fouettées… dans le monde entier.
Ce sont les bécasses qui manifestent, à Paris (c’est un peu moins dangereux qu’au Nigeria, il faut le reconnaître…) pour demander la sécurisation des chemins de l’école… au lieu de demander une commission d’enquête sur un certain nombre de méfaits de l’islam, identiques à ceux que l’on trouve au Nigéria, en France même.
http://www.valeursactuelles.com/barbarie-ordinaire-%C3%A9vry
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mariage_forc%C3%A9
C’est la mahométane Belghoul, soutenue par ses quelques âmes damnées cathos, qui ose, au nom de l’islam, réclamer l’interdiction et la condamnation de l’homosexualité et de l’athéisme en France, comme en Iran.
C’est la stupide rédactrice en chef de Témoignage chrétien qui met en parallèle et donc au même niveau les horreurs de Boko Haram et un certain nombre de faits. Les Sabines enlevées par les Romains pour fonder leur ville en oubliant de rappeler qu’il s’agit d’un mythe fondateur expliquant la guerre qui a fait rage pendant des siècles après la fondation de Rome et la nécessité de l’alliance politique pour y mettre fin ; rien à voir avec des pervers haïssant la femme, haïssant encore plus la femme qui reçoit une éducation qui pourrait lui donner de la dignité, haïssant encore plus la femme qui reçoit une éducation occidentale la rendant libre ! Quant au viol comme arme de guerre en Yougoslavie et ailleurs il s’agit ici davantage d’une des formes de pillage ancestralement dévolue aux soldats, sorte de récompense en nature donnée à ceux qui se sont battus pour remporter la victoire. Certes les femmes y sont considérées comme des biens et les violences qui leur sont faites monstrueuses, mais quel rapport avec un enlèvement mûrement réfléchi et organisé pour casser les femmes et imposer la loi islamique ? Jean-Paul II appelant les femmes à se donner aux autres dans leur vie de tous les jours au nom du droit des femmes à disposer de leurs corps. La donzelle ne fait a priori aucune différence entre enlever des centaines d’adolescentes, violer une gamine de 9 ans, vendre comme esclave une autre de 12 ans, marier de force les autres… et une simple PAROLE incitant les femmes à se dévouer à autrui… Plus stupide que Christine Pedotti tu meurs. Plus dhimmi qu’elle tu meurs. Plus islamo-collabo qu’elle tu meurs. Plus insultante pour la tradition chrétienne tu meurs.
Non seulement nous devons nous battre contre les islamo-collabos, contre les dhimmis, contre les adeptes du « tout se vaut », mais il faut encore en plus passer son temps à expliquer ce que nous disons à longueur d’articles àRésistance républicaine depuis que notre association a été fondée, il y a 4 ans,l’islam et l’islamisme, c’est la même chose et notamment dans cet article où nous expliquions pourquoi Florian Philippot avait tort lorsqu’il faisait cette distinction, nulle et non avenue.
http://resistancerepublicaine.com/2012/en-flattant-lislam-philippot-veut-il-etre-la-machine-a-perdre-de-marine-le-pen/
Notre ami René Marchand, d’ailleurs, l’a magistralement démontré dans son ouvrage Reconquista. On lui empruntera en guise de conclusion ces extraits, très clairs :
Cohabitation possible ?
Une communauté musulmane peut-elle cohabiter pacifiquement avec une autre communauté sur un même territoire ?
La question est cruciale pour les Européens qui vivent désormais avec, chez eux, une diaspora musulmane.
Des constatations
Si l’on veut examiner la question de la présence de l’Islam et d’une autre civilisation à l’intérieur d’une même nation, d’une même région, d’une même agglomération, il ne peut être que profitable de regarder ce qui s’est passé et ce qui se passe de nos jours dans les endroits où ce fait s’est accompli.
– Là où les Musulmans sont majoritaires et détiennent le pouvoir, les populations minoritaires sont victimes de brimades ou de persécutions.
Partout, tout au long de l’histoire, pendant quatorze siècles, l’Islam n’a cessé de maltraiter les minorités que dans les périodes où il a été mis dans l’impossibilité de manifester son adversité à l’égard de celles-ci (pendant la colonisation, par exemple).
Partout, de nos jours, les minorités ne peuvent jouir de droits égaux aux Musulmans et, partout, elles sont victimes d’actes violents de manière récurrente. Inutile d’insister.
– Dans les pays où les Musulmans sont suffisamment nombreux pour constituer une communauté reconnue politiquement sans disposer de la totalité du pouvoir, la situation n’est jamais paisible. Quand les Musulmans se sentent en force, des membres de la Communauté engagent la lutte armée et la masse des Croyants se joint bientôt à eux, ou approuve, ou laisse faire.
Exemples en notre temps : l’Inde, le Soudan, qu’il a fallu scinder en deux Etats, l’Indonésie, le Nigéria, le Liban, les Philippines, la Birmanie, etc.
– Dans les pays où ils sont minoritaires, les Musulmans demeurent en marge de la société d’accueil.
En Europe, les échecs de l’intégration ressortent des statistiques :
* les chiffres du chômage, partout supérieurs aux moyennes nationales ; en France, les immigrés de la deuxième génération, donc de nationalité française, sont au chômage dans la proportion de 24 %, soit le double de la moyenne nationale… et de la moyenne de la génération de leurs parents ;
* les taux d’élèves n’ayant pas terminé leurs études, ce qui laisse mal augurer de l’avenir : en Allemagne : moyenne nationale : 1,6 % ; étrangers, majoritairement musulmans : 4,4.[1]
– A partir d’un certain seuil démographique, les Musulmans se constituent en communauté de fait. Dans l’attente du point de bascule vers la reconnaissance officielle de cette communauté et, possiblement, de l’épreuve de force, ils accentuent leur prise de distance vis-à-vis du reste de la population, et de manières multiples.
En Europe, l’assimilation des individus « d’origine musulmane » a été rendue impossible par la pression sociale des Musulmans dès que la communauté a atteint un certain niveau quantitatif ; les revendications pour la reconnaissance d’une spécificité au sein des nations se sont multipliées ; les quartiers où les Musulmans étaient devenus majoritaires se sont vidés de leurs premiers habitants ; le taux de criminalité des Musulmans s’est élevé bien au-dessus de la moyenne nationale…*
[…]
Si l’Islam, à ce jour, n’a pas intégré tous les jeunes immigrés, c’est que ceux-ci avaient encore, par les enseignements des parents et par l’école, quelques adhérences à l’Europe et parce qu’il n’y avait pas encore suffisamment de Musulmans formés à la mission de les prendre en main. Mais, ces agents recruteurs de l’Islam, nous sommes en train de les faire ou de les laisser venir en nombre et de leur donner tous les moyens d’agir : mosquées, centres de formation et de propagande, « accommodements raisonnables », apports financiers, pouvoir politique…
[…]
La plupart des Européens veulent croire en la possibilité d’une coexistence sans heurts majeurs entre les Musulmans qu’ils côtoient et eux-mêmes. Pourquoi ?
Parce que, derrière la question de l’Islam en Europe, se profile la question de l’Islam dans le monde, l’Islam tel qu’il est, expansionniste et guerrier, mais aussi puissant par le nombre de ses ressortissants et les richesses du sous-sol qu’il détient.
Et l’hypothèse d’un affrontement de l’Europe avec l’Islam fait surgir des visions de cauchemars, sur le territoire même de l’Europe et peut-être à l’échelle mondiale.
[…]
Lors des « printemps arabes » de 2011, les Occidentaux se sont bercés de l’illusion que la démocratie allait enfin ! apparaître en Islam, que c’était le souhait, jusque-là brimé, de la majorité des Musulmans, et notamment des jeunes diplômés, manieurs d’informatique, qui détenaient les clefs de l’avenir. Une façon d’espérer que si l’Islam pouvait être compatible avec la démocratie, si les Musulmans massivement désiraient la démocratie, les Musulmans d’Europe seraient bientôt des Européens « comme les autres ».
Ces aveugles étaient convaincus que la mondialisation, et singulièrement par les moyens de communication (Internet, réseaux sociaux…), crée des comportements semblables sur l’ensemble de la planète, comportements qui induisent des types de gouvernement semblables.
Ils pensaient, d’autre part, englués dans leur indécrottable ethnocentrisme, que l’aspiration à la démocratie est commune à tous les hommes, que cette aspiration se traduira tôt ou tard par l’instauration de modes de gouvernement et de comportements individuels semblables aux nôtres, donc à l’abandon de l’identité musulmane, qui se réduira à un vague folklore.
La démocratie réduite aux élections
Mais quand avaient-ils entendu, ces rêveurs éveillés, les masses musulmanes réclamer la liberté et la démocratie ? Ce sont les médias occidentaux qui employaient ces mots. Les manifestants ne scandaient que des slogans hostiles au pouvoir en place et leurs meneurs ont déclaré qu’ils avaient obtenu satisfaction dès que leur dictateur a été déchu et qu’ils ont pu annoncer des élections pour désigner de nouveaux dirigeants.
La démocratie pourrait-elle être réduite aux élections ? Alors l’Iran des ayatollahs, qui a organisé de temps à autre des élections (et toutes n’ont pas été trafiquées), serait une démocratie. Et le nazisme, porté au pouvoir par des élections irréprochables, aurait été démocratique. Et qui ne connaît les excès auxquels conduit en Afrique, dans des pays à fort tribalisme, le blanc-seing donné par les élections à des chefs d’une ethnie majoritaire pour tyranniser les minorités ?
[…]
Sans la liberté – absolue, inscrite dans les lois, mais aussi dans les pratiques et, d’abord, dans les esprits – de s’opposer à un régime, et jusque dans les fondements de sa légitimité, il ne peut y avoir de démocratie. L’Islam, nulle part, n’a fait le premier pas dans cette direction.
Certains Occidentaux sont persuadés que la démocratie s‘installera nécessairement en Islam, parce que des coutumes, des pratiques, des articles de la Loi musulmane, qui leur paraissent, à eux, insupportables, seront abandonnés par les Musulmans dès qu’ils en auront l’occasion.
[…]
Dans un monde qui retentit partout de l’universalité des Droits de l’homme, il est des principes, constitutifs de la démocratie, avec lesquels les tribuns de l’Islam doivent tricher pour faire figure honorable.
Exemples : l’égalité entre Musulmans et non-Musulmans, l’égalité hommes-femmes.
– L’article premier de tous les textes fondamentaux sur les droits de l’homme en Occident : « Tous les hommes naissent libres et égaux en droit » n’est pas vraiment récusé. Qui oserait, en notre siècle, devant les instances internationales, se dire opposé à la liberté et à l’égalité ?
En 1990, au Caire, l’OCI a adopté «la déclaration des droits de l’homme en Islam ». Dans son premier article, ce texte déclare : « Tous les êtres humains forment une famille dont les membres sont unis par leur soumission à Dieu (Allâh) et par le fait qu’ils descende d’Adam. […] Tous les êtres humains sont les sujets de Dieu (Allâh). »
Une manière de ne pas renier l’inégalité juridique entre Croyants et Infidèles tout en évitant de la reconnaître.
Une belle escobarderie. Un tour de passe-passe.
[…]
La Réforme de l’Islam : impossible
Un constat : en quatorze siècles, l’Islam n’a pas connu de Réforme portant sur les dogmes, les lois fondamentales, les pratiques…
Les trois grandes variétés de l’Islam sont apparues à l’occasion de la bataille de Siffîn, en 657. Par la suite, sont nées des variétés qu’on peut appeler sectaires, comme les Druzes ou les Alevis, mais le grand bloc islamique n’a pas bougé.
Les peuples ont toujours été majoritairement conservateurs. Les penseurs qui ont avancé des idées de Réforme ont été peu nombreux et timides dans leurs propositions ; ils n’ont jamais eu d’influence sur la doctrine. Aujourd’hui, on ne note aucune demande de Réforme de l’Islam dans les pays musulmans.
[…]
Les « réformateurs » dans la diaspora : tous des taupes
Il n’y a qu’au sein de la diaspora musulmane qu’on parle d’une Réforme de l’Islam. En Europe, c’est devenu la spécialité d’un certain nombre d’intellectuels ou « d’imams », qui sont invités régulièrement à s’exprimer par les journalistes, qui sont même les seuls Musulmans choisis par les grands médias, parce qu’ils montrent à tous un Islam « présentable » ou qui ne va pas tarder à l’être.
En France, l’Islam réformé, reformaté à nos normes, s’appelle « l’Islam à la française ». C’est quasiment une orthodoxie ; sa réalisation est certaine et imminente. Les « élites » de toutes couleurs, dont les politiques de tous bords, sont formels à cet égard.
« Un Islam de France, et non pas un Islam en France. »
Belle formule : les Français vont créer « leur » Islam. Un miracle, sans doute, mais à notre portée. N’est-il pas connu que le coq gaulois, dressé sur son tas de fumier, fait lever le Soleil chaque matin ?
Un Islam différent de celui de l’umma d’un milliard six cent millions d’êtres humains ?
Oui, et quelques-uns disent même qu’il pourrait servir de modèle, essaimer sur l’ensemble de la planète.
Ne faudrait-il pas se demander ce que pourrait valoir en Arabie saoudite, au Pakistan, en Indonésie… une Réforme élaborée, dans un pays peuplé majoritairement d’Infidèles, par des « imams » reconnus par ceux-ci ?
Et à supposer que, par impossible, cet Islam de France puisse naître un jour, combien de temps tiendrait-il ? Combien d’années avant que l’involution le mette à bas ? Vivrait-il plus longtemps que les régimes laïques d’Afghanistan, de Turquie, d’Iran…, que les nationalismes d’Afrique du Nord ou du Proche et du Moyen-Orient au siècle dernier, que le mu‘tazilisme aux VIIIe et IXe siècles ? C’est pour créer cet enfant mort-né que nos gouvernants dépensent de l’argent public, multiplient compromis et compromissions, s’abaissent, trahissent leurs peuples.
Le projet ne sert qu’à permettre aux « élites » de gagner du temps, de ne pas poser tout de suite la question de la cohabitation des Européens et des Musulmans. Il est tellement grotesque qu’il ne mériterait que la dérision si ses promoteurs n’étaient pas les seuls « spécialistes » autorisés par la censure politique et médiatique à parler de l’Islam aux citoyens.
* *Selon le Washington Post, du 26 avril 2012, en France, 60 à 70 pour cent des détenus sont des Musulmans alors que, dit le journal, l’ensemble des Musulmans représente « à peine 12 pour cent de la population totale ». En Grande-Bretagne, le rapport est de 11 pour cent de détenus pour une communauté de 3 pour cent ; en Belgique, le rapport est de 16 à 2 : aux Pays Bas, de 20 à 5,5 (d’après une étude de l’ONG Open Society). En Allemagne, près de la moitié des actes violents sont commis par des personnes issues de l’immigration ; en Suisse, plus de 60 % des détenus sont des étrangers, en grande majorité musulmans (statistiques fédérales suisses) ; en Espagne, 70 % des détenus sont musulmans ; en Norvège, 100 % des viols qui ont donné lieu à une plainte en 2008 à Oslo ont été le fait d’immigrés non occidentaux, en majorités kurdes et africains (statistiques de la police)…
René Marchand
[1] Lire Malika Sorel : Le Puzzle de l’intégration : les pièces qui vous manquent (Mille et une nuits, 2007) ; Immigration. Intégration : le langage de vérité (Fayard/Mille et une nuits, 2011).
Christine Tasin
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Anne Marie Delcambre l’a dit en 2006, l’islam est l’islamisme, et l’islamisme est l’islam, comme le poussin dans l’œuf, l’arbre dans la graine, la graine dans la terre, voilà il ne faut pas être un âne pour comprendre ça, il n’y a aucuns parti pris a prendre, sauf celui de défendre le camp du bien , et nous sommes le camp du bien, eux les islamistes sont le camp du mal, on ne le répètera jamais assez, aujourd’hui il faut faire son choix c’est simple, choisir le camp du bien, c’est a dire celui des patriotes, ou le camp du mal, les nazislamistes, et tout leurs collabos qui seront passés au fil de l’épée, tout les prophètes dans l’histoire de l’humanité ont été un tant soit peu des agitateurs en leur temps, mais le sommum est bien celui de l’islam, qui non seulement a répandus sa croyance par l’épée, mais en plus s’est livré a des actes abominables sur de populations ayant des croyances et des religions diamétralement opposés a la sienne, si ce n’est pas de l’extrémisme, qu’on m’explique ce que c’est ! il y a un profond fossé entre le Christianisme et l’islam, entre le Judaïsme et l’islam, entre le Bouddhisme et l’islam, entre l’Hindouisme et l’islam, tout les philosophes vous le diront il existe un profond antagonisme entre eux et nous et nulle politique n’y apportera une solution durable, c’est impossible, c’est inconcevable, inimaginable, nos philosophies sont beaucoup trop différentes, il ne peut y avoir le moindre accord entre des cultures millénaires et une secte relevant du diabolisme, certaines sectes sont apparus et ont fait leurs ravages, en leurs temps, mais l’islam est la seule qui ait non seulement survécus, mais en plus a essaimer sur toute l planète par le prêche d’abord, par la force ensuite, a nous d’y apporter une solution radicale si nous ne voulons pas disparaitre.
Je ne comprend toujours pas pourquoi ils/elles s’entêtent à encore essayer de faire distinction qui n’existe pas. Est-ce de la naïveté ? Le manque de courage de leurs opinions ? La peur de se faire ostraciser ? Parce que ce ne sont quand même pas les exemples prouvant de distinction il n’y a pas, ou alors si quelquefois, seulement à court terme jusqu’à ce que masques puissent tomber qui manquent.
Je me dit et dis souvent qu’il est bien dommage que Brigitte Gabriel ne vienne en Europe, surtout en France vu qu’elle parle Français. Elle pourrait l’expliquer mieux que beaucoup, vu qu’elle l’a vécu au Liban où elle née et a vécut la guerre. Je pense qu’elle demanderait sûrement à ceux qui font cette distinction qu’ils lui expliquent où se trouve la distinction lorsque ceux qui, durant des années, vécurent à coté de ceux avec qui ils partageaient repas, leurs enfants jouant avec les leurs, jusqu’où jour où, lors qu’éclata la guerre, ceux qu’ils pensaient être leurs amis les tuèrent, eux et leurs enfants, et leur famille, voisins, Chrétiens pour la grande majorité parce que n’oublions JAMAIS que le Liban était un pays Chrétien.
Alors faut arrêter ceci car c’est exactement ce qui se passe et se passera si par malheur… et ceux faisant distinction ne font qu’amplifier le danger : eux aussi cherchant à endormir, quelques soient leurs raisons. On dit bien qu’il faut se méfier de l’eau qui dort non ? Et bien même principe ici aussi car c’est peut-être en sommeil, ça néanmoins attend….
Pedotti et son inénarrable comité de la jupe….
http://www.comitedelajupe.fr/
Un tuyau à ces « courageuses » manifestantes pour sécuriser les chemins de l’école; s’adresser aux associations listées dans le texte suivant, extrait du site patriote.net.
Titre: Parlez moi d’association anti-raciste, parlez moi de discrimination…
Quand associatif rime avec « militantisme politique et communautarisme » :Touchons du doigt, la plus symbolique.
Partons donc sur cette main jaune racialiste et communautariste : « SOS-RACISME ».
De l’emploi fictif au communautarisme, cette nébuleuse politico-associative, appareil et satellite principale du PS ayant recueillit en son sein Jean-Phillipe Désir, alias Harlem (changement de nom à fin électoraliste, beaucoup plus tendance dans un groupe étranger !) n’a pas de leçon à crier à la France !
Présidée par des haineux de la République et ses fondements de l’égalité pour tous, des écervelés perdus à la facilité raciste, des crosses humaines pro-immigrationniste et anti-France.
Créateurs de voix, faisant pression sur le CSA (Conseil Supérieur de l’Audio visuel), re-liseurs de dictionnaire, pro-manifs anti-démocratique envers le Front National dont le parti se réclame profondément patriote, égalitariste et méritocratique.
Ces milieux associatifs sont un vrai marché de légumes, pour preuve « frère, soeur, cousin et cousine » se suivent dans la liste ci-dessous.
Ils sont la nacelle du racisme dans notre pays :
– GISTI, Groupe d’information et de soutien aux immigrés
– LDH, Ligue des droits de l’homme
– MRAP, Mouvement contre le racisme et l’amitié entre les peuples
– LICRA, Ligue contre le racisme et l’antisémitisme
– CRAN, Conseil représentatif des associations Noires
– FL, France libertés
– LE, Ligue de l’enseignement
– GELD, Groupe d’étude et de lutte contre les discriminations
– PL, Primo lévi
– ADRI, Agence pour le développement des relations interculturelles
– HALDE, Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité
Le constat se fait donc alarmant, nous dénombrons 12 « pseudo » associations à fins politiques et communautaristes.
La question qui assomme est peut-être la suivante : parmi le paysage associatif dépeint dans cette liste, combien défendent les Français ?
Ne vous tordez pas dans tous les sens, il n’y en a malheureusement aucune !
Nous vivons le tout contraire, l’étranger est « sur défendu » et le contribuable natif est abandonné de tous champs associatifs alors que ses impôts contribuent aux vies de celles-ci.
Il est plus facile de dire « oui » à un enfant qui braille dans un magasin pour le faire taire, que de lui dire « non » avec une bonne fessée.
Sur l’instant, le bambin OUI se calmera plus rapidement et sans incident que son rival NON (fait d’obtention d’un objet désiré) mais plus tard, il perdurera son laxisme d’enfance en grandissant, croyant que tout lui est du : il ne comprendra pas le refus et se violentera donc par la suite.
Tandis que le NON, fessé et puni devant la caisse du magasin, courte honte des parents pour la correction face aux passants mais cet effort s’avèrera payant pour son futur dans sa quête du respect.
(la loi interdisant la fessée n’existait pas après 1945, cela n’a pas empêché la naissance de cosmonautes, d’ingénieurs inventant le scanner, l’IRM, les gratte-ciel etc.)
Agir c’est se préserver, délaisser c’est accepter une fatalité.
Quel qu’en soit le choix, une part de responsabilité sera à prendre : choisissez votre France !
Le Front National est le seul parti politique défendant les Français dans le respect citoyen de chacun.
Ni associatif, ni sectaire, ni raciste, seulement patriote.
http://www.lespatriotes.net/blog/la-preuve-que-l-euro-est-le-principal-fleau-de-l-economie-francaise