Merci Philippe, toi qui régales nos lecteurs de tes superbes articles pour avoir franchi le pas de l’engagement politique.
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Derrière cette ode à la Bretagne, il y a une très forte incitation à y voir aussi une ode à la France et une incitation à se battre pour que notre pays et nos régions demeurent beaux et accueillants. Pour cela, il faut en chasser l’islam, qui pourrit tout.
Avec nous dimanche 8 décembre !
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Quel merveilleux clip ! Je l’ai regardé (et écouté) avec émotion. Cette chanson entraînante me donne de plus en plus hâte de me réfugier dans ma région de coeur.
Comme dit Théo, il faut redresser la barre. NE PAS LAISSER COULER LA BRETAGNE SVP !
Et bien que ne connaissant ni Philippe Bescond-Garrec ni son action, je lui souhaite bonne chance dans son entreprise car il est des nôtres.
Pour une Bretagne LIBRE et non gérée par les Coopératives. Mais en attendant, il faut redresser la barre, car la Bretagne COULE.
Merci pour cette carte postale….depuis le 06 je reste nostalgique de mes passages au pays du binious, Kouign aman, de paysages merveilleux qui me manquent énormément. Je vous envie beaucoup.
Merci Christine d’avoir publié cette ode à la Bretagne. Les paroles sont récentes mais la musique est un vieil air du folklore breton que j’ai entendu bien des fois au son des binious (cornemuses bretonnes) et bombardes des bagads qui paradaient dans nos rues les jours de fêtes, dont le bagad toujours très acclamé des marins de Pont-Réan coiffés de leurs bérets blancs au pompon rouge. Toucher le pompon rouge d’un marin pour une jeune fille portait chance, disait-on… On a rudement besoin de beaucoup de chance aujourd’hui, chance que je souhaite ardemment à Philippe Bescond-Garrec. Kenavo.
Merci à vous, Jack, nous devons sans cesse mutualiser nos connaissances pour nous donner de quoi espérer, de quoi continuer à être révoltés et pour tout ça il nous faut l’amour de la vie et de la beauté….
Merci infiniment Christine pour cette délicate attention qui me touche profondément. Tractage sur le marché ce matin. Je me presse pour retrouver Didier, Olivier et les jeunes Gauthier et Arnaud. J’aime le contact direct avec les gens qui n’hésitent plus à dire leurs craintes, leur désarroi et aussi leur espoir de voir les choses bouger. Je pars avec cette ballade dans la tête. RV le 8/12 à Paris. Mersi bras ha kenavo
Philippe
Merci et bravo à toi ! A dimanche prochain !